La nouvelle a été publiée initialement dans Les Nouvelles Littéraires du 05 août 1939. On peut maintenant la lire dans le recueil Coups de barre. C’est un récit burlesque où un perroquet, Mimiq, a avalé une épingle de nourrice. Traduite en anglais pendant la guerre et en allemand après-guerre dans la revue Das Lot d’Alain Bosquet, Malaquais l’adapta pour la radio en 1948. 

« Le Marchand de balais » a été probablement été écrite avant 1936 car des échanges de lettres entre André Gide et Jean Paulhan en 1936 et 1937 mentionnent cette nouvelle, alors intitulée « La Belle Hélène » ou « Mme Hélène ». 

La nouvelle est publiée dans le recueil Coups de barre en 1944 aux Éditions de la Maison Française à New York. 

La nouvelle met en scène un travailleur vagabond sur les docks d’Alger et présente des liens autobiographiques avec des épisodes de la vie de l’auteur.

"La Montre" est une nouvelle écrite par Malaquais en 1936. Il la propose tout d’abord aux Éditions "Au sans pareil". C’est en 1937 que Jean Guéhenno publie cette nouvelle dans sa revue Vendredi (n° du 15 janvier 1937).

Nouvelle autofictionnelle où le narrateur retrace ses vagabondages laborieux en France, particulièrement dans une mine d’argent, elle peut être considérée comme une ébauche du roman Les Javanais. 
Cette archive est le manuscrit de la nouvelle. 

Nouvelle de Jean Malaquais, appelée en français "Crin d’or" et en anglais "The Horse who said Nay". 

L’archive comporte le texte en français, le manuscrit, le texte en anglais et une version illustrée par Galy Yurkevitch. 
La nouvelle est écrite en 1971 et est dédicacée "à Dominique" (la fille de Malaquais). 

Manuscrit de la nouvelle "Garry", écrite en 1938 et publiée dans la NRF en décembre 1939. Actuellement publiée dans le recueil Coups de barre (Cherche-Midi, 2008).