La mort d'Edmond de Goncourt chez son ami Alphonse Daudet à Champrosay le 16 juillet 1896 a donné lieu à de très nombreux articles. Au-delà du reportage sur la disparition soudaine du romancier, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe alors tous les esprits.
Publié quelques jours avant la mort de Daudet, cet entretien traite de l'Académie Goncourt. Même si les héritiers naturels ont perdu le premier procès visant à casser le testament d'Edmond le 5 août 1897, la bataille judiciaire continue puisque la famille a fait appel du jugement du Tribunal civil de la Seine.
Le 5 août 1897, la première chambre du Tribunal civil de la Seine déboute les héritiers naturels de Goncourt de leur demande d'annuler le testament d'Edmond de Goncourt. La famille fera appel et il faudra attendre la décision du 19 mars 1900 pour que l'Académie Goncourt puisse véritablement se constituer. Toutefois, cette première victoire amène déjà Alphonse Daudet en tant qu'exécuteur testamentaire à s'exprimer publiquement et à prendre un certain nombre de décisions : il veut réunir le plus vite possible les huit académiciens figurant dans le testament d'Edmond pour discuter du premier Prix Goncourt et élire les deux membres afin que l'Académie soit au complet. Le romancier rappelle aussi sa défiance par rapport aux institutions même s'il souhaite accomplir avec soin les dernières volontés d'Edmond de Goncourt.
En tant qu'exécuteur testamentaire de la succession Goncourt, Daudet s'est trouvé mis en relation avec le notaire Duplan. Alors que le procès bat son plein contre les héritiers naturels, cette pause explicative humoristique permet au public de patienter avant de connaître la décision du tribunal civil de la Seine.
La naissance de l'Académie Goncourt sera longue et douloureuse. Si Léon Hennique et Alphonse Daudet s'emploient à respecter les dernières volontés d'Edmond de Goncourt, ils se trouvent ralentis par l'impressionnant inventaire des collections de la maison d'Auteuil qui doit d'abord être réalisé.
En outre, les héritiers naturels contestent la validité du testament. Pour se défendre, Alphonse Daudet et Léon Hennique choisissent l'avocat lorrain Raymond Poincaré.
La mort d'Edmond de Goncourt à Champrosay chez son ami Alphonse Daudet le 16 juillet 1896 a donné lieu à de multiples articles dans la presse. Au-delà de la mort d'Edmond, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe tous les esprits dès le 17 juillet.
Alexandre Dumas fils meurt le 27 novembre 1895. Le Journal lui consacre deux pleines pages. En outre, plusieurs artistes sont sollicités à cette occasion dont Zola, Alphonse Daudet, Jules Claretie, Catulle Mendès, Edmond Got, ex-doyen de la Comédie-Française et Eugénie Doche, actrice ayant joué à de multiples reprises La Dame aux camélias.
Se pose aussi la question de la succession de Dumas à l'Académie française.
La mort d'Edmond de Goncourt chez son ami Alphonse Daudet à Champrosay le 16 juillet 1896 a donné lieu à de très nombreux articles. Au-delà du reportage sur la disparition soudaine du romancier, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe alors tous les esprits.
La mort d'Edmond de Goncourt à Champrosay chez son ami Alphonse Daudet le 16 juillet 1896 a donné lieu à de multiples articles dans la presse. Au-delà de la mort d'Edmond, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe tous les esprits dès le 17 juillet.
La mort d'Edmond de Goncourt à Champrosay chez son ami Alphonse Daudet le 16 juillet 1896 a donné lieu à de multiples articles dans la presse. Au-delà de la mort d'Edmond, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe tous les esprits dès le 17 juillet.
La mort d'Edmond de Goncourt chez son ami Alphonse Daudet à Champrosay le 16 juillet 1896 a donné lieu à de très nombreux articles. Au-delà du reportage sur la disparition soudaine du romancier, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe alors tous les esprits.
La mort d'Edmond de Goncourt à Champrosay chez son ami Alphonse Daudet le 16 juillet 1896 a donné lieu à de multiples articles dans la presse. Au-delà de la mort d'Edmond, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe tous les esprits dès le 17 juillet.
La mort d'Edmond de Goncourt chez son ami Alphonse Daudet à Champrosay le 16 juillet 1896 a donné lieu à de très nombreux articles. Au-delà du reportage sur la disparition soudaine du romancier, c'est la question de la future Académie Goncourt qui occupe alors tous les esprits.