Une parodie, étymologiquement, π α ρ α ́ " à côté de " et ω ̓ δ η ́ " chant ". A partir du bon mot de Valéry Larbaud - " ce vice impuni, la lecture " - Rabearivelo se lance dans une digression autour de l'art de la traduction laquelle serait répréhensible contrairement à la lecture passive et respectueuse du texte. Qui transcrit dans sa langue maternelle s'empare d'un bien immatériel. Rabearivelo, à travers ce badinage tout de parodie, dessine son autoprotrait de le " passeur de langue " qui met en relation l'imaginaire des langues.
Kikou Yamata est une écrivaine de père japonais installée à Paris. À elle la dédicace du recueil « Trèfles » de Rabearivelo, ainsi qu’au poète mauricien Robert-Eward Hart.