Espace Afrique-Caraïbe

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Collection : Le poète (Manuscrits de Jean-Joseph Rabearivelo)

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO MAN1 Ombres lointaines.jpg
L'amorce d'une "prose prose poétique, musicale [...] assez souple et assez heurtée pour s’adapter aux mouvements lyriques de l’âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience". Jean-Joseph Rabearivelo fait résonner l'expression toute faite "ombre-falote" en y adjoignant un mot cher : "aboli", réminiscence littéraire. Ce bout de manuscrit donne à voir l'amplitude que confère Jean-Joseph Rabearivelo à ses états d'âmes, les émotions agrandies par le style.

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Fille hova.jpg
Trois poèmes comme trois mignardises où le poète du cru chante les beautés du terroir : les filles hovas, hésitantes comme l'Aube, les fleurs désolées, les mangues, pastèques, coings... Rabearivelo élève son pays natal, comme Frédéric Mistral sa Provence, dans toute sa primeur. Ce faisant, il va de concert avec les européens en goguette dans les îles pour qui telle personne vue n'est jamais qu'un type, hova ou sakalava, plus ou moins représentatif de la " race ". Rabearivelo dit le monde d'après Pierre Camo et ses acolytes ; c'est un air d'emprunt.

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 AMITIE MORT1.jpg
Série de pages manuscrites préparant les exergues et dédicaces définitifs.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN In memoriam.jpg
Feuillet découpé et incomplet

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV VI Tsangambato.jpg

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES  1926-05-15 A la mémoire de Thomas 00.jpg
« À la mémoire de Thomas (peintre hova mort à 19 ans) » (poème), in L’Essor, n° 79, Port-Louis (Île Maurice), 15 mai 1926, pp. 109-110 (Rv1).

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV TH Tononkira 1.jpg

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES  1927-07-15 Le Chant Inconnu de Childe-Harold 00.jpg

Mots-clés : , ,

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
CORR1 Nofinofiko.jpg
Poème inédit

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV CS POEMES.jpg
Quatre poèmes "extraits de Sari-nofy / Presque-Songes, et traduits du hova par l'auteur donnés dans la revue de son ami de France - ses "amis de France" ainsi qu'il les invoque. En l'occurrence Jean Ballard : Rabearivelo sollicite le directeur des Cahiers du Sud afin d'y être publié.
"Excusez-moi de paraître ou impatient, ou gonflé de suffisance - mais je suis sûr d'être dans le ton de votre revue, et puis j'estime qu'il est temps de nouer des relations avec Madagascar." (Lettre du 15 août 1931).
L'édition  de CNRS Éditions (collection Planète Libre), reproduit la correspondance entre les deux hommes qui s'ensuit. Rabearivelo s'intronise correspondant de Madagascar. Et de choix ! Puisqu'ainsi que la signature l'atteste, il traduit du hova. Rabearivelo offre donc au lecteur francophone un accès privilégié à la culture hova dont il se revendique : il cherche à faire entrer son île sur la "carte de l'Esprit" (Calepins Bleus).

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 DIXAINS 1.jpg
La section "Dixains" de Sylves comporte douze poèmes, en mètres classiques. Toutes les pièces impaires sont en alexandrins. Les autres ont des mètres plus courts : de sept à dix syllabes sauf pour le n° 8 où alternent octosyllabes et alexandrins.

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 MATUTINALES.jpg
Ces vers tendent à exprimer l'état de fièvre, poétique dirions-nous, car le corps, chétif, l'enveloppe corporelle amenuisée, la réceptivité sensorielle est accrue. Jean-Joseph Rabearivelo regrette sa convalescence ayant été l'égérie des premiers poèmes de Galets ; or, il ne retrouve plus cette "fièvre âpre de matutinal" sans laquelle il ne saurait poursuivre le recueil. Il s'interroge, dans les Calepins Bleus, sur les rapports de la maladie avec l'écriture.

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Traduit de la nuit
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Traduit de la nuit 1935.pdf

Traduit de la Nuit est sans doute l’ensemble poétique où Jean-Joseph Rabearivelo atteint au plus personnel de son chant. Le recueil est constitué de trente poèmes en deux langues, écrits en vers libres, souvent très courts, et composés dans la continuité immédiate de Presque-Songes qui les précède sur le cahier manuscrit. Trente poèmes évoquant le passage de la nuit au jour, et du jour à la nuit, au moyen d’images inoubliables et inexplicables.
Jean-Joseph Rabearivelo offre pourtant de guider son lecteur, dès l’adresse liminaire à Fagus, M. Ormoy et R.-J. Allain : « Interrogateurs désormais d’une nuit qui ne peut se traduire que par l’étonnement et l’angoisse de notre douleur » ; au sein des poèmes du recueil, il convoque plusieurs grandes figures lyriques, compagnons d’inspiration : explicitement Tagore, Jammes, Withman (TN15), mais aussi, entre les lignes, Virgile, Baudelaire, Mallarmé… Plus tard, en 1936, Jean-Joseph Rabearivelo rapprochera cette écriture de celle de Blake et de Novalis (Carnets Bleus, 20/5/34, tome I, p. 507). Mais Traduit de la Nuit n’est pas accessible par des références extérieures. Cette poésie retrace l’itinéraire d’une quête éminemment personnelle, la traduction dans les mots d’un voyage intérieur, voire antérieur.
L’univers poétique du recueil est habité par une nostalgie puissante, qui s’exprime à travers l’évocation d’une antériorité perdue. C’est la nostalgie de l’enfance (« Soudain, tu repenses à ton enfance / et aux images qui l’ont charmée », TN29), dans la souvenance des contes d’avant dormir, mais aussi, plus essentiellement, la nostalgie des origines de la terre malgache et de l’ancestralité. La mémoire du pays sourd du monde naturel, imprègne les éléments du paysage, emplit l’espace. Jean-Joseph Rabearivelo cherche une langue qui pourrait dire enfin ce Chant définitif, absolu, par la poésie.
Cette langue, ce serait d’abord une langue antérieure à toutes les langues, une langue première. La difficulté de l’écriture sera de retourner au plus près de cet absolu de la parole. En effet, pour un écrivain bilingue, qui vit et écrit en deux langues, et qui, à chaque instant, doit choisir entre ses deux modes d’expression, le sentiment d’une langue originelle, antérieure à toute langue, est sans doute plus fort que chez d’autres. Comment dire mieux ce moment de la pensée où le langage cherche sa voie dans le labyrinthe de l’esprit, où le poète n’a pas le sentiment de penser dans une langue ou dans une autre, mais dans une sorte de langage absolu, impossible à mettre en mots ?
Cette langue nostalgique d’un cri originaire, cette langue absolue, ce serait aussi une langue de l’indicible et de l’intériorité, un chant intérieur qui chante en nulle langue. Rabearivelo l’évoquait déjà dans « Per se » (Trèfles,1925), tentant de l’inviter dans sa poésie : « Que résonne pure en ma musique / ta voix captive de l’indicible / ô chant vif jailli de mon âme ivre ! ». Dans Presque-Songes et Traduit de la Nuit, il continue de rêver cette langue intérieure. La lecture des poèmes peut ainsi donner « le sentiment du traduit », certes, mais surtout le sentiment d’un texte en train de se traduire, d’un texte en mouvement perpétuel, suscité par une puissante dynamique interne. Le recueil travaille à cette épiphanie du chant dans les paroles du poème. On peut comprendre alors la métaphore du passage de la nuit au jour comme marquant le passage de l’intériorité du chant vers l’extériorité du poème.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Galets
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Lourdes.jpg

Un feuillet manuscrit recto (21 x 27), sans date et non signé. Poème marqué " I (Pour Armand Guibert)" et contenu dans une chemise intitulée Proses pour Durtal. Quasiment identique à la version de Ms3, écrit de façon plus hâtive.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Proses pour Durtal
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 PROSES DURTAL 1.jpg

Cahier d’écolier Gallieni, 4 pages manuscrites (recto verso) + 1 page découpée (recto).

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Fleurs d'extase
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN PRINCESSE MANDANE.jpg
Les deux premiers vers d'un poème sur les rêves qui - "hélas!" - s'étiolent...

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Masque Bijou Gauguin Fuite 1.jpg
Poèmes :
I. "Quoi te finir avec des masques" 
II. "Le charme inattendu d'un bijou rose et noir"
III. "Ô pour quel Gauguin"
IV. "Fierté rapide et décevante"

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 FIN DE MUSIQUE.jpg
Indigène lettré, Jean-Joseph Rabearivelo découvre l'Indolence dans l'intimité des livres.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Soirs malgaches
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
DOC140317-14032017100551.pdf
Premier poème publié par Rabearivelo en vers français.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP Ville bleue 1.jpg
Dédiés au photographe Ramilijaona aka Ramily, oncle de sa femme Mary Rabako, précédés d'un exergue du haut fonctionnaire Pierre Camo, Les poëmes de la ville-bleue naissent à cet entrelacs : au sein d'une société urbaine, suffisamment aisée pour jouir de l'offre culturelle que propose le Tananarive des années 1920-1930.
Constituée autour du Cercle français, une bourgeoisie de " naturalisés & assimilés " s'affirme à travers un ensemble d'habitus, de nouvelles pratiques sociales : la fréquentation de lieux interdits au commun des malgaches, le théâtre municipal, le grand hôtel, chez Fumar.. autant d'endroits où l'on tolère leur présence en fonction de leur savoir-vivre - tenue vestimentaire, manières empruntées...
À ce titre, le rapprochement de son oncle par alliance, Ramilijaona, photographe de cette société tananarivienne, et Pierre Camo, magistrat de la Cour de droit indigène de Tananarive, pose le cadre où se déploie la poésie de Rabearivelo. L'image du pays, la terre des morts, que véhicule Rabearivelo s'auréole de " Mélancolie " et lui abandonne toute liberté : " le village est mot " et n'est plus que matière à songe. En tout, le cliché d'Ambohimanga convient à un public francophile pour qui les ruines de l'Imerina se présentent comme de vastes réservoirs de poésie.
En ce sens, cette vision s'inscrit dans une esthétique de l'Île bienheureuse - expression poinçonnée par l'Administration. De plus en plus, se développe un film colonial censé faire naître en l'esprit des français un désir impérial : débouchés professionnels ainsi que destinations touristiques. La Colonie sera d'autant plus attrayante qu'elle sera chantée. Allégeance à l'ordre établi, Rabearivelo s'incarne poète national et de Cour. Mais à ses yeux, qui endosse l'habit royal : le Gouverneur Général ou ce " vent [qui] tourne, à l'entour du palais " ; pouvoir en place ou évanescent ?
La destination du poème oscille entre sujet politique et thème poétique et peut-être l'écriture française de Rabearivelo n'est-elle que ce mouvement incertain entre ces deux extrêmes ?
Rabearivelo, par sa posture de dandy, échappe à l'embrigadement et la seule chose qu'il brigue, toujours, c'est l'Esprit. Aussi faut-il se murmurer la phrase culte de Maurice Barrès si en vogue parmi ce petit monde : " il est des lieux où souffle l'esprit...". C'est l'ouverture de La Colline inspirée, roman paru en 1913 qui célèbre la montagne de Sion dans la chère Lorraine de l'auteur. Une longue période qui énumère ces hauts lieux de l'âme, temples naturels où s'aggrège le sentiment du pays à l'origine d'un nationalisme, justement, intégral.
En ce sens, il est de bon ton de rapprocher les deux endroits afin de mieux exaucer le caractère sacré du site en dehors des contingences sociales tels que les travaux forcés (SMOTIG), la contrainte par corps - dont pourtant Rabearivelo fait l'expérience -, la censure, la torture dont les prisons indigènes sont le théâtre.. enfin toutes les caractéristiques d'un régime totalitaire.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV 18LS Poèmes 1.jpg

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES  1926-02-15 Les poèmes de la ville-bleue 00.jpg

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES Dixains 1926-12-15 00 .jpg

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES  1928-07-15 Dixain 00.jpg

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES  1927-01-15 Dixains 00.jpg

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV JP32 1.jpg
« Douze poètes de l’Océan Indien », anthologie placée à la suite de l’étude « Îlots de poésie dans la mer des Indes », contient « Naissance du Poème » (« J’entends jaillir vos chants secrets… »), in Le Journal des Poètes, 2ème année, n° 3, Bruxelles, 30 avril 1932.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
4-YE-478.pdf
Édition de 1927, Imprimerie de l'Imerina.

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Poèmes 1930 1.jpg

2 feuillets (10 x 19), écrits recto verso à l’encre noir sombre, datés du 28/4/31 et 15/5/31, en état moyen (l’encre a traversé le papier). Il s’agit des deux seuls poèmes de « Quiétude », sous-section « La nouvelle amie » (pièces 25 et 26).

 

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 TERRES SOLEIL 1.jpg
Malgré ses 24 ans, le poète se voit déjà dépossédé des richesses exubérantes du jeune âge comme de ses excès flatteurs ; il se sent entrer dans une maturité qui l’inquiète en raison de l’incertitude qui plane sur le temps qu’il lui reste. La pensée de la mort en lien avec certains de ses modèles préférés comme Laforgue, décédé précocement, et avec le respect dû aux ancêtres, comme à leurs tombeaux, continue à l’obséder. Il se fait le chantre d’une esthétique désabusée et dédaigneuse qui renie tant les illusions faciles que les souvenirs complaisants pour affronter la vérité de son destin ou de sa situation et il fait montre alors d’une lucidité déchirante : il se sait et se voit s’éloigner de la langue de ses ancêtres pour se couler de plus en plus résolument dans un idiome étranger qu’il aime profondément, bien qu’il le sente et le sache parfois incompatible avec ce qu’il souhaiterait exprimer. Et même si, par la thématique mise en œuvre, chacun des ensembles poétiques qu’il va désormais concevoir s’accomplira de plus en plus distinctement en apothéose du monde ancestral, celle-ci, hésitant entre le thrène et l’éloge, laissera le poète dans la position inconfortable d’un exilé de l’intérieur.

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Poèmes 1929 1 2 3 4.jpg
17 feuillets écrits au verso sur un papier ivoire légèrement glacé (les folios 15 et 16 sont toutefois écrits recto verso, mais ils correspondent désormais aux deux dernières pièces de Chants d’Iarive). Les folios 1 à 4 (9 x 14, puis 10,5 x 15), datés du 21/4/29 au 27/4/29, correspondent à la sous-section« Sagesse », poèmes 21 à 24 de la section « Quiétude ». Le folio 5 (11 x 15,5) du 11/6/29 contient le petit poème isolé « Flamboyant », placé en appendice. Les folios 6 à 14 et le folio 17 (11 x 20 et 11 x 21), du 22/6/29 au 23/12/29, 8/7/29, correspondent aux sections « [Orientations] » (fos 6 et 17),« Chants pour l’Amitié » (excepté le poème dédié à Pierre Camo) et « Prières ».

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 Ponctuelle 1.jpg

6 feuillets manuscrits (13 x 22, fos 3 à 8), datés du 22/7/27 au 28/8/27 contenant « À Philippe Chabaneix », « Ô toi qui l’aurais lu pour sa grande tendresse… », « À J.-H. Rabekoto », « À G.-Henri de Brugada », « À Robert-Edward Hart », « À Tristan Derème » regroupés dans « La Guirlande à l’amitié », accompagnés de 13 feuillets tapuscrits.

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
Reprend un seul des « Chants pour l’Amitié » de Vers dorés, le poème dédié à Marcel Ormoy, l’autre poème, également dédié à Pierre Camo, n’est pas le même que dans notre recueil).

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 Mourir 1.jpg

2 feuillets tapuscrits  21x27, s.d., poèmes numérotés de I à IV (contenu dans une Chemise rigide verte - Civil)

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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