Votre recherche dans le corpus : 10 résultats dans 1506 notices du site.Type de document : Monde vivant
Boucs sauvages
- Plan 1856, f° 490 : "I. amour de la chasse"
- Scénario 1875, § I, f° 492 : "y prend de plus en plus de plaisir"
- Scénario partiel, f° 415v° : "boucs chevres precipices"
- Scénario partiel, f° 425 : "B. une montagne blanch., precipices des boucs sur le bord. sauvages. - flèches."
- Scénario partiel, f° 451 : "se trouva tout a coup sur le bord d’un precipice - terrain blanc - ciel noir - il apercut De l’autre côté deux boucs sauvages. - terrains blancs et est et tellmt htes que le qu’etant arrivé parvenu ciel etait noir lui parut au sommet au dessus"
- Brouillon, f° 452 : "Devant lui En dessous un precipice effrayant - Sur une saillie un long rocher, pareil à la en formt crete d’un mur devant lui s’inclinait La crete du rocher large de rapidemt largeur descendait devant lui arrête en pente bordée de deux precipices surplombant et ayant de droite et a de gauche un precipice. et deux chèvres boucs sauvages - deux boucs sauvages. aventurés jusqu’au bout bord sous elles bout regardaient l’abime à l’extremité de la crête."
- Brouillon, f° 428v° : "Devant en face lui un rocher en forme de mur pareil à un long mur s’inclinait devant lui s’abaissait devant lui rapidemt, en surplombant de droite et de gauche un precipice et un et et se penchant penchait à l’extremité de la crete. du precip d’une faille d’une manière infaillible deux boucs sauvages regardaient l’abîme."
- Brouillon, f° 424 : "Devant lui, un rocher pareil à un long mur se penchait s’elançait s’abaissait en surplombant un precipice - et à l’extremité) - deux boucs sauvages regardaient l’abîme."
- Manuscrit définitif, f° 38 : "Devant lui, un rocher pareil à un long mur s’abaissait en surplombant un precipice ; et à l’extremité, deux boucs sauvages regardaient l’abime."
Le cerf aux seize andouillers
- Plan 1856, f° 490 : "II Prediction du cerf."
- Scénario 1875, § I, f° 492 : "- Le cerf."
- Scénario partiel, f° 425 : "- un cerf, sa biche, le faon."
- Scénario partiel, f° 451 : "- un vieux, la biche, le faon"
- Scénario partiel, f° 427v° : "un vieux cerf, une biche qui broutait la mousse. et son faon. - Le faon tacheté - - - - la biche broutait - - - le cerf (à barbe) à barbe regardait, la tête tournée."
- Brouillon, f° 429 : "Le cerf avait allait devant tout noir et qui etait prodigieux portait 16 24 16 andouillers. . . et noir de taille une gde barbe - avait l’air d’un patriar."
- Brouillon, f° 427 : "Le cerf qui était noir et monstrueux merveilleux et monstrueux de taille, portait seize andouillers avec une barbe blanche".
- Manuscrit définitif, f° 39 : "Le cerf qui etait noir et monstrueux de taille portait seize andouillers avec une barbe blanche."
Mots-clés : Cerf, Gustave Flaubert, La Légende de saint Julien l'Hospitalier
Hêtres, forêt de Fontainebleau
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France, coté NAF 17 607 :
- Note, f° 19v° : "Feuilles de chêne, sèches par terre. [...] Difference d'apects suivant les espèces d'arbres (bouleaux, pins, chênes, genevriers) α les heures du jours."
- Plan, f° 117 : "il emmène la Mle à Fontainebleau."
- Scénario, f° 124 : "Aspects differents de la foret"
- Scénario, f° 85v° : "Aspects differents de la foret. - htes futaies espèces d'arbres différents, Pins charmes - chênes - bouleaux - genevriers Futaies de hêtres très hts on dirait des colonnes dont les feuillages sont des chapiteaux ecrasés"
- Scénario, f° 102v° : "Aspects differents de la foret α impressions divers qu'ils eprouvent Hautes futaies - de hêtres les longs troncs des arbres ont des positions differentes sont pareils qq uns obliques dès le bas, dans la foule des autres qui sont tout droits essences différentes, chênes, bouleaux, pins, houx, genevriers, toute une varieté de forme α de couleur."
- Scénario, f° 99v° : "espèces d'arbres différentes, chênes, pins, charmes, houx, bouleaux, genevriers; toute une varieté de de forme α de couleur"
- Scénario, f° 112v° : "Varieté des aspects du paysage α des impressions qu'ils en reçoivent Les essences differentes de bois, chênes, bouleaux, pins, charmes, genevriers font une varieté un spectacle de formes α de couleurs differentes Hautes futaies de hêtres, les longs troncs des arbres sont pareils - qq uns obliques dès le bas, dans la foule des autres qui sont tout droits"
- Brouillon, f° 140 : "La varieté des essences d'arbres. differents comm couleur α dispositions faisait un spectacle sans cesse renouvelé. ormes charmes, α genevriers hêtres, fraicheur, genevriers, bouleaux pâles α tremblants."
- Brouillon, f° 143
- Brouillon, f° 147 : "La varieté des ar essences d'arbres. faisait un spectacle sans cesse renouvelé changeant Les ormes, les charmes. . . alternaient leur feuillage α leur position, houx Successivement ils passaient devant les houx rebarbatifs L'elancemt des frênes contrastant avec le serieux des hêtres - - - frênes elegants - des bouleaux pâles α toujours agités ayant leur se penchaient avec (nl) c'etaient de longues lignes un air elegiaque eploré Les Le serieux des hêtres donnent de la fraicheur"
- Brouillon, f° 154v° : "La varieté des essences d'arbres faisait un spectacle changeant. Les ormes, les charmes. . . s'alternaient. L'aspect serieux des hêtres tous aux troncs rigides (nl) blancs, lisses, α varies droits droit contrastait avec l'elegance des frênes qui . . . "
- Brouillon, f° 142
- Brouillon, f° 146v°
- Mise au net, f° 149
Mots-clés : Forêt de Fontainebleau, Gustave Flaubert, Hêtres, L'Éducation sentimentale
Pins, forêt de Fontainebleau
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France, coté NAF 17 607 :
- Note, f° 19v° : "Difference d'apects suivant les espèces d'arbres (bouleaux, pins, chênes, genevriers) α les heures du jours."
- Plan, f° 117 : "il emmène la Mle à Fontainebleau."
- Scénario, f° 124 : "Aspects differents de la foret"
- Scénario, f° 85v° : "Aspects differents de la foret. - htes futaies espèces d'arbres différents, Pins charmes - chênes - bouleaux - genevriers Futaies de hêtres très hts on dirait des colonnes dont les feuillages sont des chapiteaux ecrasés"
- Scénario, f° 102v° : "Aspects differents de la foret α impressions divers qu'ils eprouvent Hautes futaies - de hêtres les longs troncs des arbres ont des positions differentes sont pareils qq uns obliques dès le bas, dans la foule des autres qui sont tout droits essences différentes, chênes, bouleaux, pins, houx, genevriers, toute une varieté de forme α de couleur."
- Scénario, f° 99v° : "espèces d'arbres différentes, chênes, pins, charmes, houx, bouleaux, genevriers; toute une varieté de de forme α de couleur"
- Scénario, f° 112v° : "Varieté des aspects du paysage α des impressions qu'ils en reçoivent Les essences differentes de bois, chênes, bouleaux, pins, charmes, genevriers font une varieté un spectacle de formes α de couleurs differentes"
- Brouillon, f° 140 : "– les pins donnent chaud reguliers donnent de la chaleur"
- Brouillon, f° 143 : "Les pins, ebranchés reguliers comme des tuyaux d'orgues donnent de la fraicheur chaleur bruit de murmurent"
- Brouillon, f° 147 : "Masses des les pins reguliers, et quand le vent passait, leurs troncs, reguliers comme des tuyaux d'orgues murmurent semblaient chanter."
- Brouillon, f° 154v° : "Puis paraissaient les masses noires des pins De loin les pins apparaissaient se dessinaient apparaissaient se dessinaient en profondes masses noires α reguliers comme com des tuyaux d'orgues – α quand le vent soufflait passait α leurs troncs reguliers tout en se balançant semblaient chanter"
- Brouillon, f° 148 : "puis Les pins se dessinaient en sombres masses noires montraient se massaient à l'horizon en larges larges carrés noirs, – α leurs troncs (nl) parallèles comme des tuyaux d'orgues quand le vent passait soufflait tout en balançant, semblaient chanter se balançant toujours semblaient murmurer"
- Brouillon, f° 146v° : "α Les pins semblaient à l'horizon, en larges carrés noirs, α symétriques reguliers com des tuyaux d'orgues, en se balançant toujours, par le haut semblaient chanter"
- Mise au net, f° 149
Mots-clés : Forêt de Fontainebleau, Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale, Pins
Le combat du faucon
- Plan, 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
- Scénario général, 1875, f° 492 : "− aime mieux être seul."
- Scénario partiel, f° 408v° : "plaisir qu'il y prend - effraie un peu sa mère devient farouche veut chasser seule."
- Scénario partiel, f° 418 : "aime mieux chasser seul"
- Brouillon, f° 415v° : "- chasse au faucon. on le décapuchonne, il s'envole - combat dans l'air. - puis l'oiseau vient se remettre sur le poing. - grelot d'or"
- Brouillon, f° 419v° : "Mais mepr Julien meprisait les pièges, preferait la chasse au faucon."
- Brouillon, f° 420 : "il le decapuchonnait retirait son capuchon d'un d’un mouvemt preste α filant en ht l’oiseau, montait. - combat dans les airs -"
- Brouillon, f° 419 : "Julien apercevait qq chose un point noir dans le ciel. Julien desarmait le fauçon otait l’oiseau debridait les longes le lançait d’un fort mouvemt. Mais tout à coup Julien s'arrêtait tout coup subitemt lâchait q fois un cri rauque. il avait apercu un milan au dessus de lui decapuchonnait l'oiseau, ouvrait la main qui tenait ses longes, donnait une secousse - la bête hardie montait dans l’air, droit dans l'air comme une flèche - α l’on voyait deux larges points noirs tourner decrire des lignes courbes sur le ciel, se rapprocher se joindre, α bientôt se perdre puis disparaitre dans les profondeurs hauteurs infinies de l’azur. - descendre α peu à peu. le combat. durait qq temps pas. puis au rappel sans leurre, avoir besoin avoir besoin il revenait se replacer juste sur le poing tout - fremissant de colère la poit. - du sang sur ses α rouge de sang avec du sang à la guêle guele la gueule sanglante α frem tout encore de plaisir α tout fremissant enivré de plaisir. Puis le faucon ne tardait a redescendre tenant ayant dans ses pattes un milan qu'il dechiquetait α quand il ne restait plus de son mâtin qu’un ventre ouvert a des plum epars pennes dispersés plumes"
- Brouillon, f° 451v° : "Mais Julien s’arrêtait brusquemt, tout a coup decapuchonnait desarmait l’oiseau, ouvrait ses longes, donnait une le lançait d’une brusqumt le jetait brusquemt secousse. la bête hardie montait droit droit en l’air comme une fleche α l’on voyait α il repartait dans α le voir deux points noirs decrire des cercles courbes sur le ciel, se rapprocher, se rejoindre, puis se joindre puis α disparaitre dans les hauteurs infinies infinies de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre ayant liant dans ses pattes griffes un milan autre oiseau qu’il dechiquetait, rait - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées, - il revenait se placer juste de lui-même pr de lui même sur le poing. des morceaux de viande à la gueule α tout fremissant encore. les deux ailes fremissantes de plaisir"
- Brouillon, f° 429v° : "Julien s’arrêtait denouait son mai les liens denouait ses longes le lâchait tout à coup decapuchonnait l’oiseau, ouvrait ses longes, les lançait brusquement, la bête hardie montait droit en l’air comme une flèche, - α il regardait (nl) on voyait deux larges taches inegales tourner points noirs decrire deux courbes sur le ciel, au loin puis se joindre α et puis puis disparaitre dans les hauteurs de l’azur. Mais Le faucon ne tardait pas à redescendre, Puis redescendait tout en liant dans ses griffes un autre serrant dechirant de ses griffes qques oiseau qu’il dechirait dechiquetait α la - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées il revenait a de lui-même α repus α α de lui même puis α de lui mê puis poser juste se placer placer placer se poser placer poser placer sur le poing gantelet , les deux ailes fremissantes."
- Manuscrit définitif, f° 37 : "Julien, denouant ses longes, le lâchait tout à coup ; la bête hardie montait droit d en l’air comme une flèche ; α l’on voyait deux taches inegales tourner, se joindre, puis disparaître dans les hauteurs de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre, tout en dechirant un oi qqu’oiseau, α revenait se placer poser sur le gantelet, les deux ailes fremissantes."
Le faucon de Julien
- Plan, 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
- Scénario général, 1875, f° 492 : "− aime mieux être seul."
- Scénario partiel, f° 408v° : "plaisir qu'il y prend - effraie un peu sa mère devient farouche veut chasser seule."
- Scénario partiel, f° 418 : "aime mieux chasser seul"
- Brouillon, f° 415v° : "- chasse au faucon. on le décapuchonne, il s'envole - combat dans l'air. - puis l'oiseau vient se remettre sur le poing. - grelot d'or"
- Brouillon, f° 419v° : "Mais mepr Julien meprisait les pièges, preferait la chasse au faucon."
- Brouillon, f° 420 : "l’oiseau panache de plumes. capuchon de cuir bouquet -"
- Brouillon, f° 419 : "c’etait le plus souvent un gd faucon de Norvege blanc comm une (nl) cygne les pattes vertes, les pieds ble yeux le bord des yeux rouge α dont les pennes faisaient la croix. La bete ferme contre le vent se tenait posé sur le gantelet Le capuchon qui lui. couvrait toute Sa tete sauf le bec, etait surmonté d’un panache, embaigu embeguiné dans un son capuchon de cuir - une aigrette comme une fleur pieds. - des sonnettes d’or tremblaient à ses pieds, jambes α serrant dans de ses ses larg larges griffes le gantelet de cuir que son maitre portait au bras droit, - il se tenait ferme contre le vent malgé la rapidité de la course"
- Brouillon, f° 451v° : "C’etait, le plus souvent presque toujours un gd faucon gd Tartaret de Norvege d'irlande Scandinavie C'était presque toujours ordinairement un gd tartaret de Scythie blan comm la neige. Le capuchon qui enveloppait toute sa tête sauf le bec, - etait bleu surmonté d’un panache, des grelots d’or tremblaient a ses pieds bleus, d'aplomb à plein α serrait de ses larges griffes debout monté sur poing le gantelet de cuir que son maitre portait au bras droit, il se tenait ferme contre le vent malgré la rapidité de la course pendant que Le cheval galoppait, les plaines se deroulaient."
- Brouillon, f° 429v° : "c’etait presque toujours un gd tartaret de Scythie, blanc comme la neige Son capuchon de cuir etait surmonté d’un panache, des grelots d’or tremblaient à ses pieds bleus - α et debout sur le gantelet de son maitre, il se tenait ferme sur le poing gantelet de son maitre sur le poing pendant que il se tenait ferme contre le vent et serrait dans ses griffes le gantelet de son maître sur le bras pendant que le cheval galoppait α que les plaines se deroulaient."
- Manuscrit définitif, f° 37 : "C'était presque toujours un gd tartaret de Scythie, blanc comme neige. Son capuchon de cuir était surmonté d'un panache, des grelots d'or tremblaient à ses pieds bleus et il se tenait ferme sur le bras de son maître pendant que le cheval galopait, et que les plaines se déroulaient."
La guivre de Milan
- Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
- Scénario général, 1875, f° 493 (aucune mention)
- Brouillon, f° 433 : "Tue des monstres. comme la gargouilles tue un monstre qui ravageait le pays de X. ."
- Brouillon, f° 432v° : "c’est lui α non pas X comme on l’a pretendu qui tua X (= la tarasque d’Avignon Il tua des monstres C’est lui α non X comme on l’a pretendu qui tua la X = (gargouille de Tarasc)"
- Brouillon, f° 462v° : "C’est lui α non X qui tua la X = (tarasque d’Avignon). pas le sire de St Ubert. le sire Hans de Frankes cte de lui α non pas. le cte de Frankestein le Frankestein piemontais qui tua la guivre de Milan guivre de Milan, α le dragon de X α la C + dragon d’Oberbirbach. Gilles seigneur de Chin, le dragon de Wasmes en Hainaut"
- Brouillon, f° 456 : "c’est lui, α non le pas un autre extermina sire Ubert piemontais, lui α non plus le comte de Frankestein qui tua 1 la guivre de Milan, ⎣α le dragon d’Oberbirbach]. α le dragon d’Ober assomma la guivre de Milan α qui etrangla le dragon 2 d’Oberbirbach le dragon du Hainaut α la"
- Brouillon, f° 434 : "c’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
- Manuscrit définitif, f° 43 : "C’est lui, a pas un autre, qui assomma la guivre de Milan et le dragon d’Oberbirbach."
Mots-clés : Guivre, Gustave Flaubert, La Légende de saint Julien l'Hospitalier
Le grand cerf
- Plan, 1856, f° 490 : "Prediction du cerf."
- Scénario général, 1875, f° 492 : "le cerf, immobile. − Julien le blesse − Le cerf. − fait sa prediction."
- Brouillon, f° 425 : "− blesse le cerf. − le cerf parle − blesse le cerf. − Le cerf − qui a une barbe parle."
- Brouillon, f° 451 : "Le cerf (à barbe) s’avance α en face pred grave"
- Brouillon, f° 427v° : "Le cerf X (à barbe) s’avance. droit sur lui. Julien en a peur. − et en face, gravemt. − yeux, sa barbe, comm un patriarche A. faisait face au danger marche sur lui. J. ajuste sa dernière flèche. elle arrive l’atteint juste au front entre les 2 yeux il n’eut pas l’air de la sentir α continua. ."
- Brouillon, f° 429 : "Le gd cerf s’avança l’avait vu (Julien) il fondit sur lui J. Julien eut le temps. lui il ajusta avait vivemt jeta vivemt contre lui sa dernière. flèche. se planta l’atteignit au milieu du front Elle atteignit le cerf au front juste juste au milieu juste entre les deux deux yeux. α y resta plantée Mais Le gd cerf n’eut pas l’air de s’en apercevoir la sentir −"
- Manuscrit définitif, f° 40 : "Le gd cerf l’avait vu, fit un bond. lui Julien lui lança envoya bien vite sa dernière flèche. Elle l’atteignit au front, α y resta juste entre les deux gds yeux, α y resta plantée."
Le dragon d'Oberbirbach
- Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
- Scénario général, 1875, f° 493 (aucune mention)
- Brouillon, f° 433 : "Tue des monstres. comme la gargouilles tue un monstre qui ravageait le pays de X. ."
- Brouillon, f° 432v° "c’est lui α non pas X comme on l’a pretendu qui tua X (= la tarasque d’Avignon Il tua des monstres C’est lui α non X comme on l’a pretendu qui tua la X = (gargouille de Tarasc)"
- Brouillon, f° 462v° : "C’est lui α non X qui tua la X = (tarasque d’Avignon). pas le sire de St Ubert. le sire Hans de Frankes cte de lui α non pas. le cte de Frankestein le Frankestein piemontais qui tua la guivre de Milan guivre de Milan, α le dragon de X α la C + dragon d’Oberbirbach. Gilles seigneur de Chin, le dragon de Wasmes en Hainaut"
- Brouillon, f° 456 : "c’est lui, α non le pas un autre extermina sire Ubert piemontais, lui α non plus le comte de Frankestein qui tua 1 la guivre de Milan, ⎣α le dragon d’Oberbirbach]. α le dragon d’Ober assomma la guivre de Milan α qui etrangla le dragon 2 d’Oberbirbach le dragon du Hainaut α la"
- Brouillon, f° 434 : "c’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
- Manuscrit définitif, f° 43 : "C’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
Chênes, forêt de Fontainebleau
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France, coté NAF 17 607 :
- Note, f° 19v° : "Feuilles de chêne, sèches par terre. [...] Difference d'apects suivant les espèces d'arbres (bouleaux, pins, chênes, genevriers) α les heures du jours."
- Plan, f° 117 : "il emmène la Mle à Fontainebleau."
- Scénario, f° 124 : "Aspects differents de la foret"
- Scénario, f° 85v° : "Aspects differents de la foret. - htes futaies espèces d'arbres différents, Pins charmes - chênes - bouleaux - genevriers Futaies de hêtres très hts on dirait des colonnes dont les feuillages sont des chapiteaux ecrasés"
- Scénario, f° 102v° : "Aspects differents de la foret α impressions divers qu'ils eprouvent Hautes futaies - de hêtres les longs troncs des arbres ont des positions differentes sont pareils qq uns obliques dès le bas, dans la foule des autres qui sont tout droits essences différentes, chênes, bouleaux, pins, houx, genevriers, toute une varieté de forme α de couleur."
- Scénario, f° 99v° : "espèces d'arbres différentes, chênes, pins, charmes, houx, bouleaux, genevriers; toute une varieté de de forme α de couleur"
- Scénario, f° 112v° : "Varieté des aspects du paysage α des impressions qu'ils en reçoivent Les essences differentes de bois, chênes, bouleaux, pins, charmes, genevriers font une varieté un spectacle de formes α de couleurs differentes"
- Brouillon, f° 140 : "- les pins tiennent chaud reguliers donnent de la chaleur. Chênes dramatiquemt frenetiquemt, tordus, jouant comm des pantomimes tragiques - se faisant avec leurs branches comm des appels desesperés"
- Brouillon, f° 143 : "- Les chênes bizarrement frenetiquemt tordus. jouant comme des pantomimes tragiques rameaux morts = arbres à pendus. se faisant de l'un à l'autre avec leurs branches des appels desesperés on cherche à comprendre ce qu'ils veulent dire"
- Brouillon, f° 147 : "Les chênes bizarrement frenetiquemt tordus. leur les rameaux morts appellent des pendus De vieux chênes rugueux cassés tourmentés se tordaient se contourn frenetiquemt. - s'etiraient du sol. . . - jouant des pantomimes tragiques. se faisant de l'un à l'autre avec leurs branches com des appels desesperés des menaces comm raidis dans leur colère incomp à perpetuité dont le sens α comm raidis pour toujours on cherche à comprendre ce qu'ils veulent dire"
- Brouillon, f° 154v° : "Il y avait Des de vieux vieux chênes rugueux aux troncs (nl) cassés morts comm cassés α appuyés rassemblés sur leurs troncs courts (nl) pareils leurs troncs courts pareils à des torses de baton. se contournaient, fr se tordant - s'etiraient du sol avec effort - jouant des pantomimes tragiques. se faisant de l'un à l'autre des torses de titan, ils se faisaient avec leurs branches rameaux (nl) pareils à des bras nus (nl) com des appels desesperés de tristesse des menaces furibondes - α comm raidis de colère jouant comme une pantomime drame tragique que l'on cherchait à comprendre α se disant ainsi qq ch. que l'on n'entend pas."
- Brouillon, f° 148
- Mise au net, f° 146v°
Mots-clés : Chênes, Forêt de Fontainebleau, Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale