Il s’agit d’une intrigue amoureuse. Le jeune Ratovo (neveu du Gouverneur et soldat garde-frontière) aime la belle Ranivo (fille du Gouverneur), mais il ne peut se déclarer et brûle d’un amour impossible ; Ranivo s’apprête à épouser Rasela. À l’acte III, coup de théâtre, l’ennemi sakalava attaque et disperse la noce. Ratovo est blessé ; agonisant, il avoue en public son amour pour Ranivo et meurt en bénissant le nouveau couple.
Le lieu de l’action est la ville de Vohitrarivo (imaginaire ?). Les dialogues sont entrecoupés de chants.
]]>Nous ne connaissons de cette pièce qu’un vestige partiel : un cahier d’écolier marqué 2, contenant 23 feuillets manuscrits recto verso, couverts d’une écriture appliquée. Le cahier comprend la fin de la pièce (de la scène IX de l'acte II jusqu'à la fin, acte III scène XII.)
Il s’agit d’une intrigue amoureuse. Le jeune Ratovo (neveu du Gouverneur et soldat garde-frontière) aime la belle Ranivo (fille du Gouverneur), mais il ne peut se déclarer et brûle d’un amour impossible ; Ranivo s’apprête à épouser Rasela. À l’acte III, coup de théâtre, l’ennemi sakalava attaque et disperse la noce. Ratovo est blessé ; agonisant, il avoue en public son amour pour Ranivo et meurt en bénissant le nouveau couple.
Le lieu de l’action est la ville de Vohitrarivo (imaginaire ?). Les dialogues sont entrecoupés de chants.
[Poèmes épars en malgache] [Tps1]
6 feuillets manuscrits (13 x 22, fos 3 à 8), datés du 22/7/27 au 28/8/27 contenant « À Philippe Chabaneix », « Ô toi qui l’aurais lu pour sa grande tendresse… », « À J.-H. Rabekoto », « À G.-Henri de Brugada », « À Robert-Edward Hart », « À Tristan Derème » regroupés dans « La Guirlande à l’amitié », accompagnés de 13 feuillets tapuscrits.
Volumes [MS1.RYTH]
1 feuillet 12x15 mss recto verso n.s. daté : 4/1/28. Encre bleu, papier ivoire
Les ratures, la superposition de l'encre bleue sur le crayon papier, le motif du poème et le champ lexical s'enchainent, piétinent... tout cela atteste d'un état premier du brouillon. Nous assistons à la progressive genèse du poème. Rabearivelo y cherche l'équilibre et comme il l'écrit dans ses Calepins Bleus : ce " mouvement élusif tout autant qu’expansif ". C'est ce qu'il prise le plus. Moins qu'un respect métrique, dont il semble avoir épousé le rythme, dans cette " langue adoptive " (voir dans Volumes, "À Robert-Edward Hart"), se dégage un art consumé de la pointe. Rabearivelo prépare une image de clôture à la fin de chacun d'eux. L'écriture fonctionne comme un revenez-y autour d'un même motif, c'est cela qu'il importe d'exprimer selon un art poétique constitué au fil de ses multiples lectures : de Baudelaire à Mallarmé, en passant par les courants les plus contemporains des années 1920-1930 - même si parfois oubliés, n'ayant pas toujours fait école...
2 feuillets manuscrit 9x14, datés 22 et 28/10[/?], numérotés VI / VII (contenu dans une enveloppe La Muse française).