Une
parodie, étymologiquement,
π α ρ α ́ " à côté de " et ω ̓ δ η ́ " chant ".
A partir du bon mot de Valéry Larbaud - "
ce vice impuni, la lecture " - Rabearivelo se lance dans une digression autour de l'art de la traduction laquelle serait répréhensible contrairement à la lecture
passive et respectueuse du texte. Qui transcrit dans sa langue maternelle s'empare d'un bien immatériel.
Rabearivelo, à travers ce badinage tout de parodie, dessine son autoprotrait de le "
passeur de langue " qui
met en relation l'imaginaire des langues.