La collection d’œuvres d’art, rassemblée par Kōjirō Matsukata (1865-1950), a été au centre des relations diplomatiques et culturelles entre la France et le Japon - que ce soit au moment de sa constitution, de sa conservation au musée Rodin, de sa mise sous séquestre par l’État français en 1944 et sa « donation » partielle au National Museum of Western Art de Tokyo en 1959.
À travers la correspondance (conservée aux Archives nationales et à l’INHA), ce projet met en évidence les intérêts mutuels et les discordances entre Kōjirō Matsukata et les conservateurs français qui, comme Léonce Bénédite (1859-1925), considéraient que la collection du riche industriel japonais était, et allait être, « une grande fierté pour la France ».
À travers la correspondance (conservée aux Archives nationales et à l’INHA), ce projet met en évidence les intérêts mutuels et les discordances entre Kōjirō Matsukata et les conservateurs français qui, comme Léonce Bénédite (1859-1925), considéraient que la collection du riche industriel japonais était, et allait être, « une grande fierté pour la France ».
Responsable du projet : Léa Saint-Raymond