FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


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Collection : Les fiches

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
  • Scénario partiel, f° 408v° : "chasse au filet"
  • Scénario partiel, f° 418 : "tableau. tirasses. rosée - cailles"
  • Scénario partiel, f° 415v° : "equipages, filets."
  • Brouillon, f° 419v° : "et les dames des alentours avec leurs maris  conviées par le chatelain avec leurs enfants. collation collation - à coté sur l’herbe. beaux pâtés de gibier en un coin du pré, - près du source vive."
  • Brouillon, f° 420 : "et les dames con des alentours. conviés avec leurs maris, les petits enfants, les camerières, tout le monde les pouvait prendre avec la main. Puis on collationnait, auprès d’une source vive, en un coin du pré. Ensuite Puis on se regalait dejeunait sous la fraicheur frais des arbres"
  • Brouillon, f° 419 : "- et les dames des alentours conviées avec leurs maris, les enfants, les camerières, tout le monde se jetait dessus et les empoignait facilement. ensuite Puis on dejeunait à l'ombre sous à l'ombre des saules en un coin du pré"
  • Brouillon, f° 429v° : "- et les dames des alentours, conviées avec leurs maris, les enfants tout le monde les camerières se jetait dessus, les prenait empoignait prenait empoignait se et les  empoignaient et les prenait - facilement. Puis on dejeunait à l’ombre dans des saules, eun coin du pré"
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "et les dames des alentours conviées avec leurs maris les enfants, les camerières tout le monde se jetait dessus et les empoignait prenait facilement."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario § II, 1875, f° 493 : "Qq fois voyait autour de lui – toutes les bêtes de la creation comme dans Adam defile pr l’arche de Noë ou Adam dans le paradis sur un lui au milieu"
  • Brouillon, f° 464v° : "Qqfois il voyait en dans un rêve, toutes les bêtes de la creation autour de lui, com Adam dans le Paradis ; - leur mettait sur la main sur le front, et elles mouraient"
  • Brouillon, f° 462 : "Qqfois, il se voyait en rêve. Il se croyait Des songes le troublaient. etait tel qu’ comme Adam dans le Paradis terrestre entouré de toutes les bêtes de la creation. etendait la main sur leur front – et toutes mouraient. et il n’avait qu’à atten etendre la main sur leur front pr les faire toutes mourir."
  • Brouillon, f° 464 : "Qqfois Des songes le troublaient qqfois Il voyait se voyait comm à la place de  qqfois, il etait comm Adam notre père  au milieu du Paradis, deva entre tous les bêtes de la creation - - et en allongeait en allongeait il n’avait qu'à etendre le toucher d’un doigt etendre son bras comm pr le faire mourir."
  • Brouillon, f° 470v° : "Des songes le troublaient. Qqfois, dans un en rêve il se voyait à la place de comm notre père Adam, au milieu du paradis, entre toutes les bêtes. - puis et en allongeant le son bras, il les faisait mourir."
  • Manuscrit définitif, f° 44 : "Quelquefois, dans un rêve, il se voyait comme notre père Adam au milieu du paradis, entre toutes les bêtes. - et en allongeant le bras il les faisait mourir -"

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Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le lépreux. passage."
  • Scénario, § III, f° 494 : "il allume sa lanterne. - Le bateau glisse comme sur des patins. Le lepreux -"
  • Scénario partiel, f° 470 : "- rien que les deux yeux du mendiant et la lanterne."
  • Brouillon, f° 448 : "Des oiseaux aveuglés par la lumière de la lanterne se cognaient contre la vitre de corne - Alors les rayons des yeux du lepreux immobile il se tenait debout contr comm une colonne -"
  • Brouillon, f° 449 : "de temps à autres attirés par la lumiere de la lanterne se cognaient abrités aveuglés par La Sa petite lanterne à vitre de corne faisait un point jaune brillait devant lui. Des oiseaux de gds temps à autres, pass voletaient autour attirés par sa lumière voletait voletaient à l’entour et la cachaient par intervalles alors il ne voyait plus que Mais il apercevait toujours les deux prunelles fixes du lepreux qui se tenait debout à l’arrière immobile comm une colonne -"
  • Brouillon, f° 445v° : "Sa petite lanterne brillait devant lui. Des oiseaux,en voletant en voletant attirés par sa lumière voletaient à l’entour, qque sa lueur attirait passaient dev la cachant qqfois  par intervalles par intervalles - Mais il apercevait toujours les prunelles fixes du lepreux qui se tenaient tenait restait debout à l’arrière, immobile comme une colonne -"
  • Brouillon, f° 446v° : "Sa petite lanterne brûlait brillait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. - Mais toujours, il apercevait les prunelles du lepreux qui se tenait debout à l’arrière immobile comme une colonne -"
  • Mise au net, f° 444 : "Sa petite lanterne brûlait brillait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. Mais pe et Mais toujours il apercevait les prunelles du lepreux qui se tenait debout, à l’arrière, immobile, comme une colonne."
  • Manuscrit final, f° 55 : "Sa petite lanterne brûlait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. Mais toujours il apercevait les prunelles du lepreux, qui se tenait debout à l’arrière, immobile comme une colonne -"

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Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le clair de lune l’avait excité à la chasse. rentre. - tue"
  • Scénario, § II, f° 493 : "Les deux vieux couchés Julien tâte les bonnets la barbe et les cheveux - meurtre."
  • Scénario partiel, f° 480 : "et comm il eta se penchait pr la baiser au front, il sent sous au dela sa main une barbe. - Il tâta plusieurs fois. ne s’est pas trompé. trouble. – puis fureur subite, enragée. - p c’etait un av homme, et cet homm etait l’amant de sa femme. – Jalousie. Comme si un volcan en lui eut eclaté, tira son coutelas. - et les egorge."
  • Scénario partiel, f° 436v° : "et allongeant le bras pr l’embrasser. il sentit sous sa main une barbe. comm une toison legère alors il Julien se recule recula, croyant qu’il se s'etre qu’il s’etait trompé, qu’il est et ayant peur de devenir croyant qu’il devenait fou. – il tâte encore. très emu C’etait bien la C’etait bien une barbe d’un homme, et pas fureur subite et jalousie persuadé que c’etait sa femme couchée avec son amant un hom sa femme. comme si un volcan eut eclaté en lui, Ce qu’il sentit, il ne put se le rappeler, M - une douleur atroce - une (nl) le se precipite sur eux comm un tigre. tire son poignard cimetère comm un dechiremt de tout son être - poignard. - bien dirigé. . deux coups."
  • Brouillon, f° 454 : "Et comme il lui passait le bras gauche sous la tête, - en mêm temps qu’il allongeait le bras droit pr l’embrasser, il sentit sous sa main qque chose de pareil à une toison. une barbe. - Tout de suite Julien se recula sûr de s’etre trompé, croyant qu’il devenait fou Il... tâte tr.. très emu... C’etait bien la barbe et un homm – Un homm couché avec sa femme ! Ce fut com Eclatant d’une colere demesu Ce qu’il ressentit, il ne put se rappeler. Une douleur atroce - un dechiremt de tout son être - comm si un volcan eut eclaté en lui. Tout de suite une colère demesurée eclata en lui dans son coeur comm un volcan.- tira son poignard, il se rua comm un tigre sur les deux corps endormis - deux coups. et les assassina à coups de poignards."
  • Brouillon f° 453 : "Quand il fut au bord pr baiser sa femme au bord, il se pencha sur l’oreiller, afin de baiser sur le front sa femm où les deux têtes reposaient etaient l’une près de l’autre Alors sentit contre sa bouche l’impression d’une barbe. Il se recula, sûr d’etre trompé croyant qu’il devenait devenir fou. Il Mais Puis il revint près du lit - et ses doigts palpant de nouveau qu rencontrèrent des cheveux qui étaient très longs. Alors Sa poitrine il respira largement. Soupira de bonheur - et délivré respira à pr mieux se convaincre mieux de son erreur il repassa lentement sa main avec ses doigts sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette f cette fois ! - un homme - un homme couché avec sa femm ! Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur les deux corps et les assassina sur eux à coups de poignard."
  • Mise au net, f° 435 : "Quand il fut au bord, afin de baiser sa femme sur le front, il se pencha vers sur l’oreiller, où les deux têtes reposaient l’un près de l’autre alors il sentit contre sa bouche l’impression légère d’un imp barbe Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit et ses doigts en palpant, rencontrèrent des cheveux qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentemt sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois - et un homm un homme couché avec sa femm. Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur eux à coups de poignards"
  • Manuscrit final, f° 50 "Quand il fut au bord, afin d’embrasser sa femme, il se pencha sur l’oreiller ou les deux têtes reposaient l’une près de l’autre. Alors, il sentit contre sa bouche l’impression legère d’une barbe. Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit, et ses doigts en palpant rencontrèrent des cheveux, qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentement sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois, et un homme ! - un homme couché avec sa femme. Eclatant d’une colère demesurée il bondit sur eux, à coups de poignard"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, f° 704 : "Machaerous"
  • Scénario § I, f° 708 : "Machaerous. forteresse"
  • Scénario, f° 722 : "Macherous. chat palais et l’enceinte."
  • Scénario partiel, f° 724 : "Macherous. forteresse. palais."
  • Scénario partiel, f° 725 : "Macherous. forteresse. palais enceinte."
  • Brouillon, f° 721 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte. - En dessous, la ville -"
  • Brouillon, f° 706v°-755 : "Machaerous, forteresse - palais, enceinte."
  • Brouillon, f° 720 : "Macherous. - citadelle - chateau -"
  • Brouillon, f° 732v° : "Machaerous, sur la cote orientale de la mer Morte, au milieu des montagnes - batie sur d’un cône aplati -, le sommet aplati entre quatre vallées profondes, dans quatre directions profondes - Au bas du cône. une ville  sur les inegalites du terain. une ville etablie et sa base et dont les m cerclée de murs et faisant un cône, comme un bracelet - sur la crête des montagnes Elle avait en dessous d’elle - au pied un cône. à x d’elevation au-dessus de la mer Morte. -"
  • Brouillon, f° 729v° : "La citalle de La citadel Machaerous - sur la rive orientale de la mer Morte, au milieu des montagnes batie sur le sommet d aplani d’un d’un cône aplati. Elle se dressait sur un pic ayant avec ayant la form sur un pic escarpé - isolé Il avait ayant ayant la forme d’un cône d’un cône Au dessus de quatre vallées (ids) et quatre crete vallée crete profondes, et profondes l’entouraient qu’entouraient cretes profondes separées les unes par des cretes separees par des cretes aigues  - dominant des ravins transervaux M com les arêtes d’une epine de poisson - N. Il y avait à sa base une ville allant dans quatre directions. une en face la plus gde deux sur les cotés une autre les cretes aigues d’où devalait la 4e par derrière -"
  • Brouillon, f° 539v° : "La citadelle de Macherous se dressait à l’Orient de la mer - Morte - sur au au milieu des montagnes au milieu des montagnes, sur un pic de basalte escarpé de basalte ayant cone, ayant Il avait la forme d’un cône  aplati par les sommet. et et qu’entouraient quatre profondes vallees quatre Quatre vallées profondes, l’entour une en face deux sur les côtés, flancs une en face, la quatrièm par derrière."
  • Brouillon, f° 549v° : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’orient de la Mer-Morte, sur un pic de basalte ayant la forme d’un cone. Quatre vallées profondes l’entouraient, une en face deux sur les - vers les et flancs, la quatrième par derrière. au delà"
  • Brouillon, f° 538v° : "La citadelle de Macherous se dressait à l’orient de la Mer-Morte, sur un pic de basalte, ayant la forme d’un cône. Quatre vallées profondes l’entouraient une en face, deux sur les flancs, la quatrième par derrière."
  • Brouillon, f° 548v° : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’Orient de la mer-morte, sur un pic de basalte ayant la forme d’un cône. Quatre vallées profondes l’entouraient, deux aux vers les flancs, une en face, la quatrième au delà." 
  • Mise au net, f° 654v° : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’Orient de la mer-morte, sur un pic de basalte, ayant la forme d’un cône. Quatre mont. vallées profondes l’entouraient deux vers les flancs, une en face, la quatrième au delà." 
  • Manuscrit définitif, f° 58 : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’orient de la mer-Morte sur un pic de basalte, ayant la forme d’un cône. Quatre vallées profondes l’entouraient : deux vers les flancs, une en face, la quatrième au delà."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "Et Voilà la legende de St Julien Lhospitalier telle qu’elle est racontre racontée sur les vitraux de la cath de ma ville natale."
  • Scénario 1875, § III, f° 494 : "Ainsi finit l’histoire de St Julien, l Hospitalier, telle à peu près qu’elle est contée, sur un vitrail d’eglise dans mon pays."
  • Scénario partiel, f° 470 : "icy finit l’histoire de St Julien, telle à peu près qu’elle est contée sur un vitrail d’eglise, dans mon pays."
  • Brouillon, f° 444v° : "icy finit l’histoire de St Julien telle qu à peu près qu’elle est contée sur un vitrail d’eglise dans mon pays."
  • Brouillon, f° 447° : "ici finit l’hist et voilà l'histoire de St Julien l’hospitalier l'hospitalier telle à peu près qu’on qu’elle est contée la trouve sur un vitrail d’eglise dans mon pays."
  • Brouillon, f° 446 : "Et voilà l’histoire de St Julien l’hospitalier telle à peu près qu’on la trouve sur un vitrail d’église, dans mon pays"
  • Mise au net, f° 447 : "Et Voilà l’histoire de St Julien l’hospitalier telle à peu près qu’on la trouve sur un vitrail d’eglise dans mon pays"
  • Manuscrit définitif, f° 57 : "Et voilà l’histoire de St Julien-l’Hospitalier telle a peu près qu’on la trouve sur un vitrail d’eglise dans mon pays."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "Jesus Christ."
  • Scénario 1875, § III, f° 494 : "Le bonhomme grandit, la cabane s’illumine. tout eclate. C’est Jesus-christ - l’enleve au ciel."
  • Scénario partiel, f° 470 : "Le bonhomme grandit. s’allongea. avec. le feu se ranimant jete une gde lueur. Sa tête touchait aux 2 murailles parois la cabane s’illumine tout eclate. C’est Jesus.-Christ. - l’enlève au ciel"
  • Brouillon, f° 444v° : "Le lepreux. . et son corps s’allongea. avec sa tete et les pieds, il touchait aux deux côtés de la cabane - B. à mesure que se sert serrait serré changemt progressif de sa figure. les yeux. - le front - se deplisse. les cheveux blonds blondirent rayons Le feu le Feu se s’anime, avec eclaire, jete une gde lueur. comm une clarté d’etoiles - blancheur de coupole - tout eclate. le toit s’envole. Le lepreux C’etait notre Seigneur Jésus qui l’emportait dans le ciel."
  • Brouillon, f° 447v° : "Alors le Lepreux l’etreignit se lev - et ses prunelles yeux tout à coup prirent une lueur d’etoiles - Ses rares cheveux blan Sa ses chevelure cheveux se leverent comm les rayons du soleil - Son sa peau prit une Son haleine eut la douceur des roses. avait douceur de colombe s’echappa - Les flots chantaient des un nuage d’encens s’eleva jaillit du foyer et il grandissait, gdisait touchant avec la sa tête et ses talons les deux parois murs de la cabane. Le feu se ran jaillit du foyer. Le toit s’envola. - le firmamt couvert d’etoiles -"
  • Brouillon, f° 446 : "Alors le Lepreux l’etreignit, - et ses prunelles tout a coup prirent une clarté d’etoiles, ses cheveux s’allongèrent comme les rayons du soleil le souffle de ses narrines avait la douceur des roses. Un nuage d’en s’eleva du foyer, les flots chantaient - B Et celui dont bras le serraient toujours il grandissait, grandissait touchant avec sa tete et ses talons les deux murs de la cabane ; le toit s’envola - le firmament se deployait. -"
  • Mise au net, f° 447 : "Alors le Lepreux l’etreignit - et ses yeux tout à coup, prirent une clarté d’etoiles, ses cheveux s’allongèrent se levèrent comm les rayons rais du soleil. Le souffle de ses narrines avait la douceur des roses. un nuage d’encens s’eleva du foyer ; les flots chantait chantaient."
  • Manuscrit définitif, f° 57 : "Alors le Lepreux l’etreignit ; et ses yeux tout à coup prirent une clarté d’etoiles. ; Ses cheveux s’allongèrent comme les rais du soleil. ; Le souffle de ses narrines avait la douceur des roses ; un nuage d’encens s’eleva du foyer, les flots chantaient."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2 :
  • Plan, f° 704 : "Machaerous"
  • Scénario, § I, f° 708 : "Machaerous. forteresse"
  • Scénario, f° 722 : "Macherous. chat palais et l’enceinte"
  • Scénario partiel, f° 724 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte."
  • Scénario partiel, f° 725 : "Macherous. forteresse. palais enceinte."
  • Brouillon, f° 721 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte."
  • Brouillon, f° 706v°-755 : "Machaerous, forteresse - palais, enceinte."
  • Brouillon, f° 720 : "Macherous. - citadelle - chateau –"
  • Brouillon, f° 732v° : "des murs l’enfermaient - et etaient reliees à la forteresse par un chemin en zigzag - à la forteresse. - Les murs La forteresse = 160 coudees - murs  augmentaient la hteur du cône. crenelés - crenaux - avançant beaucoup sur la la mer surplombant  le precipice. - avec des tours. carrés Le chateau. palais aspect exterieur et au milieu, un palais - - et ça faisait comm 2 cercles et au centre de ce disque, - la forteresse - un palais carré - portiquesdu a la romaine quadrangulaire portiques des int avec des cours interieures. -"
  • Brouillon, f° 729v° : "- on allait on allait de la ville à la forteresse par un chemin en zig-zag. à la forteresse. - De ce cote là, du - sur ce rocher Les murs dont la hteur se trouvait accrue par qui l’entouraient, murs 60 coudées, lisses, - - - tours carrées comm les fleurons d’une couronn surplombant - de sorte que l’enceinte de la ville en dessous faisait un cercle et l’enceinte de la forteresse faisaient deux cercles concentriques. deux (nl) plus large. - et le moins elevé - le plus large et le plus bas, entourait le plus petit. le plus petit au tout. Au centre du sommet du cône, un palais à la romaine, a la rom entouré portiques de form quadrangulaire avec des cours interieures - etc. un toit plat en terrasses, bordé d’un balustrade"                             
  • Brouillon, f° 539v° : "- et un chemin en zig-zag montait grimpant sur le rocher en elle se reliait de la ville la ville à la forteresse - dont la hauteur, dont la hteur de ce côté , semblait etait  semblait  prodigieuse. inaccessible. formidable Car dont les Ses murailles angles rentrant multiples nombreux gr crenaux. qui l’enfermaient, grandissaient le rocher - haute de 120 soixante coudées etaient - - lisses, plus com de l’albatre - du marbre        de granit avec des tours carrées de place en place - avaient. dans toute sa circonference faisaient comme les fleurons d’une couronne - Si bien que la ville et la forteresse se tenant dans l’air formaient deux cercles le plus gd a la base, et le plus petit au sommet. de cette gigantesque la ville de pierre - suspendue au dessus de l’abim Les geante qui de en pierres se tenant se tenait dans l’air dans l’air dans l’air continuaient augmentaient l’elevation de la montagne Dans l’interieur dont les murailles à pic  etaient htes de 120 coudées perpendiculaires  htes de 120 coud garnis de crenaux, au sommet, - partout lisses que du marbre, avec des angles rentrants nombreux. - et renforcees par des tours. allaient mettaient ce qui faisait comm les des fleurons de cette couronne de pierre. se tenant tenait au dessus"
  • Brouillon, f° 549v° : "La ville se reliait à la forteresse  citadelle, qu dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées, avec des angles rentrants fort fort nombreux, - des crenaux sur le bord et des tours ça et là, ça et là qui faisaient comme des fleurons, à cette couronne de pierres - se tenant au dessus de l’abime."
  • Brouillon, f° 538v° : "la ville se reliait à la forteresse, dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées plus surface luisante que la surface d’un miroir, glissante avec des angles encognures des encognures plus fortes angles nombreuses des crenaux tout le long de leur tout le long. . . sur leur bord et ça et là des tours, - qui faisaient faisait comme des fleurons à cette monstrueuse] couronne de pierre, se tenant au dessus de l’abîme."
  • Brouillon, f° 548v° : "- et par un chemin en zig-zag tailladant le rocher la ville se reliait à la forteresse dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées avec des angles nombreux, des crenaux sur les le bords, et ça et là des tours qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abime." 
  • Mise au net, f° 654v° : "et par un chemin en zig-zag grimpant sur spirale tailladant escaladant escaladant le rocher, la ville se reliait à la forteresse, . dont les murailles etaient hautes de cent quinze quatorze vingt coudées avec des angles nombreux, des crenaux sur les bords, et ça et là des tours, qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abîme." 
  • Manuscrit final, f° 58 : "et par un chemin en zig-zag tailladant le rocher, la ville se reliait à la forteresse - dont les murailles étaient hautes de cent vingt coudées, avec des angles mombreux, des crenaux sur le bord, et ça et là des tours, qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abime."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, f° 704 : "Machaerous"
  • Scénario, § I, f° 708 : "Machaerous. forteresse, ville – paysage. — Matin. le jour se lève, brouillard"
  • Scénario partiel, f° 722 : "Macherouschat palais et l’enceinte – ville en dessous. horizon"
  • Scénario partiel, f° 724 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte. La ville en dessous. panorama et horizon"
  • Scénario partiel, f° 725 : "Macherous. forteresse. palais enceinte. La ville au dessous. panorama – horizon"
  • Brouillon, f° 721 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte. En dessous, la ville – panorama, horizon "
  • Brouillon, f° 706v°-755 : "Machaerous, forteresse - palais, enceinte. la ville. horizon"
  • Brouillon, f° 720 : "Macherous. - citadelle - chateau – ville L'horizon"
  • Brouillon, f° 732v° : "à douze cents pieds sous lui. La vallée sous lui semblait tomber dans la mer Morte, bien qu’elle fut distance de 4 à 5 mille. soixante stades - La mer Morte en face dans presque toute son etendue. - plaque oblongue d’azur, ecume couverte de brouillard - les montagnes de la Judée -"
  • Brouillon, f° 729v° : "La vallée en face couverte de brouillards. et comm le soleil se levait do sous lui, la plus profonde de toute semblait tom se precipiter dans la Mer Morte bien qu’à la distan de 3,800 pas. - Jerusalem, masse d’or et de neige la Mer Morte comm couverte de brouillard, comm une gde tache plaque de lait ovale et flottant - gde plaque de lait ovale et oscillante. car tout au loin, à six lieues de distance. les montagnes grises et raboteuses Le soleil Le jour levant qu’on ne voyait pas a qui se levait derrière lui eclaira les montagnes de la Judée -"
  • Brouillon, f° 538v° : "puis Plus bas un nuage une tache ovale table plaque flottait doucement, il se dechira et c’etait laiteuse et qui ovale et de couleur laiteuse oscillait doucemt. sur car un brouillard et à travers cette brume Dans la transparen les contours de la mer-Morte apparurent se dessinèrent. Le soleil, qui se levait au dela de derrière Macherous et qu’on ne qu’on ne voyait pas et qui se levait derriere Macherous tout au loin à six lieues et de l'autre côté sur l'autre bord de distance les montagnes il aperçut d’un seul coup Antipas d’un seul coup d’oeil  de la Judée grises grisatres et raboteuses. fonçures -"
  • Brouillon, f° 549v° : "Les montagnes crêtes  sous lui, commençaient à decouvrir leurs longues crêtes, prof arêtes longues cretes tandis que toute leur masse, jusqu’au fond des ravins etait encore demeurait par cela était encore dans l’ombre. - au dela sous lui et Plus bas un encore un nuage roule et (nl) se dechira, flottait doucemt. Il se dech dechira et les contours de la mer-Morte apparurent. L’aube la lueur du L’aube Le soleil qui se levait derrière et les contours de la mer-Morte apparurent. Le soleil qui se levait derrière au dela Machaerous et qu’on ne voyait pas venir dans le ciel, une large blancheur eclairant l’horizon, Antipas d’un seul coup d’oeil embrassa, de l’autre coté L'aube etalait partout du lac, à six lieues de distance, a chaque minute - dans un arc les montagnes de la Judée les coll de l’autre bord. Elle eclairait se levait au bord, dans les collines de l’autre bord au fond de l’hor partout au milieu dans un arc de vingt lieues a à six (nl) distance toutes montagnes partout sur leurs pitons raboteuse et grisatre les taches plus sombres, de dimension de grandeur differe inegales de de dimensions inegales - et espacés les unes des autres."   
  • Brouillon, f° 548v° : "Les cretes des Les montagnes immediatement sous lui, commençaient à saillir, commen  au dessous commen au dessous au dessous com decouvraient leurs arrêtes decouvr commençaient à decouvrir pendant que toute leurs masse, jusqu’au fond des ravins etait etaient etaient encore dans l’ombre. Un nuage se dechira et les contours de la Mer-Morte apparurent. un brouillard flottait ; il se dechira La clarté de l’aube se levait et le soleil qui epandait une clarté a chaque moment progressivement completmt soleil L’aube qui se levait derrière Machaerous, et qu’on ne voyait pas epandait une lum lueur une clarté rougeur à chaque moment plus vive. Elle eclairait illuminait illuminait les sables de la grève. illum le desert le blanc du rivage des collines le desert les collines, le desert à douze d’intervalles à douze d’inter dou à douze d’inter dans le cercle et plus loin dans un arc immense de vingt lieues. des collines, le desert et plus loin dans un tous les monts les montagnes de Judée, inclinant leurs surfaces rabotteuses et grises."
  • Mise au net, f° 654v° : "Les montagnes immediatement sous lui, commençaient à decouvrir leurs arrêtes crêtes. pendant que leur masses jusqu’aux fonds des ravins, etaient encore dans l’ombre]. Un brouillard flottait ; il se dechira, un brouillard flottait il se dechira  et les contours de la Mer-morte apparurent ] Un brouillard flottait au loin - il se dechira un brouillard flottait il se dechira - L’aube qui se levait derrière Machaerous epandait une rougeur. Elle illumina bient bientot d’un seul coup les sables de la grève, des collines, le desert, des collines le desert et plus loin dans un arc de vi vingt lieues dans un arc dans un arc dans un arc de lieues 30 tous les monts de la Judée inclinant leurs surfaces raboteuses rocailleuses et grises." 
  • Manuscrit final, f° 58 "Un brouillard flottait, il se dechira, et les contours de la Mer-Morte apparurent. L’aube, qui se levait derrière Machaerous, epandait une rougeur. Elle illumina bientôt les sables de la grève, des collines, le desert, et plus loin tous les monts de la Judée, inclinant leurs surfaces raboteuses et grises."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario partiel, f° 724 : "- Sa pose attentive contemplative rappel du paysage."
  • Scénario partiel, f° 725 : "Il se remet à regarder l’horizon - rappel du paysage -"
  • Scénario partiel, f° 750v°-f° 752 : "puis se remet à regarder l’horizon. - (rappel du paysage.) et reste immobile dans sa posture."
  • Scénario partiel, f° 709 : "- et reprend sa pose rêveuse." 
  • Scénario partiel, f° 714v° : "- et le congedie d’un geste - puis reprend sa pose -qu rêveuse"
  • Scénario partiel, f° 745v° : "Antip. se remet à songer la tête dans les deux mains."
  • Brouillon, f° 719v° : "et Antipas se remet à songer, la tête dans ses mains. Accoudé sur la balustrade. tout l’horizon de la mer Morte devant lui."
  • Brouillon, f° 729 : "Antipas se remet à songer, - la tête dans ses mains accoudé sur la balustrade, ayant tout l’horizon de la Mer-Morte, devant lui."
  • Brouillon, f° 727 : "Antipas se remet à songer, la tête dans ses mains, accoudé sur la balustrade ; ayant tout l’immense et la Mer-Morte devant lui. rappel du paysage contribuant à sa tristesse. immense tristesse. - Le Passé de ces lieux pese sur lui : ecroulemt vague d’un monde souvenir des villes maudites - c’est comm la region de la mort.
  • Brouillon, f° 746 : "Antipas se remit à songer - sur la balustrade. et le Paysage autour de lui augmentait sa tristesse - les grands rocs escarpés - bouleversemt de la nature Montagnes pans inclinées, - comm des pans de mur qui croulent. - la brutalité des couleurs à tons opposés ces ravins finissant en abime lui donnaient le vertige, lui causaient un malaise, et tout l’horizon un ovale de 20 lieues tandis que la crête - la mer Morte un dallage bleu. . Il pensait à toutes les guerres qui avaient eu lieu, là. - les colonnes. . . comme des amphitheatres gradins terrains - les montagnes affectant la forme de ruines vertiges les precipices béants sous lui - vaisseaux - dans un gd. Souvenir des villes maudites - sejour de la desolation et de la mort. - sent la fin d’un monde.  souvenir des villes maudites    gds châtiments. - colère de l’Eternel."
  • Brouillon, f° 541v° : "d'ailleu ces ravins autour de lui ces gouffres au flanc entonnoirs finissant des falaises en chaines et les abîmes beants ces pan montagnes pareilles à des pans de mur s’ecroulaient, ces ravins ffinissant en precipices, precipices penchés comm des pans de mur le la heurt violence des couleurs, - s’etalant en plaques inegales causaient un vertige malaise l’elevation des somt la brusquerie des precipices l’air - l’elevation où il se trouvait, lui donnaient un malaise, un malaise, un et il avait comme un sentimt de desolation et de mort causé caetsé La desolation, tristesse la mort lui entraient dans l’ame par cet amphitheatre de trente lieues un ce circuit Sans rien de vivant, - partout des colonnes, des gradins des campagne avait des ruines - vagues colonnes des amphitheatres, en ruines cèdre des des morceaux de colonnes des gradins confondus"
  • Brouillon, f° 545v° : "et puis D’ailleurs tous ces ravins autour de lui, comm des etages de gds flots petrifies tout aut. des ces gouffres finissant en abimes noirs au flanc des falaises - et pui toutes ces montagnes ondulations de terrains en desordre, com des flots - par etages d’un ocean petrifié penchées comm des pans de murs qui s’ecroulaient - la violence des couleurs] l’elevation des sommets, et la profondeur la brusquerie des precipices la vibration de la lumiè lui causaient le troublaient lui donnai un vertige un malaise - des precipices dans une lumière naturellement immobile les terrains ont la forme de ruines figurant. où la terre campagne figure monta  des pylones s’ecroulant  - et la desolation, poudroiemt bleu derriere lui la mort lui entrait dans l’âme devant cet l’immens horizon où l’on croyait voir des restes d’amphitheatres - des tronçons des tronçons colonnes, et des gradins confondus, des palais devastés, de colonnades des ruines d’amphitheatres et - L’odeur âcre du souffre et la poudre cendres des volcans. lui apportaient le souvenir la plainte des villes maudites - gds chatiments."
  • Brouillon, f° 546 ht : "D’ailleurs, toutes ce montagnes autour de lui comm des etages de gds flots petrifiés, ces gouffres noirs, les ces gouffres abimes noirs l’espace infini au flanc des falaises au flan des falaises, la profondeur des profon precipices, la vibration de la lumière - le developpemt du ciel bleu l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour et la profondeurs des abimes précipices escarpemts abimes le troublaient, lui donnaient causaient un vertige. - devant devant au spectacle du desert un desolation l’envahissait et au spectacle du desert qui figure dans le bouleversemt de ses terrains de ces la mort lui entrait dans l’ame à regarder le vaste horizon, où la campagne figure comme des pylônes s’ecroulant, des tronçons de colonnades, des ruines restes des tronçons de d’amphitheatre et de palais abattus. L’air chaud l’exhalaison apportait avec l’odeurs de soufre et de volcans comm le souvenir des villes maudites ensevelies englouties devant lui sous les eaux pesantes."
  • Brouillon, f° 545 : "D’ailleurs toutes ces montagnes ces monts autour de lui, - comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs au sur flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu l’eclat violent du jour, la profondeur des precipices abimes le troublaient, lui donnaienle vertige - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains des pylones s’ecroulant, des tronçons de colonnades colonnes, des restes de d’amphitheatres et de palais abattus."
  • Brouillon, f° 540 : "Tous ces monts autour de lui, comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs sur le flanc des cavernes, falaises l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour, la profondeur des abîmes le troublaient ; - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure, dans le bouleversement de ses terrains, des ruines d’amphitheatre et de palais abattus. Le vent chaud apportait , avec l’odeur du soufre, comme l’exhalaison des Villes-Maudites recouvertes ensevelies enfouies par sous les eaux pesantes plus bas le sous rivage. Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée. -"
  • Brouillon, f° 575v° : "Tous ces monts autour de lui comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs sur le flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour, la profondeur des abîmes le troublaient - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains des ruines d’amphitheatre et de palais abattus. Le vent chaud apportait avec l’exhal l’odeur du soufre, comm l’exhalaison des villes maudites, ensevelies plus bas que les rivages, sous les eaux pesantes. Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée. -"
  • Mise au net, f° 649v° : "Tous ces monts autour de lui, comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs cavernes noires sur le flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour la profondeur des abîmes le troublaient. - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains, des ruines d’amphitheatre et de palais abattus. Le vent chaud apportait avec l’odeur du soufre, comme l’exhalaison des villes maudites, ensevelies ensevelies plus bas que le rivage, sous les eaux pesantes Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée -"
  • Manuscrit final, f° 60 : "Tous ces monts autour de lui, comme des etages de grands flots petrifiés, les gouffres noirs sur le flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour, la profondeur des abîmes le troublaient, - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains, des ruines d’amphitheatres et des palais abattus. Le vent chaud apportait avec l’odeur du soufre comme l’exhalaison des villes maudites, ensevelies plus bas que le rivage, sous les eaux pesantes - Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée ;"
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