FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : La Légende de saint Julien l'Hospitalier

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.

  • Plan, 1856, f° 490 : "I. education - chateau."
  • Scénario, 1875, f° 492 : "Jamais il n'y eut meilleurs parents - ni d'enfant mieux élevé que le petit Julien Ils habitaient un chateau, sur une montagne boisée, ensemble dans le paysage. - enceinte, tours, jardin, verger, mail, chapelle, pigeonnier, etc - le tout dans peu fortifié, α dans une enceinte de haies d'épines - vu en pente α d'un seul coup d'oeil comme un plan. Aspect doux"
  • Scénario partiel f° 409v° : "Jamais il n'y eut d'enfant plus joli que le petit Julien ni de meilleur parents que son le père α la mère du ils habitaient un chateau, au milieu dans des bois, sur la pente d'une colline dominant au fond d'une large vallée. - - - Il etait carré comme une forteresse La facade, regardait le Midi - α portait montrait au dessus de la porte les armes du seigneur gravés en relief dans un ecusson de granit le derrière le Nord. aux angles les quatre tours etaient reliées par des courtines rondes α trapues α très grosses avaient un toits pointu couvert de lam de plomb. comm de l’argent et brillaient au soleil après les pluies d’orages comm des cornets d’argent la fleche de la chapelle depassait - les deux cotés. plus longs montaient un peu [entouré d’un gd fossé où poussaient des herbes [.Les chaines des pont-levis rouillés car on n’etait pas en quête. - les hirondelles sous les mangonneaux. - α la sentinelle dormait dans l’echauguette ] et ses courtines percées de meurtrières avaient l’air de lame de scies scie posées sur des murs obliques ayant des rochers blocs à la base. - fossés − la cour intérieure dallée citerne gdes gouttières gds lezards. galerie porche couvert − promenoir. − vases de fleurs ψ ψ aux fenetres etroites citerne − dalles lisses net α lisse comm le pavé d’une eglise. La seconde enceinte. en dehors du chateau, α compris dans la seconde enceinte il y avait sur le coté droit. verger − d’arbres fruitiers, tous à têtes ronde pompon − d’un coté. un parterre bien taillé les fleurs faisant les armoiries entrelacs. chiffres des broderies − une treille à l’italienne pr le frais en eté un jeu de mail où pr exercer les pages. − De l'autre côté les ecuries, le chenil, le moustier, l la meunerie magasin − la grange. − le pressoir. la basse cour, le pigeonnier. − un mail. − Dans la 3e 1ere enceinte les champs, artisans cabanes − Le tout compris dans un fossé, planté de houx."   
  • Brouillon f° 410v° : "Jamais il n'y eut de meilleurs parents que le père α la mère du petit Julien. Ils habitaient un chateau au milieu des bois, sur la pente d'une colline. La facade regardait le midi. α montrait au dessus de la porte les armes du Seigneur, seigneuriales maitre gravées taillés en relief dans un ecusson de granit. Les quatre tours ogivales aux angles, rondes α très grosses ovales α avaient des toits pointus recouverts de lames d’e d’ecailles de plomb [α qui brillaient de loin au soleil après les pluies d’orage comme des cornets d'argent.] - α Les longues courtines, percées regulieremt de meurtrières, semblaient des lames de scies herissant et dominaient le haut avec machicoulis avec ma[ch meurtrières machicoulis α crenaux qui les reliaient alignaient entr’elle allaient de l’une à l’autre des murs. - ils etaient obliques pr mieux repousser les assauts à demi enfouis dont la base des murs - dont s'appuyait sur des quartiers de rochers. de rocs inegaux. à demi cachés inegaux - - dans les herbes fossés exhaussant la profondeur des douves faisant dans les douves de gros mamelons inegaux de l’autre à l’autre s’etendait une courtine avec des alignements leurs crenaux symetriques pareilles à des aux dents d'une scie Dans la cour interieure, les appartements logemts du rez de chaussée s’ouvraient sur un galerie couverte à arcades qui servait de promenoir. Les dalles de la cour étaient lisses vides. α propres comm le pavé d’une eglise - une galerie soutenue par des piliers la bordait regulièremt. les gouttières - etaient de gds lezards, representant dragons la queue en ht. la tete en bas crachaient de l’eau dans une des rigole qui se versait dans - dans - une citerne - α sur le rebord des fenetres à tous les etages Des pots de fleurs à toutes les fenêtres de terre un basilique ou heliotrope s’epanouissait. - etroites α les dalles etaient lisses a propres comme le pavé d’une eglise en dehors du chateau, α Il y avait en dehors du chateau une seconde. α compris dans une même enceinte send enclos faite de pieux : Elle contenait comprenait il y avait le v du té de l’orient, d’abord un verger d’arbres à fruitiers tous à tête ronde, taillés en boule. comme des chantres − ensuite et puis un parterre où les fleurs - - dessinaient des broderies α des entrelacs formaient dessinaient de chiffres puis puis ensuite une treille pr se promener prendre le frais pendant les soirs d’eté − α un jeu de mail, pr le qui servait au divertissemt des pages pendant. De l’autre coté, de l’occident, De l’autre coté se trouvait le chenil, les ecuries, la fauconnerie, le pressoir les granges le pressoir α le pigeonnier colombiers’etendaient de l'autre coté − de gazon un paturage [d’herbes tres verte] comm une large ceinture verte d’herbe verte"  
  • Brouillon f° 411v° : "Jamais il n'y eut de meilleurs parents que le père α la mère du petit Julien. Ils Le père α la mère de Julien habitaient un chateau, au milieu des gds gds bois, sur la pente d'une colline. La facade regardait le midi ⎣− α montrait au dessus de la porte, les armes du maître gravés en relief dans un ecusson de granit.⎤ Les quatre tours, aux angles, ⎣ rondes α très grosses, ⎦ avaient des toits pointus recouverts d’ecailles de plomb de l’autre l’un à l'autre, s’etendait une courtine avec des d’ crenaux symetriques pareils aux dents d'une scie. . α la base des murs epais de quinze coudées s’appuyait sur des quartiers de roc, faisant abruptemt. devallaient obliquemt. dans les douves, des mamelons inegaux qui descendaient for en mamelons raides jusqu’au fond des douves devalaient en mamelons inegaux inegalemt Les dalles pavés de la cour etaient nettes comme le pavé dallage d’une eglise. [une galerie soutenue par des piliers la bordait circulait regulieremt.] Les de longue gouttières representant figurant des dragons, la tete gueule en h en haut ⎣la gueule en bas⎟, crachaient de l’eau des pluies vers dans des rigoles qui se deversaient dans une la citerne − α sur le bord des fenêtres, à tous les etages, dans un pot de terre d’argile d'argile. peinte, un basilique ou un heliotrope, s’epanouissait. Il y avait⎟en dehors du chateau. Une seconde enceinte, faite de pieux − et qui Elle comprenait d’abord du côté de l’orient. d’abord un verger d’arbres à fruits. taillés en boules, ensuite puis ensuite un parterre où les combinaisons fleurs⎣formaient des entrelacs⎤ dessinaient des chiffres, puis venait puis une treille avec des berceaux pr prendre le frais, α un jeu de mail qui servait au divertissement des pages. De l’autre côté se trouvait le chenil les ecuries la. la fauconnerie le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert s’etendait autour de cette seconde enceinte se developpait tout autour comme une large ceinture verte, α etait lui-même enclos par un fossé que dominait une forte haie d’epines."
  • Mise au net f° 437v° : "Le père α la mère de Julien habitaient un chateau, au milieu des gds bois, sur la pente d'une colline. Les quatre tours aux angles avaient des toits pointus recouverts d’ecailles de plomb α la base des murs s’appuyait sur des quartiers de roc qui devalaient abruptement jusqu’au fond des douves. Les pavés de la cour etaient nets comme le dallage d’une eglise. De longues gouttières figurant des dragons la gueule en bas crachaient l’eau des pluies vers la citerne. − α sur le bord des fenêtres, à tous les etages, dans un pot d’argile peinte un basilique ou un heliotrope s’epanouissait. une seconde enceinte, faite de pieux, comprenait d’abord d’abord un verger d’arbres à fruits Le père ensuite un parterre, où des combinaisons de fleurs dessinaient des chiffres, puis une treille avec des berceaux pr prendre le frais α un jeu de mail qui servait au divertissement des pages. De l’autre côté, se trouvaient le chenil les ecuries, la fauconnerie, le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert se develo developpait tout autour, enclos lui-même dans une forte haie d’epines."
  • Manuscrit définitif, f° 31 : "Le père et la mère de Julien habitaient un chateau, au milieu des bois, sur la pente d’une colline. Les quatre tours aux angles avaient des toits pointus recouverts d’ecailles de plomb et la base des murs s’appuyait sur des quartiers de roc qui devalaient abruptement jusqu’au fond des douves. Les pavés de la cour etaient nets comme le dallage d’une eglise. De longues gouttières figurant des dragons la gueule en bas, crachaient l’eau des pluies vers la citerne ; - et sur le bord des fenêtres, à tous les etages dans un pot d’argile peinte un basilique ou un heliotrope s’epanouissait. une seconde enceinte faite de pieux comprenait d’abord un verger d’arbres à fruits, ensuite un parterre où des combinaisons de fleurs dessinaient des chiffres, puis une treille avec des berçeaux pr prendre le frais, a un jeu de mail qui servait au divertissement des pages. De l’autre côté se trouvaient le chenil, les ecuries la boulangerie, le pressoir a les granges. Un paturage de gazon vert se developpait tout autour, enclos lui-même d’une forte haie d’epines."

 

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.

  • Plan, 1856, f° 490 : "I. education - chateau."
  • Scénario, 1875, f° 492 : "- enceinte, tours, jardin, verger, mail, chapelle, pigeonnier, etc -"
  • Scénario partiel f° 409v° : "− De l'autre côté les ecuries, le chenil, le moustier, l la meunerie magasin − la grange. − le pressoir. la basse cour, le pigeonnier. − un mail."
  • Brouillon f° 410v° : "De l’autre coté, de l’occident, De l’autre coté se trouvait le chenil, les ecuries, la fauconnerie, le pressoir les granges lpressoir α le pigeonnier colombier − s’etendaient de l'autre coté − de gazon un paturage [d’herbes tres verte] comm une large ceinture verte d’herbe verte"
  • Brouillon f° 411v° : "De l’autre côté se trouvait le chenil les ecuries la. la fauconnerie le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert s’etendait autour de cette seconde enceinte se developpait tout autour comme une large ceinture verte, α etait lui-même enclos par un fossé que dominait une forte haie d’epines."
  • Mise au net f° 437v° : "De l’autre côté, se trouvaient le chenil les ecuries, la fauconnerie, le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert se develo developpait tout autour, enclos lui-même dans une forte haie d’epines."
  • Manuscrit définitif, f° 31 : "De l’autre côté se trouvaient le chenil, les ecuries la boulangerie, le pressoir a les granges. Un paturage de gazon vert se developpait tout autour, enclos lui-même d’une forte haie d’epines."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "IV. Dans son chateau (sombre. le bien differencier du paternel. −"
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "son chateau. dans un pays meridionales."
  • Brouillon, f° 478 : "Interieur du chateau. successi succession de galeries ornées arcs en fer à cheval ; − silence de mosquée"
  • Brouillon, f° 464v° : "à l’interieur succession Des portes cintrées s’ouvraient sur. des galeries A en enfilade. . Des colonettes. . arcs en fer à cheval, carreaux de faïence, jets d’eau. . ebène − incrustations de nacre. des mille delicatesses d’architecture − des des ornements aux plafonds imitaient les stalactites le des grottes. nacre ebène sur les lambris d’ebène. silence d’eglise, silence que l’on entendait le frolemt d’une echarpe contre le mur ou l’echo d’un soupir. vitraux. avec dans les cours, des mosaïques sur les dalles B. ? assemblages des accouplemts de colonnettes, minces comm des roseaux supportaient. . . la voute des coupoles où des ornemts imitaient les stalactites des grottes et il y avait des jets 2 d’eau dans les chambres des mosaïques 1 mille delicatesses dans les cours, mille des cloisons festonnés les vitraux peints refletaient sur les nattes, des rosaces des entrelacs de couleur. exprès treillages de bois doré − des cages d’or laissaient passer l’air. un l’air frais passait − des arabesques On voyait dans les appartemts les plus sombres etaient eclairées par les incrustations des murs."
  • Brouillon, f° 458 : "− Par Le cintre Des htes portes cintrées leurs ceintres ouvraient on apercevait s’ouvrait sur des galeries en enfilade A des assemblages de colonnettes minces (nl) comm des roseaux supportaient la voute des coupoles, ⎣où des ornements de voutes (nl) ornée garnies de reliefs legers pareils − − − − imitait d’en bas les stalactites des grottes A B Les appartem les plus obscurs etaient eclairés par les m se trouvaient eclairés ou il (nl) par les incrustations des (nl) treillages ⎣Des vitraux refletaient sur les nattes dalles des entrelacs de couleur] des il y avait, avec D Il y avait des mosaïques dans les cours, des jets d’eau dans les chambres, des cloisons festonnées, mille delicatesses d’architecture Le crepuscule des Les appartements etaient les plus obscurs etaient se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles − C partout un tel silence que l’on entendait le frolemt d’une echarpe ou l’echo d’un soupir."
  • Brouillon, f° 459 : "⎣Le cintre des portes s’ouvrait sur les galeries en enfilade⎦. L’ombre dans Les appartements les plus obscurs à decor dor se trouvaient etaient se trouvait (nl) Les chambres pleines de crepuscule sombres eclairés par les incrustations des murailles Des assemblages des larges de De htes colonnettes, minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorée ornée de reliefs imitant figurant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les chambres, salles des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées, ouvragées mille delicatesses d’architecture et partout un tel silence, que l’on entendait le frôlement d’une echarpe ou l’echo d’un soupir."
  • Brouillon, f° 470v° : "Les chambres, pleines de crepuscule se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles. De hautes colonnettes, minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorées ornées de reliefs imitant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les salles, des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées, mille delicatesses d’architecture – α partout un tel silence que l’on entendait le frôlement d’une etoffe echarpe ou l’echo d’un soupir."
  • Manuscrit définitif, f° 44 : "Les pl chambres pleines de crepuscule se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles. De hautes colonnettes, colonettes minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorées de reliefs imitant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les salles, des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées mille delicatesses d’architecture. − α partout un tel silence que l’on entendait le frôlement d’une echarpe ou l’echo d’un soupir"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario général, 1875, f° 493 (aucune mention)
  • Brouillon, f° 433 : "Tue des monstres. comme la gargouilles tue un monstre qui ravageait le pays de X. ."
  • Brouillon, f° 432v° : "c’est lui α non pas X comme on l’a pretendu qui tua X (= la tarasque d’Avignon Il tua des monstres C’est lui α non X comme on l’a pretendu qui tua la X = (gargouille de Tarasc)"
  • Brouillon, f° 462v° : "C’est lui α non X qui tua la X = (tarasque d’Avignon). pas le sire de St Ubert. le sire Hans de Frankes cte de lui α non pas. le cte de Frankestein le Frankestein piemontais qui tua la guivre de Milan guivre de Milan, α le dragon de X α la C + dragon d’Oberbirbach. Gilles seigneur de Chin, le dragon de Wasmes en Hainaut"
  • Brouillon, f° 456 : "c’est lui, α non le pas un autre extermina sire Ubert piemontais, lui α non plus le comte de Frankestein qui tua 1 la guivre de Milan, ⎣α le dragon d’Oberbirbach]. α le dragon d’Ober assomma la guivre de Milan α qui etrangla le dragon 2 d’Oberbirbach le dragon du Hainaut α la"
  • Brouillon, f° 434 : "c’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
  • Manuscrit définitif, f° 43 : "C’est lui, a pas un autre, qui assomma la guivre de Milan et le dragon d’Oberbirbach."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF, Mss, NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "Prediction du cerf."
  • Scénario général, 1875, f° 492 : "le cerf, immobile. − Julien le blesse − Le cerf. − fait sa prediction."
  • Brouillon, f° 425 : "− blesse le cerf. − le cerf parle − blesse le cerf. − Le cerf − qui a une barbe parle."
  • Brouillon, f° 451 : "Le cerf (à barbe) s’avance α en face pred grave"  
  • Brouillon, f° 427v° : "Le cerf X (à barbe) s’avance. droit sur lui. Julien en a peur. − et en face, gravemt. − yeux, sa barbe, comm un patriarche A. faisait face au danger marche sur lui. J. ajuste sa dernière flèche. elle arrive  l’atteint juste au front entre les 2 yeux il n’eut pas l’air de la sentir α continua. ."
  • Brouillon, f° 429 : "Le gd cerf s’avança l’avait vu (Julien) il fondit sur lui J. Julien eut le temps. lui il ajusta avait vivemt jeta vivemt contre lui sa dernière. flèche. se planta l’atteignit au milieu du front Elle atteignit le cerf au front juste juste au milieu juste entre les deux deux yeux. α y resta plantée Mais Le gd cerf n’eut pas l’air de s’en apercevoir la sentir −"
  • Manuscrit définitif, f° 40 : "Le gd cerf l’avait vu, fit un bond. lui Julien lui lança envoya bien vite sa dernière flèche. Elle l’atteignit au front, α y resta juste entre les deux gds yeux, α y resta plantée."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario général, 1875, f° 493 (aucune mention)
  • Brouillon, f° 433 : "Tue des monstres. comme la gargouilles tue un monstre qui ravageait le pays de X. ."
  • Brouillon, f° 432v° "c’est lui α non pas X comme on l’a pretendu qui tua X (= la tarasque d’Avignon Il tua des monstres C’est lui α non X comme on l’a pretendu qui tua la X = (gargouille de Tarasc)"
  • Brouillon, f° 462v° : "C’est lui α non X qui tua la X = (tarasque d’Avignon). pas le sire de St Ubert. le sire Hans de Frankes cte de lui α non pas. le cte de Frankestein le Frankestein piemontais qui tua la guivre de Milan guivre de Milan, α le dragon de X α la C + dragon d’Oberbirbach. Gilles seigneur de Chin, le dragon de Wasmes en Hainaut"
  • Brouillon, f° 456 : "c’est lui, α non le pas un autre extermina sire Ubert piemontais, lui α non plus le comte de Frankestein qui tua 1 la guivre de Milan, ⎣α le dragon d’Oberbirbach]. α le dragon d’Ober assomma la guivre de Milan α qui etrangla le dragon 2 d’Oberbirbach le dragon du Hainaut α la"
  • Brouillon, f° 434 : "c’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
  • Manuscrit définitif, f° 43  : "C’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario § II, 1875, f° 493 : "defile pr l’arche de Noë ou Adam dans le paradis sur un lui au milieu"
  • Brouillon, f° 464v° : "- ou bien, defilant toutes deux à deux par couples, en commençant par les plus petites, comme celles que Noë poussait devant son arche"
  • Brouillon, f° 462 : "- D’autres fois, elles defilaient devant lui, deux à deux par couples, depuis les moindres jusqu’aux plus gdes, comm lorsqu’elles sont le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë –"
  • Brouillon, f° 464 : "ou bien, elles defilaient deux à deux deux à par rang de taille, depuis les sour lions et les baleines, elephants. les chameaux et les lions jusqu’aux aux. lapins canards et aux souris. hermines et aux canards coq d’Inde et aux lion deux par deux comm le jour qu’elles entrèrent dans dans l’arche de Noë."
  • Brouillon, f° 470v° : "– ou bien, elles defilaient, deux à deux, par rang de taille, depuis les elephants et les lions jusqu’aux hermines et aux canards, comme le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë."
  • Manuscrit définitif, f° 44 : "- ou bien, elles defilaient deux à deux, par rang de taille, depuis les elephants et les lions jusqu’aux hermines et aux canards, comme le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
  • Scénario partiel, f° 418 : "precipite sur les blaireaux - bêtes sortant du terrier blaireaux. A"
  • Scénario partiel, f° 425 : "quantité lapins debuchent des terriers. son basset les etouffe. blaireau"
  • Scénario partiel, f° 451 : "Bientôt puis – ses sabots sur la terre dure le ciel pâlit et se raya son cheval glissait sur l’herbe glacee. le givre - d’une lueur barre rouge, sur un ciel verdatre. Quantité de lapins sur le bord de la route sortant de leurs terriers broutaient l’herbe. . - Les deux bassets, d’eux-mêm comm se multipliant, les tuaient d’un coup de dents. gueule - les couchaient par terre"
  • Scénario partiel, f° 452 : "puis le Mais puis un coté du ciel pâlit une barre rouge sur un allait vint à pâlir le froid. - sur la terre dure. . puis le ciel pâlit une barre rouge sur un fond verdâtre ciel et dans les aux premières blanches blancheurs palir s’eclairait l’hor s’eclaircit du crepuscule. puis un coté de l’horizon s’eclaira il aperçut - distingua tout près de lui. . sur la lisière du bois tout près de lui autour de lui il apercut a la lisière des taillis d’innombrables au bord quantite de lapins. sur le bord de la route, quantité de lapins sortis sortant sortant de leurs terriers. ça et là, broutant broutaient l’herbe repandus courant et ça et là - ça et là. Les deux bassets, tout de suite se precipitèrent sur eux dessus courant de droite - allant - et de gauche et comme se multipliant les couchaient par terre d’un seul d'un premier premier du premier coup de gueule les couchaient par terre tuaient sur le flanc leur brisaient les reins renversaient occis cassaient couchaient."
  • Brouillon, f° 428v° : "Puis Mais un côté de l’horizon du ciel s’eclaira s’eclaircit - et dans la blancheur du crepuscule,  il aperçut autour de lui, au bord de la route s’eclaira. d’innombrables lapins, sortant de leurs terriers. terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent dessus, sur eux et ça et là, de droite a de gauche vivement leur cassaient les reins l'echine"
  • Brouillon, f° 424 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit, et dans la blancheur du crepuscule, il apercut d’innombrables lapins, entre les herbes d’innombrabl d’innombrables d’innombrables sautillant parmi les herbes sautillant parmi les herbes. sortant de leurs terriers. sautillant au bord de leur terriers au bord de leur terriers et autour au milieu des herbes Les deux bassets tout de suite tout de suite se precipitèrent sur eux dessus sur eux et ça et là ; dessus sur eux -"
  • Manuscrit définitif, f° 38 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit et dans la blancheur du crepuscule, il aperçut des lapins sautillant au bord de leurs terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent sur eux, et ça et là, vivement leur cassaient l’echine."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
  • Scénario partiel, f° 415v° : "boucs chevres precipices"
  • Scénario partiel, f° 425 : "B. une montagne blanch., precipices des boucs sur le bord. sauvages. - flèches."
  • Scénario partiel, f° 451 : "se trouva tout a coup sur le bord d’un precipice - terrain blanc - ciel noir - il apercut De l’autre côté deux boucs sauvages. - terrains blancs et est et tellmt htes que le qu’etant arrivé parvenu ciel etait noir lui parut au sommet au dessus"
  • Brouillon, f° 452 : "Devant lui En dessous un precipice effrayant - Sur une saillie un long rocher, pareil à la en formt crete d’un mur devant lui s’inclinait La crete du rocher large de rapidemt largeur descendait devant lui arrête en pente bordée de deux precipices surplombant et ayant de droite et a de gauche un precipice. et deux chèvres boucs sauvages - deux boucs sauvages. aventurés jusqu’au bout bord sous elles bout regardaient l’abime à l’extremité de la crête."
  • Brouillon, f° 428v° : "Devant en face lui un rocher en forme de mur pareil à un long mur s’inclinait devant lui s’abaissait devant lui rapidemt, en surplombant de droite et de gauche un precipice et un et et se penchant penchait à l’extremité de la crete. du precip  d’une faille d’une manière infaillible deux boucs sauvages regardaient l’abîme."
  • Brouillon, f° 424 : "Devant lui, un rocher pareil à un long mur se penchait s’elançait s’abaissait en surplombant un precipice - et à l’extremité) - deux boucs sauvages regardaient l’abîme."
  • Manuscrit définitif, f° 38 : "Devant lui, un rocher pareil à un long mur s’abaissait en surplombant un precipice ; et à l’extremité, deux boucs sauvages regardaient l’abime."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "II Prediction du cerf."
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "- Le cerf."
  • Scénario partiel, f° 425 : "- un cerf, sa biche, le faon."
  • Scénario partiel, f° 451 : "- un vieux, la biche, le faon"
  • Scénario partiel, f° 427v° : "un vieux cerf, une biche qui broutait la mousse. et son faon. - Le faon tacheté - - - - la biche broutait - - - le cerf (à barbe) à barbe regardait, la tête tournée."
  • Brouillon, f° 429 : "Le cerf avait  allait devant tout noir et qui etait prodigieux portait 16 24 16 andouillers. . . et noir de taille une gde barbe - avait l’air d’un patriar."
  • Brouillon, f° 427 : "Le cerf qui était noir et monstrueux merveilleux et monstrueux de taille, portait seize andouillers avec une barbe blanche".
  • Manuscrit définitif, f° 39 : "Le cerf qui etait noir et monstrueux de taille portait seize andouillers avec une barbe blanche."
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