Les folios
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11 décembre 1818 : Dans mes idées, la crise où l'on nous suppose n'est que fictive
Auteurs : Chastenay, Victorine de
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Autres notices de la collection
⇽ 10 fév. 1818 : Il y a longtemps que je n'ai tracé de réflexions ou de notes politiques |
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12 mars 1818 : Les anciens avaient pour usage de transmettre à la postérité les actions |
26 avril 1818 : La première communion est le viatique de la vie |
manque 1ère page : [Sur Mme d'Epinay et Rousseau] |
22 juin 1818 : J'ai vu hier M. le Gal Foy, homme d'esprit et de talent |
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15 juillet 1818 : Quelle belle, quelle tranquille soirée ! |
24 août 1818 : Je ne sais s'il est possible de mieux jouir du spectacle des champs… |
17 octobre 1818 : Je viens à l'heure du coucher des oiseaux entendre leur concert |
30 octobre 1818 : on a fait des jolis tableaux … l'intérieur d'un appartement… la chambre que j'occupe |
30 octobre 1818 : Il y a longtemps que je réfléchis à l'organisation des plantes |
30 novembre 1818 : Le temps est beau comme au printemps ! |
2 décembre 1818 : Avant que la rentrée des chambres donne lieu à des notions nouvelles |
4 décembre 1818 : C'est une chose assez bizarre que la façon dont les idées s'ébauchent dans le travail des masses |
11 décembre 1818 : Dans mes idées, la crise où l'on nous suppose n'est que fictive |
4 février 1819 : Ce matin de la neige, actuellement le plus beau temps |
Ce 12 avril 1819 : dans le repos de ma retraite, notons quelque chose de l'histoire qui se passe s loin de moi |
Ce 13 avril 1819 : je rentre toute humectée de ma jolie promenade |
5 juin 1819. Il est aisé de croire au bonheur, sous des beaux arbres par un beau temps⇾1091