Espace Afrique-Caraïbe

Espace Afrique-Caraïbe


Votre recherche dans le corpus : 1449 résultats dans 1449 notices du site.

Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP1 Poème départ 0.jpg
Cet ensemble poétique, thématiquement le plus homogène depuis La Coupe de Cendres et intitulé tout d’abord « Le poème du départ et du regret », trouva assez vite le nom d’une déesse romaine mineure, divinité présidant au départ, Abéone, dont Jean-Joseph Rabearivelo s’obstine à orner le nom d’un accent, et l’affuble ainsi d’un exotisme imprévu. Car la façon de traiter le thème du départ et de l’adieu y est typiquement malgache : le jeune poète, tout comme d’autres jeunes hommes de sa génération, ressent sans cesse en lui l’appel de l’ailleurs, qu’il s’agisse de l’Europe et de la France vers lesquelles Jean-Joseph Rabearivelo rêva de voguer un jour ou du retour vers les sources ancestrales, la Polynésie des origines.

Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Poème départ.jpg
Ce feuillet manuscrit présente un brouillon du "poème du départ et du regret", qui sera intégré à la section "Gloses musicales".
Il n'a pas été classé dans l'édition papier (2012) de Chants pour Abéone.

Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Journal 1955-1962
Auteur(s) : Feraoun, Mouloud
Feraoun_Journal_vol0_001.jpg
Ce premier cahier du Journal 1955-1962 de Feraoun a été publié pratiquement tel quel si l'on ne tient pas compte de quelques corrections d'ordre typographique indiquées par l'écrivain lui-même.
Le contenu de ce manuscrit a d'abord été constitué des notes préparatoires au roman intitulé Témoin à charge (F. 1r.) dont l'action allait se passer pendant la guerre.
Le tout se présente sous une forme romancée et  est divisé en quatre chapitres.

Collection : Chants d'Iarive
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN IARIVE SNOBO Couv 1.jpg
Projet d'un choix de poèmes provenant des recueils précédents et traduisant le rapport authentique au natal du poète.
Le titre de la première partie (Snoboland) doit son nom à un néologisme inventé par Fernand Divoire (auquel cette partie est dédiée) à propos de l'œuvre de Paul Claudel, qui "n'a conquis que le Snoboland" (les gens de lettres, notamment parisiens ; Introduction à l'étude de la stratégie littéraire, 1912).

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 DIXAINS 1.jpg
La section "Dixains" de Sylves comporte douze poèmes, en mètres classiques. Toutes les pièces impaires sont en alexandrins. Les autres ont des mètres plus courts : de sept à dix syllabes sauf pour le n° 8 où alternent octosyllabes et alexandrins.

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 SUR 3 CORDES 1.jpg
Inspirés par haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Masque Bijou Gauguin Fuite 1.jpg
Poèmes :
I. "Quoi te finir avec des masques" 
II. "Le charme inattendu d'un bijou rose et noir"
III. "Ô pour quel Gauguin"
IV. "Fierté rapide et décevante"

Collection : Vin lourd [Le]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Volumes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 TERRES SOLEIL 1.jpg
Malgré ses 24 ans, le poète se voit déjà dépossédé des richesses exubérantes du jeune âge comme de ses excès flatteurs ; il se sent entrer dans une maturité qui l’inquiète en raison de l’incertitude qui plane sur le temps qu’il lui reste. La pensée de la mort en lien avec certains de ses modèles préférés comme Laforgue, décédé précocement, et avec le respect dû aux ancêtres, comme à leurs tombeaux, continue à l’obséder. Il se fait le chantre d’une esthétique désabusée et dédaigneuse qui renie tant les illusions faciles que les souvenirs complaisants pour affronter la vérité de son destin ou de sa situation et il fait montre alors d’une lucidité déchirante : il se sait et se voit s’éloigner de la langue de ses ancêtres pour se couler de plus en plus résolument dans un idiome étranger qu’il aime profondément, bien qu’il le sente et le sache parfois incompatible avec ce qu’il souhaiterait exprimer. Et même si, par la thématique mise en œuvre, chacun des ensembles poétiques qu’il va désormais concevoir s’accomplira de plus en plus distinctement en apothéose du monde ancestral, celle-ci, hésitant entre le thrène et l’éloge, laissera le poète dans la position inconfortable d’un exilé de l’intérieur.

Collection : Volumes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 Ponctuelle 1.jpg

6 feuillets manuscrits (13 x 22, fos 3 à 8), datés du 22/7/27 au 28/8/27 contenant « À Philippe Chabaneix », « Ô toi qui l’aurais lu pour sa grande tendresse… », « À J.-H. Rabekoto », « À G.-Henri de Brugada », « À Robert-Edward Hart », « À Tristan Derème » regroupés dans « La Guirlande à l’amitié », accompagnés de 13 feuillets tapuscrits.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 TERCETS 1.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 TREFLES couv.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE  MAN2 TREFLES TOUJOURS 1.jpg
Inspirés par haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN SUR 3 CORDES dedi 1.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de 9, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN SUR 3 CORDES dedi 2.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : 18° Latitude Sud
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV 18LS Legs.jpg

Collection : Sur la valih royale
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV 18LS Vieilles chansons 1.jpg

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Lourdes.jpg

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO ETU EDIT Présentation 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV FB Hitady.pdf

Collection : Capricorne
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV CAP2 Notes.PDF

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
SAI ETU REV TH  Manoratra.TradHO.pdf
Traduction par Hanitr'Ony d'une chronique de Rabearivelo

Mots-clés : ,

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Traduit de la nuit
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU EDIT ENFANTS ORPHEE 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV JP31 Poésie hova.pdf

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
Lova a été republié en 1988 par le Ministère malgache de la Culture et des Arts Révolutionnaires, dans une version plus longue et beaucoup plus hétéroclite encore, puisqu’y ont été alors ajoutés d’autres poèmes parus dans différentes revues, ainsi que plusieurs éléments tirés des recueils Sary-nofy / Presque-Songes (1934) et Nadika tamin’ny alina / Traduit de la Nuit (1935). 

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE EDIT1 Gratitude.jpg

Un poème de Cour dans lequel Rabearivelo témoigne "au nom de toute la tribu" de la "gratitude" envers le seigneur de ces lieux, le Gouverneur Général Léon Cayla. 
Rabearivelo s'amuse à endosser l'habit de "poëte... national" au risque de "déchoir dans la virtuosité".
Clairement, l'homme de lettres se livre à un exercice d'apparat tel un José-Maria de Heredia lançant au tsar de Russie, en 1896, du haut du pont Alexandre III, des vers français rondement tournés. Rabearivelo prend un malin plaisir à saluer "dans la langue des Dieux", la magnanimité de la Mère-Patrie "car le poète seul peut tutoyer les rois".
Thuriféraire ? Cela n'effleure pas l'esprit de Rabearivelo : il apostrophe, du moins veut-il le croire, un mécène des arts ; son unique "appréhension" est de pêcher dans "les jours heureux et quelque peu bonhommes de Verlaine" ; subir une influence, non politique, mais poétique toujours.
L'ironie, peut-être, sera, à la marge, ce début de version espagnole qui ébranle la ligne de démarcation entre "indigène" et français et assigne le malgache à sa seule malgachéité - l'objectif étant de façonner une âme bien typique afin d'en estampiller les produits locaux pour l'export et lors des Expositions universelles vitrines de l'Outre-mer.
Rabearivelo y exhibe son talent rhétorique, flattant son ego et sa "race" ; et sa prise de parole, à l'occasion de la fête des enfants - cérémonie de propagande initiée par Gallieni - l'intronise au sein de la Pléiade universelle.
Gratitude, oui.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
THE MAN IMAITSO RAMAHAI.jpg

Collection : Le moraliste
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN BELLUAIRE 1.jpg

Voici une étrange série de très courts fragments, numérotés tout comme ceux d’un Bijou rose et noir en chiffres romains, mais impossibles à dater et qui poussent d’abord au plus loin la tendance nihiliste assez souvent sensible chez JJR, dans les CB en particulier. Le caractère lapidaire ou laconique de l’expression, renforcé par un certain nombre de partis pris typographiques comme l’abolition (à deux exceptions près) de toute majuscule, même aux noms propres, et la multiplication des points séparant souvent sèchement des mots plus que des groupes syntaxiques, revêt par instants une sorte de nudité désespérée. Le titre donné à cette suite n’éclaircit pas d’emblée le mystère, car un « belluaire » c’était un gladiateur qui combattait les bêtes féroces dans les amphithéâtres romains, ou c’est encore un dompteur de bêtes féroces. Qui est ici le « belluaire » ? S’adresse-t-on d’abord à celui-ci ? Ou se contente-t-on d’en évoquer de biais la condition intime ? Faut-il tuer la bête ou la dompter seulement ? Le « belluaire » risque bien d’être l’homme en général vivant son destin d’homme, ou, plus singulièrement, le poète ou l’artiste assumant sa condition. La bête féroce semble être la conception, à la fois vulgaire et savante, religieuse et philosophique, artistique et même éthique, du « moi » comme entité conquérante et possédante, gonflée de l’ordinaire vanité qui fait les outres et les moulins à vent. Le travail du « belluaire », sa vocation, est de combattre le moulin et de dégonfler l’outre à force d’oubli et d’ignorance, en jouant d’une méconnaissance active et de la coïncidence des opposés.

La lucidité est première et elle détruit les illusions comme l’amour, le bonheur, l’espoir, la certitude, l’idéal, la grandeur, la transcendance d’un être supérieur et juste, consolateur et rédempteur. Mais elle ne se contente pas de jeter à bas et de détruire les valeurs communément admises, elle propose en son jeu de bascule une coïncidence des opposés qui renvoie dos à dos amour et indifférence, désir et sentiment, bonheur et malheur, espoir et désespoir, doute et certitude, idéal et perte d’idéal, grandeur et trivialité, transcendance et immanence, vie et mort. L’œuvre du « belluaire », en maîtrisant la bête, est d’ouvrir à une « centrale pureté » où, par le travail d’oubli et de déprise, de déception et de délaissement, s’actualisent une manière d’infini et une paradoxale ataraxie. Les derniers mots ne sont-ils pas : « les bornes de l’infini sont abolies. / jouis » (XXV) ?

Cette possible dimension de jouissance, assimilable au dieu qui serait en chacun, que chacun serait à sa manière, ne se sépare pas du sentiment le plus humble et le plus vivace de la vie qui se contente de soi. À la seule condition de « t’OUBLIER » (XX), tu te réconcilieras, non pas avec ce que tu n’es pas et n’as jamais été, mais avec ce que tu deviens en te livrant à la puissance de tout l’extérieur, de « l’étranger qui t’étonne », de « ton sur-moi » (X). JJR éclaire cette visée, à la fois nihiliste et mystique, de quelques exemples littéraires et se donne des intercesseurs comme « baudelaire » bien sûr, « cette forme d’ennui qui caractérise l’art laforguien » (XVIII) et « nerval » (XIX). Il trouve in extremis en « andré breton », dont il fait un adepte du « dadaïsme vécu » (XXV), un allié aussi inattendu que substantiel !

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN Ny hal 1.jpg
Texte en malgache, difficilement lisible

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Mon ami 1.jpg

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Maintenant silence.jpg
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2