Lui rappelle sa rencontre avec Zola en 1898. Est en Europe et lui envoie une brochure.

L'auteur, professeur de droit à la Faculdade de Sciencias Juridicas e sociaes, salue Zola, faisant l'eloge de son combat pour la justice.

carte postale, avec juste une phrase en italien «d'un gouvernement faible on ne peut qu'attendre une forte punition».

L'auteur se réjouit de vivre dans une nation où l'on ne connait pas l'antisémitisme et fait l'éloge de Zola, qui a eu le courage de défendre Dreyfus.

L'auteur regrette la condamnation de Zola et salue ses efforts pour sauver la France.

Un long hommage à Zola, considéré le Sauveur, le Rédempteur, le restaurateur des valeurs des nouvelles générations, un apôtre du christianisme. L’Association a décidé de lui attribuer l'Ordre humanitaire de la Légion d'honneur.

Faisant allusion à la bataille judiciaire, l'auteur salue Zola et lui dédie quelques vers assez simples.

L’auteur du drame tragique «Martin el regicida ò la enseñanza atea» aimerait mettre en scène cette pièce à Paris et demande à Zola des renseignements pratiques : qui paie la traduction, si l’œuvre maintient le nom de l’auteur ou s’il perd ce droit, etc. Indique que le drame est dédié au Centre Catholique de Paris, association qui pourrait lui donner une grande protection.

L'auteur, directeur du journal La Vibora, prépare une publication avec des autographes d'hommes de lettres européens.

L’écrivain sollicite à Zola son opinion sur ses livres, qu’il lui fait parvenir joints à la lettre: Bibliographia literaria et Tipos y Costumbres Bonaerenses. Il informe que le nom de Zola est bien connu à Buenos Aires et il indique que son but est d’attirer l’attention sur la littérature de l’Argentine qui promet de devenir une des plus originales.

Lettre de l'écriviain urugayen Acevedo Diaz (1851-1921) à Zola, lui envoyant les œuvres Ismael (1888) et Nativa (1890), inspirés de sujets américains. Auteur classé dans le champ du romantisme et du réalisme.

Lui envoie un article de presse où Zola "trouvera que Sanier le personnage de son roman Paris existe réellement".

Zola «n’est pas le défenseur de la France – il n’est pas le défenseur de l’Europe – il n’est pas le défenseur du monde – il est plus que ça – il est le défenseur d’un évangile - Evangile qui, bien qu’il soit athée – embrasse celui du Christ».

Soutien après J'Accuse.

Comme on commence à voir la lumière à l’horizon, il félicite l’écrivain en avance pour la défense du malheureux de l’Ile du Diable. Il lui envoie un article de presse en espagnol: "El Calvario de Zola", relatif à la condamnation de Zola: «La France a voulu confirmer une erreur avec une iniquité; désirant faire tomber Zola l’a élevé». «La couronne de martyre» du célèbre romancier deviendra une «apothéose».

Lettre de soutien à Zola. Référence à la lettre de l’Aurore. Lui aussi a écrit dans le journal La Patria un article, «Zola y Dreyffus» (envoyé joint), attirant sur soi de nombreuses critiques. Référence à l’intervention du français Paul Groussac. Il se maintiendra comme Zola dans le chemin de la défense des sémites.

Lettre de soutien.

Lettre de soutien

Demande de soutien financier d'un ancien journaliste.

Se désole du silence de Zola.

L'ambassadeur Albert Gate regrette de ne pouvoir accepter l'invitation pour samedi.

Madame Atkinson est une admiratrice de Zola.

Demande d'autographe à Zola.

Demande d'interview pour le journal The Sun

Demande de réalisation d'une photographie pour une collection de personnes célèbres. Alexander Bassano (1829-1913) était le plus réputé des photographes portraitistes de la haute société du Londres victorien. La National Portrait Gallery de Londres est propriétaire de nombreuses œuvres de Bassano. Son portrait de Lord Kitchener est à la base de la fameuse affiche «Your Country Needs You » utilisée pour recruter lors de la Première Guerre mondiale.

Remerciements de la part du Dulwich Working Men's Liberal and Radical Club pour son rôle dans la défense de la démocratie. Avec note manuscrite (Zola ? Vizetelly ?)

Recommande à Zola son collaborateur Gerard Harry, qui se rend à Londres pour représenter L'Indépendance belge au Congrès de l'Institute of journalists.

Max O'Rell (https://fr.wikipedia.org/wiki/Max_O%27Rell) revient d'un voyage de deux et ne pourra recevoir Zola chez lui comme il le souhaiterait.

Prends note de la visite de Zola pour demain (mercredi) à 11 heures.

Lettre arrivée trop tard, toast sera inséré ce soir

Envoi d'un manuscrit de roman (en anglais) "Judge not" par par une écrivaine qui se servira du nom de plume masculin, George Cusack, dans « The Red Rag of Ritual » de 1899. Elle explique que son manuscrit « trop sensationnel » a déjà été refusé par les éditeurs anglais, dont l’un critique une héroïne dite « anormale aux idées anglaises ».

Lettre d'invitation adressée à Monsieur et Madame Zola pour une visite de l'entreprise de fabrique de meubles précieux.

Invitation au Press Club

Envoie à Zola le numéro du jour de son journal "Black and White" dans lequel se trouve un portrait de Zola.

Envoi d'une récompense satirique de la part d'"Ally Sloper's Half Holiday", un hebdomadaire humoristique britannique à un penny lancé en 1884 par Gilbert Dalziel, et disparu en 1923. Périodique essentiellement conservateure. Tout à la gloire d'Ally Sloper, c'est le premier périodique nommé d'après un personnage créé pour la bande dessinée. Généralement, tout est fait pour donner l'idée que l'élite, les classes moyennes et les classes populaires les plus aisées ne sont pas si éloignées les unes des autres. Dans le même temps, sont critiqués les étrangers, l'Armée du salut, les socialistes, les domestiques et les grévistes. Dalziel propose ici de publier une photographie de Zola dans "F.O.S. Portrait Gallery". Peter Bailey identifie Zola et Ruskin comme exemples de bénéficiaires du fictif Ordre du Mérite distribué par Sloper - ici "Award of Merit" ( "Ally Sloper's Half-Holiday: Comic Art in the 1880s", History Workshop, no 16, automne 1983, p. 4-31).

Sollicite une interview à Zola pour son journal qu'elle vient de créer.

Cet artiste-peintre offre à Zola son portrait au pastel et demande 2 shillings et 10 pence.

Studio de photographie qui propose à Zola un rendez-vous, lors de son prochain séjour en Angleterre, afin de le photographier pour une série de célébrités. Malgré son apparente politesse, l’invitation du 26 septembre 1893 exige un rendez-vous à 10h30 « ponctuellement ».

Invitation à déjeuner.

Demande de dédicace sur un exemplaire de "L"Attaque du moulin"

Ce directeur du journal "The Independent Theatre" fait part à Zola de son admiration et se réjouit que son club lui offre un dîner.

Envoi de gravure à eau-forte

Envoi d'un article de journal à propos de l'affaire Dreyfus.

Admiration pour Zola

Lettre de soutien à Zola au moment de l'affaire Dreyfus