À définir.
Item / Fichier | Occurrence | Contexte | |
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Insensiblement le vent avait fraîchi. Il était devenu aigre, froid, effeuillait la masse des sabliers qui semblaient, eux, assister, stoïques et calmes, à leur dépouillement. Le vent était devenu si froid que Lambert qui traversait prestemen [...] | |
| 1 | [...]
Lourdot avait passé la main sur les épaules étroites d'Aristobal. Ils avaient été s'accouder [sic] à la balustrade qui donne sur la Place Pétion où le soleil, à ce moment là, ne badinait pas avec les pétions et les statuettes de l'autel de la [...] | |
| 1 | [...]
Devant l'hôtel, en effet, on voit encore une allée d'immenses palmiers aux stipes gigantesques, dont deux en face et près du balcon ; ces arbres géants, étant toujours en fleurs et en fruits, les abeilles vienn [...] | |
| 1 | [...]
Accoutumés ainsi, Madame Ribot et moi, à ces amusements champêtres, nous poussions de plus en plus loin nos excursions : par un dimanche ensoleillé du mois d'août, nous étions en partie de plaisir à Moret, habitation limitrophe, à l'est de Méotte, [...] | | 2 | [...]
Accoutumés ainsi, Madame Ribot et moi, à ces amusements champêtres, nous poussions de plus en plus loin nos excursions : par un dimanche ensoleillé du mois d'août, nous étions en partie de plaisir à Moret, habitation limitrophe, à l'est de Méotte, [...] | |
| 1 | [...]
Notre partie de plaisir eut lieu : nous avons quitté Pétionville à l'aube du matin, précédés d'un guide. Nos chevaux gravirent avec entrain les premières collines, à travers les sentiers et les routes bordées de [...] | | 2 | [...]
Notre partie de plaisir eut lieu : nous avons quitté Pétionville à l'aube du matin, précédés d'un guide. Nos chevaux gravirent avec entrain les premières collines, à travers les sentiers et les routes bordées de [...] | | 3 | [...]
Notre partie de plaisir eut lieu : nous avons quitté Pétionville à l'aube du matin, précédés d'un guide. Nos chevaux gravirent avec entrain les premières collines, à travers les sentiers et les routes bordées de [...] | |
| 2 | [...]
Après une station d'une demi-heure, nous avons repris la marche vers Furcy. Ici, dans la forêt des pins, le contraste est frappant ; le dernier morne de Kenscoff franchi, la na [...] | | 2 | [...]
Après une station d'une demi-heure, nous avons repris la marche vers Furcy. Ici, dans la forêt des pins, le contraste est frappant ; le dernier morne de Kenscoff franchi, la na [...] | |
| 1 | [...]
À l'horizon, au-dessus des hautes cimes, le soleil s'était levé radieux ; il dorait par ses rayons obliques et flamboyants, les collines couvertes d'herbes blondes, clairsemées de grands manguiers d'un vert foncé, de [...] | | 2 | [...]
À l'horizon, au-dessus des hautes cimes, le soleil s'était levé radieux ; il dorait par ses rayons obliques et flamboyants, les collines couvertes d'herbes blondes, clairsemées de grands manguiers d'un vert foncé, de [...] | |
| 1 | [...]
Le navire s'était mis en marche à six heures du matin par un beau temps, un soleil radieux, argentant les eaux du détroit de l'Île-à-Vaches. La mer était d'un calme parfait et j'ai pu dévorer des yeux le brillant panorama qui s'étendait devan [...] | | 2 | [...]
Le navire s'était mis en marche à six heures du matin par un beau temps, un soleil radieux, argentant les eaux du détroit de l'Île-à-Vaches. La mer était d'un calme parfait et j'ai pu dévorer des yeux le brillant panorama qui s'étendait devan [...] | |
| 1 | [...]
De la baie des Flammands à la rade d'Aquin, le rivage est semé d'îlots verdoyants, bordés de palétuviers sur lesquels s'attachent et vivent des [...] | |
| 1 | [...]
Lorsque j'avais visité la ville d'Aquin, il y a huit ans, j'en suis parti avec un triste souvenir ; je n'y avais vu que des ruines, une bourgade non bâtie, ayant quelques grandes maisons tombées en vétusté, des rues larges, des terrains abandonnés, [...] | | 2 | [...]
Lorsque j'avais visité la ville d'Aquin, il y a huit ans, j'en suis parti avec un triste souvenir ; je n'y avais vu que des ruines, une bourgade non bâtie, ayant quelques grandes maisons tombées en vétusté, des rues larges, des terrains abandonnés, [...] | |
| 1 | [...]
J'aimais et j'adorais ce coin de terre d'une luxuriante végétation, placé comme une terrasse au bord de la rivière, répondant à l'idée pratique de ma tante, Mme Legrand, l'utile et l'agréable. Le plateau était couvert d'arbres fruitiers, de [...] | | 2 | [...]
J'aimais et j'adorais ce coin de terre d'une luxuriante végétation, placé comme une terrasse au bord de la rivière, répondant à l'idée pratique de ma tante, Mme Legrand, l'utile et l'agréable. Le plateau était couvert d'arbres fruitiers, de [...] | |
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Un silence se faisait peu à peu sur la lassitude qui semblait monter des rues de Port-au-Prince ; en même temps arrivait la brise dans une discrétion de caresse éparpillée à toute la ville, et qui courbait en un rythme tranquille les longue [...] | |
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Elle [Loulou] jeta les yeux sur le Champ de Mars où s'immobilisaient sous le soleil les sabliers dont les feuilles étaient toutes blanches de poussière. Quelques rares passants se hâtaient, et leurs sil [...] | |
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Il [Jacques] enfila sans raison la ruelle de l'Exposition, et bientôt atteignit la limite extrême de ces quartiers qui s'achèvent en terrains désolés, où grandit une végétation de halliers annonçant la campagne prochaine.
Des feux d [...] | |
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Madame Mairet se promenait toujours. L'ombre se développait de plus en plus au Champs de Mars et paraissait plus épaisse sur les sabliers qui faisaient des îlots plus noirs s'estompant s [...] | |
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Quand elle eut quitté la voiture, Loulou regarda à droite et à gauche cherchant des yeux Paul sur la route poussiéreuse, bordées de haies vives pardessus lesquelles on voyait les jardins où s'élevaient de grands arbres fruitiers. Les rayons du soleil devenaient moins brûlants ; l [...] | |
| 1 | [...]
Il [Paul] lui [à Loulou] prit la main, la conduisit dans la maison solitaire sous l'enchevêtrement des manguiers, des cocotiers et des arbres à pain.
[...] | | 3 | [...]
Il [Paul] lui [à Loulou] prit la main, la conduisit dans la maison solitaire sous l'enchevêtrement des manguiers, des cocotiers et des arbres à pain.
[...] | | 3 | [...]
Il [Paul] lui [à Loulou] prit la main, la conduisit dans la maison solitaire sous l'enchevêtrement des manguiers, des cocotiers et des arbres à pain.
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| 1 | [...]
On entendit le murmure de la rivière et par instants le cri inconnu d'un oiseau perdu dans le feuillage vert et rouge d'un amandier. Là-bas étincelait l'immensité bleue de la mer.
[...] | |
| 1 | [...]
Sur une terre fortunée, au sein d'une nature séduisante et prodigue de ses dons les plus précieux, vivait ou plutôt végétait rampante et humiliée, vers la fin du dernier siècle, une jeune famille, violemment séquestrée de l'humanité.
Elle h [...] | |
| 1 | [...]
Des savanes poétiques, de délicieuses vallées, des mornes pittoresques, des forêts vierges, des rivières aux capricieux détours, aux ondes fraîches et pures, ombragées de bambous, ajoutent à ces sauvages grandeurs.
Venez contempler le ciel e [...] | |
| 1 | [...]
Voyez le citronnier si vert, si frais, si embaumé, qu'il semble être né d'un sourire voluptueux de la nature.
Remarquez ces bosquets d'orangers que l'homme n'a pas plantés, et qui, réalisant tout ce que [...] | | 2 | [...]
Voyez le citronnier si vert, si frais, si embaumé, qu'il semble être né d'un sourire voluptueux de la nature.
Remarquez ces bosquets d'orangers que l'homme n'a pas plantés, et qui, réalisant tout ce que [...] | | 3 | [...]
Voyez le citronnier si vert, si frais, si embaumé, qu'il semble être né d'un sourire voluptueux de la nature.
Remarquez ces bosquets d'orangers que l'homme n'a pas plantés, et qui, réalisant tout ce que [...] | |
| 1 | [...]
La jeune fille avait coutume d'errer le soir avec ses fidèles compagnons au bord de la rivière, plantée de bambous dont les gracieuses et gigantesques palmes mêlaient en se courbant des notes étranges aux plaintes de la brise.
Ces promenades [...] | |
| 1 | [...]
La retraite était charmante. Spacieuse, aérée, voûtée comme de main d'homme, cette excavation souterraine réunissait pour Stella, ennemie de la gêne et de l'obscurité, toutes les conditions d'une habitation saine et agréable. Une source d'eau vive y répandait la fraîcheur et le b [...] | |
| 1 | [...]
Pareil au chêne appelé royal pour avoir servi d'asile à un monarque vaincu, le palmier, tente glorieuse d'un peuple vainqueur, a été nommé l'arbre de la liberté ; consécration immortelle du droit le pl [...] | |
| 1 | [...]
D'un geste impérieux, cet homme lui commanda de le suivre. Ils quittèrent le chemin frayé et s'enfoncèrent dans l'épaisseur du bois, jusqu'à une sorte de clairière formée par la chute d'un acajou séculaire qui, en tombant, avait brisé plusie [...] | |
| 1 | [...]
D'un geste impérieux, cet homme lui commanda de le suivre. Ils quittèrent le chemin frayé et s'enfoncèrent dans l'épaisseur du bois, jusqu'à une sorte de clairière formée par la chute d'un acajou séculaire qui, en tombant, avait brisé plusie [...] | |
| 1 | [...]
Il n'est pas encore nuit ; le soleil a disparu à peine derrière les hautes montagnes qui bordent l'horizon : un grondement prolongé, le tonnerre lointain d'une salve d'artillerie se fait entendre : c'est la ville qui annonce la solennité du lendemain. Stella n'ayant plus que la n [...] | |
| 1 | [...]
Il y a des pays où l'année se fait vieille d'abord pour ensuite devenir jeune et mûrir. Ici, au contraire, elle commence par être jeune pour mûrir et ne jamais vieillir. La route que suivait Stella était bordée de [...] | |
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Le palmier de la montagne l'ombrageait [l'autel de la patrie]. C'était à la fois un ornement et un symbole.
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Possession française jadis, l'île est indépendante aujourd'hui et rien ne marque plus dans les campagnes où la liane souple s'enlace aux troncs des manguiers séculaires, la [...] | |
| 1 | [...]
L'air du matin, aussi frais que l'haleine qu'aurait l'aurore si elle était fée, pénétrait dans la pièce.
Devant sa fenêtre, Danielle avait des arbres familiers dont les branches persistaient à entrer dans sa chambre et sur lesquelles les battants, la nuit, se refermaient.
Le sole [...] | |
| 1 | [...]
Ils étaient arrivés, non loin de la rivière sur un versant planté de nombreux palmistes.
Ils pénétrèrent, sans s'en apercevoir, sous leur voûte sombre, pareille au dôme d'une cathédrale dont les colonnes seraient les troncs avoisinants.
Il [ [...] | | 2 | [...]
Ils étaient arrivés, non loin de la rivière sur un versant planté de nombreux palmistes.
Ils pénétrèrent, sans s'en apercevoir, sous leur voûte sombre, pareille au dôme d'une cathédrale dont les colonnes seraient les troncs avoisinants.
Il [ [...] | |
| 1 | [...]
Le lendemain matin, Danielle, en ouvrant sa fenêtre, toujours en compagnie de la bonne Agathe, était triste. Elle gardait encore toute fraîche mais poétisée par le décor étrange de la nuit d'étoiles, l'impression des paroles emportées d'Henry au travers desquelles avait circulé c [...] | |
| 1 | [...]
Elle s'installa sous un manguier isolé, à quelques pas du champ de cannes, et disposa sur un lit de feuilles sèches, au pied de l'arbre, un ouvrage de tapisserie ; cela, c'était pour le moment d'ennui [...] | |
| 1 | [...]
Des cotonniers en longue file s'y couvrent de la neige de leur laine pointillée de grains noirs, et le vent en arrache par moments des lambeaux qui volent comme une aérienne toison blanche.
Par moment, Danielle s'absorbe en une contemplation [...] | | 1 | [...]
Des cotonniers en longue file s'y couvrent de la neige de leur laine pointillée de grains noirs, et le vent en arrache par moments des lambeaux qui volent comme une aérienne toison blanche.
Par moment, Danielle s'absorbe en une contemplation [...] | |
| 1 | [...]
Sor Rose quelque fois élève la voix et elle explique que l'arbre aqueux a des plaintes langoureuses, des gémissements la nuit, quand il porte son fruit ; rien n'est plus saisissant, dit-elle, que la symphonie étrange qui se lève d'un champ d [...] | | 2 | [...]
Sor Rose quelque fois élève la voix et elle explique que l'arbre aqueux a des plaintes langoureuses, des gémissements la nuit, quand il porte son fruit ; rien n'est plus saisissant, dit-elle, que la symphonie étrange qui se lève d'un champ d [...] | |
| 1 | [...]
Mais ce qui fait le charme de cette retraite, c'est un palmier qui sert d'auberge à un millier d'oiseaux auxquels on donne le nom d'oiseaux palmistes, à cause de leur pré [...] | | 3 | [...]
Mais ce qui fait le charme de cette retraite, c'est un palmier qui sert d'auberge à un millier d'oiseaux auxquels on donne le nom d'oiseaux palmistes, à cause de leur pré [...] | |
| 1 | [...]
Des fragrances de frangipane flottaient dans les petites bouffées de la brise. Et sur les feuilles, au fond des clairières, à la pente des talus, aux creux des ravins, au ras du sol des lucioles erraient comme [...] | |
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Le ciel, sans nuage, légèrement éclairé par le crépuscule, se courbait en dôme sur ce spectacle et faisait l'effet de le contempler et d'y sourire.
Djem était en extase. Cette scène majestueuse lui rappelait Constantinople et les couchers d [...] | |
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Ils descendirent un jour du côté d'Interlaken et se promenèrent, la main dans la main, dans cette verdoyante petite plaine, longue et étroite, incomparable de pittoresque, qui s'étend en face des glaciers immenses de la [...] | |
| 1 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | | 2 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | | 3 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | | 4 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | | 5 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | | 6 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | | 7 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | | 8 | [...]
À l'ouest, par un petit balcon, on avait vue sur un coin de mer toujours trop calme et sur les villas des environs – avec pour décor de fond, à gauche, la montagne bleue.
En bas, du salon, dont les huit portes communiquaient avec une grande galerie dallée rose et blanc, on domina [...] | |
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De la montagne violacée, le crépuscule commençait à se répandre sur les environs ; au couchant, des nuages rutilaient telles des plaques d'or, sous l'irradiation du feu de forge du soleil s'engouffrant derrière le Lamantin…
De l'autre côté du jardin aux fleurs, là-bas, sous l'un [...] | |
| 1 | [...]
Au-dehors, le formidable soleil brûlait la terre et faisait rutiler le feuillage des manguiers qui se renouvelaient ; les palmistes impassibles semblaient dormir debout, la chevelure lentement agitée pa [...] | | 1 | [...]
Au-dehors, le formidable soleil brûlait la terre et faisait rutiler le feuillage des manguiers qui se renouvelaient ; les palmistes impassibles semblaient dormir debout, la chevelure lentement agitée pa [...] | |
| 1 | [...]
Le son du piano répercutait gaîment, sans s'arrêter, dans la nuit douce, molle et claire. Les arbres du jardin frémissaient dans l'éclat diaphane de la lune, et les feuilles des cocotiers et des bananiers [...] | | 2 | [...]
Le son du piano répercutait gaîment, sans s'arrêter, dans la nuit douce, molle et claire. Les arbres du jardin frémissaient dans l'éclat diaphane de la lune, et les feuilles des cocotiers et des bananiers [...] | |
| 1 | [...]
Julie manifesta le désir de dormir à la belle étoile. […] Tout le monde était couché. On entendait dans les environs le trémolo des cigales et les cris stridents des criquets. La brise chantonnant dans les [...] | | 2 | [...]
Julie manifesta le désir de dormir à la belle étoile. […] Tout le monde était couché. On entendait dans les environs le trémolo des cigales et les cris stridents des criquets. La brise chantonnant dans les [...] | | 3 | [...]
Julie manifesta le désir de dormir à la belle étoile. […] Tout le monde était couché. On entendait dans les environs le trémolo des cigales et les cris stridents des criquets. La brise chantonnant dans les [...] | |
| 1 | [...]
La route commençait à changer d'aspect. Elle était coupée de ravins peu profonds, de collines mamelonnées à pente douce ou escarpée. Une lune blafarde permettait de deviner la beauté des paysages environnants.
Quelle féerie tout cela doit produire sous les baisers du soleil naiss [...] | |
| 1 | [...]
Ce petit plateau est bord[é] dans son circuit d'une végétation luxuriante. De quelque côté qu'on tourne les yeux on se trouve en présence de paysages neufs, d'arbres toujours verts, nourris d'une sève abondante, et n'ayant jamais connu les rigueurs de la sécheresse[.] Du fouillis [...] | | 2 | [...]
Ce petit plateau est bord[é] dans son circuit d'une végétation luxuriante. De quelque côté qu'on tourne les yeux on se trouve en présence de paysages neufs, d'arbres toujours verts, nourris d'une sève abondante, et n'ayant jamais connu les rigueurs de la sécheresse[.] Du fouillis [...] | |
| 1 | [...]
Les palmistes sacrés sont, comme la Grotte de Lourdes, l'objet d'un culte profond de la part des pèlerins.
Ils sont disposés par groupes dans un bas fond que domine la petite église rustique présent [...] | | 2 | [...]
Les palmistes sacrés sont, comme la Grotte de Lourdes, l'objet d'un culte profond de la part des pèlerins.
Ils sont disposés par groupes dans un bas fond que domine la petite église rustique présent [...] | |
| 1 | [...]
Les deux cavaliers [Albert et Léon] étaient partis avant l'aube, ils avaient passé par un sentier tortueux, gravi une petite colline assez élevée vers le sommet. Arrivés sur les hauteurs, ils tirent [sic] glissés par les fortes senteurs d'une abondante végétation. Des jardins pla [...] | | 2 | [...]
Les deux cavaliers [Albert et Léon] étaient partis avant l'aube, ils avaient passé par un sentier tortueux, gravi une petite colline assez élevée vers le sommet. Arrivés sur les hauteurs, ils tirent [sic] glissés par les fortes senteurs d'une abondante végétation. Des jardins pla [...] | |
| 1 | [...]
D'énormes troncs qu'étreignent les serres maudites de figuiers cannibales vous y rappellent les minutes tragiques du sacrificateur de Neptune[,] enlacé, lui et ses fils[,] dans les « orbes immenses » des deux dragons de Ténédos. Des branches [...] | |
| 1 | [...]
Le soir, si elle marchait au bras d'Édriss, ou le tenant par la taille, elle s'appuyait contre lui comme la liane s'appuie au palmier, avec une langueur dont l'autre était charmé. Il la couvait de ses [...] | |
| 1 | [...]
Aussi loin que le regard peut s'étendre, il baigne dans les flots de la rouge lumière.
Le soleil, comme un vaisseau qui brûle et s'abîme, plonge avec lenteur et majesté, au milieu des flots du Golfe mexicain. Le ciel déjà bleu semble bleuir [...] | | 2 | [...]
Aussi loin que le regard peut s'étendre, il baigne dans les flots de la rouge lumière.
Le soleil, comme un vaisseau qui brûle et s'abîme, plonge avec lenteur et majesté, au milieu des flots du Golfe mexicain. Le ciel déjà bleu semble bleuir [...] | | 3 | [...]
Aussi loin que le regard peut s'étendre, il baigne dans les flots de la rouge lumière.
Le soleil, comme un vaisseau qui brûle et s'abîme, plonge avec lenteur et majesté, au milieu des flots du Golfe mexicain. Le ciel déjà bleu semble bleuir [...] | | 4 | [...]
Aussi loin que le regard peut s'étendre, il baigne dans les flots de la rouge lumière.
Le soleil, comme un vaisseau qui brûle et s'abîme, plonge avec lenteur et majesté, au milieu des flots du Golfe mexicain. Le ciel déjà bleu semble bleuir [...] | | 5 | [...]
Aussi loin que le regard peut s'étendre, il baigne dans les flots de la rouge lumière.
Le soleil, comme un vaisseau qui brûle et s'abîme, plonge avec lenteur et majesté, au milieu des flots du Golfe mexicain. Le ciel déjà bleu semble bleuir [...] | | 6 | [...]
Aussi loin que le regard peut s'étendre, il baigne dans les flots de la rouge lumière.
Le soleil, comme un vaisseau qui brûle et s'abîme, plonge avec lenteur et majesté, au milieu des flots du Golfe mexicain. Le ciel déjà bleu semble bleuir [...] | |
| 1 | [...]
La lune brillait de tout son éclat. Elle était en ce moment au zénith, plongeant sur les moindres détails. La chambrette de Marilisse faisait face au petit réduit où allait prestement M. Caséus. Deux ou trois cocotiers, dans les palmes desqu [...] | |
| 1 | [...]
Elle vit les cocotiers placides, faiblement agités dans l'air lumineux. Et appuyée au pied de l'un d'eux, tout au long, elle vit l'échelle, la fatidique échelle… L'idée immédiatement se précisa : il fallait fuir, fuir sans attendre le jour…
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| 1 | [...]
Durant que le vieux Thermo, son homme [de Cessé], un des bons voiliers de la ville, découpait, rassemblait, cousait, des focs et des brigantines, à l'ombre de la petite tonnelle de marigouya et de liane [...] | |
| 1 | [...]
Trois hommes se détachèrent. En face du magasin, d'un lot de madriers de pitchpin à l'ombre desquels ils étaient étendus.
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| 1 | [...]
Quand on a franchi le pont qui traverse la rivière au chemin des Dalles, la route monte devant soi en lacets pittoresques et ombragés… On vient de suivre des deux côtés une série de villas luxueuses, enfouies dans la verdure, et l'œil continue à di [...] | | 2 | [...]
Quand on a franchi le pont qui traverse la rivière au chemin des Dalles, la route monte devant soi en lacets pittoresques et ombragés… On vient de suivre des deux côtés une série de villas luxueuses, enfouies dans la verdure, et l'œil continue à di [...] | |
| 1 | [...]
À Haïti, les tourments semblables à celle qui avait assailli Zézé sont soudaines, brusques. Elles arrivent au moment où l'on s'y attend le moins. On galope sur la route, en promenade, sous un ciel fixe, immuablement bleu. Le temps de faire quelques pas [...] | |
| 1 | [...]
Vraiment, si la maison est modeste, le petit domaine est d'une superbe végétation. Dès l'entrée, des deux côtés de l'allée qui conduit au perron, de très beaux palmistes de plus de quinze mètres de hauteur, droits comme des soldats à l'align [...] | | 2 | [...]
Vraiment, si la maison est modeste, le petit domaine est d'une superbe végétation. Dès l'entrée, des deux côtés de l'allée qui conduit au perron, de très beaux palmistes de plus de quinze mètres de hauteur, droits comme des soldats à l'align [...] | | 1 | [...]
Vraiment, si la maison est modeste, le petit domaine est d'une superbe végétation. Dès l'entrée, des deux côtés de l'allée qui conduit au perron, de très beaux palmistes de plus de quinze mètres de hauteur, droits comme des soldats à l'align [...] | |
| 1 | [...]
Des deux côtés de la maisonnette, des groupes de bananiers, aux longues feuilles lisses, aux troncs inclinés sous la lourdeur des régimes, sont soutenus par des fourches solidement plantées en terre. Dans le demi-épanouissement de la conque [...] | | 3 | [...]
Des deux côtés de la maisonnette, des groupes de bananiers, aux longues feuilles lisses, aux troncs inclinés sous la lourdeur des régimes, sont soutenus par des fourches solidement plantées en terre. Dans le demi-épanouissement de la conque [...] | |
| 1 | [...]
Mais la parure de la villa, c'est l'allée de manguiers qui s'étend par derrière jusqu'à la rivière. Ces arbres magnifiques forment une voûte de verdure sous laquelle ni goutte de pluie, ni rayon de soleil ne peut pénétrer. Leurs branches, ch [...] | |
| 1 | [...]
Pourtant, qu'il est pittoresque, le chemin de ce cimetière dans un convoi d'après-midi ! Le vent du soir traverse les profondeurs vertes des manguiers en fleurs, des tamarins au léger feuillage jaune, d [...] | | 2 | [...]
Pourtant, qu'il est pittoresque, le chemin de ce cimetière dans un convoi d'après-midi ! Le vent du soir traverse les profondeurs vertes des manguiers en fleurs, des tamarins au léger feuillage jaune, d [...] | |
| 1 | [...]
Le jeune homme traverse le salon-bibliothèque, la salle à manger et, de suite, il aperçoit le professeur assis sous le papayer au feuillage clair, aux grappes de fruits verts, pressés le long du tronc bien droit. Ils commencent à jaunir légè [...] | |
| 1 | [...]
Ils [Télémaque et un étranger] sortirent dans la cour pour s'arrêter à l'ombre du grand sablier dont les feuilles tombées faisaient sous leurs pieds un tapis léger et bruyant. Une conversation animée s'engagea entre eux et plusieurs fois, da [...] | |
| 1 | [...]
La cavalcade avait quitté La Coupe depuis plus de deux heures et gravissait les pentes roides qui conduisent à Kenscoff. Le sabot des alertes petits chevaux du pays résonnait clair [...] | | 2 | [...]
La cavalcade avait quitté La Coupe depuis plus de deux heures et gravissait les pentes roides qui conduisent à Kenscoff. Le sabot des alertes petits chevaux du pays résonnait clair [...] | | 3 | [...]
La cavalcade avait quitté La Coupe depuis plus de deux heures et gravissait les pentes roides qui conduisent à Kenscoff. Le sabot des alertes petits chevaux du pays résonnait clair [...] | | 4 | [...]
La cavalcade avait quitté La Coupe depuis plus de deux heures et gravissait les pentes roides qui conduisent à Kenscoff. Le sabot des alertes petits chevaux du pays résonnait clair [...] | | 5 | [...]
La cavalcade avait quitté La Coupe depuis plus de deux heures et gravissait les pentes roides qui conduisent à Kenscoff. Le sabot des alertes petits chevaux du pays résonnait clair [...] | |
| 1 | [...]
Bien que Furcy soit sur une montagne que d'autres montagnes environnent, l'ascension n'y est pas trop fatigante. C'est à peu de distance de Kenscoff que se trouve la splendide forêt de [...] | |
| 1 | [...]
Du plateau de Furcy, élevé de dix-huit cents mètres au-dessus du niveau de la mer, la vue s'étend de tous côtés sur un incomparable panorama. La Coupe est aux pieds du village, perchée au sommet d'une montagne à l'e [...] | |
| 1 | [...]
Dans la maisonnette du fort Saint-Clair rien de ce qui se passait en ville n'arrivait. Aucun bruit ne troublait la solitude profonde qui y régnait aux heures chaudes du jour quand les moustiques, endormis da [...] | | 2 | [...]
Dans la maisonnette du fort Saint-Clair rien de ce qui se passait en ville n'arrivait. Aucun bruit ne troublait la solitude profonde qui y régnait aux heures chaudes du jour quand les moustiques, endormis da [...] | |
| 1 | [...]
Un calme profond, à peine coupé du clairon d'un coq réveillé par le pas des chevaux sur la route, enveloppait la terre endormie dans son repos laborieux. Des deux côtés, à l'abri de leurs clôtures de pieux entrelacés, [...] | | 2 | [...]
Un calme profond, à peine coupé du clairon d'un coq réveillé par le pas des chevaux sur la route, enveloppait la terre endormie dans son repos laborieux. Des deux côtés, à l'abri de leurs clôtures de pieux entrelacés, [...] | | 3 | [...]
Un calme profond, à peine coupé du clairon d'un coq réveillé par le pas des chevaux sur la route, enveloppait la terre endormie dans son repos laborieux. Des deux côtés, à l'abri de leurs clôtures de pieux entrelacés, [...] | |
| 1 | [...]
On sortait des zones en friche. Le jour était tout à fait venu. Le chemin se déroulait maintenant entre les haies basses de campêches, entre les pieux entrecroisés des clôtures. Dans le lointain, la paille grise des toits de chaume marquait [...] | |
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De la sorte de rond-point, planté de bouquets de chênes, aux légères fleurs blanches et menues, au centre duquel était bâtie la maison, plusieurs allées partaient. Elles étaient ombragées assez bien par des ba [...] | | 2 | [...]
De la sorte de rond-point, planté de bouquets de chênes, aux légères fleurs blanches et menues, au centre duquel était bâtie la maison, plusieurs allées partaient. Elles étaient ombragées assez bien par des ba [...] | | 3 | [...]
De la sorte de rond-point, planté de bouquets de chênes, aux légères fleurs blanches et menues, au centre duquel était bâtie la maison, plusieurs allées partaient. Elles étaient ombragées assez bien par des ba [...] | | 4 | [...]
De la sorte de rond-point, planté de bouquets de chênes, aux légères fleurs blanches et menues, au centre duquel était bâtie la maison, plusieurs allées partaient. Elles étaient ombragées assez bien par des ba [...] | | 5 | [...]
De la sorte de rond-point, planté de bouquets de chênes, aux légères fleurs blanches et menues, au centre duquel était bâtie la maison, plusieurs allées partaient. Elles étaient ombragées assez bien par des ba [...] | | 6 | [...]
De la sorte de rond-point, planté de bouquets de chênes, aux légères fleurs blanches et menues, au centre duquel était bâtie la maison, plusieurs allées partaient. Elles étaient ombragées assez bien par des ba [...] | | 7 | [...]
De la sorte de rond-point, planté de bouquets de chênes, aux légères fleurs blanches et menues, au centre duquel était bâtie la maison, plusieurs allées partaient. Elles étaient ombragées assez bien par des ba [...] | |
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il [M. Josilus] jeta un dernier, un enveloppant regard autour de lui. Il embrassa de toute sa tendresse, de toute sa passion les tiges frissonnantes de ses cannes, déjà presque immobiles dans le crépuscule commençant… Au loin, à l'opposé, [...] | |
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Soudain, elle [Zulma] sembla chercher, s'orienter. Elle leva les yeux, regarda, contempla un grand mapou dénudé qui ouvrait ses bras sur l'horizon comme des fourches patibulaires. Elle le dépassa, courut quelques pas, et franchit, en tirant [...] | | 2 | [...]
Soudain, elle [Zulma] sembla chercher, s'orienter. Elle leva les yeux, regarda, contempla un grand mapou dénudé qui ouvrait ses bras sur l'horizon comme des fourches patibulaires. Elle le dépassa, courut quelques pas, et franchit, en tirant [...] | | 3 | [...]
Soudain, elle [Zulma] sembla chercher, s'orienter. Elle leva les yeux, regarda, contempla un grand mapou dénudé qui ouvrait ses bras sur l'horizon comme des fourches patibulaires. Elle le dépassa, courut quelques pas, et franchit, en tirant [...] |