Première réponse supposée de Lyon Jamet, destinataire du premier coq-à-l'âne de Marot

Deuxième coq-à-l'âne de Marot à son ami Lyon Jamet.

Coq-à-l'âne dont l'unique copie se trouve dans le manuscrit 203 de la bibliothèque municipale de Soissons.

Cinquième et dernier coq-à-l'âne que l'on peut attribuer à Marot.

Unique copie d'un coq-à-l'âne inédit qui semble imité du modèle de la Grue.

Nombre de vers : 510

Cette épître est un coq-à-l'âne par sa forme. Elle est un commentaire de l'actualité par un soldat durant la neuvième guerre d'Italie, alors que Boulogne est menacée. Composition probable entre fin 1542 et 1543.

Seule épître du coq-à-l'âne connue de Claude Colet, parue dans la seconde édition de L'Oraison de Mars aux Dames de la Court (1548)

Coq-à-l'âne réformé qui vise principalement Rome et les Nicodémites. Seule copie manuscrite connue d'un coq-à-l'âne par ailleurs imprimé avec sa réponse "Le Coq aux Chievres".

Épître attribuée par le copiste au fou du roi, Brusquet, Jean-Antoine Lombart.

En prenant en compte le manuscrit 14840, copie du 22561, il existe quatre témoins de ce coq-à-l'âne réformé, particulièrement clair dans ses références à l'actualité par la longueur de ses séquences qu'il n'hésite pas à étendre.

Coq-à-l'âne en réaction à la surprise de Meaux, qui s'éloigne dans ses derniers vers de l'esthétique du genre pour s'adresser directement au jeune Charles IX.

Première forme hybride mêlant chanson et coq-à-l'âne, composée de 11 douzains qui juxtaposent 2 sizains hétérométriques.

Nombre de vers : 208

Nombre de vers : 472

Coq à l'âne conservé dans deux manuscrits de la bibliothèque de Genève, le manuscrit 353 des archives Tronchin dont nous suivons le texte et le manuscrit 376 qui propose une composition plus cohérente. Les allusions restent obscures et la datation fluctuante, sans doute autour de 1589.

Première scène de l'acte V de la tragi-comédie de Caresme-Prenant

Coq-à-l'âne au ton facétieux, exemplaire unique qui apparaît seulement à la fin de la deuxième édition du Réveil du chat qui dort paru initialement en 1616.

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