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CORREZ - Édition des lettres internationales adressées à Émile Zola


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Auteur(s) : Heuse, Ch. 
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"Votre Nom brillera dans l'Histoire tel un Phare resplendissant". La lettre est signée également par les 2 enfants de l'expéditrice, qui habite Anvers et se dit lectrice du journal libéral La Réforme.

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Auteur(s) : Bernard, Emile, gérant de fabrique à Liège
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Message d'admiration, au nom de la vérité et de la justice.

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Auteur(s) : Canosetti
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Lettre d'admiration et de soutien.

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Auteur(s) : Carasola, Pietro
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Auteur(s) : ? Speth
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Un étranger, "grand ami de la France" qui n'est pas "israélite", adresse ses félicitations à Zola.

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Auteur(s) : Walter, Sigmund
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Lettre d'admiration. L'expéditeur est d'origine allemande.

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Auteur(s) : Istaz, "Jules, candidat notaire, 16, rue de Potter à Bruxelles"
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Eloge de "J'accuse" et du courage de Zola.

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Auteur(s) : X,
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Auteur(s) : Roedel, A.
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Auteur(s) : Langa, Mario
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Auteur(s) : X,
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Lettre de soutien de quelques élèves du séminaire normal de l'État à Groningue.

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Auteur(s) : Dumast, A.
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Lettre avec envoi d'un sonnet.

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Auteur(s) : Spotti-Zenchini, Beatrice
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Monsieur, J’ai suivi avec un vif intérêt les phases de la question Dreyfus ; j’ai lu dans les journaux français et italiens le développement du procès Esterhazy, j’ai lu vos lettres aux étudiants du Quartier Latin, à la France, au Gouvernement : « J’accuse ! » « J’accuse », avez-vous écrit ; et ce cri, qui jaillit de votre âme généreuse, se traduit, à travers des passions aveugles et heurtées les unes contre les autres, en une protestation de l’humanité insultée, de la civilisation humiliée, à travers la fureur du triomphe. C’est l’un des réquisitoires les plus sensés de la justice, de la logique, du bon sens et de cet esprit chevaleresque dont s’inspire la Vérité : ce cri a ému toute l’Italie, ainsi qu’une humble femme, qui ressent le besoin de vous dire que votre indignation contre la persécution déclarée au nom de l’antisémitisme est grande et noble — que la Rési…ction et la Justice saluent en vous l’un de leurs plus fervents champions. Mais si vous voyiez ! La France, illustre et glorieuse, a voulu, dans un étrange moment de crise et d’égarement, s’oublier elle-même. L’humanité ne désespère pourtant pas de son retour à elle-même, et tous ceux qui l’aiment en Italie sont désormais certains que le dernier mot n’a pas encore été prononcé, car la dernière conclusion ne peut rester ineffaçable… Permettez-moi, Monsieur, que depuis cette terre lointaine je vous adresse un salut de sympathie et d’admiration (cultivée). On dit que vous êtes […] Italien. Ce fait réjouit mon sentiment patriotique, mais fussiez-vous même non pas Français — ce qui équivaudrait à un frère — mais Kalmouk ou Mongol, j’applaudirais néanmoins à la lutte opiniâtre que vous avez engagée et que vous vous apprêtez à poursuivre au nom des droits sacrés de l’homme. Des droits qui reposent, heureusement, bien plus haut que les raisons ethnographiques ou prétendument religieuses, et qui, opprimés et réconciliés de siècle en siècle, réclament enfin une affirmation sublime de la civilisation. Ô spectacle douloureux, douloureux, douloureux au-delà de toute croyance, que celui d’un condamné qui crie : Je suis innocent ! Laissez-moi me défendre ! Les juges se sont trompés ; et pour cette erreur je vis enseveli dans le vide d’un tombeau où la voix des vivants ne parvient pas, et où, dans le silence du désespoir, ne résonnent pour mon âme que les longs échos de l’infamie ! Penser que les yeux du condamné ne peuvent discerner l’horizon qu’à travers un voile de larmes ; que sa condamnation est perpétuelle, éternelle ; qu’elle l’a arraché à une épouse adorée, à de petits enfants innocents ! Que ce proscrit, ce maudit, crie néanmoins : Je suis innocent ! Je suis innocent ! Ah ! Ceux qui auraient pu lui rendre l’honneur perdu, redonner la vie à un cadavre, ne se sont point émus ! Ils n’ont pas écouté la voix accusatrice de la conscience : Et s’il était vraiment innocent ? Le souffle du remords ne les a-t-il pas glacés lorsque le spectre de l’agonisant, image vivante de leur ignominie consommée, s’écriait dans les sanglots : À l’aide ! Je suis innocent ! Pourquoi la sombre ténèbre de la nuit ne laisse-t-elle pas briller, aux yeux des coupables, la lumière éclatante de la vérité à travers les doutes sincères du cœur ranimé ? N’ont-ils donc jamais eu, ces hommes-là, une épouse, un cher petit enfant, une sœur menacée de malheur ou en péril ? Et pourtant combien leur désolation est-elle inférieure à la douleur incommensurable du vivant enseveli — autrefois citoyen français, aujourd’hui voué à la torture, à l’opprobre éternel ? Oh douleur, douleur, douleur ! Mais quand bien même Dreyfus aurait été condamné sur les apparences les plus admissibles, lorsque le coupable n’est ni convaincu ni avoué, lorsque […] des hommes honnêtes et compatissants invoquent la justice — rien d’autre que la justice — pourquoi refuser la révision d’un procès […] misérable et dérisoire face à la torture, à l’angoisse, à la mort d’une âme ? Pourquoi ne pas revenir sur la res judicata, ne serait-ce que pour convaincre ceux qui doutent, ne serait-ce que pour ensevelir, sous une nouvelle condamnation d’infamie, la trahison — s’il y eut trahison ? Douloureux, douloureux, douloureux ! Les anti-dreyfusards disent : Dreyfus est un juif ; les catholiques ne doivent ni ne peuvent le défendre. Ne doivent pas ? Pourquoi ? Parce qu’ils sont catholiques et chrétiens, et comme tels éclairés par une religion… imparfaite ? Ne peuvent pas ? Pourquoi ? Parce qu’ils se croient plus civilisés et plus humains ? Ô bon Jésus, ô doux charpentier de Nazareth, pourquoi as-tu donc proclamé la fraternité des hommes, si tant de siècles plus tard, en ton nom et sous prétexte de tes doctrines, une grande nation civilisée doit assister à une lutte d’antagonisme religieux, dans laquelle le préjugé — non moins que la violence — devait se faire passer pour un symbole d’honneur et d’intangibilité ? Dreyfus est juif — mais fût-il même musulman, cesserait-il d’être innocent lorsque les preuves le proclament tel ? Je ne connais ni le pauvre condamné, pour lequel je ressens une invincible et douloureuse pitié, ni ses juges ! Vous, Monsieur, je vous connais en revanche depuis toujours par vos œuvres et par votre génie, dont je suis une admiratrice ; mais en cet instant, il m’est cher de vous dire que les pauvres infortunés — Alfred, Mathieu — et Madame Dreyfus trouvent en moi toute la […] de sympathie que suscite l’oppression exercée contre les opprimés. Et que le mérite sublime de vos meilleures œuvres s’efface presque en comparaison de l’entreprise généreuse à laquelle vous vous êtes voué ! Oh ! Puisse votre courageuse défense être couronnée d’un heureux succès ! Puisse l’Italie, l’Europe, le monde civilisé tout entier […] saluer dans votre [exemple] celui de l’innocence, de la Justice et de la vraie religion ! […] De cette religion toute de bonté et de miséricorde, qui proclame la fraternité universelle, qui ordonne de protéger les faibles, les opprimés, les réprouvés ; qui fonde le principe solennel de la justice sans exception de […] ni de foi, et qui avertit que si l’erreur est humaine, un conseil de guerre aussi peut s’être trompé ; que ses sentences ne doivent pas être tenues pour infaillibles, et que la res judicata elle-même peut ne pas être irrévocable… Quoi qu’il en soit, que mon vœu, mon ardent souhait vous accompagne généreusement, dans l’épreuve de feu que vous devrez traverser. Un pressentiment me dit que vous en sortirez victorieux — quelle que doive être la sentence ; victorieux et digne de reconnaissance de la Patrie, de la Société, de l’Humanité, à laquelle vous avez rendu les idéaux chevaleresques […] obscurcis en ce siècle de mensonges fastueux et de cupidités effrénées. Croyez-moi, Monsieur, avec toute ma révérence. Chieti / Abruzzes / 6 février 1898 (Palazzo Durini) Beatrice Spotti-Zenechini

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Auteur(s) : Kloet, S. V. D.
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Demande à Zola de lui envoyer des timbres pour "un grand tableau de timbres de poste".

Auteur(s) : "Jeunesse Hongroise"
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admiration (J'Accuse).Graffiti

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Auteur(s) : Auer, Béla
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félicitation (J'Accuse)

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Auteur(s) : Jacobs, Louis S.
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Lettre de soutien. Envoi d'un poème qu'il a écrit, paru dans la presse.

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Auteur(s) : Rigatti, Etienne
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Lettre d'admiration des étudiants d'un institut de Milan.

Auteur(s) : Ottolenghi, E. et Rachele
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Compare Zola à Voltaire.

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Auteur(s) : Marchi, Fratelli
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Auteur(s) : Marche, Sébastien
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Lettre d'admiration d'un avocat, conseiller de la Cour d'Appel.

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Auteur(s) : Manusardi, A.
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Lettre d'admiration d'un avocat de Milan.

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Auteur(s) : Lorensale, Giuseppe
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Auteur(s) : Kechler, Camilla
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Illustre Monsieur, Bien que convaincue que mon pauvre écrit ne mérite pas votre attention, il m’est impossible de réprimer l’élan qui me pousse à vous exprimer toute mon immense admiration pour votre caractère et pour votre cœur, qui aujourd’hui apparaissent encore supérieurs à votre génie (lettre traduite de l'italien)

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Auteur(s) : Non signée
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Lettre de soutien.

Auteur(s) : Roodhuyzen, H. G.
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Envoi d'un poème néerlandais, avec la traduction en français.

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Auteur(s) : Cerasi, Mario
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Auteur(s) : Bey, Alessim
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Carte de soutien de la Jeunesse indépendante turque de Smyrne.

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Auteur(s) : Pardo, Enrico
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Auteur(s) : Collin, Axel
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Lettre d'admiration.

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Auteur(s) : Bernalconi, Ugo
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Dois ses premiers enthousiasmes littéraires à Zola.

Auteur(s) : Schuerma, Anna
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Lettre de soutien.

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Auteur(s) : Galuagni, Vittore
ITA Galuagni 1898_02_07.jpg
"Un admirateur de votre grand coeur"

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Auteur(s) : X,
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Lettre collective d'hommage.

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Auteur(s) : Costantini, Giuseppe
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Auteur(s) : Morglia [?], Albert
ITA Morglia 1898_02_07-01.jpg
Lettre de soutien d'un ingénieur italien installé à Bordeaux.

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Auteur(s) : Chiesa, Roberto
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Auteur(s) : Brioschi, Fr.
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Auteur(s) : Imre, Berényi
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félicitation (J'Accuse)

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Auteur(s) : Cordaro, Francesco
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Lettre du directeur de l'école des Arts et Métiers de Trapani.

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Auteur(s) : Lhermitte, Félicien, "instituteur en disponibilité"
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Lettre d'hommage de la part d'un "humble instituteur" qui lui apporte son "faible tribut".

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Auteur(s) : Renaudière, Eugène, "ancien secrétaire et membre du Comité de la Libre Pensée de Bruxelles"
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Hommage et sympathie. Proteste contre les "menées ténébreuses" des adversaires de Zola.
5, rue des Quatre-Vents. L'auteur était employé communal. 

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Auteur(s) : Zamboni, Filippo
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Auteur(s) : Linder, H.
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Lettre de soutien.

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Auteur(s) : Cornelio, Alessandro
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Lettre du cabinet du Ministère de l'Instruction.

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Auteur(s) : Joseph, Ida
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Lettre d'une admiratrice à Zola, au moment où il comparaît devant ses juges.
Ida Joseph, épouse de Th. Joseph, négociant à Bruxelles, 144, rue de Brabant.

Auteur(s) : Puttemans, H, "élève ingénieur agricole"
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"Bravo, Bravo, mille fois".

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Auteur(s) : Roger, Louis
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Vive admiration.L'expéditeur habite Tournai. 

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Auteur(s) : "La famille Gérard"
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"Bravo ! Zola".
La vve Gérard, rue des Arquebusiers 89 à Bruxelles est signalée comme "sans profession". 

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Auteur(s) : Wauters, Alphonse (1817-1898), archiviste de la Ville de Bruxelles, doyen de la Classe des Lettres de l'Académie royale de Belgique.
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Message d'hommage.

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