Archives Léopold Sédar Senghor

Archives Léopold Sédar Senghor


Année 1952


Présentation de la collection

ANONYME, « Ce soir le premier vote sur la confiance », L’Information, 4 janvier 1952, p. 9 [Senghor donnera la confiance] (ici).

ANONYME, « Assemblée », La Bourgogne républicaine, 4 janvier 1952, p. 6 [Senghor donnera la confiance] (ici).

ANONYME, « La discussion s’engage sur le projet gouvernemental », La Croix, 5 janvier 1951, p. 2 [« M. Senghor et le groupe des IOM voteront aussi la confiance, mais en demandant un accroissement de l’effort d’équipement des TOM »] (ici).

ANONYME, « Après la chute du gouvernement », L’Aurore, 8 janvier 1952, p. 3 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « Consultations en série rue Saint-Dominique », Paris-presse l’intransigeant, 11 janvier 1952, p. 1 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « Troisième jour de crise », L’Information, 11 janvier 1952, p. 8 [mention de Senghor, peu confiant sur la résolution rapide de la crise] (ici).

ANONYME, « Journée politique place Vendôme », L’Aurore, 15 janvier 1952, p. 5 [« 19 h 45 – La délégation des indépendants d’outre-mer a quitté la place Vendôme. M. Senghor, qui la conduisait, déclare : “Nous avons fait remarquer que pour l’Union française se posaient deux problèmes principaux : un problème technique, celui des investissements et du pouvoir d’achat, un problème politique, englobant les questions tunisienne, marocaine et du territoire du Togo. En tout cas, nous avons été heureux de trouver un homme ouvert et compréhensif »] (ici).

ANONYME, « Les délégations des groupes politiques se succèdent sans arrêt place Vendôme », L’Information, 15 janvier 1952, p. 10 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « Après les réponses du président désigné », L’Aurore, 18 janvier 1952, p. 5 [« M. Senghor (IOM) expose le problème de l’Afrique et estime indispensable d’engager des négociations avec la Tunisie et le Maroc pour qu’elles adhèrent à l’Union française »] (ici).

GUÉRIN André, « Prétendre infliger au pays des impôts nouveaux, c’est se condamner à l’échec », L’Aurore, 19 janvier 1952, p. 3 [mention de Senghor] (ici).

LIMAGNE Pierre, « Le débat d’investiture à l’Assemblée nationale », La Croix, 19 janvier 1952, p. 6 [« M. Senghor (IOM) vient demander que le gouvernement se préoccupe des problèmes économiques et politiques posés dans l’Union française »] (ici).

ANONYME, « Léopold Sédar Senghor veut instituer un dialogue fécond entre les sources telluriques et l’aiguillon de la raison discursive », Rivarol, 25 janvier 1952, p. 4 [plusieurs propos de Senghor sur la paix et le métissage, mais l’article ne porte pas spécifiquement sur Senghor comme le fait croire le titre] (ici).

ANONYME, « Pour la sauvegarde de la production des arachides dans les territoires d’outre-mer », L’Information, 25 janvier 1952, p. 9 [« Un texte d’une proposition de loi déposée par M. Senghor tend à assurer la sauvegarde de la production des arachides dans les territoires d’outre-mer. Dans son exposé des motifs, l’auteur de la proposition mentionne que l’essentiel est de garantir au producteur un prix-plancher qui ne saurait descendre au-dessous de 20 fr., quel que soit le lieu de production »] (ici).

ANONYME, « À l’Assemblée nationale : les assemblées locales d’outre-mer », L’Information, 26 janvier 1952, p. 10 [Senghor promeut « la formation des assemblées locales d’AOF, d’AEF, du Cameroun, du Togo et de Madagascar »] (ici).

ANONYME, « Les assemblées locales d’outre-mer », L’Aurore, 26 janvier 1952, p. 5 [« M. Senghor (IOM), rapporteur, accepta certaines modifications introduites par le Conseil de la République, mais se déclara opposé à toute diminution du pourcentage de sièges (3/5) réservés aux indigènes »] (ici).

ANONYME, « Le débat d’investiture à l’Assemblé nationale », La Croix, 26 janvier 1952, p. 2 [« Puis M. Senghor (IOM) vient demander que le gouvernement se préoccupe des problèmes économiques et politiques posés dans l’Union française »] (ici).

ANONYME, « Vin, viande, oléagineux », L’Aurore, 1er février 1952, p. 5 [« il faudra fixer le prix-plancher et les ministres examineront notamment la proposition de M. Senghor, député du Sénégal, suggérant la création d’une caisse interprofessionnelle qui serait alimentée par une nouvelle taxe »] (ici).

ANONYME, « Situation de Victor Hugo », La Croix, 3 février 1952, p. 3 [Recension du volume de Liberté de l’Esprit pour le cinquantenaire de la mort de Hugo : mention du texte de Senghor, paru également dans Liberté 1] (ici).

ANONYME, « Dans les petits papiers de “Rivarol” », Rivarol, 8 février 1952, p. 4 [rectification sur le fait que Senghor n’est pas normalien] (ici).

Arrêté concernant l’institution d’une commission du français élémentaire, Bulletin officiel de l’éducation nationale, 14 février 1952, p. 17 [Senghor figure dans cette commission et est qualifié comme suit : « professeur agrégé, président de la sous-commission d’éducation de base de la commission française de l’Unesco »] (ici).

ANONYME, « Marqués au fer rouge de la trahison », La vie ouvrière, 27 février 1952, p. 5 [Senghor parmi les parlementaires ayant voté pour le réarmement de l’Allemagne d’Adenauer] (ici).

ANONYME, « Le rayon Z : une injustice », L’Aurore, 19 mars 1952, p. 3 [bien qu’il ait rédigé le texte de la constitution de la Quatrième République, Senghor n’est pas « parmi les membres de la commission de réforme constitutionnelle qui va se réunir prochainement sous la présidence de M. Queuille. C’est une injustice »] (ici).

ANONYME, « Bagarre au cours d’une réunion électorale au Sénégal : 1 mort, 5 blessés », Ce soir, 19 mars 1952, p. 3 [bagarre entre partisans SFIO et BDS : mention de « M. Arar Jacobson Senghor »] (ici).

ANONYME, « Bagarre au cours d’une réunion électorale dans le Sénégal : un mort, cinq blessés », La Croix, 19 mars 1952, p. 2 [« une réunion électorale à Khombole, dans le Sénégal, et opposant des partisans de M Lamine Gueye, ancien député SFIO, et de M. Senghor, député du Bloc démocratique sénégalais »] (ici).

ANONYME, « L’actualité politique. Nouvelle bagarre électorale au Sénégal : 1 mort, 1 blessé grave », La Croix, 23 mars 1952, p. 2 [bagarre à Kaffrine entre partisans SFIO et BDS] (ici).

ANONYME, « Nouvelle bagarre électorale au Sénégal : un mort, un blessé », Paris-presse l’intransigeant, 23 mars 1952, p. 3 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « Les élections en AOF : trois morts, plusieurs blessés », Paris-presse l’intransigeant, 2 avril 1952, p. 3 [« Au Sénégal, le bloc démocratique, conduit par M. Senghor, député indépendant d’outre-mer, appuyé par le RPF, a obtenu 41 sièges, les neufs sièges restants étant enlevés par les socialistes »] (ici).

GUERNEC Jean, « M. Houphouët : “Aucun blanc ne doit encaisser d’impôt. Si un administratif insiste, tuez-le ! J’en prends la responsabilité” », Rivarol, 4 avril 1952, p. 1 [rappel des bagarres et de l’opposition entre Senghor qui « était pour la croix et le Christ » et Lamine Gueye qui était « pour Mahomet et le croissant ». « M. Senghor fut accusé d’avoir truqué son élection. Il se défendit comme un beau diable et s’écria, sans rire : “Il s’agit de savoir si le peuple de mon territoire qui fait partie intégrante de la République, qui a participé à la révolution de 1789, qui a combattu tous les champs de bataille de 1870, va être donné, en toute propriété, je ne dis même pas à tel parti, mais à tel clan” »] (ici).

Programmation de Radio-Aurore, L’Aurore, 5 avril 1952, p. 11 [Jeudi 10 avril 13 h 30 : poèmes de Senghor] (ici).

ANONYME, « La vie politique », Paris-presse l’intransigeant, 7 mai 1952, p. 3 [Senghor désigné par erreur président de l’AOF] (ici).

ANONYME, « Pour Pinay, la question est maintenant de savoir si tous ceux qui applaudissent souscriront… », Carrefour, 21 mai 1952, p. 2 [« La fausse joie. M. Senghor, député noir indépendant qui battit le socialiste M. Lamine-Gueye, aura eu une grande joie il y a quelques temps. On lui avait, en effet, fait savoir de la part du ministère de l’Union française qu’il avait été désigné président du grand Conseil de l’Afrique Occidentale Française. C’est un poste important que guignait précisément son adversaire M. Lamine-Gueye. La bonne nouvelle s’étant rapidement répandue, M. Senghor reçut de multiples coups de téléphone de félicitations et un courrier abondant, cependant que M. Daniel Mayer se désolait »] (ici).

LIMAGNE Pierre, « L’AOF vue d’avion : après des années de tragi-comédie politique, “tourner la page” », La Croix, 22 juin 1952, p. 5 [plusieurs mentions de Senghor] (ici).

LIMAGNE Pierre, « L’AOF vue d’avion : sur cent personnes, cinq seulement ont appris le français et réclament une place de fonctionnaire », La Croix, 25 juin 1952, p. 5 [« On prête au savant député noir Senghor, marié avec une noire portant un nom illustre, Mlle Éboué, ce propos d’apparence banale, qui aurait quelque peu scandalisé, à l’École normale de Rufisque, les futures institutrices : “J’ai épousé la fille d’un gouverneur général, mais quand mes chaussettes sont trouées, c’est ma femme qui les raccommode” »] (ici).

MAYER Daniel, « Où le rêve devient cauchemar », Paris-presse l’intransigeant, 23 août 1952, p. 3 [annonce de l’article de Senghor] (ici).

SENGHOR Léopold Sédar, « Les paysans d’outre-mer méritent, eux aussi, d’être défendus », Paris-presse l’intransigeant, 24 août 1952, p. 3 [article de Senghor sur la condition des paysans d’outre-mer] (ici).

SENGHOR Léopold Sédar, « Déclarations à L’Information : M. Senghor, député du Sénégal, “L’Afrique ne doit pas être oubliée dans les nouvelles organisations économiques ou politiques projetées pour l’Europe” », L’Information, 20 septembre 1952, p. 10 [déclaration de Senghor sur l’intégration de l’Afrique dans les institutions européennes] (ici).

ANONYME, « Des jeux de l’Union française ? », L’Aurore, 15 octobre 1952, p. 11 [Senghor aurait fait une proposition au gouvernement pour l’organisation de jeux de l’UF, sur le modèle des JO] (ici).

CAHUZAC et SAR SIJH, « Nous voulons le vote immédiat du code du travail des TOM », Force ouvrière, 16 octobre 1952, p. 7 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « L’Assemblée a voté le premier article du projet d’amnistie », L’Aurore, 29 octobre 1952, p. 5 [Senghor a voté pour] (ici).

ANONYME, « Augmentation du salaire de base = majoration proportionnelle des loyers », La Croix, 30 octobre 1952, p. 1 [mention de Senghor] (ici).

ANONYME, « Au Conseil des ministres », L’Information, 30octobre 1952, p. 10 [mention de Senghor] (ici).

SENGHOR Léopold Sédar, « La France doit entrer dans l’Union française », Paris-presse l’intransigeant, 6 novembre 1952, p. 4 [lettre sur l’état de l’Union française envoyée par Senghor, dont la rédaction reproduit de larges extraits] (ici).

ANONYME, « Ce n’est plus un rassemblement, c’est une débandade », Rivarol, 15 novembre 1952, p. 2 [« Pour le monde qui vient, une seule recette : celle-là même que M. Sédar Senghor, député et rédacteur honoraire à la Constitution républicaine dont nous jouissons, vient d’ébaucher devant l’Assemblée européenne de Strasbourg, où il représente la marâtre patrie. C’est très simple : il suffit d’intégrer l’Afrique et l’Europe “sur une base démocratique” »] (ici).

ANONYME, « Le code du travail dans les TOM est définitivement voté », La Croix, 25 novembre 1952, p. 2 [« M. Devinat [craignait] de voir l’économie africaine surchargée. “Non, répondit M. Senghor (IOM), car en AOF les trois-quarts des travailleurs sont célibataires ou mariés sans enfants. On peut mesurer la gravité du péril démographique qui nous menace”, ajouta le député du Sénégal en insistant auprès de M. Devinat pour qu’il fasse preuve de bonne volonté ». Risque de rejet, mais Senghor obtient une seconde lecture et le texte est enfin voté] (ici).

ANONYME, « Mauriac en caleçon écoutant Radio-Alger », Rivarol, 29 novembre 1952, p. 5 [« Dans le bouquet de louanges, on trouve cette fleur de Léopold Sédar Senghor, poète africain et rédacteur de Notre Constitution : “J’aurai dû beaucoup à mes années de captivité. Et d’avoir redécouvert François Mauriac dans la solitude d’un hôpital. Ma maladie n’était que diplomatique : une ruse contre les Allemands. Et aussi contre la bourgeoisie de ma patrie qui avait tôt fait de sacrifier la Négritude et d’autres valeurs à la ‘Collaboration franco-allemande’… Que l’on y songe seulement, c’est dès la guerre d’Éthiopie que Mauriac s’est fait résistant avant la lettre. Contre Mussolini, contre Franco, contre Hitler, contre Maurras. Contre toutes les forces et toutes les formes d’esclavage” »] (ici).

ANONYME, « Josephe Combo », La Croix, 21 décembre 1952, p. 4 [Senghor assiste à la soutenance de thèse de Joseph Combo, premier docteur de médecine de Haute-Volta et député] (ici).

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Collection créée par Groupe international de recherche Léopold Sédar Senghor Collection créée le 23/12/2023 Dernière modification le 22/01/2024