spectacle de fin de cours

Le spectacle s’ouvre sur une scène dominée par la présence imposante d’un bateau à voiles. Les éléments du décor insistent sur un certain exotisme. Les costumes ne renvoient pas à une époque précise, mais insistent également sur l’exotisme, si ce n’est un certain primitivisme. Véritable fil conducteur de la mise en scène est le Divertissement (en traduction italienne et sur une nouvelle musique), seule partie conservée de la Nouvelle Colonie (1729), la pièce en trois actes que Marivaux réécrit et réduit en 1750. 

Pierre Huet (éd.)

Dialogue / Entre L’Amour et la Vérité, dans Le Nouveau Mercure, mars 1720.

Marivaux, La surprise de l’amour, A Paris, Chez la Veuve Guillaume, 1723.

Marivaux, Arlequin poli par l’amour, A Paris, Chez la Veuve Guillaume, 1723.

Marivaux, La double inconstance, A Paris, chez François Flahault, 1724.

Marivaux, L’île des esclaves, A Paris, Chez Noël Pissot, Pierre Delornel, François Flahaut, 1725.

Marivaux, Annibal, Paris, Chez Noël Pissot, 1727.

Marivaux, Le dénouement imprévu, A Paris, Chez Noël Pissot, 1727.

Marivaux, Le prince travesti ou L’illustre avanturier, A Paris, Chez Noël Pissot, 1727.

Marivaux, L’île de la raison ou Les petits hommes, A Paris, Chez Pierre Prault, 1727.

Marivaux, La seconde surprise de l’amour, A Paris, Chez Pierre Prault, 1728.

Seule trace de la pièce (restée inédite) : compte rendu publié dans le Mercure de France, juin 1729, p. 1403-1406.

Marivaux, L’héritier de village, A Paris, Chez Briasson, 1729.

Marivaux, La fausse suivante, ou Le fourbe puny, A Paris, chez Briasson, 1729.

Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, A Paris, Chez Briasson, 1730.

Marivaux, Le triomphe de l’amour, A Paris, Chez Pierre Prault, 1732.

Marivaux, L’école des mères, A Paris, Chez Pierre Prault, 1732.

Marivaux, Les sermens indiscrets, A Paris, Chez Pierre Prault, 1732.

Marivaux, La réunion des amours, A Paris, Chez Chaubert, 1732.

Marivaux, L’heureux stratagème, A Paris, Chez Prault père et Prault fils, 1733.

rééditée dans : Lady Mary Wortley Montagu: Essays and Poems and Simplicity, a Comedy, (Halsband, Robert, and Grundy, Isobel eds) Oxford, Clarendon Press, 1993

Marivaux, La mère confidente, A Paris, Chez Prault fils, 1735.

Marivaux, Le legs, A Paris, Chez Prault fils, 1736.

Marivaux, Les fausses confidences, A Paris, Chez Prault père, 1738.

Marivaux, la joye imprévue, A Paris, chez Prault père, 1738.

Marivaux, Le petit maître corrigé, A Paris, Chez Prault père, 1739.

Marivaux, La méprise, A Paris, Chez Prault père, 1739.

Créée à la Comédie italienne de Paris le 22 avril 1728, cette première édition est de 1739. Le premier tome du Nouveau Théâtre Italien (Paris, Briasson, 1733) avait publié un résumé de la pièce, le divertissement et la musique du divertissement.

Marivaux, Les sincères, A Paris, chez Prault père, 1739.

Marivaux, L’épreuve, A Paris, Chez F.G. Merigot, 1740.