[...]
Ainsi St.-Domingue vivait, avec la plaie de l'esclavage tachant la sérénité de son large ciel, gâtant la parure immortelle de sa végétation, contaminant l'air pur de ses sommets, empoisonnant de ses germes morbides l'âme de ses habitants.
[...]
[...]
M. de Chamay avait une fille, Danielle, fragile fleurs [sic] des climats doux, transplantée là et s'ouvrant au[x] torrides effluves de ce ciel de St.-Domingue, plus bleu avec ses étoiles, plus profond quand la nuit est venue, plus mollement [...]