FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


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Type de document : Événements

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 170v° (NAF 17606) : "l'insurrection s'etait organisée les chefs de corps faisaient mettre aux soldats la crosse en l'air. fraternisation 11 Municipaux 8h. 9h. du mat. coup de fusils rue de l'echelle sur les app des xxx d'orleans 9 6 à 8 heures du matin le peuple de gré ou de force s'etait emparé de presque toutes les mairies α de cinq casernes. occupait tous les points stratégiques de l'interieur. port. St Denis place des vict. pointe St Eustache des le matin furie furie des barricades des femm encouragements 12. ça depassait les previsions Od. Barrot lui à la barric. Bonhomme"
  • Brouillon, f° 158v° (NAF 17606) : "La masse l'insurrection avait grandi et s'etait organisée pendant la nuit L'insurrection s'etait organisée – impulsion merveilleuse. de rue en rue de barricade en barricade des hommes vont de barricade en barricade. haranguer eloge febrile. tocsin – barricades. – et dès le matin furie de barricades Paris en est couvert et une furie de barricades les femmes y aidaient. encourageaient. - Ordres impossibles à transmettre. magasins d'armes de la rue St Honoré enlevé d'armes d'assaut"
  • Brouillon, f° 160v° (NAF 17606) : "L'insurrection s'etait organisée. formidablemt – impulsion unique de rue en rue, de barricade en barricade Des hommes surgis d'une eloquence febrile haranguaient avec une eloquence ferile. d'autres sonnaient le tocsin à pleine volée le magasin d'armes de la rue St Honoré etait enlevé d'assaut Les armuriers en donnaient On frappait portes des maisons pr avoir d'autres on forçait les pharmaciens à faire de la poudre on fondait des balles, on faisait des cartouches on aiguisait le fer. on forçait les pharmaciens à faire de la poudre. Les arbres des bds tombaient sous les coups de hache. Les vespasiennes, les bancs, les grilles, les balustrades, les becs de gaz. tout fut renversé arraché. – et Paris se reveilla au milieu des tout couvert d'un reseau de barricades"
  • Brouillon, f° 174v° (NAF 17606)
  • Brouillon, f° 3 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 4 (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 5 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario § II, 1875, f° 493 : "defile pr l’arche de Noë ou Adam dans le paradis sur un lui au milieu"
  • Brouillon, f° 464v° : "- ou bien, defilant toutes deux à deux par couples, en commençant par les plus petites, comme celles que Noë poussait devant son arche"
  • Brouillon, f° 462 : "- D’autres fois, elles defilaient devant lui, deux à deux par couples, depuis les moindres jusqu’aux plus gdes, comm lorsqu’elles sont le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë –"
  • Brouillon, f° 464 : "ou bien, elles defilaient deux à deux deux à par rang de taille, depuis les sour lions et les baleines, elephants. les chameaux et les lions jusqu’aux aux. lapins canards et aux souris. hermines et aux canards coq d’Inde et aux lion deux par deux comm le jour qu’elles entrèrent dans dans l’arche de Noë."
  • Brouillon, f° 470v° : "– ou bien, elles defilaient, deux à deux, par rang de taille, depuis les elephants et les lions jusqu’aux hermines et aux canards, comme le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë."
  • Manuscrit définitif, f° 44 : "- ou bien, elles defilaient deux à deux, par rang de taille, depuis les elephants et les lions jusqu’aux hermines et aux canards, comme le jour qu’elles entrèrent dans l’arche de Noë."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
  • Scénario partiel, f° 418 : "precipite sur les blaireaux - bêtes sortant du terrier blaireaux. A"
  • Scénario partiel, f° 425 : "quantité lapins debuchent des terriers. son basset les etouffe. blaireau"
  • Scénario partiel, f° 451 : "Bientôt puis – ses sabots sur la terre dure le ciel pâlit et se raya son cheval glissait sur l’herbe glacee. le givre - d’une lueur barre rouge, sur un ciel verdatre. Quantité de lapins sur le bord de la route sortant de leurs terriers broutaient l’herbe. . - Les deux bassets, d’eux-mêm comm se multipliant, les tuaient d’un coup de dents. gueule - les couchaient par terre"
  • Scénario partiel, f° 452 : "puis le Mais puis un coté du ciel pâlit une barre rouge sur un allait vint à pâlir le froid. - sur la terre dure. . puis le ciel pâlit une barre rouge sur un fond verdâtre ciel et dans les aux premières blanches blancheurs palir s’eclairait l’hor s’eclaircit du crepuscule. puis un coté de l’horizon s’eclaira il aperçut - distingua tout près de lui. . sur la lisière du bois tout près de lui autour de lui il apercut a la lisière des taillis d’innombrables au bord quantite de lapins. sur le bord de la route, quantité de lapins sortis sortant sortant de leurs terriers. ça et là, broutant broutaient l’herbe repandus courant et ça et là - ça et là. Les deux bassets, tout de suite se precipitèrent sur eux dessus courant de droite - allant - et de gauche et comme se multipliant les couchaient par terre d’un seul d'un premier premier du premier coup de gueule les couchaient par terre tuaient sur le flanc leur brisaient les reins renversaient occis cassaient couchaient."
  • Brouillon, f° 428v° : "Puis Mais un côté de l’horizon du ciel s’eclaira s’eclaircit - et dans la blancheur du crepuscule,  il aperçut autour de lui, au bord de la route s’eclaira. d’innombrables lapins, sortant de leurs terriers. terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent dessus, sur eux et ça et là, de droite a de gauche vivement leur cassaient les reins l'echine"
  • Brouillon, f° 424 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit, et dans la blancheur du crepuscule, il apercut d’innombrables lapins, entre les herbes d’innombrabl d’innombrables d’innombrables sautillant parmi les herbes sautillant parmi les herbes. sortant de leurs terriers. sautillant au bord de leur terriers au bord de leur terriers et autour au milieu des herbes Les deux bassets tout de suite tout de suite se precipitèrent sur eux dessus sur eux et ça et là ; dessus sur eux -"
  • Manuscrit définitif, f° 38 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit et dans la blancheur du crepuscule, il aperçut des lapins sautillant au bord de leurs terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent sur eux, et ça et là, vivement leur cassaient l’echine."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
  • Scénario partiel, f° 408v° : "chasse au filet"
  • Scénario partiel, f° 418 : "tableau. tirasses. rosée - cailles"
  • Scénario partiel, f° 415v° : "equipages, filets."
  • Brouillon, f° 419v° : "et les dames des alentours avec leurs maris  conviées par le chatelain avec leurs enfants. collation collation - à coté sur l’herbe. beaux pâtés de gibier en un coin du pré, - près du source vive."
  • Brouillon, f° 420 : "et les dames con des alentours. conviés avec leurs maris, les petits enfants, les camerières, tout le monde les pouvait prendre avec la main. Puis on collationnait, auprès d’une source vive, en un coin du pré. Ensuite Puis on se regalait dejeunait sous la fraicheur frais des arbres"
  • Brouillon, f° 419 : "- et les dames des alentours conviées avec leurs maris, les enfants, les camerières, tout le monde se jetait dessus et les empoignait facilement. ensuite Puis on dejeunait à l'ombre sous à l'ombre des saules en un coin du pré"
  • Brouillon, f° 429v° : "- et les dames des alentours, conviées avec leurs maris, les enfants tout le monde les camerières se jetait dessus, les prenait empoignait prenait empoignait se et les  empoignaient et les prenait - facilement. Puis on dejeunait à l’ombre dans des saules, eun coin du pré"
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "et les dames des alentours conviées avec leurs maris les enfants, les camerières tout le monde se jetait dessus et les empoignait prenait facilement."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario § II, 1875, f° 493 : "Qq fois voyait autour de lui – toutes les bêtes de la creation comme dans Adam defile pr l’arche de Noë ou Adam dans le paradis sur un lui au milieu"
  • Brouillon, f° 464v° : "Qqfois il voyait en dans un rêve, toutes les bêtes de la creation autour de lui, com Adam dans le Paradis ; - leur mettait sur la main sur le front, et elles mouraient"
  • Brouillon, f° 462 : "Qqfois, il se voyait en rêve. Il se croyait Des songes le troublaient. etait tel qu’ comme Adam dans le Paradis terrestre entouré de toutes les bêtes de la creation. etendait la main sur leur front – et toutes mouraient. et il n’avait qu’à atten etendre la main sur leur front pr les faire toutes mourir."
  • Brouillon, f° 464 : "Qqfois Des songes le troublaient qqfois Il voyait se voyait comm à la place de  qqfois, il etait comm Adam notre père  au milieu du Paradis, deva entre tous les bêtes de la creation - - et en allongeait en allongeait il n’avait qu'à etendre le toucher d’un doigt etendre son bras comm pr le faire mourir."
  • Brouillon, f° 470v° : "Des songes le troublaient. Qqfois, dans un en rêve il se voyait à la place de comm notre père Adam, au milieu du paradis, entre toutes les bêtes. - puis et en allongeant le son bras, il les faisait mourir."
  • Manuscrit définitif, f° 44 : "Quelquefois, dans un rêve, il se voyait comme notre père Adam au milieu du paradis, entre toutes les bêtes. - et en allongeant le bras il les faisait mourir -"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le lépreux. passage."
  • Scénario, § III, f° 494 : "il allume sa lanterne. - Le bateau glisse comme sur des patins. Le lepreux -"
  • Scénario partiel, f° 470 : "- rien que les deux yeux du mendiant et la lanterne."
  • Brouillon, f° 448 : "Des oiseaux aveuglés par la lumière de la lanterne se cognaient contre la vitre de corne - Alors les rayons des yeux du lepreux immobile il se tenait debout contr comm une colonne -"
  • Brouillon, f° 449 : "de temps à autres attirés par la lumiere de la lanterne se cognaient abrités aveuglés par La Sa petite lanterne à vitre de corne faisait un point jaune brillait devant lui. Des oiseaux de gds temps à autres, pass voletaient autour attirés par sa lumière voletait voletaient à l’entour et la cachaient par intervalles alors il ne voyait plus que Mais il apercevait toujours les deux prunelles fixes du lepreux qui se tenait debout à l’arrière immobile comm une colonne -"
  • Brouillon, f° 445v° : "Sa petite lanterne brillait devant lui. Des oiseaux,en voletant en voletant attirés par sa lumière voletaient à l’entour, qque sa lueur attirait passaient dev la cachant qqfois  par intervalles par intervalles - Mais il apercevait toujours les prunelles fixes du lepreux qui se tenaient tenait restait debout à l’arrière, immobile comme une colonne -"
  • Brouillon, f° 446v° : "Sa petite lanterne brûlait brillait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. - Mais toujours, il apercevait les prunelles du lepreux qui se tenait debout à l’arrière immobile comme une colonne -"
  • Mise au net, f° 444 : "Sa petite lanterne brûlait brillait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. Mais pe et Mais toujours il apercevait les prunelles du lepreux qui se tenait debout, à l’arrière, immobile, comme une colonne."
  • Manuscrit final, f° 55 : "Sa petite lanterne brûlait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. Mais toujours il apercevait les prunelles du lepreux, qui se tenait debout à l’arrière, immobile comme une colonne -"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le clair de lune l’avait excité à la chasse. rentre. - tue"
  • Scénario, § II, f° 493 : "Les deux vieux couchés Julien tâte les bonnets la barbe et les cheveux - meurtre."
  • Scénario partiel, f° 480 : "et comm il eta se penchait pr la baiser au front, il sent sous au dela sa main une barbe. - Il tâta plusieurs fois. ne s’est pas trompé. trouble. – puis fureur subite, enragée. - p c’etait un av homme, et cet homm etait l’amant de sa femme. – Jalousie. Comme si un volcan en lui eut eclaté, tira son coutelas. - et les egorge."
  • Scénario partiel, f° 436v° : "et allongeant le bras pr l’embrasser. il sentit sous sa main une barbe. comm une toison legère alors il Julien se recule recula, croyant qu’il se s'etre qu’il s’etait trompé, qu’il est et ayant peur de devenir croyant qu’il devenait fou. – il tâte encore. très emu C’etait bien la C’etait bien une barbe d’un homme, et pas fureur subite et jalousie persuadé que c’etait sa femme couchée avec son amant un hom sa femme. comme si un volcan eut eclaté en lui, Ce qu’il sentit, il ne put se le rappeler, M - une douleur atroce - une (nl) le se precipite sur eux comm un tigre. tire son poignard cimetère comm un dechiremt de tout son être - poignard. - bien dirigé. . deux coups."
  • Brouillon, f° 454 : "Et comme il lui passait le bras gauche sous la tête, - en mêm temps qu’il allongeait le bras droit pr l’embrasser, il sentit sous sa main qque chose de pareil à une toison. une barbe. - Tout de suite Julien se recula sûr de s’etre trompé, croyant qu’il devenait fou Il... tâte tr.. très emu... C’etait bien la barbe et un homm – Un homm couché avec sa femme ! Ce fut com Eclatant d’une colere demesu Ce qu’il ressentit, il ne put se rappeler. Une douleur atroce - un dechiremt de tout son être - comm si un volcan eut eclaté en lui. Tout de suite une colère demesurée eclata en lui dans son coeur comm un volcan.- tira son poignard, il se rua comm un tigre sur les deux corps endormis - deux coups. et les assassina à coups de poignards."
  • Brouillon f° 453 : "Quand il fut au bord pr baiser sa femme au bord, il se pencha sur l’oreiller, afin de baiser sur le front sa femm où les deux têtes reposaient etaient l’une près de l’autre Alors sentit contre sa bouche l’impression d’une barbe. Il se recula, sûr d’etre trompé croyant qu’il devenait devenir fou. Il Mais Puis il revint près du lit - et ses doigts palpant de nouveau qu rencontrèrent des cheveux qui étaient très longs. Alors Sa poitrine il respira largement. Soupira de bonheur - et délivré respira à pr mieux se convaincre mieux de son erreur il repassa lentement sa main avec ses doigts sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette f cette fois ! - un homme - un homme couché avec sa femm ! Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur les deux corps et les assassina sur eux à coups de poignard."
  • Mise au net, f° 435 : "Quand il fut au bord, afin de baiser sa femme sur le front, il se pencha vers sur l’oreiller, où les deux têtes reposaient l’un près de l’autre alors il sentit contre sa bouche l’impression légère d’un imp barbe Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit et ses doigts en palpant, rencontrèrent des cheveux qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentemt sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois - et un homm un homme couché avec sa femm. Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur eux à coups de poignards"
  • Manuscrit final, f° 50 "Quand il fut au bord, afin d’embrasser sa femme, il se pencha sur l’oreiller ou les deux têtes reposaient l’une près de l’autre. Alors, il sentit contre sa bouche l’impression legère d’une barbe. Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit, et ses doigts en palpant rencontrèrent des cheveux, qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentement sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois, et un homme ! - un homme couché avec sa femme. Eclatant d’une colère demesurée il bondit sur eux, à coups de poignard"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario partiel, § II, f° 702v° : "A. se justifie de son inceste par des exemples"
  • Scénario partiel, f° 703v° : "Il a des précédents dans l'histoire"
  • Scénario partiel, f° 749 : "Antipas n'est pas si coupable. Il est justifié par l'exemple  des patriarches, Rubens, Juda et thama, Lot, etc. d'ailleurs le Levitique ne dit pas que ce soit un inceste"
  • Scénario partiel, f° 594 : "Le levitique ne defend pas absolument. il blam. . Reuben et Absalon ont cou coucha avec Billah la concubine de son père Jacob absalon Juda avec sa belle fille, Tamar Ammon avec sa soeur Judah avec sa belle b Absalon avec les dix concubines de son père."
  • Scénario partiel, f° 592 : "« Le Levitique ne defend pas cela absolument. il blâme seulemt. et d’ailleurs Ruben et Absalon et Ruben ont avaient couché avec les concubines de leur père. Juda avec sa belle fille bru, Ammon avec sa soeur Lot avec sa fille"
  • Brouillon, f° 617v° : "Antipas. Le tétrarque trouvait qu on est était bien sevère pr moi lui Ruben et Absalon avaient couché avec les femmes de leur père, Juda avec sa bru, Ammon avec sa soeur, Lot avec une fille."
  • Brouillon, f° 596 : "et N’importe suivant le tetrarque, on etait bien severe pr lui. rigoureux dis s'écriait Antipas  - Autrefois plus de liberté regnait. Car enfin enfin Absalon car enfin Absalon et Ruben avaient ont  a couché avec les femms de leur son son père, Juda avec sa bru, Ammon avec avec sa soeur Lot avec sa fille"
  • Brouillon, f° 593 : "- « n’importe ! on est pr moi bien rigoureux dur injuste ! » s’ecriait disait reprit Antipas. « Car enfin Absalon a couché avec les femms de son père, Juda avec sa bru, Ammon avec sa soeur, Lot avec sa fille ! »"
  • Mise au net, f° 595 : "- « N’importe ! on est pr moi bien injuste, » disait Antipas. - « Car enfin Absalon a couché avec les concubines de son père Juda avec son bru, Ammon avec sa soeur, Lot avec sa fille. »
  • Manuscrit final, f° 73 "- « N’importe ! on est pr moi bien injuste ! » disait Antipas. - « Car, enfin, Absalon a couché avec les femmes de son père, Juda avec sa bru, Ammon avec sa soeur, Lot avec ses filles »

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario partiel, § II, f° 583 : "terreur de la foule. il lui fait passer dans l'esprit les images de Niniv. et de Sodom"
  • Brouillon, f° 587 : "La Foule est terrifiée. ces paroles lui mettent dans l'esprit, les gdes destructions, Ninive, Sodome toute touts la poesie des les anciens prophetes rescusit revivant en lui."
  • Brouillon, f° 588 : "La foule est ass terrifiée. ces paroles lui ont mis remettaient comme devant les yeux les destructions gdes catastrophes de son histoire, Sodome, la captivité. Ninive. Tous les anciens prophetes dont il employait les expressions. semblent parler par cette sa voix, dans cette espèce qui sortait du puits comm d’un de tombeau."
  • Brouillon, f° 586v° : "La foule se taisait terrifiée. Ces paroles lui remettaient dans les yeux les catastrophes de son passé. : Sodome. . Ninive, et Babylone - - - - toutes les les hist  et les destructions d’empire - l'embrasement de Sodome"
  • Brouillon, f° 589v° : "Le peuple croyait voir les jours de son exil, - l’embrasement de Sodome toutes les catastrophes de son passé."
  • Brouillon, f° 601v° : "Un chagrin s’abattit sur le peuple - Il Lui Le peuple croyait voir des destructions d’empire les jours de son exil, exil toutes les catastrophes de son passé." 
  • Brouillon, f° 586 : "Le peuple croyait voir revoyait les jours de son exil, toutes les catastrophes de son passé histoire" 
  • Brouillon, f° 623v° : "Le peuple revoyait les jours de son exil, toutes les catastrophes de son histoire."
  • Mise au net, f° 523 : "Le peuple revoyait les jours de son exil, toutes les catastrophes de son histoire."
  • Manuscrit final, f° 71 : "Le peuple revoyait les jours de son exil, toutes les catastrophes de son histoire."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1875, § III, f° 494 : "– une nuit, d'ouragan. une voix l'appelle de l'autre côté du fleuve. il allume sa lanterne. Le bateau glisse comme sur des patins. Le lépreux."
  • Scénario partiel, f° 470 : "B. Il alluma sa lanterne - le bateau glisse comm sur des patins. denoua la barque, prit pris les avirons. l’eau s’ecarta des 2 côtés - dlaissant un chemin au milieu sans secousse, sans effort et le bateau glissa dessus comm un traineau sur du sur de la glace"
  • Brouillon, f° 455 : "Il alluma quand sa lanterne. et fut allumée il sortit de la cahutte. - Les vagues bond bondissait sur la berge. un ouragan. - les tenebres eclairées par la blancheur des vagues (nl) (nl) il finit par à se tenir debout et il eut qqu’hesitation. Il se decida prtant L’ un ouragan furieux emplissait La la nuit - les tenèbres etaient profondes et seulemt eclairées ça et là par le sommet des vagues blanches qui bondissaient sur la berge - à peine s’il pouvait Après un momt d’incertitude Julien denoua la chaine l’amarre Il entra dans la barque, prit saisit les avirons.  prit ses rames alors l’eau s’ecartant L’eau tout de suite des deux côtés, laissa un chemin au milieu - et sans secousse, sans effort devint tranquille. et lestemt La barque glissa d’un mouvement doux et rapide] glissa) dessus glissa dessus vivemt comm un traineau sur la glace. . . toucha terre et il vit devant lui et en moins de trois minutes atteignit l’autre borrive rive rive où un homm l’attendait"   
  • Brouillon, f° 450 : "ayant allumé sa lanterne, il sortit de la cahutte - un ouragan furieux emplissait la nuit - Les tenèbres etaient profondes et seulement eclairées ça et là de place en place, par le sommet des vagues blanches qui bondissaient sur la berge. Après un moment d’incertitude Après un moment d’incertitude une minute d’hesitation Julien denoua l’amarre. Tout de suite  l’eau lestement prestement dessus tout de suite devint tranquille. La barque glissant comm un traineau sur la glace comm une bille sur un miroir et en trois minutes atteignit l’autre rive  où un homme attendait."
  • Mise au net, f° 443-444 : "Ayant allumé sa lanterne, il sortit de la cahutte. un ouragan furieux emplissait la nuit. Les tenèbres etaient profondes et ça et là dechirées par le la son blancheur des vagues qui bondissaient. Après une minute d’hesitation Julien denoua l’amarre - L’eau tout à coup, devint tranquille ; La barque glissa dessus lestement et toucha l’autre berge où un homme attendait."
  • Manuscrit final, f° 55 : "Ayant allumé sa lanterne, il sortit de la cahutte. Un ouragan furieux emplissait la nuit. Les tenèbres etaient profondes, et ça et là dechirés dechirées par la blancheur des vagues qui bondissaient. Après une minute d’hesitation, Julien denoua l’amarre. L’eau tout à coup de suite devint tranquille ; la barque glissa dessus et toucha l’autre berge où un homme attendait."
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