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Des lampions ! des lampions !
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 89 (NAF 17607) : "- il continue α sur le boulevard, aux attroupements de la Porte St Martin rencontre les Dambreuse"
- Esquisse, f° 69v° (NAF 17607) : "Il continue devant lui - et arrive aux attroupements de la Porte St Martin. rencontre les Dambreuse on crie des pamphlets immondes (v. journ illustres) α vive Barbès vive Napoleon. "des lampions, des lampions."
- Esquisse, f° 104 (NAF 17607) : "Il continue devant lui α arrive jusqu'à la Porte St Martin où se tiennent des attroupements - "clubs du Desespoir. On crie des pamphlets immondes. (v. Journées illustrées) - "Vive Barbès ! vive Napoleon -" des gamins chantent en regardant les fenêtres "des lampions, des lampions !"
- Brouillon, f° 94v° (NAF 17607) : "Des vendeurs hommes crient à vendre les pamphlets immondes - on crie "Vive Barbès. vive Napoleon" "des lampions, des lampions"
- Brouillon, f° 114 (NAF 17607) : "vendeurs de pamphlets immondes, peu ecoutés Mais on crie Vive Barbès" vive Blanqui Napoleon en cadence "des lampions, des lampions !"
- Brouillon, f° 115 (NAF 17607) : "Les travailleurs du Luxembourg s'y etaient joints - on crie "vive Barbès" puis vive Napoleon nous l'aurons figures sinistres temps figures irrités fameliques - yeux caves - soir sinistre psalmodient des lampions, des lampions"
- Brouillon, f° 111v° (NAF 17607) : "la qq catastrophe A approchait approchait - par Des gamins psalmodier des "lampions, des lampions !" on tarda à allumer aux fenêtres et comme les fenêtres ne s'allumaient pas alors on jeta des pierres. volèrent furent lancées dans les carreaux -"
- Brouillon, f° 96v° (NAF 17607)
- Brouillon, f° 116 (NAF 17607)
- Mise au net, f° 160v° (NAF 17607)
Début de l'insurrection, 23 juin 1848
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 94v° (NAF 17607) : "animation de la foule - episode comique figures des passants Des vendeurs hommes crient à vendre les pamphlets immondes - on crie "Vive Barbès. vive Napoleon"
- Esquisse, f° 114 (NAF 17607) : "Le soir est d'aspect tragique, temps orageux. une force latente α ironique dans la foule un evenement formidable dans l'air. C'etait precisement là Mais le peuple n'etait pas content ne voulait pas partir"
- Esquisse, f° 115 (NAF 17607) : "Bandes enormes à la Bastille, du Chatelet les travailleurs du Luxemb reflue sur les boulevards s'y etaient joints Car c'etait un horizon C'etait un horizon qui leur deplaisait prquoi ? ils trouvaient cela leur semblait un leurre une trahison dementir aux promesses"
- Brouillon, f° 111v° (NAF 17607) : "Voilà ce qui faisait que le rass. etait plus nombr. Aux hommes des ateliers se joignaient les travailleurs du Luxembourg... les gardes montagnards de Caussidière A 9h. du soir Enormes bandes à la Bastille α au Chatelet moutonnement infini des têtes les voitures ne pouvaient plus circuler (1) on voyait le moutonnement bleu sombre figures silence recueillement sauf les cris "vive Napoleon, Barbès -" α "nous l'aurons vive Napoleon !" figures irritées pâles fameliques, ... yeux caves yeux caves, prunelles flamboyantes. la faim - α l'exaltation de l'enthousiasme. temps Le ciel etait orageux"
- Brouillon, f° 96v° (NAF 17607) : "vers à neuf heures du soir, les bandes de la Bastille α du Châtelet refluèrent sur les boulevards. Entre les portes α en telle quantité que de la porte St Denys α à la porte St Martin les voitures ne circulaient pas on ne voyait plus que Le terrain etant là inflechi on voyait le la houle à droite et à gauche cela elle ne faisait plus qu'un moutonnement infini des têtes de la foule formait masses une seule surface d'un bleu sombre - sur presque noir"
- Brouillon, f° 116 (NAF 17607) : "à vers neuf heures du soir, les bandes colon formées à de la Bastille α la du Châtelet refluèrent sur les boulevards. De la porte St Denys à la porte St Martin elles ne faisaient cela ne faisait plus qu'un moutonnement infini grouillement enorme, un seul masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir"
- Mise au net, f° 113 (NAF 17607) : "Vers neuf heures, les colonnes attroupements formés à attroupements formés à de la Bastille α du au Châtelet refluèrent sur les boulevards, α α α de la Porte St Denys à la Porte St Martin cela ne faisait plus qu'un grouillement enorme, une seule masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir."
Mots-clés : 22-26 juin 1848, Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale
Frédéric dans Paris, nuit du 25 au 26 juin 1848
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris. la nuit. silence - patrouille. Sentinelle prenez garde à vous - coups de feu."
- Esquisse, f° 106v° (NAF 17607) : "Aspects de Paris la nuit, nuit du 25 au 26 silence. patrouilles. "sentinelles prenez garde à vous" - çà α là un coup de feu"
- Esquisse, f° 170 (NAF 17607) : "Il fut Dussardier logeait dans le ht du faubourg Poissonnière. Fr. fut obligé de faire un long detour Paris la nuit. (nuit du 25 au 26). silence. pas de lumière on entendait "sentinelles prenez garde à vous," - çà α là un coup de feu fusil isolé. des chefs de poste patrouilles de garde nationales l'arrêtaient il s'expliquait α on donnait un homme pr le conduire jusqu'à la limite du cantonnement. çà α là α là le même embarras se renouvelait"
- Esquisse, f° 171 (NAF 17607)
- Esquisse, f° 166v° (NAF 17607)
- Brouillon, f° 14v° (NAF 17608) : "Il lui fallut prendre à gauche α derrière les fortifications - α aller jusqu'à la barrière St Jacques de la Santé - Là on fut plus doux α on le laissa entrer après l'avoir fouillé scrupuleusement. rue du fg St Jacques Val de grâce Val de grâce. Dussardier logeait Mais de la barrière St Jacques où à la rue Bellefond où logeait Dussardier, au ht du faubourg Poissonnière la route etait est longue. α son le voyage de Fr. ne fut pas facile."
- Brouillon, f° 22v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 62v° (NAF 17608) : "On le mène au Poste du Jardin des Plantes au rond-point montagnes de pavés = 4 barricades à l'extrémité des deux rues α des deux boulevards Du Poste du Jardin des Plantes au Poste du l'Ecole Polytechnique - du Poste de l'Ec Polyt au poste du xxxx rue St Jacques Etonnement causé par gde lumière que fait l'hôpital de la Pitié on lui redonne deux hommes α il s'avance dans les rues Absence complète de lumières - les maisons absolument obscures de dix en dix minutes on entendait "sentinelles ! prenez garde à vous !" α cri, jeté, ressemblait à un caillou dans l'eau il s'en allait au loin α mourait par vibrations - Puis l'etendue du silence recommençait on n'entendait plus rien un silence profond, absolu, noir"
- Brouillon, f° 99v° (NAF 17608) : "- au rond point - intersection où aboutissent les des rues au bd de l'hopital, de la α des Gobelins α les rues Mouffetard, α la rue α Godefroy α le boulevard des Gobelins - Quatre barricades, à l'extremité des deux rues α des deux boulevards, à moitié demolies, formaient des montagnes de pavés [...] enfin on lui donne deux hommes chargés de l'accompagner jusqu'au poste du le plus voisin qui est celui des Jardin des Plantes. Il descend le boulevard de l'hopital, tourne par la rue du Marché aux chevaux Le vent qui vient de la Seine le rafraîchit - ça le remet - Puis tourne par la rue du Marché aux chevaux Etonnement que l' L'hopital de la Pitié est pleine de lumières eclairée à toutes les fenêtres on voit qu'il y a evidemment il y a dedans une gde animation. - α beaucoup de besogne - à droite grande masse noire du Jardin des Plantes tout noire Au poste du Jardin des Plantes il racon redit de nouveau son histoire autre difficulté Là on est plus facile - α - on lui donne un homme pr le mener au poste de l'Ecole Plytechnique."
- Brouillon, f° 139v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 155v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 143v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 148v° (NAF 17608)
Mots-clés : 22-26 juin 1848, Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale
Insurrection de juin 1848, faubourg Saint-Antoine
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
- Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "le feu avait recommencé à 4 h. fg du temple il cesse à 10 heures cependant Alors le le canon grondait encore sur la Place de la Bastille. le faubourg St Antoine n'est n'etait pas pris"
- Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "α ça recommençait. des fusillades à 4 heures des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple α ne discontinuent pas. [...] Car la Victoire est etait assurée. - le feu avait recommencé à 4 heures dans le faubourg du temple il cesse à 10 heures alors A 10 heures le Canon gronda sur la Place de la Bastille c'etait pr prendre le faubourg St Antoine c'etait qui fut pris vite. enlevé"
- Esquisse, f° 166v° (NAF 17608) : "α ça recommençait plus loin. à cinq à 4 heures du matin des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple bruit de fusillades [...] A 10 heures le canon gronda sur la Place de la Bastille pr prendre le faubourg St Antoine qui fut vite enlevé"
- Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "α ça recommençait plus loin. à quatre heures du matin, dans la direction du faubourg du temple bruit de fusillades à 4 h du matin dans la direction du fg du temple fusillade - car la victoire est assurée. à 10h. le canon gronda sur la Place de la Bastille pr prendre le fg St Antoine qui fut vite enlevé"
- Brouillon, f° 134v° (NAF 17608) : "car la victoire est assurée à 10 heures, le canon gronde sur la Place de la Bastille pr prendre le faubourg St Antoine qui fut vite enlevé."
- Brouillon, f° 118v° (NAF 17608) : "Enfin, à 10 heures, au moment où le canon grondait pr prendre la Bastille, Frederic arriva chez Dussardier."
- Brouillon, f° 113v° (NAF 17608)
- [...]
Insurrection de juin 1848, rive gauche de Paris
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris. la nuit."
- Esquisse, f° 106v° (NAF 17607) : "- çà α là qq pelotons de garde mobiles les mains noires de poudre. - les barricades font des obstacles"
- Esquisse, f° 170 (NAF 17607) : "Des barricades font à demi demolies faisaient obstacles. - des pelotons de garde-mobiles passaient debraillés les mains noires de poudre."
- Esquisse, f° 166v° (NAF 17607) : "gigantesque barricade au pont d'Austerlitz place Valhubert"
- Brouillon, f° 62v° (NAF 17608) : "au rond-point montagnes de pavés = 4 barricades à l'extrémité des deux rues α des deux boulevards"
- Brouillon, f° 99v° (NAF 17608) : "Quatre barricades, à l'extrémité des deux rues α des deux boulevards, à moitié demolies, formaient des montagnes de pavés - on etait là comme dans un puits au centre d'un cratère L'endroit ils avait eté pris à six h. du matin cet endroit et à six h du soir soir par le lieutenant colonel deux bataillons de ligne un bataillon de la 1ère legion de la garde nationale et des detachements des mobiles sous les ordres du lieutenant Colonel Thomas. - avaient fusillé neuf hommes et un cabaretier les vainqueurs indignés de l'assassinat de Brea exasperés par le meurtre tout tout recent, du gl Brea avaient fusillé sur place neuf insurgés α un cabaretier - il y avait une flaque de sang par terre -"
- Brouillon, f° 139v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 155v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 143v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 148v° (NAF 17608)
- [...]
Mots-clés : Gustave Flaubert, Juin 1848, L'Éducation sentimentale
Les femmes faisaient de la charpie
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "ambulances"
- Esquisse, f° 106v° (NAF 17608) : "ambulances"
- Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "- ambulances -"
- Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "civières - ambulances.."
- Esquisse, f° 166v° (NAF 17608) : "Civières - ambulances - devant les portes α sur les terrasses des dames femmes faisaient de la charpie"
- Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "Devant les portes, des femmes faisaient de la charpie -"
- Brouillon, f° 134v° (NAF 17608) : "Sur le seuil des portes cependant des femmes assises faisaient de la charpie.[...] Sur le seuil des portes des femmes assises faisaient de la charpie."
- Brouillon, f° 118v° (NAF 17608) : "Sous les portes cochères, des femmes assises assises sur devant les portes ou à peu près faisaient de la charpie."
- Brouillon, f° 86v° (NAF 17608) : "α des femmes assises devant les portes faisaeint de la charpie."
- Brouillon, f° 113v° (NAF 17608) : "α des femmes, devant les portes faisaient de la charpie."
- [...]
Mots-clés : Gustave Flaubert, Juin 1848, L'Éducation sentimentale
Mort de l'archevêque de Paris
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures"
- Brouillon, f° 14v° (NAF 17608) : "Petites postes de gardes nationaux stupides - Chambord. Brea l'archevêque Juin - -"
- Brouillon, f° 79v° (NAF 17608) : "Poste de la Mairie du XIe arrondissemnt on le mène plein de garde-nationaux."
- Brouillon, f° 96v° (NAF 17608) : "Le poste de la mairie du XIe arrondissemnt est plein - garde-nationaux on lui apprend que les troupes arrivent α que les gardes nat. affluent de province."
- Brouillon, f° 141v° (NAF 17608) : "Le poste de Il entra dans Les g. nationaux qui occupai la mairie la mairie du XIIe arrondissemnt près des Ronds Points etait plein etourdi par le bavardage. tout ils etaient tout occupés à cela tout ils etaient tout exasperés α cela comme et On ne savait pas dans un quartier ce qui se passait dans un autre se livraient à un bavardage on lui apprit que Il apprit par eux que le general Negrier et le representant Charbonnel α de l'archevêque de Paris avaient été tués dans la journée et l'archevêque de Paris α à sept heures le soir."
- Brouillon, f° 94v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 86v° (NAF 17608)
- [...]
Mort du général Bréa
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures"
- Brouillon, f° 14v° (NAF 17608) : "Petites postes de gardes nationaux stupides - Chambord. Brea l'archevêque Juin - -"
- Brouillon, f° 79v° (NAF 17608) : "Poste de la Mairie du XIe arrondissemnt on le mène plein de garde-nationaux."
- Brouillon, f° 96v° (NAF 17608) : "Le poste de la mairie du XIe arrondissemnt est plein - garde-nationaux on lui apprend que les troupes arrivent α que les gardes nat. affluent de province."
- Brouillon, f° 141v° (NAF 17608) : "Le poste de Il entra dans Les g. nationaux qui occupai la mairie la mairie du XIIe arrondissemnt près des Ronds Points etait plein etourdi par le bavardage. tout ils etaient tout occupés à cela tout ils etaient tout exasperés α cela comme et On ne savait pas dans un quartier ce qui se passait dans un autre se livraient à un bavardage on lui apprit que Il apprit par eux que le general Negrier et le representant Charbonnel α de l'archevêque de Paris avaient été tués dans la journée et l'archevêque de Paris α à sept heures le soir."
- Brouillon, f° 94v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 86v° (NAF 17608)
- [...]
Mort du général Négrier
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures"
- Brouillon, f° 14v° (NAF 17608) : "Petites postes de gardes nationaux stupides - Chambord. Brea l'archevêque Juin - -"
- Brouillon, f° 79v° (NAF 17608) : "Poste de la Mairie du XIe arrondissemnt on le mène plein de garde-nationaux."
- Brouillon, f° 96v° (NAF 17608) : "Le poste de la mairie du XIe arrondissemnt est plein - garde-nationaux on lui apprend que les troupes arrivent α que les gardes nat. affluent de province."
- Brouillon, f° 141v° (NAF 17608) : "Le poste de Il entra dans Les g. nationaux qui occupai la mairie la mairie du XIIe arrondissemnt près des Ronds Points etait plein etourdi par le bavardage. tout ils etaient tout occupés à cela tout ils etaient tout exasperés α cela comme et On ne savait pas dans un quartier ce qui se passait dans un autre se livraient à un bavardage on lui apprit que Il apprit par eux que le general Negrier et le representant Charbonnel α de l'archevêque de Paris avaient été tués dans la journée et l'archevêque de Paris α à sept heures le soir."
- Brouillon, f° 94v° (NAF 17608)
- Brouillon, f° 86v° (NAF 17608)
- [...]
Guizot
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
- Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
- Esquisse, f° 15v° (NAF 17607) : "eloge de Lamartine. fureur contre Guizot. eloge de Lamartine"
- Brouillon, f° 39 (NAF 17607) : "changement des choses ψ etonnement de Frederic de voir sa fureur contre Guizot. en effet qui nous a mis dans le petrin - admiration de Lamartine - drapeau rouge - j'ai toujours été republicain"
- Brouillon, f° 33 (NAF 17607) : "toujours été republicain, au fond α ne disant pas toujours ce qu'il pensait sous l'autre regime. s'il avait voté pr avec le ministère c'etait uniquemt pr hater accelerer sa fin chute irremediable - Il s'emporta même contre Mr Guizot. - "qui a nous a mis dans un joli petrin" parlons-en convenons"
- Brouillon, f° 43v° (NAF 17607) : "ayant toujours été au fond republicain, au fond - α ne disant pas toujours ce qu'il pensait sous l'autre regime. s'il votait alors sous l'autre regime avec le Ministère sous l'autre regime c'etait simplemt pr accelerer une chute irremediable inevitable et même - Il s'emporta même contre Mr Guizot. - "qui a nous a mis dans un joli petrin, convenons-en !"
- [...]
Mots-clés : Guizot, Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale, Révolution de 1848