FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : La Légende de saint Julien l'Hospitalier

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "Et Voilà la legende de St Julien Lhospitalier telle qu’elle est racontre racontée sur les vitraux de la cath de ma ville natale."
  • Scénario 1875, § III, f° 494 : "Ainsi finit l’histoire de St Julien, l Hospitalier, telle à peu près qu’elle est contée, sur un vitrail d’eglise dans mon pays."
  • Scénario partiel, f° 470 : "icy finit l’histoire de St Julien, telle à peu près qu’elle est contée sur un vitrail d’eglise, dans mon pays."
  • Brouillon, f° 444v° : "icy finit l’histoire de St Julien telle qu à peu près qu’elle est contée sur un vitrail d’eglise dans mon pays."
  • Brouillon, f° 447° : "ici finit l’hist et voilà l'histoire de St Julien l’hospitalier l'hospitalier telle à peu près qu’on qu’elle est contée la trouve sur un vitrail d’eglise dans mon pays."
  • Brouillon, f° 446 : "Et voilà l’histoire de St Julien l’hospitalier telle à peu près qu’on la trouve sur un vitrail d’église, dans mon pays"
  • Mise au net, f° 447 : "Et Voilà l’histoire de St Julien l’hospitalier telle à peu près qu’on la trouve sur un vitrail d’eglise dans mon pays"
  • Manuscrit définitif, f° 57 : "Et voilà l’histoire de St Julien-l’Hospitalier telle a peu près qu’on la trouve sur un vitrail d’eglise dans mon pays."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
  • Scénario partiel, f° 408v° : "chasse au filet"
  • Scénario partiel, f° 418 : "tableau. tirasses. rosée - cailles"
  • Scénario partiel, f° 415v° : "equipages, filets."
  • Brouillon, f° 419v° : "et les dames des alentours avec leurs maris  conviées par le chatelain avec leurs enfants. collation collation - à coté sur l’herbe. beaux pâtés de gibier en un coin du pré, - près du source vive."
  • Brouillon, f° 420 : "et les dames con des alentours. conviés avec leurs maris, les petits enfants, les camerières, tout le monde les pouvait prendre avec la main. Puis on collationnait, auprès d’une source vive, en un coin du pré. Ensuite Puis on se regalait dejeunait sous la fraicheur frais des arbres"
  • Brouillon, f° 419 : "- et les dames des alentours conviées avec leurs maris, les enfants, les camerières, tout le monde se jetait dessus et les empoignait facilement. ensuite Puis on dejeunait à l'ombre sous à l'ombre des saules en un coin du pré"
  • Brouillon, f° 429v° : "- et les dames des alentours, conviées avec leurs maris, les enfants tout le monde les camerières se jetait dessus, les prenait empoignait prenait empoignait se et les  empoignaient et les prenait - facilement. Puis on dejeunait à l’ombre dans des saules, eun coin du pré"
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "et les dames des alentours conviées avec leurs maris les enfants, les camerières tout le monde se jetait dessus et les empoignait prenait facilement."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté  BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "− sa femme, d’humeur gaie α enfantin. Tous les motifs pr etre heureux. Melancolie. Mais lui X Sa pose, appuyé sur le coude"
  • Brouillon, f° 478 : "Il avait donc tous les motifs d’etre heureux. Mais, cependant tristesse le rongeait. Sa pose à sa fenêtre, ou sur le balcon. Son epouse l’entourait de mignardises, humble et gentille, lui servait des boissons à la glace. – pieds nus sur les tapis – de pêcheurs α de jardiniers"
  • Brouillon, f° 456v° : "I Sa femm pr le distraire employa des mignardises α des − caresses. − humeurs enfantines. + jongleurs fait venir en secret un cimetere des armes precieuses une (nl) − pêches. poissons dans des paniers. rien n’y faisait A."
  • Brouillon, f° 475v° : "Pour le distraire, 1 toutes sortes de caresses α des sa femme d’humeur enfantine employa des mignardises ψ et des caresses. . lui jetait à la figure des jasmins mouillés X. X ou lui presentait un boisson à la neige. 3 images differentes appliquait ses deux appuyait sa main sur le front, lui jetait des fleurs jasm au nez pr le faire rire, boissons à la glace − se glissait viv Elle lui appliquait tout sur le front ses deux paumes ouvertes elle. . . Elle. . . fit venir des jongleurs Elle acheta des armes precieuses les plus rares α des danseuses. un cimeterre. promenades. . pêches au bord de la mer, poissons dans un panier. jardins de paro gentilles paroles assise à ses pieds. . . jouait des airs de musique sur theorbe une mandoline à 3 cordes ψ ses paroles. gentilles. Elle s’en allait avec lui se promener en litière ou couchés sur le ventre au bord des flots − ils regardai enorm poissons passer dans l’azur de la mer."
  • Brouillon, f° 469v° : "Sa femme employa pr le distraire toutes sortes de caresses d’inventions. α de gentilles parolesetait se tourmentait de son chagrin Elle fit venir des jongleurs. des menestrels α des danseuses. Elle l’emmenait en litière se s’en s’en allait avec lui se promener en litière dans la campagne − ou couchés sur bien etendus à plat le ventre sur le plat bord d’une chaloupe ils regardaient passer sous eux sous eux, vagabonder dans l’eau bleue les gros poissons. d’argent d’argent se promer d’argent remuer vagabonder les (nl), plonger courir remuer vagabonder glisser dans l’azur de l’eau claire comm le ciel. − impalpable D’autres fois, elle lui elle lui jetait des fleurs au visage. − ou bien Assise à devant devant ses pieds, elle jouait faisait tirait des airs (de musique) sur d’une mandoline à trois cordes. – jouait doucement, Puis se relevait et α lui posait ses deux mains jointes sur l’epaule sur l’epaule disait d’une voix d’enfant calain α enfantin et en disant de d’une façon caline douc d’une f − caline α disait "qu’avez-vous donc, cher seigneur ?"
  • Brouillon, f° 457v° : "Sa femme employa pr le distraire, toutes sortes d’inventions. Elle fit venir des jongleurs α des danseuses. Elle s’en allait avec lui se promener en litière dans la campagne − ou bien etendus à plat ventre sur le bord d’une chaloupe, ils regardaient sous eux les larges poissons vagabonder. circuler dans l’azur de l’eau, claire bleue comme le ciel. Qqfois, elle lui jetait tout à coup des fleurs au visage. Assise accroupie devant ses pieds, elle jouait tirait des airs sur d’une mandoline à trois cordes, puis se relevait α lui posant sur l’epaule ses deux mains jointes, disait d’une voix caline timide − "qu’avez-vous donc, cher seigneur ?"
  • Manuscrit définitif, f° 45 : "Sa femme, pr le recreer, fit venir des jongleurs α des danseuses. Elle se promenait avec lui, en litière ouverte dans la campagne − ou bien etendus sur le bord d’une chaloupe, ils regardaient les poissons vagabonder dans l’eau, claire comme le ciel. Qqfois, elle lui jetait des fleurs au visage. Accroupie devant ses pieds, elle tirait des airs d’une mandoline à trois cordes ; puis lui posant sur l’epaule ses deux mains jointes, disait d’une voix timide "qu’avez vous donc, cher Seigneur ?"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le clair de lune l’avait excité à la chasse. rentre. - tue"
  • Scénario, § II, f° 493 : "Les deux vieux couchés Julien tâte les bonnets la barbe et les cheveux - meurtre."
  • Scénario partiel, f° 480 : "et comm il eta se penchait pr la baiser au front, il sent sous au dela sa main une barbe. - Il tâta plusieurs fois. ne s’est pas trompé. trouble. – puis fureur subite, enragée. - p c’etait un av homme, et cet homm etait l’amant de sa femme. – Jalousie. Comme si un volcan en lui eut eclaté, tira son coutelas. - et les egorge."
  • Scénario partiel, f° 436v° : "et allongeant le bras pr l’embrasser. il sentit sous sa main une barbe. comm une toison legère alors il Julien se recule recula, croyant qu’il se s'etre qu’il s’etait trompé, qu’il est et ayant peur de devenir croyant qu’il devenait fou. – il tâte encore. très emu C’etait bien la C’etait bien une barbe d’un homme, et pas fureur subite et jalousie persuadé que c’etait sa femme couchée avec son amant un hom sa femme. comme si un volcan eut eclaté en lui, Ce qu’il sentit, il ne put se le rappeler, M - une douleur atroce - une (nl) le se precipite sur eux comm un tigre. tire son poignard cimetère comm un dechiremt de tout son être - poignard. - bien dirigé. . deux coups."
  • Brouillon, f° 454 : "Et comme il lui passait le bras gauche sous la tête, - en mêm temps qu’il allongeait le bras droit pr l’embrasser, il sentit sous sa main qque chose de pareil à une toison. une barbe. - Tout de suite Julien se recula sûr de s’etre trompé, croyant qu’il devenait fou Il... tâte tr.. très emu... C’etait bien la barbe et un homm – Un homm couché avec sa femme ! Ce fut com Eclatant d’une colere demesu Ce qu’il ressentit, il ne put se rappeler. Une douleur atroce - un dechiremt de tout son être - comm si un volcan eut eclaté en lui. Tout de suite une colère demesurée eclata en lui dans son coeur comm un volcan.- tira son poignard, il se rua comm un tigre sur les deux corps endormis - deux coups. et les assassina à coups de poignards."
  • Brouillon f° 453 : "Quand il fut au bord pr baiser sa femme au bord, il se pencha sur l’oreiller, afin de baiser sur le front sa femm où les deux têtes reposaient etaient l’une près de l’autre Alors sentit contre sa bouche l’impression d’une barbe. Il se recula, sûr d’etre trompé croyant qu’il devenait devenir fou. Il Mais Puis il revint près du lit - et ses doigts palpant de nouveau qu rencontrèrent des cheveux qui étaient très longs. Alors Sa poitrine il respira largement. Soupira de bonheur - et délivré respira à pr mieux se convaincre mieux de son erreur il repassa lentement sa main avec ses doigts sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette f cette fois ! - un homme - un homme couché avec sa femm ! Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur les deux corps et les assassina sur eux à coups de poignard."
  • Mise au net, f° 435 : "Quand il fut au bord, afin de baiser sa femme sur le front, il se pencha vers sur l’oreiller, où les deux têtes reposaient l’un près de l’autre alors il sentit contre sa bouche l’impression légère d’un imp barbe Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit et ses doigts en palpant, rencontrèrent des cheveux qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentemt sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois - et un homm un homme couché avec sa femm. Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur eux à coups de poignards"
  • Manuscrit final, f° 50 "Quand il fut au bord, afin d’embrasser sa femme, il se pencha sur l’oreiller ou les deux têtes reposaient l’une près de l’autre. Alors, il sentit contre sa bouche l’impression legère d’une barbe. Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit, et ses doigts en palpant rencontrèrent des cheveux, qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentement sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois, et un homme ! - un homme couché avec sa femme. Eclatant d’une colère demesurée il bondit sur eux, à coups de poignard"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF, Mss, NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "Prediction du cerf."
  • Scénario général, 1875, f° 492 : "le cerf, immobile. − Julien le blesse − Le cerf. − fait sa prediction."
  • Brouillon, f° 425 : "− blesse le cerf. − le cerf parle − blesse le cerf. − Le cerf − qui a une barbe parle."
  • Brouillon, f° 451 : "Le cerf (à barbe) s’avance α en face pred grave"  
  • Brouillon, f° 427v° : "Le cerf X (à barbe) s’avance. droit sur lui. Julien en a peur. − et en face, gravemt. − yeux, sa barbe, comm un patriarche A. faisait face au danger marche sur lui. J. ajuste sa dernière flèche. elle arrive  l’atteint juste au front entre les 2 yeux il n’eut pas l’air de la sentir α continua. ."
  • Brouillon, f° 429 : "Le gd cerf s’avança l’avait vu (Julien) il fondit sur lui J. Julien eut le temps. lui il ajusta avait vivemt jeta vivemt contre lui sa dernière. flèche. se planta l’atteignit au milieu du front Elle atteignit le cerf au front juste juste au milieu juste entre les deux deux yeux. α y resta plantée Mais Le gd cerf n’eut pas l’air de s’en apercevoir la sentir −"
  • Manuscrit définitif, f° 40 : "Le gd cerf l’avait vu, fit un bond. lui Julien lui lança envoya bien vite sa dernière flèche. Elle l’atteignit au front, α y resta juste entre les deux gds yeux, α y resta plantée."
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