FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


Votre recherche dans le corpus : 69 résultats dans 1506 notices du site.
Type de document : Événements

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 21v° (NAF 17607) : "circulaire terrifiante de Ledru-Rolin 12. cours forcé des billets de banque. 15. La rente tombe de 120 à 60. enfin, comme coup de massue les 45 cent"
  • Brouillon, f° 30 (NAF 17607) : "α la circulaire terrifiante terrifiante de Ledru-Rolin 12. cours forcé des billets de banque (le 15). La rente est tombée de 120 à 60. enfin enfin, comme coup de massue. final comme pr de Scylla proscription de Scylla les 45 centimes. -"
  • Brouillon, f° 27v° (NAF 17607) : "et on y en ajoutant les  circulaire terrifiante de Ledru-Rolin. - le cours forcé des billets de banque, la rente tombée de 120 à 60, mais ce qui enfin comme enfin α comme dernière iniquité suprême comme sous le dernier coup de massue comme proscription de Scylla les 45 centimes !"
  • Brouillon f° 31 (NAF 17607) : "en y ajoutant à la liste des griefs aux griefs la  circulaire de Ledru-Rolin, le cours forcé des billets de banque, la rente tombée à soixante francs - enfin comme dernière iniquité suprême suprême comme dernier dernière coup, de massue de massue comme horreur surprême surcroît suprême l'impôt des 45 centimes."
  • Brouillon, f° 32 (NAF 17607) : "en y ajoutant la  circulaire de Ledru-Rolin le cours forcé des billets de banque, la rente tombée à soixante francs, - et enfin comme iniquité dernière suprême dernière comme dernier coup, comme surcroît d'horreur l'impôt des 45 centimes !"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 104 (NAF 17607) : "il est beaucoup question des ateliers nationaux"
  • Esquisse, f° 114 (NAF 17607) : "Au 20 mai 117 120 mille hommes dans les ateliers nationaux les transports en Algerie c'est bi N c'est bien fait dit Mr D. leur dissolution immediate Mr de Falloux a raison (P. Leroux trouve que on n'est pas assez en republique Je trouve que nous y sommes trop" car enfin qu'est-ce qu'ils veulent (les socialistes) n'a-t-on pas fait assez pr eux (1). Pierr Leroux a voté un credit d'un million pr les ateliers α ils en ont depensé 4 nationaux. les ateliers se montant à B en effet on ne savait plus que faire des 117 mille hommes des ateliers nat α 50 dem à en sortir (2) Le 21 mercredi sur l'ordre de la commission exécutive le ministre des trav publics avait signé un arrêté qui invitait tous les citoyens de 18 à 25 ans à s'enroler immediatement dans l'arm ou bien à se tenir prêts à partir pr aller faire dans les departements qui leur seraient designés des travaux de terrassements à la tâche."
  • Brouillon, f° 111v° (NAF 17607) : "en effet ne sachant plus que faire des comment nourrir les 120 mille h des ateliers nationaux - sur l'ordre de la commission exécutive le ministre des travaux publics avait signé ce jour-là même 21 juin produit signé un arrêté qui qui invitait tous les citoyens entre 18 et 25 ans à prendre du service dans l'armée comme soldats ou bien à aller dans des endroits departements qui leur seraient designés y faire des travaux de terrassement à la tâche. bien à partir  qu'on leur designerait pr y remuer la terre"
  • Brouillon, f° 96v° (NAF 17607) : "En effet, ne sachant plus comment nourrir les 120/117 mille hommes des ateliers nationaux (- sur l'ordre de la commission exécutive), le ministre des travaux publics avait ce jour-là même signé publié un arrêté qui invitait tous les citoyens entre 18 et 25 ans à prendre du service comme soldats - ou bien à parti pr dans vers les departements qu'on leur designerait, pr y remuer la terre.
  • Brouillon, f° 112 (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 113 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 15v° (NAF 17607) : "Il engage Fr. à se porter "Pourquoi ne vous porteriez-vous pas à la deputation dans le departement de l'Aube. α à il l'engage à cela, fortement, le bon moyen  c'est de se faire patronner par un club de Paris"
  • Brouillon, f° 39 (NAF 17607) : "On arrive aux elections prochaines. - Pourquoi ne vous porteriez-vous pas à la deputation de l'Aube ?"
  • Brouillon, f° 28v° (NAF 17607) : "les elections fixées alors au 23 avril Les elections fixées au 23 av (le 18 mai) Les elections fixées au 23 avril"
  • [...]

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17606) : "arrivée rencontre de Dussardier. ce qu'il a fait dans la journée son enthousiasme."
  • Brouillon, f° 16 (NAF 17607) : " rencontre Dussardier - ce qu'il a fait dans la journée - son enthousiasme"
  • Brouillon, f° 21 (NAF 17607) : "Dussardier passe – Ce qu'il a fait dans la journée. . . . Son enthousiasme"
  • Brouillon, f° 20v° (NAF 17607) : "Dussardier passe. –  joie en les voyant. les embrasse"
  • Brouillon, f° 9v° (NAF 17607) : "C'etait Dussardeir - les embrassant α se jetant dans les leurs bras. Sans pouvoir dire autre chose, tant il haletait de plaisir joie α de fatigue. Ce qu'il Il avait fait . .  battu aux barricades travaillé aux barricades. - s'etait battu à X. où il avait sauvé trois municipaux etait Entré bien avant le peuple aux Tuileries avec Colonne Dunoyer, - avait sauvé des municipaux"
  • Brouillon, f° 6v° (NAF 17607) : "sans pouvoir dire autre chose, tant il haletait de plaisir joie α de fatigue Depuis quarante huit heures il etait debout Il avait travaillé aux barricades du q. Latin, s'etait battu au dans le faubourg St Antoine - St Ant. où il où il avait sauvé trois municipaux, dragons etant entré bien avant le peuple bien avant aux Tuileries avec le peuple avant le peuple avec avec  avec la colonne Dunoyer"
  • Mise au net (folio perdu)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.

  • Plan, § III, f° 726 : "Entrée de Salomé danses"
  • Scénario, f° 739 : "entrée de Salomé explication danse d'abord une flute. puis une flute α un tambourin puis la flute, le tambourin α une harpe."
  • Scénario, f° 713v° : "Elle danse... trois danses 1° voltigeante 2° gracieuse - amou voluptueus d'abord avec une flute fifre leger – puis avec une flute α un tambourin. 3° desordonnée - la gringras grosse un chalumeau, qq ch la 3° (nl) desordonn puis flute, tambourin α harpe] - psych differente a progress à chaque danse"
  • Scénario, f° 705v° : "Elle danse. - 1° une danse gracieuse, legère, comme un papillon, - avec accompagnemt d’un petite flute legère. 2° une danse. retr gr langoureuse, voluptueuse, avec la gingros. 3° une danse desordonnée, flute tambourins α harpe. [(nl) mettre le 3 à la place du 2. la progression sera plus naturelle. Psychologie differente α progression a chaque danse -"
  • Scénario, f° 748
  • Brouillon, f° 653v°
  • Brouillon, f° 647
  • Brouillon, f° 644
  • Brouillon, f° 642
  • Brouillon, f° 640
  • Mise au net, f° 533
  • Manuscrit défintif, f° 82

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 21v° (NAF 17607) : "alors La proprieté est devenu devint Dieu. la Fr. com un voyageur sans guide com un enfant sans bonne. Ce qu'il y avait eu de plus juste - α de plus cruel, l'exécution des voleurs devait prtant rassurer les bourgeois sur la proprieté."
  • Brouillon, f° 30 (NAF 17607) : "Alors La proprieté attaquée devint Dieu. fut une religion. Le Capital devint Dieu. - malgré.. toutes les preuves du contraire, "la guillotine". L'absence dissensions entre maitre du gouvernement faible epouvante la France. à crier d'effarement  comme un voyageur sans guide aveugle sans son bâton - comme un enfant marmot sans qui a perdu sa bonne."
  • Brouillon, f° 27v° (NAF 17607) : "Alors La proprieté attaquée monta dans les respects à la hauteur d'une religion α se confondit avec le Capital devint Dieu. - peur de la guillotine, spectre de 93 malgré toutes les preuves contraires - dissensions intimes des gouvernements. faisaient qu'on accusait le Pouvoir de n'être pas assez fort. On s'en plaignait La France n'ayant ne sentant plus de maître se mit à crier d'effarement  comme un aveugle sans son bâton - comme un enfant marmot qui a perdu sa bonne."
  • Brouillon f° 23v° (NAF 17607) : "Alors La proprieté attaquée monta dans les respects à la hauteur au niveau d'une religion α se confondit avec Dieu. Les attaques qu'on portait parurent sacrilèges à la fois aux yeux eblouis les attaques qu'on lui portait parurent tout à la fois relevées du sacrilège α de l'homicide parurent à la fois presque aveuglés du sacrilège α de la clemence devint un l'anthrophagie du Machiavelisme Aux yeux epouvantés des bourgeois, l'encre de certains jounaux parut avait prit avait pris la couleur de sang Malgré les lois les plus humaines, la legislation la plus douce qui fut jamais en depit des condescendances les plus larges complètes des temperaments le spectre de 93 reparut. . . la guillotine vibra et en même temps les dissensions interieures des gouvernants faisaient ce qui n'empêchait pas qu'on l'accusait le Pouvoir de n'être pas assez fort. d'être très faible en s'en plaignant. la meprisait pr sa faiblesse La France ne sentant plus de maître se mit à crier d'effarement  comme un aveugle sans son bâton - comme un enf enfant marmot qui a perdu sa bonne."
  • Brouillon, f° 32 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 161v° (NAF 17606) : "Coups de feu eclatent bris de glaces on creve les tableaux
  • Brouillon, f° 166v° (NAF 17606) : "- on casse les meubles etc les glaces - bris de porcelaine puis bruit de pas. Deux joueurs d'echecs. – mascarades tout à  coup crepines rideaux – robes – femmes qui se pommadent. un autre qui volent des feuilletons, costumes grotesques.- ils sont portés par le flot. Fenêtre - Homme qui fume d'une fenêtre De là ils voient, les voitures brûler"
  • Brouillon, f° 16 (NAF 17607) : "Deux joueurs d'echecs – mascarades, crepines, rideaux – – à part Femmes qui se pommadent – un autre qui vole des feuilletons. costumes grotesques, – mascarades, crepines, rideaux – curiosité l'amusement l'entrain d'une exibition lutte l'entrain d'une batailler. le sentiment la joie d'une conquête. Chacun se sentait roi on dechire les etoffes – on prend les vêtem"
  • Brouillon, f° 12v° (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 17 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 18 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 14v° (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 19 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le clair de lune l’avait excité à la chasse. rentre. - tue"
  • Scénario, § II, f° 493 : "Les deux vieux couchés Julien tâte les bonnets la barbe et les cheveux - meurtre."
  • Scénario partiel, f° 480 : "et comm il eta se penchait pr la baiser au front, il sent sous au dela sa main une barbe. - Il tâta plusieurs fois. ne s’est pas trompé. trouble. – puis fureur subite, enragée. - p c’etait un av homme, et cet homm etait l’amant de sa femme. – Jalousie. Comme si un volcan en lui eut eclaté, tira son coutelas. - et les egorge."
  • Scénario partiel, f° 436v° : "et allongeant le bras pr l’embrasser. il sentit sous sa main une barbe. comm une toison legère alors il Julien se recule recula, croyant qu’il se s'etre qu’il s’etait trompé, qu’il est et ayant peur de devenir croyant qu’il devenait fou. – il tâte encore. très emu C’etait bien la C’etait bien une barbe d’un homme, et pas fureur subite et jalousie persuadé que c’etait sa femme couchée avec son amant un hom sa femme. comme si un volcan eut eclaté en lui, Ce qu’il sentit, il ne put se le rappeler, M - une douleur atroce - une (nl) le se precipite sur eux comm un tigre. tire son poignard cimetère comm un dechiremt de tout son être - poignard. - bien dirigé. . deux coups."
  • Brouillon, f° 454 : "Et comme il lui passait le bras gauche sous la tête, - en mêm temps qu’il allongeait le bras droit pr l’embrasser, il sentit sous sa main qque chose de pareil à une toison. une barbe. - Tout de suite Julien se recula sûr de s’etre trompé, croyant qu’il devenait fou Il... tâte tr.. très emu... C’etait bien la barbe et un homm – Un homm couché avec sa femme ! Ce fut com Eclatant d’une colere demesu Ce qu’il ressentit, il ne put se rappeler. Une douleur atroce - un dechiremt de tout son être - comm si un volcan eut eclaté en lui. Tout de suite une colère demesurée eclata en lui dans son coeur comm un volcan.- tira son poignard, il se rua comm un tigre sur les deux corps endormis - deux coups. et les assassina à coups de poignards."
  • Brouillon f° 453 : "Quand il fut au bord pr baiser sa femme au bord, il se pencha sur l’oreiller, afin de baiser sur le front sa femm où les deux têtes reposaient etaient l’une près de l’autre Alors sentit contre sa bouche l’impression d’une barbe. Il se recula, sûr d’etre trompé croyant qu’il devenait devenir fou. Il Mais Puis il revint près du lit - et ses doigts palpant de nouveau qu rencontrèrent des cheveux qui étaient très longs. Alors Sa poitrine il respira largement. Soupira de bonheur - et délivré respira à pr mieux se convaincre mieux de son erreur il repassa lentement sa main avec ses doigts sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette f cette fois ! - un homme - un homme couché avec sa femm ! Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur les deux corps et les assassina sur eux à coups de poignard."
  • Mise au net, f° 435 : "Quand il fut au bord, afin de baiser sa femme sur le front, il se pencha vers sur l’oreiller, où les deux têtes reposaient l’un près de l’autre alors il sentit contre sa bouche l’impression légère d’un imp barbe Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit et ses doigts en palpant, rencontrèrent des cheveux qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentemt sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois - et un homm un homme couché avec sa femm. Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur eux à coups de poignards"
  • Manuscrit final, f° 50 "Quand il fut au bord, afin d’embrasser sa femme, il se pencha sur l’oreiller ou les deux têtes reposaient l’une près de l’autre. Alors, il sentit contre sa bouche l’impression legère d’une barbe. Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit, et ses doigts en palpant rencontrèrent des cheveux, qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentement sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois, et un homme ! - un homme couché avec sa femme. Eclatant d’une colère demesurée il bondit sur eux, à coups de poignard"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "III. il part. − guerroie. − pays lointains. vie d’aventures."
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "α recevait les coups des son bouclier les pierres qui tombaient des crenaux à autre plusieurs moulinet avec sa masse d’armes − comme une couleuvre le long des murs"
  • Brouillon, f° 433 : "– Dans les fossés recevait sur son bouclier les pierres des crenaux y montait comme un serpent.."
  • Brouillon, f° 430v° : "Il reçut sur son bouclier les pierres des crenaux."
  • Brouillon, f° 458v° "avec une corde à noeuds il grimpait aux murailles murs des cit des citadelles com un serpent plusieurs fois, on l’aperçut debout sur l’extremité d’une poutre embrasée. – Il reçut des pierres lourdes sur son bouclier les pierres des crenaux. très lourdes"
  • Brouillon, f° 459v° : "Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit balancé par l’ouragan sous le feu gregois, la resine bouillante, α le plomb liquide. . pendant que les flamm flammèches du feu comm tels que des oiseaux rouges gregois voltigeait à l’entour que la resine bouillante α (nl) creneaux ruisselant par des creneaux sur sa silhouette dans la fumée des incendies."
  • Brouillon, f° 432 : "Avec une corde à noeuds il grimpait au mur des citadelles la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois voltigeaient tout à l’entourdans l’air se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux."
  • Brouillon, f° 431 : "Avec une corde à noeuds il grimpait aux au murs des citadelle, la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que des flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des creneaux."
  • Mise au net, f° 430 : "Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit, balad balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux. "
  • Manuscrit définitif, f° 42 : "− Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux. "

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 170v° (NAF 17606) : "l'insurrection s'etait organisée les chefs de corps faisaient mettre aux soldats la crosse en l'air. fraternisation 11 Municipaux 8h. 9h. du mat. coup de fusils rue de l'echelle sur les app des xxx d'orleans 9 6 à 8 heures du matin le peuple de gré ou de force s'etait emparé de presque toutes les mairies α de cinq casernes. occupait tous les points stratégiques de l'interieur. port. St Denis place des vict. pointe St Eustache des le matin furie furie des barricades des femm encouragements 12. ça depassait les previsions Od. Barrot lui à la barric. Bonhomme"
  • Brouillon, f° 158v° (NAF 17606) : "La masse l'insurrection avait grandi et s'etait organisée pendant la nuit L'insurrection s'etait organisée – impulsion merveilleuse. de rue en rue de barricade en barricade des hommes vont de barricade en barricade. haranguer eloge febrile. tocsin – barricades. – et dès le matin furie de barricades Paris en est couvert et une furie de barricades les femmes y aidaient. encourageaient. - Ordres impossibles à transmettre. magasins d'armes de la rue St Honoré enlevé d'armes d'assaut"
  • Brouillon, f° 160v° (NAF 17606) : "L'insurrection s'etait organisée. formidablemt – impulsion unique de rue en rue, de barricade en barricade Des hommes surgis d'une eloquence febrile haranguaient avec une eloquence ferile. d'autres sonnaient le tocsin à pleine volée le magasin d'armes de la rue St Honoré etait enlevé d'assaut Les armuriers en donnaient On frappait portes des maisons pr avoir d'autres on forçait les pharmaciens à faire de la poudre on fondait des balles, on faisait des cartouches on aiguisait le fer. on forçait les pharmaciens à faire de la poudre. Les arbres des bds tombaient sous les coups de hache. Les vespasiennes, les bancs, les grilles, les balustrades, les becs de gaz. tout fut renversé arraché. – et Paris se reveilla au milieu des tout couvert d'un reseau de barricades"
  • Brouillon, f° 174v° (NAF 17606)
  • Brouillon, f° 3 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 4 (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 5 (NAF 17607)
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