À définir.
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Notre partie de plaisir eut lieu : nous avons quitté Pétionville à l'aube du matin, précédés d'un guide. Nos chevaux gravirent avec entrain les premières collines, à travers les sentiers et les routes bordées de [...] | | 2 | [...]
Notre partie de plaisir eut lieu : nous avons quitté Pétionville à l'aube du matin, précédés d'un guide. Nos chevaux gravirent avec entrain les premières collines, à travers les sentiers et les routes bordées de [...] | | 3 | [...]
Notre partie de plaisir eut lieu : nous avons quitté Pétionville à l'aube du matin, précédés d'un guide. Nos chevaux gravirent avec entrain les premières collines, à travers les sentiers et les routes bordées de [...] | | |
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Le vert pâle et tendre des cannes à sucre nous conviait à l'espoir et à l'espérance ; la beauté, l'immensité du paysage nous faisaient oublier les fatigues de la marche et nous rendaient la route pleine d'agréables surprises. Nous voilà à [...] | | |
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Après une station d'une demi-heure, nous avons repris la marche vers Furcy. Ici, dans la forêt des pins, le contraste est frappant ; le dernier morne de Kenscoff franchi, la natur [...] | | |
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Le navire s'était mis en marche à six heures du matin par un beau temps, un soleil radieux, argentant les eaux du détroit de l'Île-à-Vaches. La mer était d'un calme parfait et j'ai pu dévorer des yeux le brillant panorama qui s'étendait devant m [...] | | |
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Ici la végétation, étonnante de vigueur et de précocité, éternellement luxuriante, est mille fois plus prodigieuse, après qu'un ouragan – phénomène grandiose et terrible des tropiques – a brisé les arbres, déraciné les roc [...] | | |
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Il y avait dans l'enceinte du camp un cactus chargé de fruits mûrs dont le plus en apparence était piqué. Elle le cueillit, le brisa et, montrant aux deux frères un ver encore vivant dans le sein de ce fruit rav [...] | | |
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Possession française jadis, l'île est indépendante aujourd'hui et rien ne marque plus dans les campagnes où la liane souple s'enlace aux troncs des manguiers séculaires, la pl [...] | | |
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Elle [Daniell] regardait devant elle, el le paysage incessamment changeant de l'[é]den tropical se déroulait, nuancé délicatement aux futs des cannes à sucre. À quelque distance, se dressait [u]n bouque [...] | | |
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Elle s'installa sous un manguier isolé, à quelques pas du champ de cannes, et disposa sur un lit de feuilles sèches, au pied de l'arbre, un ouvrage de tapisserie ; cela, c'était pour le moment d'ennui qu [...] | | |
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Une heure plus tard, tout dormait à Larevallière, avec le bruit persistant dans les cannes là-bas, du moulin. Dans les jardins un silence complet. Seul le murmure intermittent des grillons s'élevait par instant. [...] | | |
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Les deux cavaliers [Albert et Léon] étaient partis avant l'aube, ils avaient passé par un sentier tortueux, gravi une petite colline assez élevée vers le sommet. Arrivés sur les hauteurs, ils tirent [sic] glissés par les fortes senteurs d'une abondante végétation. Des jardins planté [...] | | 2 | [...]
Les deux cavaliers [Albert et Léon] étaient partis avant l'aube, ils avaient passé par un sentier tortueux, gravi une petite colline assez élevée vers le sommet. Arrivés sur les hauteurs, ils tirent [sic] glissés par les fortes senteurs d'une abondante végétation. Des jardins planté [...] | | |
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Le soir, si elle marchait au bras d'Édriss, ou le tenant par la taille, elle s'appuyait contre lui comme la liane s'appuie au palmier, avec une langueur dont l'autre était charmé. Il la couvait de ses gr [...] | | |
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Durant que le vieux Thermo, son homme [de Cessé], un des bons voiliers de la ville, découpait, rassemblait, cousait, des focs et des brigantines, à l'ombre de la petite tonnelle de marigouya et de liane [...] | | |
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Quand on a franchi le pont qui traverse la rivière au chemin des Dalles, la route monte devant soi en lacets pittoresques et ombragés… On vient de suivre des deux côtés une série de villas luxueuses, enfouies dans la verdure, et l'œil continue à disti [...] | | 2 | [...]
Quand on a franchi le pont qui traverse la rivière au chemin des Dalles, la route monte devant soi en lacets pittoresques et ombragés… On vient de suivre des deux côtés une série de villas luxueuses, enfouies dans la verdure, et l'œil continue à disti [...] | | |
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Parfois, quand on était repu d'horizons, on descendait dans la ravine. Là, avec des soubresauts de cabri, la source de Furcy tombe des mornes voisins. On marchait dans l'humidité chaude, sous des arbres au feuillage jauni, sali de brunissures, comme de [...] | | 2 | [...]
Parfois, quand on était repu d'horizons, on descendait dans la ravine. Là, avec des soubresauts de cabri, la source de Furcy tombe des mornes voisins. On marchait dans l'humidité chaude, sous des arbres au feuillage jauni, sali de brunissures, comme de [...] | | |
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Dans la maisonnette du fort Saint-Clair rien de ce qui se passait en ville n'arrivait. Aucun bruit ne troublait la solitude profonde qui y régnait aux heures chaudes du jour quand les moustiques, endormis dans [...] | | 2 | [...]
Dans la maisonnette du fort Saint-Clair rien de ce qui se passait en ville n'arrivait. Aucun bruit ne troublait la solitude profonde qui y régnait aux heures chaudes du jour quand les moustiques, endormis dans [...] | | |
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Un calme profond, à peine coupé du clairon d'un coq réveillé par le pas des chevaux sur la route, enveloppait la terre endormie dans son repos laborieux. Des deux côtés, à l'abri de leurs clôtures de pieux entrelacés, les [...] | | |
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La nature s'éveillait ainsi, ramenant les occupations matinales des ménagères. Les hommes reposaient encore dans l'intérieur des cases, attendant que le café fût prêt. M. Jean-Charles et Adhémar saluaient les femmes d'un bonjour familier… Elles répondaient en riant, montrant leurs d [...] | | |
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La chevauchée à travers les solitudes des pièces de cannes, malgré sa monotonie, est loin d'être sans attrait. Au commencement, cette uniformité d'un horizon plat ne séduit pas beaucoup. Peu à peu, pourtant, on se laisse aller à son charme ré [...] | | 2 | [...]
La chevauchée à travers les solitudes des pièces de cannes, malgré sa monotonie, est loin d'être sans attrait. Au commencement, cette uniformité d'un horizon plat ne séduit pas beaucoup. Peu à peu, pourtant, on se laisse aller à son charme ré [...] | | 3 | [...]
La chevauchée à travers les solitudes des pièces de cannes, malgré sa monotonie, est loin d'être sans attrait. Au commencement, cette uniformité d'un horizon plat ne séduit pas beaucoup. Peu à peu, pourtant, on se laisse aller à son charme ré [...] | | |
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il [M. Josilus] jeta un dernier, un enveloppant regard autour de lui. Il embrassa de toute sa tendresse, de toute sa passion les tiges frissonnantes de ses cannes, déjà presque immobiles dans le crépuscule commençant… Au loin, à l'opposé, ave [...] | | |
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Soudain, elle [Zulma] sembla chercher, s'orienter. Elle leva les yeux, regarda, contempla un grand mapou dénudé qui ouvrait ses bras sur l'horizon comme des fourches patibulaires. Elle le dépassa, courut quelques pas, et franchit, en tirant à e [...] |
