Votre recherche dans le corpus : 298 résultats dans 1506 notices du site.Collection : Les fiches
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Canal Saint-Martin
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique d'après le manuscrit de travail (plans et scénarios Ms gg 10, brouillons Ms g 225, manuscrit autographe Ms g 224) :
- Scénario, f° 2 : "- leur rencontre sur un banc du boulevard Bourdon."
- Scénario : f° 33 : "Leur rencontre sur un banc du Boulevard Bourdon - decrire le milieu"
- Scénario, f° 6 : La rencontre a lieu sur le bd Bourdon, un dimanche d'été. chaleur. solitude."
- Brouillon, f° 4v° : "Le canal St Martin dont les deux ecluses etaient ferms coulait Entre les hauts murs à pic de ses deux quais grisatres. Pas un bateau sur le canal St Martin - il s'etendait entre ses quais blancs gris c'etait comme un torrrent noir figé qq chose de metallique α d'endormi dans sa pesanteur. - en ligne droite α couleur d'encre. noir - sur la berge diverses choses - une rangée de barriques, - un camion de tole avec la sellette sous ventrière du porteur en l'air comme une balançoire aux brancards - au milieu du courant un bat long bateau plat amarré. en amont et L'eau B Le canal St Martin, fermé à chaque bout par une ses deux ecluse fermé à chaque bout à deux bouts par les deux ecluses fermé à cause du dimanche, au loin etendait qui coule passe en dessous etalait avec la rigidité rectitude d'une planche parquet (nl) entre les murs de ses deux quais grisatres en ligne droite, d'une ecluse à l'autre son eau couleur d'encre. noire α immobile - α qui semblait α aussi lourde au regard α qui Elle paraissait immobile aussi lourde Elle paraissait aussi lourde comme entre deux gds α qui que les murs de ses deux deux quais grisatres grisatres la surplombait. Il y avait au milieu milieu audelà un long gd gd bateau (nl) couvert de charbon - et α sur la berge calle berge près d'un camion sans cheval deux rangées de barriques près un camion de blé. une botte de paille flottait le long du sur le long du courant"
- Brouillon, f° 3v° "C'etait d'ailleurs un dimanche et Plus bas α en α le suivant tout du long le canal St martin, fermé à chaque bout par les ecluses etalait en ligne droite, son eau noire α immobile α couleur d'encre Elle paraissait aussi lourde que les gds murs de ses deux quais la surplombant Il y avait il y a avait avait il y avait au milieu, un bateau de charbon α sur la berge plusieurs rangées trois rangs de barriques futailles. Le long du courant, une botte de paille flottait"
- Brouillon, f° 2
- Brouillon, f° 7v°
- Brouillon, f° 135v°
- Manuscrit définitif, f° 1
Mots-clés : Bouvard et Pécuchet, Canal Saint-Martin, Gustave Flaubert
La chasse au faucon
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
- Scénario général, 1875, f° 492 : "− aime mieux être seul."
- Scénario partiel, f° 408v° : "plaisir qu'il y prend - effraie un peu sa mère devient farouche veut chasser seule."
- Scénario partiel, f° 418 : "aime mieux chasser seul"
- Brouillon, f° 415v° : "- chasse au faucon. Julien à cheval son oiseau sur le poing Le mâtin droit temps clair. - ciel bleu. - petits nuages floconnés. Quatuor de l'homme droit, du cheval courbette. petit galop, du chien, du faucon immobile - unis dans la même pensée"
- Brouillon, f° 419v° : "Mais mepr Julien meprisait les pièges, preferait la chasse au faucon."
- Brouillon, f° 420 : "Mais Julien se degouta promptemt de ces lâches artifices qui sentent le vilain. Il preferait. à cheval, tenant son faucon sur le poing du bras droit l’oiseau panache de plumes. capuchon de cuir bouquet - au bord petit galop de le cheval galoppait. le chien trottait. (accour) sautait autour."
- Brouillon, f° 419 : "Mais Julien se degouta promptemt de ces lâches commodes artifices - qui sentent le vilain. le rustaud. Les jours qu’il faisait beau - on lui appor Il preferait a voler les chasser tout seul limier son chien, son cheval α son oiseau avec un bon oiseau sur le poing dans le pré"
- Brouillon, f° 451v° : "Il preferait chasser, loin des autres tout seul avec son chien et son chie cheval α son oiseau."
- Brouillon, f° 429v° : "Mais Julien se degouta promptemt de ces lâches artifices. qui sont plaisir des peuples Il Julien preferait chasser chasser loin des autres avec son cheval α son faucon oiseau"
- Manuscrit définitif, f° 37 : "Mais Julien méprisa ces commodes artifices ; il préférait chasser loin des autres(nl) du monde, avec son cheval et son faucon."
Le combat du faucon
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
- Scénario général, 1875, f° 492 : "− aime mieux être seul."
- Scénario partiel, f° 408v° : "plaisir qu'il y prend - effraie un peu sa mère devient farouche veut chasser seule."
- Scénario partiel, f° 418 : "aime mieux chasser seul"
- Brouillon, f° 415v° : "- chasse au faucon. on le décapuchonne, il s'envole - combat dans l'air. - puis l'oiseau vient se remettre sur le poing. - grelot d'or"
- Brouillon, f° 419v° : "Mais mepr Julien meprisait les pièges, preferait la chasse au faucon."
- Brouillon, f° 420 : "il le decapuchonnait retirait son capuchon d'un d’un mouvemt preste α filant en ht l’oiseau, montait. - combat dans les airs -"
- Brouillon, f° 419 : "Julien apercevait qq chose un point noir dans le ciel. Julien desarmait le fauçon otait l’oiseau debridait les longes le lançait d’un fort mouvemt. Mais tout à coup Julien s'arrêtait tout coup subitemt lâchait q fois un cri rauque. il avait apercu un milan au dessus de lui decapuchonnait l'oiseau, ouvrait la main qui tenait ses longes, donnait une secousse - la bête hardie montait dans l’air, droit dans l'air comme une flèche - α l’on voyait deux larges points noirs tourner decrire des lignes courbes sur le ciel, se rapprocher se joindre, α bientôt se perdre puis disparaitre dans les profondeurs hauteurs infinies de l’azur. - descendre α peu à peu. le combat. durait qq temps pas. puis au rappel sans leurre, avoir besoin avoir besoin il revenait se replacer juste sur le poing tout - fremissant de colère la poit. - du sang sur ses α rouge de sang avec du sang à la guêle guele la gueule sanglante α frem tout encore de plaisir α tout fremissant enivré de plaisir. Puis le faucon ne tardait a redescendre tenant ayant dans ses pattes un milan qu'il dechiquetait α quand il ne restait plus de son mâtin qu’un ventre ouvert a des plum epars pennes dispersés plumes"
- Brouillon, f° 451v° : "Mais Julien s’arrêtait brusquemt, tout a coup decapuchonnait desarmait l’oiseau, ouvrait ses longes, donnait une le lançait d’une brusqumt le jetait brusquemt secousse. la bête hardie montait droit droit en l’air comme une fleche α l’on voyait α il repartait dans α le voir deux points noirs decrire des cercles courbes sur le ciel, se rapprocher, se rejoindre, puis se joindre puis α disparaitre dans les hauteurs infinies infinies de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre ayant liant dans ses pattes griffes un milan autre oiseau qu’il dechiquetait, rait - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées, - il revenait se placer juste de lui-même pr de lui même sur le poing. des morceaux de viande à la gueule α tout fremissant encore. les deux ailes fremissantes de plaisir"
- Brouillon, f° 429v° : "Julien s’arrêtait denouait son mai les liens denouait ses longes le lâchait tout à coup decapuchonnait l’oiseau, ouvrait ses longes, les lançait brusquement, la bête hardie montait droit en l’air comme une flèche, - α il regardait (nl) on voyait deux larges taches inegales tourner points noirs decrire deux courbes sur le ciel, au loin puis se joindre α et puis puis disparaitre dans les hauteurs de l’azur. Mais Le faucon ne tardait pas à redescendre, Puis redescendait tout en liant dans ses griffes un autre serrant dechirant de ses griffes qques oiseau qu’il dechirait dechiquetait α la - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées il revenait a de lui-même α repus α α de lui même puis α de lui mê puis poser juste se placer placer placer se poser placer poser placer sur le poing gantelet , les deux ailes fremissantes."
- Manuscrit définitif, f° 37 : "Julien, denouant ses longes, le lâchait tout à coup ; la bête hardie montait droit d en l’air comme une flèche ; α l’on voyait deux taches inegales tourner, se joindre, puis disparaître dans les hauteurs de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre, tout en dechirant un oi qqu’oiseau, α revenait se placer poser sur le gantelet, les deux ailes fremissantes."
Grenier d'abondance
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique d'après le manuscrit de travail (plans et scénarios Ms gg 10, brouillons Ms g 225, manuscrit autographe Ms g 224) :
- Scénario, f° 2 : "- leur rencontre sur un banc du boulevard Bourdon."
- Scénario : f° 33 : "Leur rencontre sur un banc du Boulevard Bourdon - decrire le milieu"
- Scénario, f° 6 : "La rencontre a lieu sur le bd Bourdon, un dimanche d'été. chaleur. solitude."
- Brouillon, f° 4v° : "Les petits arbres plantés parallemt paralleles aux batimens du grenier d'abondance avec leur tige maigre surmontés d'un bouquet poudreux se suivaient avaient l'air d ressemblaient semblaient une suite de batons batons jalons jalons qui se (nl) jalonner marquant la solitude A"
- Brouillon, f° 4 : "car involontairemt leurs yeux erraient sur 3 le canal le tas de pierres (nl) à bâtir - où une botte de paille flottait comme un noyé. . à la derive. cheminée d'usine. senteur d'egoût - le cable d'une grue comme la corde d'un gibet coupait marquait l'air bleu de sa courbe - à l'horizon chem d'usine 2 jalousies persiennes des maisons en face fermées restaient closes baissées dureté des murs - les petits arbres sans feuilles se suivaient parielles à des batons jalons - bracelets de fer plantés ça α là dans l'odeur la poussièreune senteur exhalaison d'egout α de la route. ils etaient du coté du canal (nl) Puis faisant voleface sur leurs bancs ils se retournèrent du coté de la chaussée dont le pavé qui disparaissait sous la poussière. alors ils eurent devant eux les petits batim le mur du grenier d'abodance. pareils murs unis. poussière"
- Brouillon, f° 8v° : "Et leurs yeux erraient sur les tas de pierres à bâtir, sur l'eau bourbeuse où une botte de paille flottait, sur la hte cheminée d'une usine se dressait à l'horizon. De temps à autres, passait pass arrivait des miasmes odeurs d'égout mêles à l'odeur de la poussière. alors Ils se tournèrent enfin, de l'autre côté – alors et alors et ils eurent devant eux les murs en briques du grenier d'abondance. Puis ayant ils firent volte face sur leur bans, le dos"
- Brouillon, f° 9v°
- Brouillon, f° 10v°
- Brouillon, f° 128v°
- Manuscrit définitif, f° 2
Mots-clés : Bouvard et Pécuchet, Grenier d'abondance, Gustave Flaubert
Saint Dominique et saint François d'Assise préservant le monde de la colère du Christ. Rubens
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Mots-clés : Carnet de voyage, Gustave Flaubert, Musée de Lyon, Rubens
La mer Morte
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, f° 704 : "Machaerous"
- Scénario § I, f° 708 : "Machaerous. forteresse"
- Scénario, f° 722 : "Macherous. chat palais et l’enceinte."
- Scénario partiel, f° 724 : "Macherous. forteresse. palais."
- Scénario partiel, f° 725 : "Macherous. forteresse. palais enceinte."
- Brouillon, f° 721 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte. - En dessous, la ville -"
- Brouillon, f° 706v°-755 : "Machaerous, forteresse - palais, enceinte."
- Brouillon, f° 720 : "Macherous. - citadelle - chateau -"
- Brouillon, f° 732v° : "Machaerous, sur la cote orientale de la mer Morte, au milieu des montagnes"
- Brouillon, f° 729v° : "La citalle de La citadel Machaerous - sur la rive orientale de la mer Morte, au milieu des montagnes batie sur le sommet d aplani d’un d’un cône aplati."
- Brouillon, f° 539v° : "La citadelle de Macherous se dressait à l’Orient de la mer - Morte - sur au au milieu des montagnes au milieu des montagnes"
- Brouillon, f° 549v° : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’orient de la Mer-Morte"
- Brouillon, f° 538v° : "La citadelle de Macherous se dressait à l’orient de la Mer-Morte,"
- Brouillon, f° 548v° : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’Orient de la mer-morte,"
- Mise au net, f° 654v° : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’Orient de la mer-morte,"
- Manuscrit définitif, f° 58 : "La citadelle de Machaerous se dressait à l’orient de la mer-Morte"
Mots-clés : Gustave Flaubert, Hérodias, Mer Morte
Julien grimpait aux murs des citadelles
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 : "III. il part. − guerroie. − pays lointains. vie d’aventures."
- Scénario général, 1875, f° 493 : "α recevait les coups des son bouclier les pierres qui tombaient des crenaux à autre plusieurs moulinet avec sa masse d’armes − comme une couleuvre le long des murs"
- Brouillon, f° 433 : "– Dans les fossés recevait sur son bouclier les pierres des crenaux y montait comme un serpent.."
- Brouillon, f° 430v° : "Il reçut sur son bouclier les pierres des crenaux."
- Brouillon, f° 458v° "avec une corde à noeuds il grimpait aux murailles murs des cit des citadelles com un serpent plusieurs fois, on l’aperçut debout sur l’extremité d’une poutre embrasée. – Il reçut des pierres lourdes sur son bouclier les pierres des crenaux. très lourdes"
- Brouillon, f° 459v° : "Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit balancé par l’ouragan sous le feu gregois, la resine bouillante, α le plomb liquide. . pendant que les flamm flammèches du feu comm tels que des oiseaux rouges gregois voltigeait à l’entour que la resine bouillante α (nl) creneaux ruisselant par des creneaux sur sa silhouette dans la fumée des incendies."
- Brouillon, f° 432 : "Avec une corde à noeuds il grimpait au mur des citadelles la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois voltigeaient tout à l’entour, dans l’air se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux."
- Brouillon, f° 431 : "Avec une corde à noeuds il grimpait aux au murs des citadelle, la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que des flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des creneaux."
- Mise au net, f° 430 : "Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit, balad balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux. "
- Manuscrit définitif, f° 42 : "− Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux. "
Julien enlevait ses soldats
Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
- Plan, 1856, f° 490 : "III. il part. − guerroie. − pays lointains. vie d’aventures."
- Scénario général, 1875, f° 493 : "(4) Au debut des batailles, sièges, assauts. en tête sur le front de bandières. par les armes luisantes (1) en pays etrangers. aspect des lignes les homm alignés enfilad Il servit servit comm mercenaire comme mercenaire. λ peu lui importait les conditions, prvu qu’on le menat très loin − Il alla ainsi au bout du monde s’engagea dans une compagnie franche. pr lui saisir personne, ne faisait mieux son service, qui allait. servit pendant plusieurs années com mercenaires il enlevait ses hommes d’un geste d’epée, α s’enfonçait dans les piques"
- Brouillon, f° 433 : "Il faisait beau le voir Au commencement des batailles ses hommes en ligne, luisant, lui, en tête - les enlevait d’un geste de son epée α s’enfonçait dans les piques"
- Brouillon, f° 430v° : "Il faisait beau le voir, au debut d’une des bataille quand - - - - ses hommes en ligne. . luisant les cymbales, en avant lui en tête, il enlevait ses hommes d’un gd geste et s’enfonçait au milieu des piques comme dans les blés. eperduemt."
- Brouillon, f° 458v° "Au debut des batailles, il avait bien regarde quand les lignes immobiles α luisantes α fremissantes, les cymbales. − − en dehors du front de bandière, il enlevait les hommes soldats d’un grand geste de son epée α s’enfonçait au milieu des piques 2 escadrons 1 eperduement. av de droite α de gauche avec ses homm Il abattait les hommes comme un bucheron."
- Brouillon, f° 459v° : "Au debut des batailles, il enlevait lignes des les soldats d’un gd geste de son epée. et s’enfonçait eperduemt dans les piques eperduemt."
- Brouillon, f° 432 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats, d’un gd geste de son epée."
- Brouillon, f° 431 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats d’un gd geste de son epée."
- Mise au net, f° 430 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats d’un gd gd geste de son epée."
- Manuscrit définitif, f° 42 : "Au debut des batailles, il enlevait ses soldats d’un gd geste de son epée."