Insurrection de juin 1848, faubourg Saint-Antoine

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Auteur : Sylvie Giraud
Notice créée le 25/07/2015

Informations sur l'extrait de Flaubert

Extrait : Enfin, à dix heures, au moment où le canon grondait pour prendre le faubourg Saint-Antoine, Frédéric arriva chez Dussardier.

Titre de l'écrit : L'Éducation sentimentale : III, 1

Pagination dans l'édition de référence : 499

Date de l'écriture : Mi-septembre / mi-octobre 1868

Lieu de l'écriture : Croisset

Corpus : Fictionnel

Les mots clés

22-26 juin 1848, Faubourg Saint-Antoine, Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale

Relations entre fiche et images

Collection Les images
	Ce document est en relation avec :
	Assaut à la barricade à l'entrée du faubourg Saint-Antoine, le 25 juin 1848
	Attaque du faubourg Saint-Antoine
	Barricade rue Saint-Antoine pendant les journées de juin 1848
	L'Attaque de la barricade du faubourg Saint-Antoine et mort du Général Négrier le 25 juin 1848
	La Place de la Bastille et la Barricade de l'entrée du faubourg Saint-Antoine, le 25 juin 1848

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Sylvie Giraud, Insurrection de juin 1848, faubourg Saint-Antoine, 25/07/15.
.
Consulté le 04/11/2025 sur la plate-forme EMAN :
https://eman-archives.org/FLIM/items/show/6585

Contexte

Contexte : Réel

Type d'accès au contexte :

Lecture
Témoignage
Visualisation

Notes, observations, éléments critiques sur le contexte :

- Pierre-Marc de Biasi : "La tonalité narrative n'est plus la même. À partir de ce moment du récit, le narrateur semble changer de camp : un renversement que l'on peut suivre dans le travail documentaire du romancier. Jusque-là, Flaubert avait surtout utilisé des sources conservatrices pour mieux ridiculiser les révolutionnaires. À partir de juin 1848, il choisit de préférence ses références chez les démocrates et les révolutionnaires pour mettre en scène aussi nettement que possible la bêtise et la férocité des réactionnaires, responsables du bain de sang de juin et du coup d'État du 2 décembre." (L'Éducation sentimentale, Le Livre de poche, coll. Classique, Paris, 2002, p. 474, note 1).
- Lorsque le lundi 26 juin 1848, "à dix heures", Frédéric Moreau arrive chez Dussardier, qui demeure "rue Bellefond" [entre le boulevard Rochechouart et la rue du Faubourg-Poissonnière, 9e arrondissement de Paris], les combats sont presque terminés ; le quartier ... ... Lire la suite

Description et analyses

Catégorie / médium : Événements

Notes, observations, éléments critiques :

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "le feu avait recommencé à 4 h. fg du temple il cesse à 10 heures cependant Alors le le canon grondait encore sur la Place de la Bastille. le faubourg St Antoine n'est n'etait pas pris"
Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "α ça recommençait. des fusillades à 4 heures des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple α ne discontinuent pas. [...] Car la Victoire est etait assurée. - le feu avait recommencé à 4 heures dans le faubourg du temple il cesse à 10 heures alors A 10 heures le Canon gronda sur la Place de la ...

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "le feu avait recommencé à 4 h. fg du temple il cesse à 10 heures cependant Alors le le canon grondait encore sur la Place de la Bastille. le faubourg St Antoine n'est n'etait pas pris"
Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "α ça recommençait. des fusillades à 4 heures des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple α ne discontinuent pas. [...] Car la Victoire est etait assurée. - le feu avait recommencé à 4 heures dans le faubourg du temple il cesse à 10 heures alors A 10 heures le Canon gronda sur la Place de la Bastille c'etait pr prendre le faubourg St Antoine c'etait qui fut pris vite. enlevé"
Esquisse, f° 166v° (NAF 17608) : "α ça recommençait plus loin. à cinq à 4 heures du matin des fusillades eclatent dans la direction du faubourg du temple bruit de fusillades [...] A 10 heures le canon gronda sur la Place de la Bastille pr prendre le faubourg St Antoine qui fut vite enlevé"
Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "α ça recommençait plus loin. à quatre heures du matin, dans la direction du faubourg du temple bruit de fusillades à 4 h du matin dans la direction du fg du temple fusillade - car la victoire est assurée. à 10h. le canon gronda sur la Place de la Bastille pr prendre le fg St Antoine qui fut vite enlevé"
Brouillon, f° 134v° (NAF 17608) : "car la victoire est assurée à 10 heures, le canon gronde sur la Place de la Bastille pr prendre le faubourg St Antoine qui fut vite enlevé."
Brouillon, f° 118v° (NAF 17608) : "Enfin, à 10 heures, au moment où le canon grondait pr prendre la Bastille, Frederic arriva chez Dussardier."
Brouillon, f° 113v° (NAF 17608)
[...]

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Informations sur la fiche

Date : 25/07/15

Langue : Français

Contributeur(s) : Avec le soutien de l'ANR, programme bilatéral franco-allemand

Insurrection de juin 1848, faubourg Saint-Antoine

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