FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


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Type de document : Événements

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "III. il part. − guerroie. − pays lointains. vie d’aventures."
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "(4) Au debut des batailles, sièges, assauts. en tête sur le front de bandières. par les armes luisantes (1) en pays etrangers. aspect des lignes les homm alignés enfilad Il servit servit comm mercenaire comme mercenaire. λ peu lui importait les conditions, prvu qu’on le menat très loin − Il alla ainsi au bout du monde s’engagea dans une compagnie franche. pr lui saisir personne, ne faisait mieux son service, qui allait. servit pendant plusieurs années com mercenaires il enlevait ses hommes d’un geste d’epée, α s’enfonçait dans les piques"
  • Brouillon, f° 433 : "Il faisait beau le voir Au commencement des batailles ses hommes en ligne, luisant, lui, en tête - les enlevait d’un geste de son epée α s’enfonçait dans les piques"
  • Brouillon, f° 430v° : "Il faisait beau le voir, au debut d’une des bataille quand - - - - ses hommes en ligne. . luisant les cymbales, en avant lui en tête, il enlevait ses hommes d’un gd geste et s’enfonçait au milieu des piques comme dans les blés. eperduemt."
  • Brouillon, f° 458v° "Au debut des batailles, il avait bien regarde quand les lignes immobiles α luisantes α fremissantes, les cymbales. − − en dehors du front de bandière, il enlevait les hommes soldats d’un grand geste de son epée α s’enfonçait au milieu des piques 2 escadrons 1 eperduement. av de droite α de gauche avec ses homm Il abattait les hommes comme un bucheron."
  • Brouillon, f° 459v° : "Au debut des batailles, il enlevait lignes des les soldats d’un gd geste de son epée. et s’enfonçait eperduemt dans les piques eperduemt."
  • Brouillon, f° 432 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats, d’un gd geste de son epée."
  • Brouillon, f° 431 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats d’un gd geste de son epée."
  • Mise au net, f° 430 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats d’un gd gd geste de son epée."
  • Manuscrit définitif, f° 42 : "Au debut des batailles, il enlevait ses soldats d’un gd geste de son epée."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 94v° (NAF 17607) : "animation de la foule - episode comique figures des passants Des vendeurs hommes crient à vendre les pamphlets immondes - on crie "Vive Barbès. vive Napoleon"
  • Esquisse, f° 114 (NAF 17607) : "Le soir est d'aspect tragique, temps orageux. une force latente α ironique  dans la foule un evenement formidable dans l'air. C'etait precisement là Mais le peuple n'etait pas content ne voulait pas partir"
  • Esquisse, f° 115 (NAF 17607) : "Bandes enormes à la Bastille, du Chatelet les travailleurs du Luxemb reflue sur les boulevards s'y etaient joints Car c'etait un horizon C'etait un horizon qui leur deplaisait prquoi ? ils trouvaient cela leur semblait un leurre une trahison dementir aux promesses"
  • Brouillon, f° 111v° (NAF 17607) : "Voilà ce qui faisait que le rass. etait plus nombr. Aux hommes des ateliers se joignaient les travailleurs du Luxembourg... les gardes montagnards de Caussidière  A 9h. du soir Enormes bandes à la Bastille α au Chatelet moutonnement infini des têtes les voitures ne pouvaient plus circuler (1) on voyait le moutonnement bleu sombre figures silence recueillement sauf les cris "vive Napoleon, Barbès -" α "nous l'aurons vive Napoleon !" figures irritées pâles fameliques, ... yeux caves yeux caves, prunelles flamboyantes. la faim - α l'exaltation de l'enthousiasme. temps Le ciel etait orageux"
  • Brouillon, f° 96v° (NAF 17607) : "vers à neuf heures du soir, les bandes de la Bastille α du Châtelet refluèrent sur les boulevards. Entre les portes α en telle quantité que de la porte St Denys α à la porte St Martin les voitures ne circulaient pas on ne voyait plus que Le terrain etant là inflechi on voyait le la houle à droite et à gauche cela elle ne faisait plus qu'un moutonnement infini des têtes de la foule formait masses une seule surface d'un bleu sombre - sur presque noir"
  • Brouillon, f° 116 (NAF 17607) : "à vers neuf heures du soir, les bandes colon formées à de la Bastille α la du Châtelet refluèrent sur les boulevards. De la porte St Denys à la porte St Martin elles ne faisaient cela ne faisait plus qu'un moutonnement infini grouillement enorme, un seul masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir"
  • Mise au net, f° 113 (NAF 17607) : "Vers neuf heures, les colonnes attroupements formés à attroupements formés à de la Bastille α du au Châtelet refluèrent sur les boulevards, α α α de la Porte St Denys à la Porte St Martin cela ne faisait plus qu'un grouillement enorme, une seule masse d'un bleu sombre, presque noir presque noir."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
  • Esquisse, f° 106v° (NAF 17608) : "Des bourgeois en voyant des garde-nationaux, se livrent à des contors frenet"
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "des bourgeois, en voyant les garde-nationaux, se livrent à des contorsions de joie frenetique - crient, dansent car car la victoire est assurée. le feu avait recommencé à 4 h. fg du temple il cesse à 10 heures cependant Alors le canon grondait encore sur la Place de la Bastille. le faubourg St Antoine n'est n'etait pas pris"
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "Des bourgeois en voyant  passer de la troupe, de la garde nationale, α de la des mobiles - des bourgeois se livrent à des contorsions de joie frenetique lèvent leurs chapeaux applaudissent α dansent. - Car la Victoire est etait assurée. - le feu avait recommencé à 4 heures dans le faubourg du temple il cesse à 10 heures alors  A 10 heures le Canon gronda sur la Place de la Bastille c'etait pr prendre le faubourg St Antoine c'etait qui fut pris vite. enlevé" 
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17608) : "on s'aborde. - c'est fini, ou à peu près une proclamation de Cavaignac venait d'être affichée le disait. "un dernier effort"
  • Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "les voitures circulent on s'aborde. c'est fini, ou à peu près. une proclamation de Cavaignac qui venait d'être affichée le disant, en demandant "un dernier effort"
  • Brouillon, f° 134v° (NAF 17608) : "Sur sur Les boulevards avaient l'air l'aspect les voitures circulaient circulaient sur le bd. on s'abordait α on se felicitait. Car c'est fini, ou à peu près. - une proclamation de Cavaignac, qui venait d'être affichée affichée tout à l'heure annonçait en demandant "un dernier effort"
  • Brouillon, f° 118v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 86v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 113v° (NAF 17608)
  • [...]

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 161v° (NAF 17606) : "Un blousier s'asseoit sur le trône Le trône souillé α promené - Coups de feu eclatent bris de glaces on crève les tableaux"
  • Brouillon, f° 166v° (NAF 17606) : "Un blousier s'asseoit sur le trône "quel mythe" dit Hussonnet. degoût. Mais tout à coup joie en voyant la Promenade du trône"
  • Brouillon, f° 16 (NAF 17607) : "Un blousier s'asseoit sur le trône "quel mythe" dit Hussonnet. le trone est boule bousculé, souillé, on l'emmène - jeté par la fenêtre"
  • Brouillon, f° 12v° (NAF 17607) : "B salle du trône – où tombait du plafond un dais de velours rouge. Un blousier s'asseoit sur dessus le trône – un autre lui succède "quel mythe" dit Hussonnet. – on fit plus que s'y asseoir – puis soulevé, – balancé au dessus des têtes. C'est là le cas de dire le Vaisseau de l'État est balotté sur une mer orageuse. Pauvre ce vieux symbole ! puis jeté par la fenêtre – en bas où il fut repris. et promené jusqu'à la Bastille où on le brûla en le voyant tomber "bon voyage – pauvre vieux symbole"
  • Brouillon, f° 17 (NAF 17607) : "Salle du Trone – un dais de velours rouge qui tombait du plafond pendait du plafond dont les draperies maintenus relevés par des cordielles d'or sur – le  trone qu'il abritait. un proletaire à cheveux noirs assis ras à barbe, en petite blouse bleue l'air stupide et jovial poussah chinois chemise bleue laissant voir la poitrine – bottes assis dessus comme un poussah D'autres lui succèdent gravissaient l'estrade pr prendre sa place et se mettent là à tour de rôle comme en procession [...] Car le fauteuil fut enlevé Puis soulevé balancé au bout des bras - traversait la salle en se balançant. C'est là le cas de dire, le vaisseau de l'État est balotté sur une mer orageuse !"
  • Brouillon, f° 18 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 14v° (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 19 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 161v° (NAF 17606) : "Un blousier s'asseoit sur le trône Le trône souillé α promené - Coups de feu eclatent bris de glaces on crève les tableaux"
  • Brouillon, f° 166v° (NAF 17606) : "Un blousier s'asseoit sur le trône "quel mythe" dit Hussonnet. degoût. Mais tout à coup joie en voyant la Promenade du trône"
  • Brouillon, f° 16 (NAF 17607) : "Un blousier s'asseoit sur le trône "quel mythe" dit Hussonnet. le trone est boule bousculé, souillé, on l'emmène - jeté par la fenêtre"
  • Brouillon, f° 12v° (NAF 17607) : "B salle du trône – où tombait du plafond un dais de velours rouge. Un blousier s'asseoit sur dessus le trône – un autre lui succède "quel mythe" dit Hussonnet. – on fit plus que s'y asseoir – puis soulevé, – balancé au dessus des têtes. C'est là le cas de dire le Vaisseau de l'État est balotté sur une mer orageuse. Pauvre ce vieux symbole ! puis jeté par la fenêtre – en bas où il fut repris. et promené jusqu'à la Bastille où on le brûla en le voyant tomber "bon voyage – pauvre vieux symbole"
  • Brouillon, f° 17 (NAF 17607) : "Salle du Trone – un dais de velours rouge qui tombait du plafond pendait du plafond dont les draperies maintenus relevés par des cordielles d'or sur – le  trone qu'il abritait. un proletaire à cheveux noirs assis ras à barbe, en petite blouse bleue l'air stupide et jovial poussah chinois chemise bleue laissant voir la poitrine – bottes assis dessus comme un poussah D'autres lui succèdent gravissaient l'estrade pr prendre sa place et se mettent là à tour de rôle comme en procession [...] Car le fauteuil fut enlevé Puis soulevé balancé au bout des bras - traversait la salle en se balançant. C'est là le cas de dire, le vaisseau de l'État est balotté sur une mer orageuse !"
  • Brouillon, f° 18 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 14v° (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 19 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Brouillon, f° 28v° (NAF 17607) : "Le commis est toujours plein de foi, revolution à Berlin, à Vienne, les Autrichiens chassés de la Venetie, lune constitution à Rome, le Danemark α la Suède agités, le Pologne se soulevant. l'Angleterre frappée d'immobilité"
  • Brouillon, f° 33v° (NAF 17607) : "Tout D'ailleurs indiquait un developpement enorme de la Democratie. l'annonçait Revolution - à Vienne, à Berlin - les Autrichiens chassés de Venetie, la Pologne soulevée, une constitution à Rome, - le Danemark α la Suède s'agitant - l'Angleterre immobile."
  • Brouillon, f° 54v° (NAF 17607) : "L'Europe s'ebranlait. Revolutions à à Vienne, à Berlin, les Autrichiens etaient chassés de la Venetie, la Pologne se soulevait, - Le Danemark α la Suède s'agitaient, une constitution à Rome, l'Angleterre immobile."
  • [...]

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 15v° (NAF 17607) : "α Il se presente au Club de l'Intelligence [...] Le club... discours - mimes"
  • Esquisse, f° 43 (NAF 17607) : "Il se presente au Club Club de l'Intelligence D Club du 3e arr montre que tous les magas garçons de magasin fussent nommés officiers de la garde nationale - club de Bercy. n'envoyer à l'ass nationale que des ouvriers tonneliers. - que l'État s'empare de α et de X... de tout Il parcourt les clubs. trouve qu'il y ferait aussi bonne figure que les autres. enfin se decide. Dussardier lui indique le Club de l'intelligence. les amis en sont, ou y viendront. Le club. aspect physique ancien atelier de menuisier Atel bancs - tribune. lampes - aspect moral : parmi les assistants beaucoup de d'ouvriers pions - α de rapins Ambitions qui vont veulent se dechaîner"
  • Brouillon, f° 28v° (NAF 17607) : "Dussardier lui indique le Club de l'Intelligence. Des amis en sont, ou y viendront -"
  • Brouillon, f° 39v° (NAF 17607) : "Club de l'Intelligence Senecal, President. Le Club est un ancien atelier de menuisier - rue de la Harpe. bancs, bureau, tribune. lampes comme à la chambre"
  • Brouillon, f° 54 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 53 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Brouillon, f° 84v° (NAF 17607) : "Au 15 mai, le lors de l'envahissement de la chambre au 15 mai se signale par son energie à defendre l'ordre est très brave."
  • Brouillon, f° 63v° (NAF 17607) : "Lors de l'envahissement de Quand on envahit la chambre, au 15 mai, il il se signala par son energie à defendre l'ordre contre le desordre"
  • Brouillon, f° 57v° (NAF 17607) : "au 15 mai, quand on envahit la chambre, au 15 mai, il se signala par son energie contre le desordre."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris. la nuit. silence - patrouille. Sentinelle prenez garde à vous - coups de feu."
  • Esquisse, f° 106v° (NAF 17607) : "Aspects de Paris la nuit, nuit du 25 au 26 silence. patrouilles. "sentinelles prenez garde à vous" -  çà α là un coup de feu"
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17607) : "Il fut Dussardier logeait dans le ht du faubourg Poissonnière. Fr. fut obligé de faire un long detour Paris la nuit. (nuit du 25 au 26). silence. pas de lumière on entendait "sentinelles prenez garde à vous," -  çà α là un coup de feu fusil isolé."
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17607)
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 14v° (NAF 17608) : "Là le plus difficile Alors les obstacles commencèrent - α il crut un instant que Là toutes ses peines etaient perdues, toutes ses peines etaient perdues tant il eut de difficultés. On ne voulait pas le laisser entrer. Il eut beau dire qu'il se nommer protester de ses intentions innocence dire qu'il venait accourait exprès de F pr un ami qui a blesse α qu'il nomma fournir toutes en paroles garanties possibles."
  • Brouillon, f° 62v° (NAF 17608) : "Barrière Fontainebleau a beaucoup de mal x Bizets imbeciles s'explique dit qu'il vient pr un ami etc -"
  • Brouillon, f° 99v° (NAF 17608) : "A minuit il arrive ayant fait qq pas Frederic est arreté sur la route - suivi par une sentinelle au milieu de la route qui qui croise la baïonnette lui met la poitrine en disant on ne passe pas"
  • Brouillon, f° 139v° (NAF 17608) : "Frederic ayant fait quelques pas sur s'avançait au milieu de s'avançait la route, est arreté par fut quand tout tout à coup par une sentinelle qui croisa sur lui la bayonnette en disant "on ne passe pas" aussitôt presque aussitot sa stupefaction etait fut d'abord si grande absolue complète qu'il se laissa quatre hommes l'empoignèrent en disant vociferant "c'est un ! prenez garde ! ne lâchez pas !... fouillez le brigand ! canaille"
  • Brouillon, f° 155v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 143v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 148v° (NAF 17608)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris. la nuit. silence - patrouille. Sentinelle prenez garde à vous - coups de feu."
  • Esquisse, f° 106v° (NAF 17607) : "Aspects de Paris la nuit, nuit du 25 au 26 silence. patrouilles. "sentinelles prenez garde à vous" -  çà α là un coup de feu"
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17607) : "Le jour se lève - aspect triste des rues desertes de Paris."
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17607) : "Le jour se leva. aspect triste des maisons de Paris."
  • Esquisse, f° 166v° (NAF 17607) : "gigantesque barricade au pont d'Austerlitz place Vallimbert - Feux de bivouacs - aux places α carrefours Il reste jusqu'au jour enfermé sur la rive gauche."
  • Brouillon, f° 35v° (NAF 17608) : "Les troupes arrivaient et les garde nationaux affluaient de partout Feux de bivouacs dans l'ombre, aux places α aux carrefours. très nombreux car cette nuit-là les troupes affluaient arrivaient α les garde nationaux affluaient de la province. "
  • Brouillon, f° 22v° (NAF 17608) : "Aux places α aux carrefours feux de bivouacs dans l'ombre. très nombreuses silhouettes au loin il apprit que Car cette nuit-là les troupes arrivaient α les gardes-nationaux affluaient de la province."
  • Brouillon, f° 62v° (NAF 17608) : "Aux places α aux carrefours feux de bivouac très nombreux, des silhouettes se meuvent sur cette clarté - Le Pantheon avait ete le quartier general de l'insurrection pris le 24 samedi"
  • Brouillon, f° 91v° (NAF 17608) : "Le Pantheon avait ete le quartier general de l'insurrection de la rive gauche,  pris la veille au soir le samedi par Damesne et cet endroit etait occupé par beaucoup de troupes La Place du Pantheon convertie en camp, couverte de troupes de toutes armes ainsi que la place St Michel. - Le Pantheon α St Severin convertis en depot de cadavres."
  • Brouillon, f° 156v° (NAF 17608) : "Le jour se levait La Place du Pantheon, devenu un camp etait couverte d'armes de toute sorte. des soldats qui dormaient sur de la paille Feux de bivouac s'eteignaient entre paille bidons de fer blanc - les sacs par terre, les chevaux attachés à un piquet"
  • Brouillon, f° 103v° (NAF 17608) : "Le jour se levait - La Place du Pantheon etait couverte de soldats etendus qui dormaient couchés sur de la paille entre leurs sacs leurs bidons de fer blanc de fer blanc (leurs sacs à côté de leurs chevaux maintenus maintenus au piquet la garde sonna Des feux de bivouac s'eteignaient."
  • Brouillon, f° 88v° (NAF 17608)
  • [...]
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