FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : La Légende de saint Julien l'Hospitalier

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF, Mss, NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856 f° 490 : "I. amour de la chasse"
  • Scénario, 1875, f° 492 : "à la dague, à l'épieu, à l'arc, à l'épée. sangliers, loups, pleure de n'avoir pu l'atteindre"
  • Brouillon-scénario, f° 408v° : "- épieu, dague, javelot, flèche - épée blaireaux, renard, loup, auroch sanglier - Sa ours. avec un epieu. temps de neige animaux : lou blaireaux, renard, loup, sanglier plaisir qu'il y prend"
  • Brouillon-scénario, f° 418 : "avec epieu, dague, javelot, flèche, epée poursuit un loup. pendant plusieurs jours.  une fois seul, au milieu des loups - tue un ours, à l'épieu, par temps de neige"
  • Brouillon-scénario, f° 415v° : "3 lou aurochs glaive - 1 sangliers - epieu − bêtes des marais dans les roseaux boucs chevres precipices chats sauvages arbre (2) sanglier epieu. saute dessus l'egorge. - Castors cahuttes. - "les appelait" flèches. loutres. dans l'eau jusqu'au ventre De plus en plus il y prend du plaisir - néglige tout pr cela"
  • Brouillon, f° 425 : "Au milieu des loups affamés au pied du gibet., les tient en respect. tue un ours à l'epieu par temps de neige."
  • Brouillon, f° 422v° : "boeufs sauvages boucs. chamois - sangliers. - loups au pied d'un gibet qui mangeaient rongeaient des cadavres Il tua des perça les chamois avec sa lance ses fleches à coups des ours à l’ep couteau avec la lance avec l'epieu une fois même ses armes, sa lance étant perdue brisée une fois même ses armes sa lance etant perdue brisée il se defendit contre des loups qui rongeaient des cadavres au pied d'un n'ayant plus qu'un baton"
  • Brouillon, f° 423 : "Il tua des ours à avec coups de couteau, des taureaux avec la hache, des sangliers avec l'epieu - α même une fois, cont n'ayant plus qu'un bâton œil il se defendit en homme contre des loups qui rongeaient un cadavre au pied sous un d'un gibet."
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "Il tua des ours  à coups de couteau, des taureaux avec la hache ; des sangliers avec l'épieu ; et même une fois, n'ayant plus qu'un bâton, se défendit contre des loups qui rongeaient des cadavres au pied d'un gibet."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
  • Scénario partiel, f° 418 : "precipite sur les blaireaux - bêtes sortant du terrier blaireaux. A"
  • Scénario partiel, f° 425 : "quantité lapins debuchent des terriers. son basset les etouffe. blaireau"
  • Scénario partiel, f° 451 : "Bientôt puis – ses sabots sur la terre dure le ciel pâlit et se raya son cheval glissait sur l’herbe glacee. le givre - d’une lueur barre rouge, sur un ciel verdatre. Quantité de lapins sur le bord de la route sortant de leurs terriers broutaient l’herbe. . - Les deux bassets, d’eux-mêm comm se multipliant, les tuaient d’un coup de dents. gueule - les couchaient par terre"
  • Scénario partiel, f° 452 : "puis le Mais puis un coté du ciel pâlit une barre rouge sur un allait vint à pâlir le froid. - sur la terre dure. . puis le ciel pâlit une barre rouge sur un fond verdâtre ciel et dans les aux premières blanches blancheurs palir s’eclairait l’hor s’eclaircit du crepuscule. puis un coté de l’horizon s’eclaira il aperçut - distingua tout près de lui. . sur la lisière du bois tout près de lui autour de lui il apercut a la lisière des taillis d’innombrables au bord quantite de lapins. sur le bord de la route, quantité de lapins sortis sortant sortant de leurs terriers. ça et là, broutant broutaient l’herbe repandus courant et ça et là - ça et là. Les deux bassets, tout de suite se precipitèrent sur eux dessus courant de droite - allant - et de gauche et comme se multipliant les couchaient par terre d’un seul d'un premier premier du premier coup de gueule les couchaient par terre tuaient sur le flanc leur brisaient les reins renversaient occis cassaient couchaient."
  • Brouillon, f° 428v° : "Puis Mais un côté de l’horizon du ciel s’eclaira s’eclaircit - et dans la blancheur du crepuscule,  il aperçut autour de lui, au bord de la route s’eclaira. d’innombrables lapins, sortant de leurs terriers. terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent dessus, sur eux et ça et là, de droite a de gauche vivement leur cassaient les reins l'echine"
  • Brouillon, f° 424 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit, et dans la blancheur du crepuscule, il apercut d’innombrables lapins, entre les herbes d’innombrabl d’innombrables d’innombrables sautillant parmi les herbes sautillant parmi les herbes. sortant de leurs terriers. sautillant au bord de leur terriers au bord de leur terriers et autour au milieu des herbes Les deux bassets tout de suite tout de suite se precipitèrent sur eux dessus sur eux et ça et là ; dessus sur eux -"
  • Manuscrit définitif, f° 38 : "Mais un côté de l’horizon s’eclaircit et dans la blancheur du crepuscule, il aperçut des lapins sautillant au bord de leurs terriers. Les deux bassets tout de suite se precipitèrent sur eux, et ça et là, vivement leur cassaient l’echine."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2 :

  • Plan, 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
  • Scénario partiel, f° 418 : "- filet - toiles"
  • Brouillon, f° 415v° : "à faire toutes espèces de lacs, poches, bourses et panneaux - filets, et -"
  • Brouillon, f° 419v° : "filets, toiles, panneaux. chausse-trapes, des miroirs, appaux engins de toute sortes especes toute sortes d’engins furent achetés des hameçons des bourses, des sacs des panneaux  des toiles chaperon, lanières -"
  • Brouillon, f° 420 : "Des bourses, des sacs, des hamecons, des chausses trape, des appeaux, des miroirs, toutes sortes d’engins furent achetées confectionnés"
  • Mise au net, f° 419 : "Des bourses, des hameçons, des chausses-trappe, des miroirs, toutes sortes d’engins furent confectionnés"
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "Des bourses, des hameçons, des chausse-trapes, toute sortes d'engins, furent confectionnés."   

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "Jesus Christ."
  • Scénario 1875, § III, f° 494 : "Le bonhomme grandit, la cabane s’illumine. tout eclate. C’est Jesus-christ - l’enleve au ciel."
  • Scénario partiel, f° 470 : "Le bonhomme grandit. s’allongea. avec. le feu se ranimant jete une gde lueur. Sa tête touchait aux 2 murailles parois la cabane s’illumine tout eclate. C’est Jesus.-Christ. - l’enlève au ciel"
  • Brouillon, f° 444v° : "Le lepreux. . et son corps s’allongea. avec sa tete et les pieds, il touchait aux deux côtés de la cabane - B. à mesure que se sert serrait serré changemt progressif de sa figure. les yeux. - le front - se deplisse. les cheveux blonds blondirent rayons Le feu le Feu se s’anime, avec eclaire, jete une gde lueur. comm une clarté d’etoiles - blancheur de coupole - tout eclate. le toit s’envole. Le lepreux C’etait notre Seigneur Jésus qui l’emportait dans le ciel."
  • Brouillon, f° 447v° : "Alors le Lepreux l’etreignit se lev - et ses prunelles yeux tout à coup prirent une lueur d’etoiles - Ses rares cheveux blan Sa ses chevelure cheveux se leverent comm les rayons du soleil - Son sa peau prit une Son haleine eut la douceur des roses. avait douceur de colombe s’echappa - Les flots chantaient des un nuage d’encens s’eleva jaillit du foyer et il grandissait, gdisait touchant avec la sa tête et ses talons les deux parois murs de la cabane. Le feu se ran jaillit du foyer. Le toit s’envola. - le firmamt couvert d’etoiles -"
  • Brouillon, f° 446 : "Alors le Lepreux l’etreignit, - et ses prunelles tout a coup prirent une clarté d’etoiles, ses cheveux s’allongèrent comme les rayons du soleil le souffle de ses narrines avait la douceur des roses. Un nuage d’en s’eleva du foyer, les flots chantaient - B Et celui dont bras le serraient toujours il grandissait, grandissait touchant avec sa tete et ses talons les deux murs de la cabane ; le toit s’envola - le firmament se deployait. -"
  • Mise au net, f° 447 : "Alors le Lepreux l’etreignit - et ses yeux tout à coup, prirent une clarté d’etoiles, ses cheveux s’allongèrent se levèrent comm les rayons rais du soleil. Le souffle de ses narrines avait la douceur des roses. un nuage d’encens s’eleva du foyer ; les flots chantait chantaient."
  • Manuscrit définitif, f° 57 : "Alors le Lepreux l’etreignit ; et ses yeux tout à coup prirent une clarté d’etoiles. ; Ses cheveux s’allongèrent comme les rais du soleil. ; Le souffle de ses narrines avait la douceur des roses ; un nuage d’encens s’eleva du foyer, les flots chantaient."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2 :

  • Plan, 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
  • Scénario partiel, f° 418 : "- filet - toiles"
  • Brouillon, f° 415v° : "à faire toutes espèces de lacs, poches, bourses et panneaux - filets, et -"
  • Brouillon, f° 419v° : "filets, toiles, panneaux. chausse-trapes, des miroirs, appaux engins de toute sortes especes toute sortes d’engins furent achetés des hameçons des bourses, des sacs des panneaux  des toiles chaperon, lanières -"
  • Brouillon, f° 420 : "Des bourses, des sacs, des hamecons, des chausses trape, des appeaux, des miroirs, toutes sortes d’engins furent achetées confectionnés"
  • Mise au net, f° 419 : "Des bourses, des hameçons, des chausses-trappe, des miroirs, toutes sortes d’engins furent confectionnés"
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "Des bourses, des hameçons, des chausse-trapes, toute sortes d'engins, furent confectionnés."   

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'apèrs le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "III. il part. − guerroie. − pays lointains. vie d’aventures."
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "α recevait les coups des son bouclier les pierres qui tombaient des crenaux à autre plusieurs moulinet avec sa masse d’armes −"
  • Brouillon, f° 433 : "– Dans les fossés recevait sur son bouclier les pierres des crenaux y montait comme un serpent.. Mais refusait de delivrer la campagne d’animaux nuisibles. – avec sa masse d’armes faisait le moulinet"
  • Brouillon, f° 430v° : "Il reçut sur son bouclier les pierres des crenaux. − avec sa masse d’armes fit − le moulinet,"
  • Brouillon, f° 458v° "Il reçut des pierres lourdes sur son bouclier les pierres des crenaux. très lourdes – il se degagea avec sa hache d’armes moulinet. en faisant com il contra des delivra des 12 cavaliers qui l’assaillaient. –"
  • Brouillon, f° 459v° : "Il reçut Souvent le heurt de sans flechir le bras des pierres très lourdes sur enormes fracassa son son bouclier ψ ψ les escadrons faillit l’etourdir. l’etouffer N le reflua de Avec sa masse d’armes,"
  • Brouillon, f° 432 : "Souvent le heurt d’une pierre fracassa son bouclier des ponts trop chargés d’hommes, croulèrent sous lui. Un jour avec En frappant de de sa masse d’armes, il se delivra debarrassa de quatorze cavaliers."
  • Brouillon, f° 431 : "Souvent le heurt d’une pierre fracassa son bouclier. Des ponts ch trop chargés d’homme croulèrent sous lui. en frappant de tournant sa masse d’armes, il se debarrassa de quatorze cavaliers. "
  • Mise au net, f° 430 : "Souvent le heurt d’une pierre fracassa son bouclier. Des ponts trop chargés d’hommes, croulèrent sous lui. En tournant sa masse d’armes, il se debarrassa de quatorze qua cavaliers. "
  • Manuscrit définitif, f° 42 : "Souvent le heurt d’une pierre fracassa son bouclier. Des ponts trop chargés d’hommes croulèrent sous lui. En tournant sa masse d’armes, il se debarrassa de quatorze cavaliers."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "III. il part. − guerroie. − pays lointains. vie d’aventures."
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "(4) Au debut des batailles, sièges, assauts. en tête sur le front de bandières. par les armes luisantes (1) en pays etrangers. aspect des lignes les homm alignés enfilad Il servit servit comm mercenaire comme mercenaire. λ peu lui importait les conditions, prvu qu’on le menat très loin − Il alla ainsi au bout du monde s’engagea dans une compagnie franche. pr lui saisir personne, ne faisait mieux son service, qui allait. servit pendant plusieurs années com mercenaires il enlevait ses hommes d’un geste d’epée, α s’enfonçait dans les piques"
  • Brouillon, f° 433 : "Il faisait beau le voir Au commencement des batailles ses hommes en ligne, luisant, lui, en tête - les enlevait d’un geste de son epée α s’enfonçait dans les piques"
  • Brouillon, f° 430v° : "Il faisait beau le voir, au debut d’une des bataille quand - - - - ses hommes en ligne. . luisant les cymbales, en avant lui en tête, il enlevait ses hommes d’un gd geste et s’enfonçait au milieu des piques comme dans les blés. eperduemt."
  • Brouillon, f° 458v° "Au debut des batailles, il avait bien regarde quand les lignes immobiles α luisantes α fremissantes, les cymbales. − − en dehors du front de bandière, il enlevait les hommes soldats d’un grand geste de son epée α s’enfonçait au milieu des piques 2 escadrons 1 eperduement. av de droite α de gauche avec ses homm Il abattait les hommes comme un bucheron."
  • Brouillon, f° 459v° : "Au debut des batailles, il enlevait lignes des les soldats d’un gd geste de son epée. et s’enfonçait eperduemt dans les piques eperduemt."
  • Brouillon, f° 432 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats, d’un gd geste de son epée."
  • Brouillon, f° 431 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats d’un gd geste de son epée."
  • Mise au net, f° 430 : "Au debut des batailles, il enlevait les lignes des soldats d’un gd gd geste de son epée."
  • Manuscrit définitif, f° 42 : "Au debut des batailles, il enlevait ses soldats d’un gd geste de son epée."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "III. il part. − guerroie. − pays lointains. vie d’aventures."
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "α recevait les coups des son bouclier les pierres qui tombaient des crenaux à autre plusieurs moulinet avec sa masse d’armes − comme une couleuvre le long des murs"
  • Brouillon, f° 433 : "– Dans les fossés recevait sur son bouclier les pierres des crenaux y montait comme un serpent.."
  • Brouillon, f° 430v° : "Il reçut sur son bouclier les pierres des crenaux."
  • Brouillon, f° 458v° "avec une corde à noeuds il grimpait aux murailles murs des cit des citadelles com un serpent plusieurs fois, on l’aperçut debout sur l’extremité d’une poutre embrasée. – Il reçut des pierres lourdes sur son bouclier les pierres des crenaux. très lourdes"
  • Brouillon, f° 459v° : "Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit balancé par l’ouragan sous le feu gregois, la resine bouillante, α le plomb liquide. . pendant que les flamm flammèches du feu comm tels que des oiseaux rouges gregois voltigeait à l’entour que la resine bouillante α (nl) creneaux ruisselant par des creneaux sur sa silhouette dans la fumée des incendies."
  • Brouillon, f° 432 : "Avec une corde à noeuds il grimpait au mur des citadelles la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois voltigeaient tout à l’entourdans l’air se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux."
  • Brouillon, f° 431 : "Avec une corde à noeuds il grimpait aux au murs des citadelle, la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que des flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des creneaux."
  • Mise au net, f° 430 : "Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit, balad balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux. "
  • Manuscrit définitif, f° 42 : "− Avec une corde à noeuds, il grimpait au mur des citadelles, la nuit, balancé par l’ouragan, pendant que les flammèches du feu gregeois se collaient à sa cuirasse α que la resine bouillante α le plomb fondu ruisselaient des crenaux. "
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