Guizot épistolier

François Guizot épistolier :
Les correspondances académiques, politiques et diplomatiques d’un acteur du XIXe siècle


Résultats de la recherche

  • Chercher les documents contenant un mot OU un autre : tapez simplement les mots à la suite => cahier français
  • Chercher les documents contenant un mot ET un autre : utilisez le mot-clef AND => cahier AND français
  • Chercher les documents contenant une expression exacte : taper l'expression entre guillemets => "cahier en français

Limiter votre recherche

Mot-clé
Collection
Auteur
Date
Destinataire
Type de contenu

105 résultats

Trier par Titre : ascendant / descendant

  • Description : ce que je vous dis là. Pour rien au monde, je ne voudrais affliger ou blesser une affection tendre, un dévouement vrai ; ils sont si rares, & on les mérite si peu quand on ne les rend pas tout entiers ! Je vous dis qu’avant le 15 juin, j'étais seul et m’y étais [...]
  • Description : l’innocent dans un abyme de 600 pieds sans fond. Oui, un abyme de 600 pieds sans fond. Voilà ce qu’est devenu pour vous mon cœur. Avant le 15 juin, si l’on m’avait fait entrevoir une correspondance un peu amicale, un peu régulière avec une personne comme [...]
  • Description : , c’est vous même. comme disent les dévots vous êtes pour moi, en état de grâce. Rien ne peut plus vous en faire sortir. Est-ce là me plaire assez ? Manque-t-il quelque chose à cette affection-là? Et ne croyez pas que, depuis le 15 Juin, elle n’ait pas subi plus [...]
  • Description : . J’ai cru que, malgré l’incomplet de notre relation, malgré la cruauté de votre mal, même sans pouvoir vous donner toute ma vie, je ranimerais, je remplirais la vôtre.Vous m’aviez inspiré avant le 15 juin un intérêt momentané mais au moment sérieux [...]
  • Description : pour moi, en moi soit que je l’ai possédé, soit qu’il m’aie manqué un seul sentiment, un seul bonheur, a toujours été pour moi le Dieu des lieux. Je vous le disais avant le 15 Juin, et vous ne vouliez pas me croire. Je vous le redis aujourd’hui. Croyez-moi ; et ne me parlez d’aucune [...]