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Title
A name given to the resource
1796-1797 : Première mission en Italie, La commission des sciences et des arts
Prairial an IV - vendémiaire an VI
Creator
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Monge, Gaspard
Description
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135 lettres
Publisher
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Marie Dupond (UDPN/USPC); projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle).
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1796-05 - 1797-10]
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
135 lettres
Language
A language of the resource
Français
Contributor
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Dupond, Marie (édition scientifique)
Walter, Richard (édition numérique)
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Correspondance
Notice pour une lettre ou toute correspondance
Date calendrier révolutionnaire
9 fructidor an V
Contexte géographique
Lieu(x) de l'action décrite dans le contenu de l’œuvre
Venise
Transcription
<div style="text-align: justify;">Venise, le 9 fructidor de l'an V de la République française</div>
<div style="text-align: justify;"> </div>
<div style="text-align: justify;">Enfin, ma chère amie, je viens de clore le catalogue des 500 volumes que nous avons choisis dans les diverses bibliothèques de l'ancien État de Venise.<a name="ftn" href="#_ftn1">[1]</a> Ce choix est très beau, et nous espérons que les administrateurs de la Bibliothèque nationale<a name="ftn" href="#_ftn2">[2]</a> seront contents de nous. On va copier cette liste, puis nous la remettrons à notre ministre Lallement, qui la présentera à la municipalité, et requerra l'ordre pour que la livraison en soit faite.<a name="ftn" href="#_ftn3">[3]</a> Ainsi, il ne restera bientôt plus que l'encaissement et l'emballage, opérations pour lesquelles Berthollet qui resterait ici serait bien plus que suffisant.</div>
<div style="text-align: justify;">Le général en chef est à Udine<a name="ftn" href="#_ftn4">[4]</a> ; nous partirons ce soir, Berthollet et moi, pour aller l'y voir, lui parler de différents objets, et surtout lui demander qu'il me laisse partir pour Paris.<a name="ftn" href="#_ftn5">[5]</a> Il nous faudra un jour pour aller, au moins un jour pour rester, car nous irons voir la Bibliothèque,<a name="ftn" href="#_ftn6">[6]</a> et un jour pour revenir. Et en supposant que j'aie ma liberté, il me faudra au moins un jour ici pour faire mes paquets et mes adieux ; et alors je volerai auprès de toi. Mais, comme tu vois, tout cela est conditionnel. Peut-être aurai-je l'occasion de t'écrire d'Udine ; et la lettre te parviendra vraisemblablement plus tôt.<a name="ftn" href="#_ftn7">[7]</a></div>
<div style="text-align: justify;">J'ai reçu ta dernière du 18 thermidor.<a name="ftn" href="#_ftn8">[8]</a> J'ai fait à Berthollet tes compliments. Il t'en remercie ; il joindra vraisemblablement à celle-ci une lettre pour sa citoyenne ; tu voudras bien la lui faire passer.<a name="ftn" href="#_ftn9">[9]</a></div>
<div style="text-align: justify;">Je suis fâché que l'on pense à moi pour la place de directeur de la pauvre École polytechnique. Indépendamment de ce que je suis moins propre qu'un autre à des fonctions administratives,<a name="ftn" href="#_ftn10">[10]</a> et aux démarches qu'exigera du directeur l'état menaçant dans lequel est l'École,<a name="ftn" href="#_ftn11">[11]</a> cette fonction me prendra du temps et m'empêchera d'achever le travail relatif à la partie d'enseignement dont j'étais chargé, et qu'il importe de terminer entièrement.<a name="ftn" href="#_ftn12">[12]</a> Au reste, je ferai de mon mieux, et si mes collègues, comme je l'espère, ont la bonté de m'aider, je pourrai peut-être tout accorder. Ah si la pauvre République française allait comme l'École ! mais il y a loin de la coquille de noix au vaisseau de 120 canons.</div>
<div style="text-align: justify;">En rendant compte de l'arrivée du convoi de tableaux, les papiers et toi ne parlez que des tableaux de Parme. Il n'y a pas eu d'envoi particulier de Parme. Tous les tableaux de Milan, Bologne, Cento, Ferrare, Modène, Parme et Plaisance ont été compris dans l'envoi fait à Toulon l'année passée, et si ce convoi a été conduit tout à Paris, il doit y avoir le St Jérôme du Corrège, et la Ste Cécile de Raphaël. Ne manque pas de les aller voir, surtout la dernière dont tu sais que je suis amoureux.<a name="ftn" href="#_ftn13">[13]</a></div>
<div style="text-align: justify;">Nous avons vu le message du Directoire relatif aux adresses des armées ; ce message est lui-même une preuve de la nécessité de ces adresses ; et si l'on est content de voir le Directoire se prononcer enfin énergiquement pour les républicains, ils sont encore inquiets sur les dangers au milieu desquels il a laissé venir la pauvre République.<a name="ftn" href="#_ftn14">[14]</a> Puisse-t-il manœuvrer habilement, ne pas s'en rapporter à de fausses cartes, et avoir un peu plus de confiance dans les vieux patrons de la révolution, qui ne peuvent se sauver qu'avec le vaisseau chéri, et qui, s'ils se trompent, sont au moins de bonne foi ; tandis que tous les autres conseillers peuvent être soupçonnés de perfidie ou de faiblesse.<a name="ftn" href="#_ftn15">[15]</a></div>
<div style="text-align: justify;">Adieu, ma chère amie, je t'embrasse tendrement, ne m'oublie pas auprès des deux ménages de nos frère et sœur,<a name="ftn" href="#_ftn16">[16]</a> et de la citoyenne Berthollet<a name="ftn" href="#_ftn17">[17]</a>. J'aurai grand plaisir à embrasser la bonne Louise et l'espiègle de Paméla.<a name="ftn" href="#_ftn18">[18]</a> Mille compliments à Barruel<a name="ftn" href="#_ftn19">[19]</a> et à tous ceux qui se ressouviennent de moi.</div>
<div style="text-align: justify;"> </div>
<div style="text-align: justify;"> Monge</div>
<div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[1]</a> Sur la saisie de cinq cents manuscrits saisis à Venise comme le stipule l’article 3 du Traité de Milan , voir les lettres n°114, 117, 118, 122, 123, 128, 130, 139 et 140.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[2]</a> Les administrateurs-conservateurs des imprimés Jean-Augustin CAPPERONNIER (1745-1820) et Joseph VAN-PRAET (1754-1837) et des manuscrits Louis-Mathieu LANGLÈS (1763-1824) et Gabriel de LA PORTE DU THEIL (1742-1815).</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[3]</a> Jean-Baptiste LALLEMENT (1736-1817) ambassadeur de la République française à Venise qui est organisée en municipalité en mai 1797. Voir les lettres n° 96 et 99.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[4]</a> Napoléon BONAPARTE (1769-1821). Le général est à Passeriano voir la lettre n°128.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[5]</a> Afin que Monge puisse assiste au mariage de sa fille Louise avec Joseph Echassériaux. Voir les lettres n°125, 126, 137 et 138.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[6]</a> Les commissaires n’y trouvent pas ce qu’ils cherchent. Voir la lettre n°128.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[7]</a> Monge a de nombreuses occasions. Il ne quitte Passeriano que lorsque le traité de paix avec l’Autriche est signé, le 27 vendémiaire an VI [18 octobre 1797]. Il arrive à Paris le 5 brumaire [26 octobre]. Voir la lettre n°138.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[8]</a> Lettre de Catherine de Paris, du 18 thermidor an V [5 août 1797].</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[9]</a> Claude-Louis BERTHOLLET (1748-1822) et sa femme Marie-Marguerite BAUR (1745-1829). Il n’y a qu’une seule lettre de la correspondance de Berthollet à sa femme qui soit conservée. Voir les lettres n°21 et 138.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[10]</a> Monge a l’expérience des hautes fonctions administratives, mais son expérience au ministère de la Marine d’août 1792 à avril 1793 a été difficile et son action ministérielle vivement critiquée malgré une bonne connaissance du domaine. Sur l’action de Monge à la marine voir les lettres n°118 et 132. </p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[11]</a> Monge répond précisément à sa femme qui lui écrit à ce sujet dans sa lettre du 18 thermidor an V [5 août 1797] : « J’ai différé jusqu’aujourd’hui à te parler de l’École, tu dois être proposé aujourd’hui au conseil pour être directeur. Tu l’aurais été quintidi dernier, mais on a réfléchi qu’il fallait avant le proposer au ministre. Le C[itoyen] Deshauchamps [directeur de l’École] a dû y aller hier, tu sais que (c’est F[rançois] de Neufchâteau qui est ministre de l’Intérieur), B[arruel] [instituteur à l’École] viendra ce soir me dire le résultat du conseil, cette École a de puissants ennemis. L’entourage d’un de nos Dieux la voit d’un mauvais œil, comme ce Dieu a perdu la tête, ceux qui l’entourent n’y voient pas très juste. Tous ceux qui tien[nen]t à l’École [ont] le plus grand désir de t’avoir, ils prétendent que tu soutiendras cet Édifice qui a coulé tant d’argent et qui est prêt à crouler.». L’École a été victime de plusieurs attaques durant l’absence de Monge. Voir les lettres n°17, 43, 77 et 95. Dans sa lettre précédente du 20 messidor an V [8 juillet 1797], Catherine donne un indice des difficultés que rencontre l’École en informant Monge que sa Géométrie descriptive est la cible de critiques. Sur l’usage de la Géométrie descriptive selon Monge voir la lettre n°62. Monge est officiellement élu directeur par le Conseil avant son retour d’Italie le 1<sup>er</sup> Vendémiaire an VI [22 septembre 1797]. Le 14 Vendémiaire [5 octobre] le ministre de l’Intérieur Letourneux reçoit le texte de la délibération, et le lendemain de son retour en France, le 7 Brumaire [28 octobre], le Directoire ratifie le résultat de l’élection.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p class="footnotetext"><a name="ftn" href="#ftn">[12]</a> De Paris le 17 germinal an VI [6 avril 1798­], Catherine forme le même vœu alors que Monge s’apprête à embarquer pour l’Égypte : « Toute mon ambition se bornerait à t’avoir près de moi - directeur de l’École, et même instituteur - et reprendre notre vie tranquille et heureuse que je regrette tous les jours. » Il semblerait que Monge ait déjà le projet de son traité élémentaire « d’application de l’algèbre à la géométrie ». Huit mois plus tard, le 6 floréal an VI [25 avril 1798], Monge envoie de Rome à Hachette un théorème de géométrie analytique. Voir la lettre n°170. Comme en décembre 1795, Monge exprime sa préoccupation incessante pour l’École polytechnique et sa volonté de construire un corps cohérent de connaissances mathématiques. Voir la lettre n°3. Monge a déjà élaboré un enseignement mathématique en prenant soin de l’organiser en deux branches autonomes et distinctes pour faciliter leur mise en correspondance : la géométrie descriptive et l’application de l’analyse à la géométrie (voir les lettres n°1 et 3) ; mais il manque encore un pas pour achever la fondation de ces deux domaines mathématiques qui resserrent les liens entre géométrie et analyse, entre technique et mathématiques. Une attention sur les révisions et modifications apportées sur les rééditions successives, montre un effort incessant de complémentation et de simplification qui s’accomplit par la réduction et la réorganisation des méthodes de l’application de l’algèbre à la géométrie dont il fait usage dans sa géométrie descriptive. Monge effectue une rénovation au sein de sa démarche d’application des méthodes infinitésimales à l’étude des surfaces. Pourtant elle n’est pas encore exposée d’une manière indépendante. L’application de l’algèbre à la géométrie de l’espace est considérée par les mathématiciens du XVIII<sup>e</sup> siècle comme un « simple auxiliaire de la géométrie infinitésimale de l’espace. » L’application de l’algèbre à la géométrie « souffre encore de graves faiblesses et son édifice manque d’harmonie, de cohésion, et, de ce fait, d’efficacité. » Lorsqu’en 1802, Monge publie avec Hachette dans le <em>Journal de l’École polytechnique</em>, « L’application d’algèbre à la géométrie », il précise qu’il s’agit d’un complément qu’il apporte à ses <em>Feuilles d’analyse appliquée à la géométrie</em> de 1795 afin de donner un exposé d’ensemble des matières. Taton définit la publication de 1802 comme « une étude plus générale qui prolonge l’esquisse de géométrie analytique de l’espace donnée dans les Feuilles d’Analyse. » En 1805, Monge et Hachette réunissent cet article aux différents développements de géométrie analytique de l’espace inclus dans les <em>Feuilles d’Analyse</em>. Cette deuxième version porte le nom <em>d’Application de l’Algèbre à la Géométrie</em>. L’ajout de l’article défini à « Algèbre » montre le caractère plus général que Monge entend donner à cette version. Les modifications apportées visent l’amélioration de la présentation pédagogique de l’ensemble. Monge commence par le traitement analytique des objets géométriques les plus élémentaires comme le point et la droite qui n’étaient envisagés ni par la géométrie cartésienne, ni même par Monge dans sa publication de 1802. C’est ainsi que les principes de la méthode des coordonnées se trouvent plus développés. Les divers problèmes relatifs aux droites et aux plans sont présentés dans un ordre plus systématique, mais les coordonnées axiales de la droite se trouvent abandonnées, probablement à cause de leur complexité relative pour une première étude de la géométrie analytique. (TATON R. (1951), p. 113-132.) Sur les apports de Monge mais aussi de Lacroix, son élève, en géométrie analytique et tout spécialement sur la nature des rapports entre géométrie et algèbre voir ISRAEL G. (1998), « Des <em>Regulae</em> à la <em>Géométrie</em> », <em>Revue d'histoire des sciences</em>. Tome 51 n°2-3, pp. 183-236.)</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn"><sup>[13]</sup></a> « La Madone de saint Jérôme » (1527-28) de Antonio ALLEGRI (1489 ? – id. 1534) et La « Sainte-Cécile et quatre saints » (1515) de Raffaello SANZIO DA URBINO (1483-1520). Le 18 thermidor an V [5 août 1797], Catherine lui a écrit : « Enfin il vient d’arriver une petite portion de vos récoltes. Ce sont les tableaux de Parme, ils sont arrivés intacts. Je m’informerai si on les voit, et nous irons. Ils me feront un double plaisir, ce sont au moins des témoins muets de votre zèle… »</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[14]</a> Monge répond à Catherine qui lui écrit le 23 thermidor an V [10 août 1797]: « Il y a aujourd’hui cinq ans que la République a pris naissance, et après tous nos efforts elle est encore…Nous célébrons l’anniversaire de ce grand jour. Si le canon ne nous avait pas éveillés ce matin, on ne s’en apercevrait pas. Il y aura des courses ce soir au Champs de Mars, quelques discours les uns froids, les autres entortillés de royalisme, mêlés de terrorisme. Tout cela fait pitié, tel qui était dans ce dernier sens, il y a 3 ans est aujourd’hui en sens inverse. Voilà les hommes, les grands hommes qui sont toujours petits à mon avis quand ils sont dirigés par leurs petites passions basses, qui leur font faire dans tous les temps des choses outre mesure. Je laisse ce chapitre, car je me sens déjà trop de mépris pour l’Espèce humaine. » Sur la montée des royalistes Sur la montée des Royalistes après leur victoire en avril 1797, aux élections pour le renouvellement d’un tiers du Conseil des Cinq-Cents et la réponse du Directoire avec le coup d’état du 18 fructidor, voir les lettres n° 89, 90, 110, 116, 118, 119, 131, 132 et 135.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[15]</a> Ceux qui sont engagés dans l’action révolutionnaire dès le début sans s’être détourné aux moments des difficultés et des dangers. Sur la nécessité d’un engagement durable dans la Révolution voir la lettre n°90.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn"><sup>[16]</sup></a> Anne Françoise HUART (1767-1852) sœur de Catherine Huart et son mari Barthélémy BAUR (1752-1823) ; Louis MONGE (1748-1827) et sa femme Marie-Adélaïde <em>DESCHAMPS </em>(1755-1827).</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[17]</a> Marie-Marguerite BAUR (1745-1829).</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a name="ftn" href="#ftn">[18]</a> Louise MONGE (1779-1874) et Marie-Élisabeth Christine LEROY (1783-1856) appelée Paméla.</p>
</div>
<div>
<p style="text-align: justify;"><a name="ftn" href="#ftn">[19]</a> Étienne-Marie BARRUEL (1749-1818), instituteur de physique à l’École polytechnique.</p>
</div>
</div>
Nature du document
Propositions non exhaustives :
Manuscrit, tapuscrit, copie dactylographiée, etc.
Lettre, carte postale, photo, etc. (correspondance)
Photographie, diapositive, etc. (iconographie)
Passeport, carte d'identité, répertoire, agenda, etc. (dossier biographique)
Journal, magazine, revue, etc. (presse)
Lettre autographe
Etat général
Pour tout commentaire sur l'état du document (présence de ratures, etc.), il faut mieux l'indiquer dans la rubrique « état génétique ».
Bon
Publication
Deux choix :
Inédit.
Nom, Prénom (de l’auteur), Titre de la publication, Lieu, Maison d’édition, Date.
Indiquer volume, tome ou collection si nécessaire….
Une entrée par édition
Inédit
Localisation
Localisation géographique du document.
Indiquer où est hébergé le document et le nom du fonds, avec l’adresse précise si possible.
<p>Bibliothèque centrale de l'École polytechnique / Centre de Ressources Historiques. (Palaiseau, France).</p>
Destinataire
Format à utiliser : Nom, Prénom
Hormis la majuscule à la première lettre, ne pas utiliser la majuscule.
Vous pouvez mettre les dates de naissance et de mort, entre parenthèses après le nom de l’auteur si ce n'est pas l'auteur décrit dans la collection
Si la lettre a plusieurs destinataires, mettre un nom par entrée.
Si l'identification d'un éventuel surnom ou pseudonyme n'a pas été possible, on l'indiquera dans le champ DC « Description »
<p>Huart, Catherine (1748-1847)</p>
<p> </p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
127. Monge à sa femme Catherine Huart
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1797-08-26
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Monge, Gaspard
Contributor
An entity responsible for making contributions to the resource
Dupond, Marie (édition scientifique)
Walter, Richard (édition numérique)
Rights
Information about rights held in and over the resource
<p>Images : Collections École polytechnique (Palaiseau, France). Reproduction sur autorisation.</p>
Fiche : Marie Dupond (UDPN/USPC); projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l'Identique 3.0.
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
Venise (Italie)
Source
A related resource from which the described resource is derived
IX GM 1.124
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Marie Dupond (UDPN/USPC); projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle).
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
1 double folio ; 218 x 185 mm
Language
A language of the resource
Français
Type
The nature or genre of the resource
Correspondance
Subject
The topic of the resource
Commission des sciences et des arts (Italie)
Monge, directeur de l'Ecole polytechnique [novembre 1797 - février 1798]
République
Directoire
Commission des sciences et des arts (Italie)
Directoire
Monge, directeur de l'Ecole polytechnique [novembre 1797 - février 1798]
République