FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


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Collection : Les fiches

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario partiel, f° 724 : "- Sa pose attentive contemplative rappel du paysage."
  • Scénario partiel, f° 725 : "Il se remet à regarder l’horizon - rappel du paysage -"
  • Scénario partiel, f° 750v°-f° 752 : "puis se remet à regarder l’horizon. - (rappel du paysage.) et reste immobile dans sa posture."
  • Scénario partiel, f° 709 : "- et reprend sa pose rêveuse." 
  • Scénario partiel, f° 714v° : "- et le congedie d’un geste - puis reprend sa pose -qu rêveuse"
  • Scénario partiel, f° 745v° : "Antip. se remet à songer la tête dans les deux mains."
  • Brouillon, f° 719v° : "et Antipas se remet à songer, la tête dans ses mains. Accoudé sur la balustrade. tout l’horizon de la mer Morte devant lui."
  • Brouillon, f° 729 : "Antipas se remet à songer, - la tête dans ses mains accoudé sur la balustrade, ayant tout l’horizon de la Mer-Morte, devant lui."
  • Brouillon, f° 727 : "Antipas se remet à songer, la tête dans ses mains, accoudé sur la balustrade ; ayant tout l’immense et la Mer-Morte devant lui. rappel du paysage contribuant à sa tristesse. immense tristesse. - Le Passé de ces lieux pese sur lui : ecroulemt vague d’un monde souvenir des villes maudites - c’est comm la region de la mort.
  • Brouillon, f° 746 : "Antipas se remit à songer - sur la balustrade. et le Paysage autour de lui augmentait sa tristesse - les grands rocs escarpés - bouleversemt de la nature Montagnes pans inclinées, - comm des pans de mur qui croulent. - la brutalité des couleurs à tons opposés ces ravins finissant en abime lui donnaient le vertige, lui causaient un malaise, et tout l’horizon un ovale de 20 lieues tandis que la crête - la mer Morte un dallage bleu. . Il pensait à toutes les guerres qui avaient eu lieu, là. - les colonnes. . . comme des amphitheatres gradins terrains - les montagnes affectant la forme de ruines vertiges les precipices béants sous lui - vaisseaux - dans un gd. Souvenir des villes maudites - sejour de la desolation et de la mort. - sent la fin d’un monde.  souvenir des villes maudites    gds châtiments. - colère de l’Eternel."
  • Brouillon, f° 541v° : "d'ailleu ces ravins autour de lui ces gouffres au flanc entonnoirs finissant des falaises en chaines et les abîmes beants ces pan montagnes pareilles à des pans de mur s’ecroulaient, ces ravins ffinissant en precipices, precipices penchés comm des pans de mur le la heurt violence des couleurs, - s’etalant en plaques inegales causaient un vertige malaise l’elevation des somt la brusquerie des precipices l’air - l’elevation où il se trouvait, lui donnaient un malaise, un malaise, un et il avait comme un sentimt de desolation et de mort causé caetsé La desolation, tristesse la mort lui entraient dans l’ame par cet amphitheatre de trente lieues un ce circuit Sans rien de vivant, - partout des colonnes, des gradins des campagne avait des ruines - vagues colonnes des amphitheatres, en ruines cèdre des des morceaux de colonnes des gradins confondus"
  • Brouillon, f° 545v° : "et puis D’ailleurs tous ces ravins autour de lui, comm des etages de gds flots petrifies tout aut. des ces gouffres finissant en abimes noirs au flanc des falaises - et pui toutes ces montagnes ondulations de terrains en desordre, com des flots - par etages d’un ocean petrifié penchées comm des pans de murs qui s’ecroulaient - la violence des couleurs] l’elevation des sommets, et la profondeur la brusquerie des precipices la vibration de la lumiè lui causaient le troublaient lui donnai un vertige un malaise - des precipices dans une lumière naturellement immobile les terrains ont la forme de ruines figurant. où la terre campagne figure monta  des pylones s’ecroulant  - et la desolation, poudroiemt bleu derriere lui la mort lui entrait dans l’âme devant cet l’immens horizon où l’on croyait voir des restes d’amphitheatres - des tronçons des tronçons colonnes, et des gradins confondus, des palais devastés, de colonnades des ruines d’amphitheatres et - L’odeur âcre du souffre et la poudre cendres des volcans. lui apportaient le souvenir la plainte des villes maudites - gds chatiments."
  • Brouillon, f° 546 ht : "D’ailleurs, toutes ce montagnes autour de lui comm des etages de gds flots petrifiés, ces gouffres noirs, les ces gouffres abimes noirs l’espace infini au flanc des falaises au flan des falaises, la profondeur des profon precipices, la vibration de la lumière - le developpemt du ciel bleu l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour et la profondeurs des abimes précipices escarpemts abimes le troublaient, lui donnaient causaient un vertige. - devant devant au spectacle du desert un desolation l’envahissait et au spectacle du desert qui figure dans le bouleversemt de ses terrains de ces la mort lui entrait dans l’ame à regarder le vaste horizon, où la campagne figure comme des pylônes s’ecroulant, des tronçons de colonnades, des ruines restes des tronçons de d’amphitheatre et de palais abattus. L’air chaud l’exhalaison apportait avec l’odeurs de soufre et de volcans comm le souvenir des villes maudites ensevelies englouties devant lui sous les eaux pesantes."
  • Brouillon, f° 545 : "D’ailleurs toutes ces montagnes ces monts autour de lui, - comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs au sur flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu l’eclat violent du jour, la profondeur des precipices abimes le troublaient, lui donnaienle vertige - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains des pylones s’ecroulant, des tronçons de colonnades colonnes, des restes de d’amphitheatres et de palais abattus."
  • Brouillon, f° 540 : "Tous ces monts autour de lui, comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs sur le flanc des cavernes, falaises l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour, la profondeur des abîmes le troublaient ; - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure, dans le bouleversement de ses terrains, des ruines d’amphitheatre et de palais abattus. Le vent chaud apportait , avec l’odeur du soufre, comme l’exhalaison des Villes-Maudites recouvertes ensevelies enfouies par sous les eaux pesantes plus bas le sous rivage. Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée. -"
  • Brouillon, f° 575v° : "Tous ces monts autour de lui comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs sur le flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour, la profondeur des abîmes le troublaient - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains des ruines d’amphitheatre et de palais abattus. Le vent chaud apportait avec l’exhal l’odeur du soufre, comm l’exhalaison des villes maudites, ensevelies plus bas que les rivages, sous les eaux pesantes. Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée. -"
  • Mise au net, f° 649v° : "Tous ces monts autour de lui, comme des etages de gds flots petrifiés, les gouffres noirs cavernes noires sur le flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour la profondeur des abîmes le troublaient. - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains, des ruines d’amphitheatre et de palais abattus. Le vent chaud apportait avec l’odeur du soufre, comme l’exhalaison des villes maudites, ensevelies ensevelies plus bas que le rivage, sous les eaux pesantes Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée -"
  • Manuscrit final, f° 60 : "Tous ces monts autour de lui, comme des etages de grands flots petrifiés, les gouffres noirs sur le flanc des falaises, l’immensité du ciel bleu, l’eclat violent du jour, la profondeur des abîmes le troublaient, - et une desolation l’envahissait au spectacle du desert, qui figure dans le bouleversement de ses terrains, des ruines d’amphitheatres et des palais abattus. Le vent chaud apportait avec l’odeur du soufre comme l’exhalaison des villes maudites, ensevelies plus bas que le rivage, sous les eaux pesantes - Ces marques d’une colère immortelle effrayaient sa pensée ;"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2 :
  • Plan, f° 704 : "Machaerous"
  • Scénario, § I, f° 708 : "Machaerous. forteresse"
  • Scénario, f° 722 : "Macherous. chat palais et l’enceinte"
  • Scénario partiel, f° 724 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte."
  • Scénario partiel, f° 725 : "Macherous. forteresse. palais enceinte."
  • Brouillon, f° 721 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte."
  • Brouillon, f° 706v°-755 : "Machaerous, forteresse - palais, enceinte."
  • Brouillon, f° 720 : "Macherous. - citadelle - chateau –"
  • Brouillon, f° 732v° : "des murs l’enfermaient - et etaient reliees à la forteresse par un chemin en zigzag - à la forteresse. - Les murs La forteresse = 160 coudees - murs  augmentaient la hteur du cône. crenelés - crenaux - avançant beaucoup sur la la mer surplombant  le precipice. - avec des tours. carrés Le chateau. palais aspect exterieur et au milieu, un palais - - et ça faisait comm 2 cercles et au centre de ce disque, - la forteresse - un palais carré - portiquesdu a la romaine quadrangulaire portiques des int avec des cours interieures. -"
  • Brouillon, f° 729v° : "- on allait on allait de la ville à la forteresse par un chemin en zig-zag. à la forteresse. - De ce cote là, du - sur ce rocher Les murs dont la hteur se trouvait accrue par qui l’entouraient, murs 60 coudées, lisses, - - - tours carrées comm les fleurons d’une couronn surplombant - de sorte que l’enceinte de la ville en dessous faisait un cercle et l’enceinte de la forteresse faisaient deux cercles concentriques. deux (nl) plus large. - et le moins elevé - le plus large et le plus bas, entourait le plus petit. le plus petit au tout. Au centre du sommet du cône, un palais à la romaine, a la rom entouré portiques de form quadrangulaire avec des cours interieures - etc. un toit plat en terrasses, bordé d’un balustrade"                             
  • Brouillon, f° 539v° : "- et un chemin en zig-zag montait grimpant sur le rocher en elle se reliait de la ville la ville à la forteresse - dont la hauteur, dont la hteur de ce côté , semblait etait  semblait  prodigieuse. inaccessible. formidable Car dont les Ses murailles angles rentrant multiples nombreux gr crenaux. qui l’enfermaient, grandissaient le rocher - haute de 120 soixante coudées etaient - - lisses, plus com de l’albatre - du marbre        de granit avec des tours carrées de place en place - avaient. dans toute sa circonference faisaient comme les fleurons d’une couronne - Si bien que la ville et la forteresse se tenant dans l’air formaient deux cercles le plus gd a la base, et le plus petit au sommet. de cette gigantesque la ville de pierre - suspendue au dessus de l’abim Les geante qui de en pierres se tenant se tenait dans l’air dans l’air dans l’air continuaient augmentaient l’elevation de la montagne Dans l’interieur dont les murailles à pic  etaient htes de 120 coudées perpendiculaires  htes de 120 coud garnis de crenaux, au sommet, - partout lisses que du marbre, avec des angles rentrants nombreux. - et renforcees par des tours. allaient mettaient ce qui faisait comm les des fleurons de cette couronne de pierre. se tenant tenait au dessus"
  • Brouillon, f° 549v° : "La ville se reliait à la forteresse  citadelle, qu dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées, avec des angles rentrants fort fort nombreux, - des crenaux sur le bord et des tours ça et là, ça et là qui faisaient comme des fleurons, à cette couronne de pierres - se tenant au dessus de l’abime."
  • Brouillon, f° 538v° : "la ville se reliait à la forteresse, dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées plus surface luisante que la surface d’un miroir, glissante avec des angles encognures des encognures plus fortes angles nombreuses des crenaux tout le long de leur tout le long. . . sur leur bord et ça et là des tours, - qui faisaient faisait comme des fleurons à cette monstrueuse] couronne de pierre, se tenant au dessus de l’abîme."
  • Brouillon, f° 548v° : "- et par un chemin en zig-zag tailladant le rocher la ville se reliait à la forteresse dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées avec des angles nombreux, des crenaux sur les le bords, et ça et là des tours qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abime." 
  • Mise au net, f° 654v° : "et par un chemin en zig-zag grimpant sur spirale tailladant escaladant escaladant le rocher, la ville se reliait à la forteresse, . dont les murailles etaient hautes de cent quinze quatorze vingt coudées avec des angles nombreux, des crenaux sur les bords, et ça et là des tours, qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abîme." 
  • Manuscrit final, f° 58 : "et par un chemin en zig-zag tailladant le rocher, la ville se reliait à la forteresse - dont les murailles étaient hautes de cent vingt coudées, avec des angles mombreux, des crenaux sur le bord, et ça et là des tours, qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abime."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Brouillon, f° 84v° (NAF 17607) : "Hussonnet empo emboitait le pas derrière lui - mais pr l'exploiter α le blaguer, - comment - gourde cigarre tout en devenant de plus en plus reactionnaire "
  • Brouillon, f° 63v° (NAF 17607) : "les socialistes les Vesuviennes Paturot. 65 B reactionnaire il blaguait tout le style officiel les invalides civils des tuileries les ateliers natioinaux les tyroliens de Caussidière L. Rollin α le char symbolique de l'agriculture - bœufs - jeunes filles la fête de la concorde - M bœufs j. filles les tyroliens de Caussidière blaguant tout"
  • Brouillon, f° 57v° (NAF 17607) : "Il blaguait blaguant tout le style mauvais peu correct des decrets les invalides civils des Tuileries les Conferences du Luxembourg, les Vesuviennes les Vesuviennes, les tyroliens tout, jusqu'a le char symbolique symbolique de l'agriculture, traîné par des bœufs chevaux qui etaient des bœufs auraient du être des bœufs - α escorté jeunes filles, laides qui n'avaient pas de Jeanne d'Arc."
  • Mise au net, f° 88 (NAF 17607) : "blaguant denigrant le style peu correct litteraire des decrets, les invalides des tuileries les Conferences du Luxembourg, les vesuviennes  les tyroliens tout, jusqu'au le char de l'Agriculture, traîné par des chevaux à la place de bœufs α escorté jeunes filles laides."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 21v° (NAF 17607) : "x blame le gouv. faute de Lamart (Castile 298)."
  • Brouillon, f° 30 (NAF 17607) : "critique de Ledru-Rollin non non - pas au moins Louis Blanc - Blanqui. tout. n'est content de rien. haine du socialisme. - impuissant."
  • Brouillon, f° 27v° (NAF 17607) : "Il ne trouvait pas Ledru-Rollin - "non pas à la hauteur suffisant pr le problème, traita Dupont de l'Eure de ganache Louis Blanc d'utopiste, d'utopiste. . Blanqui d'homme extremement dangereux - -  personne enfin ne comprenait l'importance des questions"
  • Brouillon f° 31 (NAF 17607) : "Il ne trouvait pas Ledru-Rollin "suffisant pr le problème" traita Dupont de l'Eure de vieille ganache Arago de pedant Arago de pedant Louis Blanc d'utopiste, Blanqui d'homme extremement dangereux. personne enfin ne comprenait l'importance des questions"
  • Brouillon, f° 32 (NAF 17607) : "Il ne trouvait pas Ledru Ledru-Rollin "capable de resoudre suffisant pr le problème" traita Dupont de l'Eure de vieille ganache Garnier Pagès Arago d'imbecile, d'idiot Louis Blanc d'utopiste, Blanqui d'homme extremement dangereux."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 170v° (NAF 17606) : "Bug. Commandant. absurde. resumé de ce qui s'etait s'est passé depuis x x du Peuple (aux Tuileries) Bugeaud acculé à un ministère de conciliation contradictoire (4 ordres impossibles"
  • Brouillon, f° 158v° (NAF 17606) : "Bugeaud , absurdité car il etait impopulaire α detruisait tout l'effort du ministère de conciliation - temps perdu - MM Passy α Dufaure entreraient-il au ministère. en pourparlers avec Lamoricière, Cousin α Leon de Malleville - ordres contradictoires et que le ministère qui devait etre definitif etait en train d'organiser se prononçait contre la reprise des hostilités. - temps perdu - hesitation. "
  • Brouillon, f° 160v° (NAF 17606) : "qu'on nommait le Ml Bugeaud et qu'on lui empêchait d'agir où MM Passy α Dufour y entreraient peut-être entreraient peut-être et qu'on etait en puis pourparlers avec Lamoricière Cousin α Maleville Louis de Maleville temps perdu α qu'on nommait donnait au le Ml Bugeaud le commandement hesitations ordres contradictoires α que le roi chicanait sur la dissolution de la chambre - hesitait chosissait Odill. Barrot, Remusat Duverg. de Hauran α donnait au Ml Bugeaud le commandemt pr l'empêcher d'agir bientôt αque tous perdaient le les soutiens et conseillers de la monarchie"
  • Brouillon, f° 174v° (NAF 17606)
  • Brouillon, f° 3 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 4 (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 5 (NAF 17607)
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