C'est une traduction d'un poème de Paul Valéry dont voici la version française :
Dès l’aube, chers rayons, mon front songe à vous ceindre ! À peine il se redresse, il voit d’un œil qui dort Sur le marbre absolu, le temps pâle se peindre, L’heure sur moi descendre et croître jusqu’à l’or...