FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : 22, 26 juin 1848

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
  • Esquisse, f° 106v° (NAF 17607) : "aspect triste des rues desertes - aspect desolé des rues : aux angles surtout - Les maisons criblées de balles, plâtres etc"
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17607) : "Le jour se lève - aspect triste des rues desertes de Paris aux angles surtout, devantures dechirées enseignes coupées en deux Les maisons des rues xx sont etaient criblés de balles, platras, poutres suspendues tous les carreaux cassés, - traînées de sang par terre"
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17607) : "aspect triste des maisons de Paris. Aux angles des rues surtout, les devantures maisons etaient elles etaient maltraitées - enseignes coupées en deux, devantures Les murs criblés de projectiles enseignes coupés en deux, devantures enfoncées platras, poutres, α lattes, tous les carreaux cassés, on voyait des interieurs d'appartement traînées de sang par terre en de certains endroits les ruisseaux avaient fait ayant reflué sur la chaussée, et faisaient formaient des mares - ailleurs des traînées de sang par terre. roues de charrette sur des tas de pavés. - Des barricades à demi demolies faisaient obstacle barraient le chemin rue de x."
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "Le jour se leva sa route dans les rues où l'on s'est battu. aspect desolé de la ville des rues. Les maisons au coin des rues surtout, etaient abimées, criblées de projectiles sans un seul carreaux les enseignes coupées en deux, devantures enfoncées aspect c'etait comme dans les demolitions : on voyait apercevait des interieurs d'appartement  platras, avec des leurs papiers de tentures α leur cheminée - le platre tombé par gds morceaux çà α là laissait voir les poutres α lattes, tous les carreaux cassés. des portes d'escalier donnant sur le vide - En de certains endroits les egouts avaient reflué sur la chaussée formaient des mares qui mouillaient le pied des maisons. - ailleurs des traînées de sang par terre. Des barricades, à moitié demolies obstruaient le chemin - α sur les tas de paves, les roues roues de charrettes des omnibus, des conduits de gaz des tubes de fonte pr des portes, des tonneaux - Rue de x x x à une fenêtre ouverte un vieillard regarde le ciel α pleure."
  • Brouillon, f° 79v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 96v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 156v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 94v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 88v° (NAF 17608)
  • [...]

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 94v° (NAF 17607) : "animation de la foule - episode comique figures des passants Des vendeurs hommes crient à vendre les pamphlets immondes - on crie "Vive Barbès. vive Napoleon"
  • Esquisse, f° 114 (NAF 17607) : "Le soir est d'aspect tragique, temps orageux. une force latente α ironique  dans la foule un evenement formidable dans l'air. C'etait precisement là Mais le peuple n'etait pas content ne voulait pas partir"
  • Esquisse, f° 115 (NAF 17607) : "Bandes enormes à la Bastille, du Chatelet les travailleurs du Luxemb reflue sur les boulevards s'y etaient joints Car c'etait un horizon C'etait un horizon qui leur deplaisait prquoi ? ils trouvaient cela leur semblait un leurre une trahison dementir aux promesses"
  • Brouillon, f° 111v° (NAF 17607) : "Voilà ce qui faisait que le rass. etait plus nombr. Aux hommes des ateliers se joignaient les travailleurs du Luxembourg... les gardes montagnards de Caussidière  A 9h. du soir Enormes bandes à la Bastille α au Chatelet moutonnement infini des têtes les voitures ne pouvaient plus circuler (1) on voyait le moutonnement bleu sombre figures silence recueillement sauf les cris "vive Napoleon, Barbès -" α "nous l'aurons vive Napoleon !" figures irritées pâles fameliques, ... yeux caves yeux caves, prunelles flamboyantes. la faim - α l'exaltation de l'enthousiasme. temps Le ciel etait orageux"
  • Brouillon, f° 96v° (NAF 17607) : "vers à neuf heures du soir, les bandes de la Bastille α du Châtelet refluèrent sur les boulevards. Entre les portes α en telle quantité que de la porte St Denys α à la porte St Martin les voitures ne circulaient pas on ne voyait plus que Le terrain etant là inflechi on voyait le la houle à droite et à gauche cela elle ne faisait plus qu'un moutonnement infini des têtes de la foule formait masses une seule surface d'un bleu sombre - sur presque noir"
  • Brouillon, f° 116 (NAF 17607) : "à vers neuf heures du soir, les bandes colon formées à de la Bastille α la du Châtelet refluèrent sur les boulevards. De la porte St Denys à la porte St Martin elles ne faisaient cela ne faisait plus qu'un moutonnement infini grouillement enorme, un seul masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir"
  • Mise au net, f° 113 (NAF 17607) : "Vers neuf heures, les colonnes attroupements formés à attroupements formés à de la Bastille α du au Châtelet refluèrent sur les boulevards, α α α de la Porte St Denys à la Porte St Martin cela ne faisait plus qu'un grouillement enorme, une seule masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir."
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