FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


Votre recherche dans le corpus : 16 résultats dans 1506 notices du site.
Mot(s)-clef(s) recherché(s) : 22, 26 juin 1848

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 94v° (NAF 17607) : "animation de la foule - episode comique figures des passants Des vendeurs hommes crient à vendre les pamphlets immondes - on crie "Vive Barbès. vive Napoleon"
  • Esquisse, f° 114 (NAF 17607) : "Le soir est d'aspect tragique, temps orageux. une force latente α ironique  dans la foule un evenement formidable dans l'air. C'etait precisement là Mais le peuple n'etait pas content ne voulait pas partir"
  • Esquisse, f° 115 (NAF 17607) : "Bandes enormes à la Bastille, du Chatelet les travailleurs du Luxemb reflue sur les boulevards s'y etaient joints Car c'etait un horizon C'etait un horizon qui leur deplaisait prquoi ? ils trouvaient cela leur semblait un leurre une trahison dementir aux promesses"
  • Brouillon, f° 111v° (NAF 17607) : "Voilà ce qui faisait que le rass. etait plus nombr. Aux hommes des ateliers se joignaient les travailleurs du Luxembourg... les gardes montagnards de Caussidière  A 9h. du soir Enormes bandes à la Bastille α au Chatelet moutonnement infini des têtes les voitures ne pouvaient plus circuler (1) on voyait le moutonnement bleu sombre figures silence recueillement sauf les cris "vive Napoleon, Barbès -" α "nous l'aurons vive Napoleon !" figures irritées pâles fameliques, ... yeux caves yeux caves, prunelles flamboyantes. la faim - α l'exaltation de l'enthousiasme. temps Le ciel etait orageux"
  • Brouillon, f° 96v° (NAF 17607) : "vers à neuf heures du soir, les bandes de la Bastille α du Châtelet refluèrent sur les boulevards. Entre les portes α en telle quantité que de la porte St Denys α à la porte St Martin les voitures ne circulaient pas on ne voyait plus que Le terrain etant là inflechi on voyait le la houle à droite et à gauche cela elle ne faisait plus qu'un moutonnement infini des têtes de la foule formait masses une seule surface d'un bleu sombre - sur presque noir"
  • Brouillon, f° 116 (NAF 17607) : "à vers neuf heures du soir, les bandes colon formées à de la Bastille α la du Châtelet refluèrent sur les boulevards. De la porte St Denys à la porte St Martin elles ne faisaient cela ne faisait plus qu'un moutonnement infini grouillement enorme, un seul masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir"
  • Mise au net, f° 113 (NAF 17607) : "Vers neuf heures, les colonnes attroupements formés à attroupements formés à de la Bastille α du au Châtelet refluèrent sur les boulevards, α α α de la Porte St Denys à la Porte St Martin cela ne faisait plus qu'un grouillement enorme, une seule masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris. la nuit. silence - patrouille. Sentinelle prenez garde à vous - coups de feu."
  • Esquisse, f° 106v° (NAF 17607) : "Aspects de Paris la nuit, nuit du 25 au 26 silence. patrouilles. "sentinelles prenez garde à vous" -  çà α là un coup de feu"
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17607) : "Il fut Dussardier logeait dans le ht du faubourg Poissonnière. Fr. fut obligé de faire un long detour Paris la nuit. (nuit du 25 au 26). silence. pas de lumière on entendait "sentinelles prenez garde à vous," -  çà α là un coup de feu fusil isolé. des chefs de poste patrouilles de garde nationales l'arrêtaient il s'expliquait α on donnait un homme pr le conduire jusqu'à la limite du cantonnement. çà α là α là le même embarras se renouvelait"
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17607)
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 14v° (NAF 17608) : "Il lui fallut prendre à gauche α derrière les fortifications - α aller jusqu'à la barrière St Jacques de la Santé - Là on fut plus doux α on le laissa entrer après l'avoir fouillé scrupuleusement. rue du fg St Jacques Val de grâce Val de grâce. Dussardier logeait Mais de la barrière St Jacques où à la rue Bellefond où logeait Dussardier, au ht du faubourg Poissonnière la route etait est longue. α son le voyage de Fr. ne fut pas facile."
  • Brouillon, f° 22v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 62v° (NAF 17608) : "On le mène au Poste du Jardin des Plantes au rond-point montagnes de pavés = 4 barricades à l'extrémité des deux rues α des deux boulevards Du Poste du Jardin des Plantes au Poste du l'Ecole Polytechnique - du Poste de l'Ec Polyt au poste du xxxx rue St Jacques Etonnement causé par gde lumière que fait l'hôpital de la Pitié on lui redonne deux hommes α il s'avance dans les rues Absence complète de lumières - les maisons absolument obscures de dix en dix minutes on entendait "sentinelles ! prenez garde à vous !" α cri, jeté, ressemblait à un caillou dans l'eau il s'en allait au loin α mourait par vibrations - Puis l'etendue du silence recommençait on n'entendait plus rien un silence profond, absolu, noir"
  • Brouillon, f° 99v° (NAF 17608) : "- au rond point - intersection où aboutissent les des rues au bd  de l'hopital, de la α des Gobelins α les rues Mouffetard, α la rue α Godefroy α le boulevard des Gobelins - Quatre barricades, à l'extremité des deux rues α des deux boulevards, à moitié demolies, formaient des montagnes de pavés [...] enfin on lui donne deux hommes chargés de l'accompagner jusqu'au poste du le plus voisin qui est celui des Jardin des Plantes. Il descend le boulevard de l'hopital, tourne par la rue du Marché aux chevaux Le vent qui vient de la Seine le rafraîchit - ça le remet - Puis tourne par la rue du Marché aux chevaux Etonnement que l' L'hopital de la Pitié est pleine de lumières eclairée à toutes les fenêtres on voit qu'il y a evidemment il y a dedans une gde animation. - α beaucoup de besogne - à droite grande masse noire du Jardin des Plantes tout noire Au poste du Jardin des Plantes il racon redit de nouveau son histoire autre difficulté Là on est plus facile - α - on lui donne un homme pr le mener au poste de l'Ecole Plytechnique."
  • Brouillon, f° 139v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 155v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 143v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 148v° (NAF 17608)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "le feu avait recommencé à 4 h. fg du temple il cesse à 10 heures cependant Alors le le canon grondait encore sur la Place de la Bastille. le faubourg St Antoine n'est n'etait pas pris"
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "α ça recommençait. des fusillades à 4 heures des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple α ne discontinuent pas. [...] Car la Victoire est etait assurée. - le feu avait recommencé à 4 heures dans le faubourg du temple il cesse à 10 heures alors A 10 heures le Canon gronda sur la Place de la Bastille c'etait pr prendre le faubourg St Antoine c'etait qui fut pris vite. enlevé" 
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17608) : "α ça recommençait plus loin. à cinq à 4 heures du matin des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple bruit de fusillades [...] A 10 heures le canon gronda sur la Place de la Bastille pr prendre le faubourg St Antoine qui fut vite enlevé"
  • Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "α ça recommençait plus loin. à quatre heures du matin, dans la direction du faubourg du temple bruit de fusillades à 4 h du matin dans la direction du fg du temple fusillade - car la victoire est assurée. à 10h. le canon gronda sur la Place de la Bastille pr prendre le fg St Antoine qui fut vite enlevé"
  • Brouillon, f° 134v° (NAF 17608) : "car la victoire est assurée à 10 heures, le canon gronde sur la Place de la Bastille pr prendre le faubourg St Antoine qui fut vite enlevé."
  • Brouillon, f° 118v° (NAF 17608) : "Enfin, à 10 heures, au moment où le canon grondait pr prendre la Bastille, Frederic arriva chez Dussardier."
  • Brouillon, f° 113v° (NAF 17608)
  • [...]

Collection : Les images
Auteur : Sylvie Giraud

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
  • Esquisse, f° 106v° (NAF 17608) : "le canon gronde sur la Place de la Bast."
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "la victoire est assurée. le feu avait recommencé à 4 h. fg du temple il cesse à 10 heures cependant Alors le canon grondait encore sur la Place de la Bastille. le faubourg St Antoine n'est n'etait pas pris"
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "Car la Victoire est etait assurée. - le feu avait recommencé à 4 heures dans le faubourg du temple il cesse à 10 heures alors  A 10 heures le Canon gronda sur la Place de la Bastille c'etait pr prendre le faubourg St Antoine c'etait qui fut pris vite. enlevé" 
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17608) : "α ça recommençait plus loin. à cinq quatre heures du matin des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple bruit de fusillades Il reste jusqu'au jour enfermé sur la rive gauche. Il arriva sur la rive droite. dans les quartiers riches – sur les boulevards. Pas de traces de lutte. Animation, plus qu'ordinaire les voitures circulent on s'aborde. – c'est fini, ou à peu près"
  • Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "à 4 h du matin dans la direction du fg du temple fusillade. reflexion de Fred. iol est galcé d'horreur Vers 8 heures du matin il arrive sur les boulevards. arrive sur la rive droite A B poste de la Bibliothèque rue Richelieu "honneur au courage malheureux !" influence de Vernet Wagram sur les boulevards beaucoup de soldats  Pas de trace de lutte. Animation plus qu'ordinaire. les voitures circulent on s'aborde. c'est fini, ou à peu près."
  • Brouillon, f° 134v° (NAF 17608) : "Sur sur Les boulevards avaient l'air l'aspect les voitures circulaient circulaient sur le bd. on s'abordait α on se felicitait. L'emeute etait vaincue α Car c'est fini, ou à peu près."
  • Brouillon, f° 118v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 86v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 113v° (NAF 17608)
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