À définir.
| Item / Fichier | Occurrence | Contexte | | |
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Le vert pâle et tendre des cannes à sucre nous conviait à l'espoir et à l'espérance ; la beauté, l'immensité du paysage nous faisaient oublier les fatigues de la marche et nous rendaient la route pleine d'agréables surprises. Nous voilà à [...] | | 2 | [...]
Le vert pâle et tendre des cannes à sucre nous conviait à l'espoir et à l'espérance ; la beauté, l'immensité du paysage nous faisaient oublier les fatigues de la marche et nous rendaient la route pleine d'agréables surprises. Nous voilà à [...] | | 2 | [...]
Le vert pâle et tendre des cannes à sucre nous conviait à l'espoir et à l'espérance ; la beauté, l'immensité du paysage nous faisaient oublier les fatigues de la marche et nous rendaient la route pleine d'agréables surprises. Nous voilà à [...] | | |
| 1 | [...]
« Connaissez-vous le pays du cèdre et de la vigne, où sont des fleurs toujours nouvelles, un ciel toujours brillant ; où les ailes légères du zéphyr, au milieu des jardins de [...] | | 2 | [...]
« Connaissez-vous le pays du cèdre et de la vigne, où sont des fleurs toujours nouvelles, un ciel toujours brillant ; où les ailes légères du zéphyr, au milieu des jardins de [...] | | 3 | [...]
« Connaissez-vous le pays du cèdre et de la vigne, où sont des fleurs toujours nouvelles, un ciel toujours brillant ; où les ailes légères du zéphyr, au milieu des jardins de [...] | | 4 | [...]
« Connaissez-vous le pays du cèdre et de la vigne, où sont des fleurs toujours nouvelles, un ciel toujours brillant ; où les ailes légères du zéphyr, au milieu des jardins de [...] | | |
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Pareil au chêne appelé royal pour avoir servi d'asile à un monarque vaincu, le palmier, tente glorieuse d'un peuple vainqueur, a été nommé l'arbre de la liberté ; consécration immortelle du droit le plus [...] | | |
| 1 | [...]
L'air du matin, aussi frais que l'haleine qu'aurait l'aurore si elle était fée, pénétrait dans la pièce.
Devant sa fenêtre, Danielle avait des arbres familiers dont les branches persistaient à entrer dans sa chambre et sur lesquelles les battants, la nuit, se refermaient.
Le soleil [...] | | |
| 1 | [...]
À la vue de Nice, négligemment étendue au fond de sa baie aux eaux bleues, au pied de ses montagnes aux lignes incorrectes mais gracieuses, entourée de ses oliviers, parée et parfumée de ses [...] | | 2 | [...]
À la vue de Nice, négligemment étendue au fond de sa baie aux eaux bleues, au pied de ses montagnes aux lignes incorrectes mais gracieuses, entourée de ses oliviers, parée et parfumée de ses [...] | | |
| 1 | [...]
Il [Djem] resta quelques secondes à l'entrée du jardin sans savoir où il devait passer. Les grands arbres, qui formaient rideau tout près de la porte, y jetaient une ombre où se confondaient pêle-mêle les formes, les couleurs, les contours ; on n'y voyait rien.
Cependant le prince [...] | | |
| 1 | [...]
L'armée traversait alors les splendides plaines de la Campanie, où la végétation, d'un vert sombre à force de sève, rappelle les climats de l'Inde et des Antilles. Les champs de [...] | | 2 | [...]
L'armée traversait alors les splendides plaines de la Campanie, où la végétation, d'un vert sombre à force de sève, rappelle les climats de l'Inde et des Antilles. Les champs de [...] | | |
| 1 | [...]
Nulle autre part sur la terre on ne peut trouver plus beau spectacle. Nulle autre part, en effet, les montagnes, les rivages, les îles, la mer, la lumière et le ciel ne s'harmonient avec plus de grandeur, avec plus de grâce, autour des travaux sortis de la main des hommes.
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| 1 | [...]
La verdure pâle et presque grise de ses oliviers dessinait comme des rosaces au milieu du vert foncé des orangers qui la couvraient et qui marquaient au loin sa lente déclivité jusqu'au rocher de la [...] | | 2 | [...]
La verdure pâle et presque grise de ses oliviers dessinait comme des rosaces au milieu du vert foncé des orangers qui la couvraient et qui marquaient au loin sa lente déclivité jusqu'au rocher de la [...] | | |
| 1 | [...]
Le ciel, sans nuage, légèrement éclairé par le crépuscule, se courbait en dôme sur ce spectacle et faisait l'effet de le contempler et d'y sourire.
Djem était en extase. Cette scène majestueuse lui rappelait Constantinople et les couchers de [...] | | |
| 1 | [...]
Il revint sur ses pas la tête baissé et, passant au pied de la hauteur qui finissait en pointe devant l'église du château, il alla s'asseoir sous deux saules qui se balançaient non loin de là, tout au bord du lac […] Ces deux [...] | | 2 | [...]
Il revint sur ses pas la tête baissé et, passant au pied de la hauteur qui finissait en pointe devant l'église du château, il alla s'asseoir sous deux saules qui se balançaient non loin de là, tout au bord du lac […] Ces deux [...] | | 3 | [...]
Il revint sur ses pas la tête baissé et, passant au pied de la hauteur qui finissait en pointe devant l'église du château, il alla s'asseoir sous deux saules qui se balançaient non loin de là, tout au bord du lac […] Ces deux [...] | | |
| 1 | [...]
On arriva bientôt au fond de la vallée et on alla tourner, sur la droite, une pointe formée par le prolongement d'une haute colline qui coupe en deux parties la petite plaine qui s'y étend au pied des montagnes. Dès qu'on eut tourné cette pointe, on aperçut, à travers les branches [...] | | 2 | [...]
On arriva bientôt au fond de la vallée et on alla tourner, sur la droite, une pointe formée par le prolongement d'une haute colline qui coupe en deux parties la petite plaine qui s'y étend au pied des montagnes. Dès qu'on eut tourné cette pointe, on aperçut, à travers les branches [...] | | |
| 1 | [...]
Ce nouveau voyage à travers les collines et les vallons, en pleine lumière ou dans l'ombre des grands arbres, dont la clarté de la lune découpait les branches sur le sol en mille arabesques, fut un enchantement comme le premier. Les grillons crécelaie [...] | | |
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Ils descendirent un jour du côté d'Interlaken et se promenèrent, la main dans la main, dans cette verdoyante petite plaine, longue et étroite, incomparable de pittoresque, qui s'étend en face des glaciers immenses de la [...] | | |
| 1 | [...] amour, au son de la cloche de l'église, dans le temps qu'il cherchait Emma ; il s'arrêta un instant sous les deux saules qui traînaient toujours dans l'eau leurs branches languissantes, et il lui sembla que ces deux saules, et le rivage, et les plis du lac, et le murmure des vagues, lui faisaient un reproche. Mais, il continua son chemin et arriva à l'endroit où le père d'Emma l'avait prise dans ses bras pour la mett [...] | | 1 | [...] amour, au son de la cloche de l'église, dans le temps qu'il cherchait Emma ; il s'arrêta un instant sous les deux saules qui traînaient toujours dans l'eau leurs branches languissantes, et il lui sembla que ces deux saules, et le rivage, et les plis du lac, et le murmure des vagues, lui faisaient un reproche. Mais, il continua son chemin et arriva à l'endroit où le père d'Emma l'avait prise dans ses bras pour la mett [...] | | |
| 1 | [...]
Il s'assit à l'arrière avec le petit Léon, qui ramait avec lui ; et, en causant gaîment avec ses deux jolies passagères, que cette promenade mettait au septième ciel, il prit plaisir à decendre [sic] lentement le cours paisible de la petite rivière, dont la surface grise était plis [...] | | 1 | [...]
Il s'assit à l'arrière avec le petit Léon, qui ramait avec lui ; et, en causant gaîment avec ses deux jolies passagères, que cette promenade mettait au septième ciel, il prit plaisir à decendre [sic] lentement le cours paisible de la petite rivière, dont la surface grise était plis [...] | | |
| 1 | [...]
À mesure qu'il s'avançait, il voyait les hautes lignes des montagnes s'estomper au fond, en face, à droite, sur la vague transparence du ciel. Il passait devant ces rivages où, souvent, il avait débarqué pour aller cueillir pour Emma la pervenche [...] | | |
| 1 | [...]
Ulrich crut avoir déjà vu cette belle jeune fille, mais il ne pouvait rassembler aucuns souvenirs à cet égard.
Il fixa sur elle un regard si pénétrant qu'elle se troubla et reprit son chemin en rougissant. Elle cueillait des petites fleurs sauvages sur la haie vive ; elle arriva ve [...] | | 2 | [...]
Ulrich crut avoir déjà vu cette belle jeune fille, mais il ne pouvait rassembler aucuns souvenirs à cet égard.
Il fixa sur elle un regard si pénétrant qu'elle se troubla et reprit son chemin en rougissant. Elle cueillait des petites fleurs sauvages sur la haie vive ; elle arriva ve [...] | | |
| 1 | [...]
À quelque distance de là, à un endroit où le lac faisait un coude sous l'ombrage d'une cépée de saules, une femme du village était assise avec une petite fille d'environ douze ans, qui la regardait tricoter. Cette femme, d'une trentaine d'ann [...] | | |
| 1 | [...]
Au lieu d'aller immédiatement vers le lit, Fanny regarda au loin dans l'horizon. Déjà le soleil poudrait d'or les cimes des arbres feuillus, pénétrait dans les bosquets touffus, zébrait de bandes rouges, orangées ou jaunâtres les gazons et prés fleuris qui s'étendaient par les vals [...] | | |
| 1 | [...]
Les mois d'été à Luchon sont charmants. La villa des Aliziers, qu'occupaient madame Caminer et sa fille, dominait le flanc d'un joli coteau qui descendait en pente douce vers la ville.
On y arrivait par un sentier tout bordé de [...] | | 1 | [...]
Les mois d'été à Luchon sont charmants. La villa des Aliziers, qu'occupaient madame Caminer et sa fille, dominait le flanc d'un joli coteau qui descendait en pente douce vers la ville.
On y arrivait par un sentier tout bordé de [...] | | 2 | [...]
Les mois d'été à Luchon sont charmants. La villa des Aliziers, qu'occupaient madame Caminer et sa fille, dominait le flanc d'un joli coteau qui descendait en pente douce vers la ville.
On y arrivait par un sentier tout bordé de [...] | | 3 | [...]
Les mois d'été à Luchon sont charmants. La villa des Aliziers, qu'occupaient madame Caminer et sa fille, dominait le flanc d'un joli coteau qui descendait en pente douce vers la ville.
On y arrivait par un sentier tout bordé de [...] | | 4 | [...]
Les mois d'été à Luchon sont charmants. La villa des Aliziers, qu'occupaient madame Caminer et sa fille, dominait le flanc d'un joli coteau qui descendait en pente douce vers la ville.
On y arrivait par un sentier tout bordé de [...] | | 5 | [...]
Les mois d'été à Luchon sont charmants. La villa des Aliziers, qu'occupaient madame Caminer et sa fille, dominait le flanc d'un joli coteau qui descendait en pente douce vers la ville.
On y arrivait par un sentier tout bordé de [...] | | 6 | [...]
Les mois d'été à Luchon sont charmants. La villa des Aliziers, qu'occupaient madame Caminer et sa fille, dominait le flanc d'un joli coteau qui descendait en pente douce vers la ville.
On y arrivait par un sentier tout bordé de [...] | | |
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Le soleil ne pénétrait à travers les branches basses du peuplier que par des coulées de rayons. L'arbre était énorme de tronc. Des herbes, des mousses, croissant à sa racine, ainsi que les fougères, y [...] | | |
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Les alisiers qui, sur le bord du bassin de Vincennes, fleuraient comme baume, mêlant leurs ramures à celles des églantiers, leur étaient amis, presqu'au même titre q [...] | | |
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En quittant Paris, elle était venue mourir au monde sur cette plage bretonne. Les plantes des pays chauds, la végétation luxuriante qui l'entouraient, l'avaient réconciliée avec la vie. Nulle part plus qu'aux environs de C [...] | | |
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Encore que Concarneau soit située presqu'au point de séparation du climat séquanien et du climat girondin ; que les lauriers, les grenadiers, les [...] | | 2 | [...]
Encore que Concarneau soit située presqu'au point de séparation du climat séquanien et du climat girondin ; que les lauriers, les grenadiers, les [...] | | |
| 1 | [...]
Le soleil se lève sur Bonneuil ; le mois de Mai qui parfume la nature met des bourgeons aux branches, des pinsons dans les haies.
Du perron où ce dialogue vient d'avoir lieu, Gazy voit la Marne onduler à travers les [...] | | 2 | [...]
Le soleil se lève sur Bonneuil ; le mois de Mai qui parfume la nature met des bourgeons aux branches, des pinsons dans les haies.
Du perron où ce dialogue vient d'avoir lieu, Gazy voit la Marne onduler à travers les [...] | | |
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Il fredonne les Cerises, cette chanson de Clément si pimpante d'allure, si vaillante en sa grâce décousue mais cavalière, si débordante de jeunesse et de passion, tout en suivant l'allée des tilleuls au bout de laquelle il sait que sa bien-ai [...] | | |
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Depuis un mois qu'ils habitaient le pays ils n'avaient joui d'un aussi beau temps. Comme la pluie était tombée la veille, des clochetons des premiers liserons scintillaient des gouttelettes aux prismatiques couleurs ; les calices des [...] | | |
| 1 | [...]
Dès le jeune matin, ils s'enfonçaient sous bois, se poursuivaient à travers les champs, flânaient sous les allées et battaient en tout sens les remises qui auraient pu servir de viandis. Ils dépouillaient sans vergogne les buissons en fleur, franchissaient les haies vives ; l' [...] | | 2 | [...]
Dès le jeune matin, ils s'enfonçaient sous bois, se poursuivaient à travers les champs, flânaient sous les allées et battaient en tout sens les remises qui auraient pu servir de viandis. Ils dépouillaient sans vergogne les buissons en fleur, franchissaient les haies vives ; l' [...] | | 3 | [...]
Dès le jeune matin, ils s'enfonçaient sous bois, se poursuivaient à travers les champs, flânaient sous les allées et battaient en tout sens les remises qui auraient pu servir de viandis. Ils dépouillaient sans vergogne les buissons en fleur, franchissaient les haies vives ; l' [...] | | 4 | [...]
Dès le jeune matin, ils s'enfonçaient sous bois, se poursuivaient à travers les champs, flânaient sous les allées et battaient en tout sens les remises qui auraient pu servir de viandis. Ils dépouillaient sans vergogne les buissons en fleur, franchissaient les haies vives ; l' [...] | | 5 | [...]
Dès le jeune matin, ils s'enfonçaient sous bois, se poursuivaient à travers les champs, flânaient sous les allées et battaient en tout sens les remises qui auraient pu servir de viandis. Ils dépouillaient sans vergogne les buissons en fleur, franchissaient les haies vives ; l' [...] | | |
| 1 | [...]
Mais le midi, on dressait leur table et ils déjeunaient sous une tonnelle tapissée de lierres, ombragée de poiriers, de pêchers, de [...] | | 1 | [...]
Mais le midi, on dressait leur table et ils déjeunaient sous une tonnelle tapissée de lierres, ombragée de poiriers, de pêchers, de [...] | | 1 | [...]
Mais le midi, on dressait leur table et ils déjeunaient sous une tonnelle tapissée de lierres, ombragée de poiriers, de pêchers, de [...] | | 1 | [...]
Mais le midi, on dressait leur table et ils déjeunaient sous une tonnelle tapissée de lierres, ombragée de poiriers, de pêchers, de [...] |
