Votre recherche dans le corpus : 298 résultats dans 1506 notices du site.Collection : Les fiches
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Les pierres de Carnac
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Mots-clés : Carnet de voyage, Gustave Flaubert, Les pierres de Carnac
La palais de Julien
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 : "IV. Dans son chateau (sombre. le bien differencier du paternel. −"
- Scénario général, 1875, f° 493 : "son chateau. dans un pays meridionales."
- Brouillon, f° 478 : "Interieur du chateau. successi succession de galeries ornées arcs en fer à cheval ; − silence de mosquée"
- Brouillon, f° 464v° : "à l’interieur succession Des portes cintrées s’ouvraient sur. des galeries A en enfilade. . Des colonettes. . arcs en fer à cheval, carreaux de faïence, jets d’eau. . ebène − incrustations de nacre. des mille delicatesses d’architecture − des des ornements aux plafonds imitaient les stalactites le des grottes. nacre ebène sur les lambris d’ebène. silence d’eglise, silence que l’on entendait le frolemt d’une echarpe contre le mur ou l’echo d’un soupir. vitraux. avec dans les cours, des mosaïques sur les dalles B. ? assemblages des accouplemts de colonnettes, minces comm des roseaux supportaient. . . la voute des coupoles où des ornemts imitaient les stalactites des grottes et il y avait des jets 2 d’eau dans les chambres des mosaïques 1 mille delicatesses dans les cours, mille des cloisons festonnés les vitraux peints refletaient sur les nattes, des rosaces des entrelacs de couleur. exprès treillages de bois doré − des cages d’or laissaient passer l’air. un l’air frais passait − des arabesques On voyait dans les appartemts les plus sombres etaient eclairées par les incrustations des murs."
- Brouillon, f° 458 : "− Par Le cintre Des htes portes cintrées leurs ceintres ouvraient on apercevait s’ouvrait sur des galeries en enfilade A des assemblages de colonnettes minces (nl) comm des roseaux supportaient la voute des coupoles, ⎣où des ornements de voutes (nl) ornée garnies de reliefs legers pareils − − − − imitait d’en bas les stalactites des grottes A B Les appartem les plus obscurs etaient eclairés par les m se trouvaient eclairés ou il (nl) par les incrustations des (nl) treillages ⎣Des vitraux refletaient sur les nattes dalles des entrelacs de couleur] des il y avait, avec D Il y avait des mosaïques dans les cours, des jets d’eau dans les chambres, des cloisons festonnées, mille delicatesses d’architecture Le crepuscule des Les appartements etaient les plus obscurs etaient se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles − C partout un tel silence que l’on entendait le frolemt d’une echarpe ou l’echo d’un soupir."
- Brouillon, f° 459 : "⎣Le cintre des portes s’ouvrait sur les galeries en enfilade⎦. L’ombre dans Les appartements les plus obscurs à decor dor se trouvaient etaient se trouvait (nl) Les chambres pleines de crepuscule sombres eclairés par les incrustations des murailles Des assemblages des larges de De htes colonnettes, minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorée ornée de reliefs imitant figurant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les chambres, salles des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées, ouvragées mille delicatesses d’architecture et partout un tel silence, que l’on entendait le frôlement d’une echarpe ou l’echo d’un soupir."
- Brouillon, f° 470v° : "Les chambres, pleines de crepuscule se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles. De hautes colonnettes, minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorées ornées de reliefs imitant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les salles, des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées, mille delicatesses d’architecture – α partout un tel silence que l’on entendait le frôlement d’une etoffe echarpe ou l’echo d’un soupir."
- Manuscrit définitif, f° 44 : "Les pl chambres pleines de crepuscule se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles. De hautes colonnettes, colonettes minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorées de reliefs imitant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les salles, des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées mille delicatesses d’architecture. − α partout un tel silence que l’on entendait le frôlement d’une echarpe ou l’echo d’un soupir"
La guivre de Milan
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
- Scénario général, 1875, f° 493 (aucune mention)
- Brouillon, f° 433 : "Tue des monstres. comme la gargouilles tue un monstre qui ravageait le pays de X. ."
- Brouillon, f° 432v° : "c’est lui α non pas X comme on l’a pretendu qui tua X (= la tarasque d’Avignon Il tua des monstres C’est lui α non X comme on l’a pretendu qui tua la X = (gargouille de Tarasc)"
- Brouillon, f° 462v° : "C’est lui α non X qui tua la X = (tarasque d’Avignon). pas le sire de St Ubert. le sire Hans de Frankes cte de lui α non pas. le cte de Frankestein le Frankestein piemontais qui tua la guivre de Milan guivre de Milan, α le dragon de X α la C + dragon d’Oberbirbach. Gilles seigneur de Chin, le dragon de Wasmes en Hainaut"
- Brouillon, f° 456 : "c’est lui, α non le pas un autre extermina sire Ubert piemontais, lui α non plus le comte de Frankestein qui tua 1 la guivre de Milan, ⎣α le dragon d’Oberbirbach]. α le dragon d’Ober assomma la guivre de Milan α qui etrangla le dragon 2 d’Oberbirbach le dragon du Hainaut α la"
- Brouillon, f° 434 : "c’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
- Manuscrit définitif, f° 43 : "C’est lui, a pas un autre, qui assomma la guivre de Milan et le dragon d’Oberbirbach."
Mots-clés : Guivre, Gustave Flaubert, La Légende de saint Julien l'Hospitalier
Le grand cerf
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF, Mss, NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 : "Prediction du cerf."
- Scénario général, 1875, f° 492 : "le cerf, immobile. − Julien le blesse − Le cerf. − fait sa prediction."
- Brouillon, f° 425 : "− blesse le cerf. − le cerf parle − blesse le cerf. − Le cerf − qui a une barbe parle."
- Brouillon, f° 451 : "Le cerf (à barbe) s’avance α en face pred grave"
- Brouillon, f° 427v° : "Le cerf X (à barbe) s’avance. droit sur lui. Julien en a peur. − et en face, gravemt. − yeux, sa barbe, comm un patriarche A. faisait face au danger marche sur lui. J. ajuste sa dernière flèche. elle arrive l’atteint juste au front entre les 2 yeux il n’eut pas l’air de la sentir α continua. ."
- Brouillon, f° 429 : "Le gd cerf s’avança l’avait vu (Julien) il fondit sur lui J. Julien eut le temps. lui il ajusta avait vivemt jeta vivemt contre lui sa dernière. flèche. se planta l’atteignit au milieu du front Elle atteignit le cerf au front juste juste au milieu juste entre les deux deux yeux. α y resta plantée Mais Le gd cerf n’eut pas l’air de s’en apercevoir la sentir −"
- Manuscrit définitif, f° 40 : "Le gd cerf l’avait vu, fit un bond. lui Julien lui lança envoya bien vite sa dernière flèche. Elle l’atteignit au front, α y resta juste entre les deux gds yeux, α y resta plantée."
Le dragon d'Oberbirbach
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
- Scénario général, 1875, f° 493 (aucune mention)
- Brouillon, f° 433 : "Tue des monstres. comme la gargouilles tue un monstre qui ravageait le pays de X. ."
- Brouillon, f° 432v° "c’est lui α non pas X comme on l’a pretendu qui tua X (= la tarasque d’Avignon Il tua des monstres C’est lui α non X comme on l’a pretendu qui tua la X = (gargouille de Tarasc)"
- Brouillon, f° 462v° : "C’est lui α non X qui tua la X = (tarasque d’Avignon). pas le sire de St Ubert. le sire Hans de Frankes cte de lui α non pas. le cte de Frankestein le Frankestein piemontais qui tua la guivre de Milan guivre de Milan, α le dragon de X α la C + dragon d’Oberbirbach. Gilles seigneur de Chin, le dragon de Wasmes en Hainaut"
- Brouillon, f° 456 : "c’est lui, α non le pas un autre extermina sire Ubert piemontais, lui α non plus le comte de Frankestein qui tua 1 la guivre de Milan, ⎣α le dragon d’Oberbirbach]. α le dragon d’Ober assomma la guivre de Milan α qui etrangla le dragon 2 d’Oberbirbach le dragon du Hainaut α la"
- Brouillon, f° 434 : "c’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
- Manuscrit définitif, f° 43 : "C’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
Ballon
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Mots-clés : Ballon, Gustave Flaubert, Le Dictionnaire des idées reçues
L'arche de Noé
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan 1856, f° 490 (aucune mention)
- Scénario § II, 1875, f° 493 : "defile pr l’arche de Noë ou Adam dans le paradis sur un lui au milieu"
- Brouillon, f° 464v° : "- ou bien, defilant toutes deux à deux par couples, en commençant par les plus petites, comme celles que Noë poussait devant son arche"
- Brouillon, f° 462 : "- D’autres fois, elles defilaient devant lui, deux à deux par couples, depuis les moindres jusqu’aux plus gdes, comm lorsqu’elles sont le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë –"
- Brouillon, f° 464 : "ou bien, elles defilaient deux à deux deux à par rang de taille, depuis les sour lions et les baleines, elephants. les chameaux et les lions jusqu’aux aux. lapins canards et aux souris. hermines et aux canards coq d’Inde et aux lion deux par deux comm le jour qu’elles entrèrent dans dans l’arche de Noë."
- Brouillon, f° 470v° : "– ou bien, elles defilaient, deux à deux, par rang de taille, depuis les elephants et les lions jusqu’aux hermines et aux canards, comme le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë."
- Manuscrit définitif, f° 44 : "- ou bien, elles defilaient deux à deux, par rang de taille, depuis les elephants et les lions jusqu’aux hermines et aux canards, comme le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë."
Chasse aux lapins
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
- Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
- Scénario partiel, f° 418 : "precipite sur les blaireaux - bêtes sortant du terrier blaireaux. A"
- Scénario partiel, f° 425 : "quantité lapins debuchent des terriers. son basset les etouffe. blaireau"
- Scénario partiel, f° 451 : "Bientôt puis – ses sabots sur la terre dure le ciel pâlit et se raya son cheval glissait sur l’herbe glacee. le givre - d’une lueur barre rouge, sur un ciel verdatre. Quantité de lapins sur le bord de la route sortant de leurs terriers broutaient l’herbe. . - Les deux bassets, d’eux-mêm comm se multipliant, les tuaient d’un coup de dents. gueule - les couchaient par terre"
- Scénario partiel, f° 452 : "puis le Mais puis un coté du ciel pâlit une barre rouge sur un allait vint à pâlir le froid. - sur la terre dure. . puis le ciel pâlit une barre rouge sur un fond verdâtre ciel et dans les aux premières blanches blancheurs palir s’eclairait l’hor s’eclaircit du crepuscule. puis un coté de l’horizon s’eclaira il aperçut - distingua tout près de lui. . sur la lisière du bois tout près de lui autour de lui il apercut a la lisière des taillis d’innombrables au bord quantite de lapins. sur le bord de la route, quantité de lapins sortis sortant sortant de leurs terriers. ça et là, broutant broutaient l’herbe repandus courant et ça et là - ça et là. Les deux bassets, tout de suite se precipitèrent sur eux dessus courant de droite - allant - et de gauche et comme se multipliant les couchaient par terre d’un seul d'un premier premier du premier coup de gueule les couchaient par terre tuaient sur le flanc leur brisaient les reins renversaient occis cassaient couchaient."
- Brouillon, f° 428v° : "Puis Mais un côté de l’horizon du ciel s’eclaira s’eclaircit - et dans la blancheur du crepuscule, il aperçut autour de lui, au bord de la route s’eclaira. d’innombrables lapins, sortant de leurs terriers. terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent dessus, sur eux et ça et là, de droite a de gauche vivement leur cassaient les reins l'echine"
- Brouillon, f° 424 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit, et dans la blancheur du crepuscule, il apercut d’innombrables lapins, entre les herbes d’innombrabl d’innombrables d’innombrables sautillant parmi les herbes sautillant parmi les herbes. sortant de leurs terriers. sautillant au bord de leur terriers au bord de leur terriers et autour au milieu des herbes Les deux bassets tout de suite tout de suite se precipitèrent sur eux dessus sur eux et ça et là ; dessus sur eux -"
- Manuscrit définitif, f° 38 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit et dans la blancheur du crepuscule, il aperçut des lapins sautillant au bord de leurs terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent sur eux, et ça et là, vivement leur cassaient l’echine."
Boucs sauvages
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
- Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
- Scénario partiel, f° 415v° : "boucs chevres precipices"
- Scénario partiel, f° 425 : "B. une montagne blanch., precipices des boucs sur le bord. sauvages. - flèches."
- Scénario partiel, f° 451 : "se trouva tout a coup sur le bord d’un precipice - terrain blanc - ciel noir - il apercut De l’autre côté deux boucs sauvages. - terrains blancs et est et tellmt htes que le qu’etant arrivé parvenu ciel etait noir lui parut au sommet au dessus"
- Brouillon, f° 452 : "Devant lui En dessous un precipice effrayant - Sur une saillie un long rocher, pareil à la en formt crete d’un mur devant lui s’inclinait La crete du rocher large de rapidemt largeur descendait devant lui arrête en pente bordée de deux precipices surplombant et ayant de droite et a de gauche un precipice. et deux chèvres boucs sauvages - deux boucs sauvages. aventurés jusqu’au bout bord sous elles bout regardaient l’abime à l’extremité de la crête."
- Brouillon, f° 428v° : "Devant en face lui un rocher en forme de mur pareil à un long mur s’inclinait devant lui s’abaissait devant lui rapidemt, en surplombant de droite et de gauche un precipice et un et et se penchant penchait à l’extremité de la crete. du precip d’une faille d’une manière infaillible deux boucs sauvages regardaient l’abîme."
- Brouillon, f° 424 : "Devant lui, un rocher pareil à un long mur se penchait s’elançait s’abaissait en surplombant un precipice - et à l’extremité) - deux boucs sauvages regardaient l’abîme."
- Manuscrit définitif, f° 38 : "Devant lui, un rocher pareil à un long mur s’abaissait en surplombant un precipice ; et à l’extremité, deux boucs sauvages regardaient l’abime."
Le cerf aux seize andouillers
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan 1856, f° 490 : "II Prediction du cerf."
- Scénario 1875, § I, f° 492 : "- Le cerf."
- Scénario partiel, f° 425 : "- un cerf, sa biche, le faon."
- Scénario partiel, f° 451 : "- un vieux, la biche, le faon"
- Scénario partiel, f° 427v° : "un vieux cerf, une biche qui broutait la mousse. et son faon. - Le faon tacheté - - - - la biche broutait - - - le cerf (à barbe) à barbe regardait, la tête tournée."
- Brouillon, f° 429 : "Le cerf avait allait devant tout noir et qui etait prodigieux portait 16 24 16 andouillers. . . et noir de taille une gde barbe - avait l’air d’un patriar."
- Brouillon, f° 427 : "Le cerf qui était noir et monstrueux merveilleux et monstrueux de taille, portait seize andouillers avec une barbe blanche".
- Manuscrit définitif, f° 39 : "Le cerf qui etait noir et monstrueux de taille portait seize andouillers avec une barbe blanche."
Mots-clés : Cerf, Gustave Flaubert, La Légende de saint Julien l'Hospitalier