Année 1949

Annonce, « Vous pouvez lire… », Combat, 13 janvier 1949, p. 4 [annonce de parution de l’Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de langue française] (ici).

Annonce, « Groupe des indépendants d’outre-mer », Journal officiel de la République française, 14 janvier 1949, p. 643 [Senghor figure officiellement parmi les 14 membres du groupe, présidé par Aujoulat] (ici).

Annonce, « Convocations de commissions », Journal officiel de la République française, 26 janvier 1949, p. 971 [« Proposition de loi (n˚ 1842) de M. Senghor : enseignement dans les territoires d’outre-mer sous le contrôle du ministère de l’éducation (en remplacement de M. Sissoko) »] (ici).

Annonce, « Pour la première fois à Paris : poètes noirs samedi au CNE », Ce soir, 27 janvier 1949, p. 3 [« Le samedi 29 janvier à 17 h 30, Maison de la Pensée, 2 rue de l’Élysée, le Comité national des Écrivains présentera, sous la présidence d’Aimé Césaire et de Léopold Sédar Senghor : “Poésie noire, Musique noire” avec les poètes Keïta Fodeba (Guinée) et Mody (Sénégal) et le chœur Fanar Senghor »] (ici).

Annonce, « Assemblée nationale : ordre du jour », Journal officiel de la République française, 5 février 1949, p. 1332 [« [Discussion] de la demande d’avis, transmise par M. le président de l’Assemblée nationale, sur la proposition de loi instituant un code du travail pour les territoires français d’Afrique relevant du ministère de la France d’outre-mer, présentée par MM. Aubame, Deferre, Senghor, Audeguil, Lamine-Gueye, Ninine, Silvandre, Yacine Diallo, Fily Dabo Sissoko, Horma Ouid Babana et les membres du groupe socialiste, députés »] (ici).

Annonce, « Assemblée nationale : ordre du jour », Journal officiel de la République française, 7 février 1949, p. 1397 [même texte que dans l’annonce du 5 février] (ici).

Annonce, « Assemblée nationale : ordre du jour », Journal officiel de la République française : 9 février 1949 (ici) ; 10 février 1949 (ici) ; 12 février 1949 (ici) ; 13 février 1949 (ici) ; 14 février 1949 (ici) ; 15 février 1949 (ici) ; 17 février 1949 (ici) ; 24 février 1949 (ici) ; 25 février 1949 (ici) ; 27 février 1949 (ici) ; 28 février 1949 (ici) ; 2 mars 1949 (ici) ; 3 mars 1949 (ici) ; 5 mars 1949 (ici) ; 6 mars 1949 (ici) ; 7 mars 1949 (ici) ; 9 mars 1949 (ici).

Annonce, « Enseignement du second degré », Journal officiel de la République française, 6 mars 1949, p. 2398 [« Par arrêté du 2 mars 1949, M. Senghor, professeur de grammaire, élu membre : 1˚ de la première Assemblée constituante le 21 octobre 1945 ; 2˚ de la deuxième Assemblée constituante le 2 juin 1946 ; 3˚ de l’Assemblée nationale le 10 novembre 1946, est placé de plein droit en position de détachement. Ce dernier détachement est prononcé pour une durée de cinq ans »] (ici).

Annonce, « Bloc-notes (autres conférences) », Combat, 6 avril 1949, p. 2 [« 20 h 30 : “Le renforcement de la paix exige-t-il un minimum vital d’éducation pour tous ?”, débat avec MM. Sédar Senghor et Louis Françjois (Maison de l’UNESCO) »] (ici).

LESSAY Jean, « L’Éthiopie a droit à des réparations », Combat, 13 avril 1949, p. 3 [« Le calvaire subi par l’Éthiopie, première victime du fascisme, a poussé un certain nombre d’élus d’outre-mer, parmi lesquels MM. Martine, député de Djibouti, Sédar Senghor, du Sénégal, Saïd Chekh, des Comores, etc., à demander au gouvernement français que justice soit rendue à cette nation »] (ici).

CATRICE Paul, « Destins d’Afrique : quelques réformes nécessaires », L’Aube, 16 avril 1949, p. 1 et 4 [« [En AOF] la politique y est surtout question de personnes : Êtes-vous pour Lamine> Êtes-vous pour Senghor ? Combien de fois ne nous a-t-on pas posé ces questions au Sénégal ? » (p. 1) ; « M. Senghor, gendre du grand gouverneur général Éboué, quittait récemment avec fracas le parti SFIO en affirmant que ses sections africaines étaient tout simplement, selon sa pittoresque expression, “ad majorem Lamini gloriam… fortnamque” » (p. 4)] (ici).

D’ARBOUSSIER Gabriel, « Une dangereuse mystification : la théorie de la négritude », La Nouvelle critique, n˚ 7, 1^er juin 1949, p. 34-47 (ici).

E.G., « Résonances, revue du comité d’expansion culturelle de la France d’outre-mer », Tropiques, 1^er juin 1949, p. 62 [compte rendu du 2^e numéro de la revue : il mentionne « une très jolie page de M. Léopold Sédar Senghor »] (ici).

ANONYME, « L’Assemblée nationale repousse la demande de levée de l’immunité parlementaire de Maurice Thorez », L’Humanité, 23 juin 1949, p. 1 et 3 [Senghor figure parmi les députés qui ont voté contre la demande de levée d’immunité parlementaire de Maurice Thorez] (ici).

BOISDEFFRE Pierre (de), « À la recherche de Goethe », Les Cahiers du Sud, n˚ 296, 1949, p. 327-330 [mention de Senghor parmi « les noms illustres » qui ont rendu hommage à Goethe à l’UNESCO ; « L’actualité de Goethe ? Je n’en veux pour preuve que ces lignes de Sédar Senghor, qui, par l’intermédiaire de Goethe, trouva l’expression de sa Négritude : “(Il) nous avait réconciliés. Il avait marché depuis l’Extrême-Nord, à la recherche du soleil… Et voilà que nous nous étions rencontrés sur les bords de la mer médiane. Et nous devisions fraternellement dans l’air lumineux et tiède” » ; voir l’article de Senghor dans Liberté 1] (ici).

Annonce, « Liste des projets, propositions ou rapports mis en distribution », Journal officiel de la République française, 9 juillet 1949, p. 6759 [« N˚ 7810 – Rapport, par M. Senghor, au nom de la commission des territoires d’outre-mer sur la proposition de résolution tendant à inviter le Gouvernement à organiser la célébration solennelle du centenaire de la présence française au Gabon et à ouvrir les crédits nécessaires à cet effort »] (ici).

Annonce, « Assemblée nationale : ordre du jour », Journal officiel de la République française, 13 juillet 1949, p. 6869 [« Discussion […] de la demande d’avis, transmise par M. le président de l’Assemblée nationale, sur la proposition de loi de MM. Aubame, Defferre, Senghor, Audeguil, Lamine-Gueye, Ninine, Silvandre, Yacine Diallo, Fily-Dabo Sissoko et des membres du groupe socialiste, députés, tendant à instituer en Afrique équatoriale française des communes de moyen exercice »] (ici) : voir également les numéro du 15 juillet 1949 (ici), du 18 juillet 1949 (ici), du 21 juillet 1949 (ici).

DALUCES J., « Les dernières chances de l’Union française », Combat, 19 juillet 1949, p. 4 [« MM. Alduy et A. Berger définissent ce que devrait être respectivement les structures politiques et économiques de l’Union française. Ce nouveau régime politique doit correspondre à une nouvelle réalité humaine que M. L.-S. Senghor et Delacommune examinent, l’un sous l’angle de l’humanisme, l’autre dans la perspective des missions chrétiennes »] (ici).

Annonce, « Les représentants de l’Assemblée pour Strasbourg », La Bourgogne républicaine, 27 juillet 1949, p. 6 [Senghor figure parmi les « 12 membres titulaires à l’Assemblée consultative européenne », et il serait celui qui a reçu le plus grand nombre de suffrages] (ici).

Annonce, « Les délégués élus au Conseil de l’Union Européenne », L’Humanité, 27 juillet 1949, p. 2 [« Parmi les députés des territoires d’outre-mer, M. Senghor, ayant obtenu, avec 222 suffrages, la majorité absolue, est également proclamé membre titulaire de l’Assemblée consultative »] (ici).

Annonce, « La représentation française à l’Assemblée consultative du Conseil de l’Europe », L’Aurore, 28 juillet, 1949, p. 3 (ici).

Annonce, « La représentation française à l’Assemblée européenne », L’Aube, 28 juillet 1949, p. 3 (ici).

F.E., « Nouvelles des Lettres : le problème colonial (numéro spécial d’Esprit) », Combat, 9 août 1949, p. 2 [« […] Léopold Sédar Senghor s’attache à esquisser les grandes lignes d’une politique culturelle intelligente. À ses yeux, c’est uniquement un nouvel humanisme qui serait susceptible de résoudre certains conflits, et il demande une “nouvelle libération de Paris” pour que l’on puisse enfin procéder à l’application pratique des principes élaborés à Paris » : voir Léopold Sédar Senghor, « Un humanisme de l’Union française », Esprit, n˚ 157, « Les dernières chances de l’Union française », Juillet 1949, p. 1019-1034 (ici)] (ici).

ANONYME, « Cet après-midi à Strasbourg M. Spaak sera élu président de l’Assemblée européenne », Combat, 11 août 1949, p. 1 et 3 [« On remarquera enfin la présence de deux représentants de couleur, M. Senghor et M. Socé, respectivement député et sénateur du Sénégal, que l’Assemblée nationale dans un louable souci d’Union française a choisis pour associer la France d’outre-mer à l’unité européenne. Mais certains délégués ignorant les raisons qui ont présidé à ce choix se demandent depuis quand le Sénégal est en Europe »] (ici).

ANONYME, « Première session de l’Assemblée consultative européenne », L’Aube, 11 août 1949, p. 4 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « Niederlegung zweier wichtiger Vorschläge », Le Républicain du Haut-Rhin, 21 août 1949, p. 1 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « À l’Assemblée de Strasbourg, M. Paul Bacon réclame l’unification en Europe de la Sécurité sociale, M. Senghor intervient dans le débat culturel », L’Aube, 27 août 1949, p. 3 [Senghor fait un éloge de Truman, propose l’établissement d’une Université européenne et l’intensification de l’enseignement bilingue, lance un appel pour l’ouverture des frontières entre les colonies africaines : il est très applaudi] (ici).

ANONYME, « À l’Assemblée européenne, le débat général prend fin sur la Sécurité sociale et la coopération culturelle », La Croix, 28 août 1949, p. 3 [« M. Léopold Senghor demande la création d’un centre de culture européenne » ; « député français des territoires d’outre-mer, poète estimé et agrégé de grammaire » ; envisage une « fédération des Universités européennes qui devraient se libérer largement de l’emprise des États nationaux »] (ici).

ANONYME, « Pourquoi l’Afrique est-elle représentée à l’Assemblée européenne de Strasbourg ? », La Bourgogne républicaine, 8 septembre 1949, p. 5 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « Échos », La Bourgogne républicaine, 24 septembre 1949, p. 3 [« L’Alliance française a fixé le programme de sa prochaine saison de conférences à l’étranger » : Senghor figure parmi les écrivains se rendant en Tchécoslovaquie] (ici).

Anonyme, Au sujet de l’exposition Droits de l’homme à l’UNESCO, La Croix, 1^er octobre 1949, p. 1 [photo de la remise des documents français : pour cette exposition, Senghor a remis au directeur général de l’UNESCO, M. Torrès Bodet, la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen annotée pas Louis XVI] (ici).

J.R., « À propos du prestige français », La Jeune République, 3 octobre 1949, p. 1-2 [Senghor et Césaire sont parmi les conférenciers français en Haïti à l’occasion du bicentenaire de la fondation de Port-au-Prince] (ici).

Annonce, « Renouvellement du Conseil exécutif de l’UNESCO », La Croix, 4 octobre 1949, p. 4 [Senghor a soutenu Prof. Borr, présenté par la Pologne] (ici).

ANONYME, « On ne récuse pas Aragon », Les Lettres françaises, 13 octobre 1949, p. 1 et 3 [une adresse se Senghor : « C’est avec une vive émotion que j’ai appris que l’écrivain Louis Aragon avait été privé de ses droits civiques pour “délit de presse”. / Je ne suis pas communiste et je ne l’ai jamais été. Cependant, comme écrivain, je ne puis que m’associer à la protestation de tous ceux qui voient en la condamnation d’Aragon une atteinte à la liberté de l’écrivain et à l’honneur des lettres »] (ici).

ANONYME, « Avant la présentation de M. Moch devant l’Assemblée nationale », La Croix, 13 octobre 1949, p. 2 [Senghor parmi les députés reçus par Moch] (ici).

RICHARD Jean er SÉDÈS Jean-Maris, « “Nous voulons susciter entre les peuples de l’Union une estime et une confiance réciproques” », L’Aube, 14 octobre 1949, p. 1 et 3 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « M. Jules Moch essaie de constituer un ministère », Le Semeur, 16 octobre 1949, p. 1 [Senghor parmi les députés reçus par Moch] (ici).

ANONYME, « Bibliographie relative aux épreuves orales du C.A. à l’inspection primaire et à la Direction des Écoles Normales (option France d’outre-mer) », Bulletin officiel de l’éducation nationale, 20 octobre 1949, p. 3009 [l’Anthologie de Senghor figure dans la bibliographie] (ici).

BÉCRIAUX Roger, « Hier soir au Capitole d’Avignon : de la Butte Montmartre au Dahomey en passant par les chansons d’Yves Montand », La Gazette provençale, 20 octobre 1949, p. 3 [le texte parle de Maurice Sonar Senghor, mais aussi d’une sélection des poèmes de Senghor] (ici).

Annonce, « Nouvelles politiques », Combat, 5 novembre 1949, p. 5 [« M. Sédar Senghor a été élu président du groupe des députés indépendants d’outre-mer, en remplacement de M. Anjoula, nommé sous-secrétaire d’État »] (ici).

Annonce, « M. Sedar Senghor a été élu président du groupe des indépendants d’outre-mer », L’Aube, 5 novembre 1949, p. 3 (ici).

Annonce, « L’Actualité politique », La Croix, 6 novembre 1949, p. 2 [« M. Senghor élu président du groupe des indépendants d’outre-mer »] (ici).

ANONYME, « Les revues », La Croix, 20 novembre 1949, p. 3 [mention de poèmes de Senghor qui auraient paru dans la revue Matines] (ici).

ANGELLOZ J.-F., « Le congrès Goethe », Le Mercure de France, 1^er décembre 1949, p. 730-737 [Dans la bibliographie raisonnée et commentée est mentionné, p. 736, l’ouvrage Hommage de l’Unesco à Goethe et il est dit : « Nous sommes heureux de lire ces témoignages du monde entier, en particulier celui de L. S. Senghor »] (ici).

ANONYME, « Premières explications de vote à l’Assemblée avant le scrutin de confiance », L’Aube, 24 décembre 1949, p. 4 [Senghor : « L’opposition met en danger le gouvernement pour des raisons plus politiciennes que politiques » ; Senghor : « Les indépendants d’outre-mer voteront pour »] (ici).

ANONYME, « Krise oder nicht Krise ? », Le Républicain du Haut-Rhin, 24 décembre 1949, p. 1 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « À minuit, M. Paul Reynaud ouvre le feu… », L’Aurore, 24 décembre 1949, p. 3 [mention de Senghor sur le vote de confiance] (ici).

ANONYME, « Le débat sur la question de confiance », La Croix, 25 décembre 1949, p. 2 [« Par contre, M. Senghor apporte au gouvernement l’adhésion du groupe des indépendants d’outre-mer et proteste contre la déviation du problème, passé du terrain budgétaire sur le terrain politique. Un tel procédé risque de conduire à une crise extrêmement grave et à la dissolution. / L’orateur regrette certaines concessions faites sur des investissements indispensables pour l’équipement de l’Union française. Et M. Senghor conclut en mettant le gouvernement en garde contre certains membres de la Commission des Finances qui “s’intéressent aux territoires d’outre-mer comme la panthère à la gazelle” »] (ici).

ANONYME, « Die berichtigte Finanzvorlage der Regierung », Le Républicain du Haut-Rhin, 27 décembre 1949, p. 2 (ici).

ANONYME, « Les groupes expliquent leur vote avant les deux scrutins de confiance », L’Aube, 31 décembre 1949, p. 4 [mention de Senghor] (ici).

DUCHENE Jean, « M. Bidault l’emporte dans les deux votes de confiance », La Bourgogne républicaine, 31 décembre 1949, p. 1 [mention de Senghor] (ici).

HUGONNET Yves, « La confiance devant l’Assemblée », Combat, 31 décembre 1949, p. 5 [mention de Senghor] (ici).