Lettre dactylographiée envoyée depuis Verson le 3 octobre 1989, dans laquelle Léopold Sédar Senghor répond à Franz Rixgens après réception de la circulaire du 22 septembre concernant les prêts d’œuvres de Pierre Soulages. Il y précise avoir chargé Gérard Bosio de coordonner avec lui la restitution du tableau qu’il a prêté, en raison de son absence de Paris au mois d’octobre. Il exprime également sa satisfaction d’avoir participé aux expositions des œuvres de Soulages.

Cette fiche a été rédigée par Delphine Buysse

Lettre dactylographiée, rédigée à Verson le 25 juillet 1989, envoyée par Léopold Sédar Senghor à son ami Gérard Bosio. Senghor confirme la réception tardive de deux lettres (2 juin et 12 juillet 1989) et demande que soit transmise à Pierre Soulages sa pleine confiance pour les réparations à apporter à une œuvre exposée à Nantes. La lettre se clôt sur des salutations chaleureuses, soulignant l’amitié fidèle entre les deux hommes.

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Document dactylographié émanant du Service du Protocole du Sénégal présentant jour par jour le programme officiel du séjour de Pierre Soulages et de son épouse à Dakar en 1974.

Y figurent les horaires d’arrivées, les inaugurations officielles (Foire internationale, exposition Soulages au Musée Dynamique), les dîners d’État, les galas officiels, le déplacement à Ziguinchor et les journées libres.

Quelques corrections manuscrites témoignent d’une évolution du planning et de son usage pratique par les équipes du protocole.

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Tapuscrit présentant un article destiné au journal Le Soleil à l’occasion de l’exposition consacrée à Pierre Soulages au Musée Dynamique. Gérard Bosio y expose les raisons du choix de Soulages, analyse l’œuvre du peintre et souligne la proximité entre son esthétique et la pensée négro-africaine défendue par Léopold Sédar Senghor. Le texte se conclut par la mention de l’allocution d’ouverture prévue par Senghor.

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Émission diffusée le 1er février 1966, enregistrée le 8 février 1966, d’une durée de 00:05:20. Ce reportage de l’Office de coopération radiophonique (OCORA) présente la visite officielle du président sénégalais au Cameroun, incluant un extrait de son allocution où il évoque la participation du Cameroun, de l’Europe, des États-Unis, du Brésil et des États arabes d’Afrique au Festival mondial des arts nègres. Extrait du discours de monsieur Léopold Sédar SENGHOR, président de la République du Sénégal lors de son voyage au Cameroun. - 28'32 : correspondance sur la visite officielle de Léopold Sédar SENGHOR au Cameroun ; - 30'34 : extrait de la déclaration de SENGHOR au sujet du Festival mondial des arts nègres et la participation du Cameroun, de l'Europe, des Etats-Unis, du Brésil et des Etats arabes d'Afrique.

Lettre manuscrite illustrée, très expressive graphiquement, adressée à Léopold Sédar Senghor. L'artiste Georges Mathieu y exprime son émotion après un discours de Senghor, saluant sa défense de l’« ordre culturel » comme fondement d’une civilisation véritable, en opposition aux priorités économiques des pays occidentaux. Il cite une interview publiée dans la revue Paradoxes et réaffirme son soutien à l’action intellectuelle et culturelle internationale de Senghor.

Lettre manuscrite rédigée à Paris et adressée à Léopold Sédar Senghor. Gérard Bosio y annonce l'obtention d’un article favorable dans Le Figaro Magazine du 4 juin (date mentionnée dans le texte), soit moins de 48 heures après la séance d’élection à l’Académie française (2 juin, mention contextualisée), et informe Senghor des démarches effectuées auprès du rédacteur en chef pour une rencontre prévue le 13 juin. Il évoque également un hommage photographique et la satisfaction d’avoir évité une polémique de presse autour de cette admission.

Lettre dactylographiée sur papier à en-tête du Conseil général des Alpes-Maritimes, Commission du tourisme (Président), adressée à Madame Colette Senghor et à Monsieur le Président Léopold Sédar Senghor. Datée du 8 juin 1999 à Paris, elle exprime la joie des retrouvailles autour de la projection sur Arte du film Léopold Sédar Senghor, Entre deux mondes, rend hommage à l’œuvre et à la personne de Senghor, et témoigne de l’amitié et fidélité de Gérard Bosio. Mention de la présence d'André Guillabert et Moustapha Niasse, et d’un geste commémoratif sur la tombe du père de Bosio.

Ce tapuscrit constitue une méditation philosophico-scientifique sur l’évolution humaine envisagée comme processus cosmique. Teilhard de Chardin y mobilise l’idée d’“ultra-humain” pour penser l’avenir de la planète en tant qu’organisme vivant, suivant des phases comparables à celles des étoiles. Le texte interroge l’amplification de la conscience, l’unification de l’humanité, la convergence des cultures (notamment entre Orient et Occident), ainsi que la perspective d’une “totalisation” spirituelle et cognitive de l’espèce humaine. Il articule science évolutionniste et mystique chrétienne, et affirme le rôle futur de l’Asie dans la maturation spirituelle de l’humanité.

Document rare témoignant de la phase de maturation doctrinale de Teilhard au sortir de la Seconde Guerre mondiale, avant la publication posthume de ses grands essais. Il éclaire les circulations intellectuelles entre sciences, spiritualité et humanisme global qui intéressaient également Léopold Sédar Senghor. La présence de ce texte dans un fonds lié à Senghor met en lumière l’influence teilhardienne sur sa pensée du métissage, du devenir-monde et de l’universalisme pluriel.

Tapuscrit complet de La Messe sur le monde de Pierre Teilhard de Chardin, structuré en cinq parties (« L’Offrande », « Le Feu au-dessus du monde », « Le Feu dans le monde », « Communion », « Prière »). Ce texte méditatif, rédigé initialement en 1923 lors de son séjour en Asie, transpose la liturgie chrétienne dans la dimension cosmique : Teilhard y célèbre une « messe sans autel ni pain » au cœur du monde, offrant le labeur humain, la matière et l’évolution comme hostie spirituelle. En s’adressant directement au Christ, il décrit la montée du « Feu » divin à travers la création, l’union mystique de l’humain et du cosmos et la transfiguration de la matière par la grâce. Cette version dactylographiée reflète la pensée spirituelle et théologique du jésuite : fusion de mystique chrétienne, vision évolutionniste et lyrisme cosmique, annonçant sa doctrine de la noosphère et de la communion universelle. Le texte témoigne de la maturation de sa théologie de l’incarnation cosmique, où travail, science et monde sensible deviennent lieux sacrés.

Lettres de Senghor à Clive Wake, traducteur de Senghor en anglais

17 cassettes audio. Copie numérique d'enregistrements d'entretiens conduits entre 1973 et 1989 par Janet Vaillant à Dakar, d'amis, membres de la famille et collègues de Léopold Sédar Senghor.

Lettres du père Lalouse ayant trait à l’avenir du jeune Senghor

Photographies du collègue Libermann de Dakar avec Senghor.

Journal de la mission de Joal

Photographies de la mission de Joal et de la mission de Ngasobil.

Entretien entre Senghor et Michèle Dorsemaine, le 25 mai 1978, sur le rapport à la poésie, l’influence des rencontres et des lectures, la meilleure manière enfin de lire les poèmes de Senghor (Senghor semble lire quelques strophes de L’Absente à la fin de l'entretien).
Le document papier est complété par un fichier sonore (cote : SDCH-204).

06 communications dans le cadre du Colloque Culture et Développement, organisé par la Fondation L. S. Senghor à l’occasion du 70e anniversaire du Poète-Président Almuth NORDMANN-SEILER, Djibril FALL, TAKIZALA MASOSO MUVU, Saliou TOURÉ, Antoine NDINGA, Pierre ALEXANDRE.

Allocution de M. Léopold Sédar Senghor à l’occasion de sa réception à l’Académie des Sciences morales et politiques (Mardi 16 décembre 1969) » [repris dans Liberté 3, sous le titre de « Konrad Adenauer »].

Cérémonie de remise de l’épée d’académicien : remerciements du Président L. S. Senghor, 12/12/1969 »

Allocution prononcée en l’honneur de S.E. Monsieur Léopold Sédar Senghor, président de la République du Sénégal, le 12 décembre 1969, par Monsieur Robert Schilling, directeur d’études à l’École des Hautes Études, Professeur à l’Université de Strasbourg »

Traduction en allemand du discours de Senghor « L’Université de Dakar » du 09/12/1959, repris dans Liberté 1 (traduit en allemand par J. Jahn)

Plusieurs articles de J. Jahn sur Senghor (datés en général en 1968).

Lettre de Gabriel d’Arboussier, ambassadeur du Sénégal à Bonn, à Janheinz Jahn, consul honoraire du Sénégal à Messel, du 02/09/1968, concernant le voyage officiel de Senghor en Allemagne fédérale, et pièce jointe avec le programme du voyage

Senghor, « L’accord conciliant » (Prix de la paix des libraires allemands, Francfort-sur-le-Main, 22/09/1968)

Léopold Sédar Senghor, le premier Africain en habit vert /Pierre JULIEN, L’Aurore, 17 décembre 1969 [sur la réception de Senghor à l’Académie des sciences morales et politiques].

Une longue « Laüdation von François Bondy » [François Bondy parle de Senghor en s’adressant directement à lui, en français

Léopold Sédar Senghor, La Révolution Sénégalaise, Message à la Nation Sénégalaise, 13 juin 1968

Allocution de Monsieur le Président de la République / Jeudi 30 Mai 1968 / Message à la nation »

Traduction de la « Réponse du Président Senghor à l’allocution de M. le Président fédéral (08/11/1961)

Une petite présentation suivie d’une longue traduction d’un texte de Senghor

Lettre de Senghor à Günter Grass du 16/10/1968 envoyée par l’intermédiaire de J. Jahn (Consulat du Sénégal à Hessen), reprise dans Liberté 3

Lettre, en allemand, de Günter Grass à Senghor du 22/09/1968

Plusieurs coupures de presse – allemande, mais aussi Dakar-matin, Le Monde, Le Figaro (entretien), La Voce dell’Africa (sur la visite de Senghor à Rome)… – et articles de J. Jahn.

Lettres d’hivernage : numérotés 1 à 55 (mention manuscrite « AR Lyr 17 » ; contient un « Argument » avec une correction manuscrite de Senghor)

Poèmes issus de Lettres d’hivernage : numérotés 1 à 40 

Élégie des Alizés / à Colette, ma femme : poème d’Élégies majeures : mentions manuscrites de J. Jahn au crayon : « Sommer 1968 » et « AR Lyr 11 »

Léopold Sédar Senghor / ELEGIE DER PASSATE / (Élégie des Alizés) / übersetzt von Janheinz Jahn (mention manuscrite « AR Lyr 16 »)

Élégie pour Jean-Marie: poème d’Élégies majeures : mentions manuscrites de J. Jahn au crayon : « Ende 1968 » et « AR Lyr 10 »

Liste où figurent, aux côtés de Botuli-Ikole, Bâ, Okara et Oruobu, plusieurs titres de Senghor : Élégie pour Jean-Marie, Élégie des Alizés, Épîtres d’hivernage, Elegie der Passate (deutsch von J. Jahn) et Lettres d’hivernage.

Lettre de Senghor à Mme Ulla Schild du 25/02/1975 (Janheinz Jahn décède en octobre 1973 ; Ulla Schield était sa compagne et elle-même africaniste)  Senghor écrit au sujet de l’héritage culturel de Janheinz Jahn, de l’achat de sa bibliothèque par l’Université de Mayence, de la création d’une Agence africaine de l’Institut Frobenius à l’Université de Dakar et de son soutien aux travaux d’Ulla Schild

– Lettre en français à M. Sène (ambassadeur du Sénégal en Allemagne fédérale) du 15/10/1973 à propos d'un rendez-vous pour une interview de Senghor pour la télévision allemande le 18/10

Lettre de Janheinz Jahn à Senghor du 12/05/1973 dans laquelle Janheinz Jahn se dit honoré d’avoir reçu la préface, heureux de voir Senghor en octobre, mais démarches infructueuses de Doudou Guèye

Lettre de Senghor à Janheinz Jahn du 19/04/1973 avec en-tête de la Présidence de la République ; envoi de la préface sur Frobenius ; annonce d’un voyage en octobre pour voir le Chancelier Brandt

Lettre de Senghor à Janheinz Jahn du 28/02/1973 avec en-tête de la Présidence de la République dans laquelle il accuse réception de Who’s who in african literature que Senghor salue comme un ouvrage indispensable et annonce qu’il enverra le texte d’une préface à un ouvrage collectif sur Frobenius

Lettre de Janheinz Jahn à Senghor du 14/02/1973 dans laquelle il annonce la parution de l’encyclopédie biographique, mais le Sénégal est sous-représenté car certains auteurs n’ont pas répondu aux courriers

Lettre de Senghor à Janheinz Jahn du 06/12/1972 avec en-tête de la Présidence de la République dans laquelle il informe que la lettre du 08/07/1972 avait été égarée et demande à Doudou Guèye, directeur du Centre culturel africain à Dakar, de préparer les notices des trois auteurs

Lettre de Janheinz Jahn à Senghor du 08/07/1972 dans laquelle il parle d’une encyclopédie biographie des auteurs africains et demande de renseignements sur Malick Fall, Ibrahima Sourang et Cheikh Anta Diop

Lettre de Janheinz Jahn à Senghor du 06/10/1971 dans laquelle il remercie et annonce une exposition sur la "nouvelle littérature africaine"

Lettre de Senghor à Janheinz Jahn du 27/09/1971 avec en-tête de la Présidence de la République par laquelle il envoie le tapuscrit de "Lettres d’hivernage", qui est censé paraître à l’hiver avec des illustrations de Marc Chagall