Collections de sources génétiques d'opéras

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Collection : Conchita - 5. La réception (Conchita de Ricardo Zandonai)

Auteur(s) : s.n.
<em>Il M° Riccardo Zandonai e la sua opera : Conchita rappresentata al Costanzi</em>
Précédant la critique de l'opéra Conchita, l'auteur présente en quelques lignes la biographie de Riccardo Zandonai, l'influence de ses maîtres Vincenzo Gianferrari à Rovereto et Mascagni, au conservatoire de Pesaro, ainsi que les premières œuvres, une romance pour les éditions Schott de Bruxelles en 1906, un receuil de mélodies, la Coppa del Re pour le concours Sonzogno pour lequel Riccardo Zandonai reçut une bourse d'étude de la part du ministère de l'éducation de Vienne. Arrigo Boito le présente à Ricordi pour qui Riccardo Zandonai écrit il Grillo del Focolare, représenté à Turin, Gênes et Nice. L'opéra Conchita est écrit entre 1909 et 1910, sur un livret de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini; L'opéra Melenis, inspiré de la Rome antique, est terminé. La partition de Conchita est saluée pour ses effets sensuels et délicats dans l'intermède entre le premier et le deuxième acte ainsi que dans la scène des cigarières du premier acte. L'auteur de l'article considère le compositeur comme un parfait coloriste. Les denières lignes de l'article portent sur le succès de l'opéra dont témoignent les applaudissements et les rappels ainsi quela qualité des chanteurs (Ersile Cervi-Caroli dans le rôle de Conchita, pour ses talents e chanteuse et d'actrice, le ténor Tacani, mesdames Mareck, Falchero, Flory)

Auteur(s) : s.n.
<em>Il successo di "Conchita" del maestro Zandonai</em>
Récit du succès de Conchita malgré un "livret périlleux" "vériste", selon l'auteur.
La suite de l'article résume l'action par acte et se centre sur l'évolution du couple Conchita-Matteo.
La critique de la partition suit le même schéma : "rien de particulièrement beau au point de vue musical dans le premier acte mais il est bien fait et il prépare bien le public; le deuxième et le troisième actes sont indubitablement les meilleurs, l'accompagnement orchestral de la scène du "café-chantant est coloré et efficace, le duetto d'amour est original, simple et délicat; le troisième acte s'ouvre par un intermède qui explique musicalement le caractère volubile et cruel de Conchita, il sert à justifier la scène un peu brutale du porche; c'est une belle page musicale qui rappelle beaucoup Debussy. Dans le même acte, la scène dans la ruelle espagnole et le dialogue de Conchita sont excellents. L'acte entier est empli de couleur et de force. La scène finale pacifie totalement l'auditoire un peu secoué par les émotions des actes précédents".
Les dernières lignes de l'article indiquent l'excellente exécution de l'orchestre.

Auteur(s) : s.n.
Al Costanzi

Auteur(s) : I[ncagliati], M[atteo]
<em>"Conchita" al Costanzi</em>
L'auteur fait l'éloge de l'opéra de Zandonai pour sa forme, originale, "aristocratique avec nombre d'idées". Il n'y trouve aucune vulgarité, mais également peu de passion et l'expression psychologique des personnages, du pathos que l'on retrouve dans Carmen. Le chef d'orchestre Vitale, ainsi que les deux voix principales, Cervi-Caroli et le ténor Taccani sont salués. La mise en scène est "somptueuse".
Element de contexte : l'opéra Nerone d'Arrigo Boito serait bientôt terminé.
Pour rappel, c'est Arrigo Boito qui présente Zandonai à Tito Ricordi.

Auteur(s) : Gori, Gino
<em>Avvenimenti teatrali - la Conchita e il Candelaio</em>

Auteur(s) : s.n.
<em>Conchita. Nuova opera del maestro Riccardo Zandonai su libretto di Moris Vaucaire [sic] e Carlo Zangarini rappresentata al Costanzi la sera del sabato 23 marzo 1912</em>
Trois nouveaux opéras sont à l'affiche du théâtre Costanzi pour la saison 1912, Conchita, l'Elettra e i Figli di Re. L'opéra Conchita est, selon l'auteur, le plus attendus de ces opéras depuis la Première au théâtre Dal Verme. Quelques éléments biographiques sur Riccardo Zandonai précède la critique de l'œuvre, en particulier ses précédentes compositions : le poème symphonique il Ritorno di Odisseo, l'opéra Il Grillo del Focolare tiré de la nouvelle de Dickens et représenté à Turin, Gênes et au Casino de Nice.
La critique est d'autant plus sévère sur le livret que le roman est quant à lui apprécié : " je pense que c'est une erreur phénoménale, impardonnable de porter sur scène et sur la scène lyrique cette horreur, qui ne serait même pas accueilli dans le plus minable théâtre de pochades. C'est un livret sordide, immoral qui ne contient aucun vers passable".
A l'inverse la partition est largement louée, en particulier dans les tableaux suivants : la fabbrica di Siviglia, l'intermezzo nella strada, la scène du baile, le troisième acte, dans lequel Riccardo Zandonai est comparé à un peintre.
Le chant et le jeu scénique des chanteurs sont loués par le critique : Ersilde Cervi Caroli dans le rôle de Conchita est décrit minutieusement, et illustré par les applaudissements au deuxième et troisième actes; le ténor Taccani, dans le rôle de Mateo, "l'enfant gâté du public très aristocratique du Costanzi et dont les Etats-Unis se sont emparées". Sont également remarqués madame Mareck, dans le rôle de la mère, déjà remarquée dans le rôle de Azucena du Trovatore; le bariton Mario Giubani, le bariton Schottler et Giuseppina Falchero dans le double rôle de Dolores et Pepita, également remarquée dans le rôle de Musette dans La Bohème.


Auteur(s) : D[e] R[ensis], R[affaelo]
<em>"Conchita" al Costanzi</em>
compte-rendu de la générale de Conchita au théâtre Costanzi.
L'art musical de Riccardo Zandonai est souligné alors que la la mise en scène et l'expression psychologique des personnages sont critiquées.
L'orchestre sous la conduite du chef d'orchestre Edoardo Vitale, les voix principales Cervi-Caroli et le ténor Taccani sont complimentés ainsi que le personnage de la mère (Marek) et le chœur. 
Un éloge pour "Carlo Clausetti, premier régisseur d'Italie".

Auteur(s) : Monaldi, Gino
[Cronaca musicale] Critica della critica - <em>Conchita</em> e <em>Carmen</em> - Osservazioni retrospettive - Analisi della protagonista - Accuse non vere - Quali sono le colpe di <em>Conchita</em> - Quali sono i meriti e le deficienze del maestro - Il trionfo della tecnica e la sconfitta della ispirazione […]
L'auteur fait une comparaison entre les opéras Conchita et Carmen, en particulier les rapports entre les deux personnages principaux, Conchita et Mateo d'une part, Carmen et Don José de l'autre. il n'existerait entre les deux jeunes femmes qu' "une analogie de fait et non une analogie psychique". Les effets musicaux sont comparés à une mosaïque "cependant sans dessin et sans dessein", soutenu par un public peu exigeant et par la claque. Le premier succès de Conchita à Milan tenait à l'expressivité de Tarquinia Tarquiny, ce qui ne semble pas se répéter avec Madame Cerri Caroli [sic] et le ténor Taccani. L'orchestre, dirigé par le chef Vitale, correspond aux attentes du compositeur, exprimant les couleurs et tous les détails d'une partition particulièrement complexe".

Auteur(s) : EVA
<em>"Conchita" di R. Zandonai al teatro Costanzi</em>
Le critique conclut au succès personnel du compositeur qui séduit le public. L'opéra reçoit moins d'éloges dû notamment au livret de Maurice Vaucaire et de Carlo Zangarini, au vérisme "désolant", quasi "une parodie" et au traitement littéraire des personnages; Conchita, "une cigarière de Séville, psychopathe, emplie de perversion sensuelle, Matteao Diaz un élégant imbécile, victime de sa maitresse : deux protagonistes en somme qui, au lieu de nous intéresser, nous font enrager..." La composition de Riccardo Zandonai n'illustre pas la vulgarité du livret; les moments les plus réussis de la partition sont la scène du Baile avec la jota et la chanson des buveurs, le duo entre Conchita et Matteo du deuxième acte, les différents intermèdes, le prélude du troisième acte.
Les dernières lignes de l'article rendent compte de la bravoure des chanteurs (Ersile Cervi Caroli, le ténor Taccani, madame Marek, Lucia Torelli, Giuseppina Falchero, madame Bucciarelli, madame Flory, le bariton Schottler, monsieur Gubbiani, Rossi et Gironi) et celle du chef d'orchestre Vitale. La mise en scène est particulièrement saluée.

Auteur(s) : s.n.
<em>"Conchita". New Spanish Heroine at Covent Garden</em>
Riccardo Zandonai est décrit dès les premières lignes de l'article comme l'un "des musiciens les plus prometteurs de la nouvelle école italienne". L'ouvrage Conchita comparé à Louise de Gustave Charpentier; d'autres influences sont signalées dont celle de Puccini et de l'école moderne française.
L'article est consacré presque esclusivement à mettre en valeur l'inventivité musicale de Riccardo Zandonai tout au long de l'opéra.

Auteur(s) : s.n.
<em>"Conchita" produced</em>

Auteur(s) : s.n.
<em>"Conchita". Production at the Covent Garden</em>
Le livret est résumé en quelques lignes; l'auteur souligne, dans le deuxième acte, le public anglais mis en scène dans la scène du Baile, "qui en aurait pour son argent" lors des "Shéhérazades" de Conchita [cet opéra avait fait scandale quelques années auparavant, à Convent Garden]; l'auteur indique une fin heureuse à l'opéra, mais "assez sauvage et […] qui [nous] fait tout imaginer sauf la mariage". Une comparaison sous-jacente serait faite entre le personnage de Conchita et celui de Ayesha dans le roman She de Sir Rider Haggard - cité dans l'article - et en particulier sur le pouvoir de domination de certaines femmes sur l'homme.
La suite de l'article est consacrée à la partition de Riccardo Zandonai, peu considérée, influencée par l'école française. Le dernier paragraphe porte sur la prestation des chanteurs; celle de Tarquinia Tarquini est saluée.

Auteur(s) : s.n.
<em>Royal Opera Covent Garden, "Conchita"</em>
L'article débute par la distribution complète de l'opéra (personnages et chanteurs). il est indiqué que l'opéra est de Riccardo Zandonai et chanté en italien.
Le long article analyse la psychologie de l'héroïne et ses rapports avec Matteo. il est fait référence au roman source de Pierre Louÿs, La Femme et le pantin, et sa transcription en livret.
La musique est qualifiée de "moderne" (l'intermède entre le premier et deuxième acte, l'introduction du troisième acte). Il est fait référence à Louise de Gustave Charpentier, à Debussy, Mascagni, Strauss pour le style symphonique que l'on retrouve dans la partition.
Le dernier paragraphe est consacré aux voix. Tarquinia Tarquini dans le rôle de Conchita est saluée pour sa voix et son jeu théâtral, plus critiqué le ténor Schiavazzi, dans le rôle de Matteo, madame Bérat dans le rôle de la mère de Conchita, André Gilly (une voix), le chef d'orchestre Panizza.
Riccardo Zandonai est rappelé à plusieurs reprises sur scène.

Auteur(s) : L. R.
<em>Daring Theme of New opera -&nbsp;"Conchita"</em>
L'héroïne est décrite dès les premières lignes de l'article telle une femme fatale, comparée à Carmen et Salomé "avec les tendres vertus d'une Apache", proche de Louise de Gustave Charpentier mais dans le décor de l'Espagne et non plus en France. "L'atmosphère réaliste" de l'action jusqu'au geste final, les liens qui unissent les personnages sont décrits dans une deuxième et troisième partie avant d'aborder dans une dernière partie la musique du compositeur, élève de Mascagni, mais plus moderne dans le style (l'intermède entre le premier et deuxième acte et son inspiration hispanisante; le "délicieux" prélude du dernier acte, en particulier la partie avec solo de violon "un épisode orchestral remarquable"), les voix ainsi que la mise en scène sont également saluées.

Auteur(s) : s.n.
<em>Operatic triumph. "Conchita's" success at Coven Garden</em>
L'action du livret résumé en début d'article est, selon 'lauteur, une libre adaptation "forte, simple et directe" du livre "sordide" de Pierre Louÿs. Le personnage féminin qui ne pourrait être créée en Europe du nord, "(...) est une empoisonneuse et une perverse monomaniaque dont la manie est l'amour et son pantin, sa marionnette,est un certain Mateo". La musique est moderne, d'inspiration symphonique, certaines pages ne sont pas suggestives, d'autres le sont au contraire (l'intermède entre le premier et le deuxième acte, l'ouverture au troisième acte qui "suggère parfaitement une nuit espagnole"). Zandonai a écrit une musique forte et passionnée sur un thème fort et passionné et le résultat n'est pas simplement un succès théâtral mais aussi artistique". Le dernier paragraphe de l'article est consacré aux voix, en particulier Tarquinia Tarquini et le ténor Schavazzi.

Auteur(s) : s. n.
<em>Royal Opera. "Conchita"</em>
l'article comprend un résumé de l'action et des relations entre les personnages ainsi qu'une analyse très positive de la musique en particulier le prélude du troisième acte (atmosphère hispanisante). Pour l'auteur, Conchita est un exemple parfait de ce que l'on peut faire de meilleur dans l'opéra moderne, très applaudi lors de la Première, la veille, au théâtre Covent Garden, un succès très mérité".

Auteur(s) : N. C. G.
<em>"Conchita" -&nbsp; The New Opera at Covent Garden</em>
L'auteur inscrit l'opéra Conchita dans le paysage opératique italien, celui des opéras à l'action dramatique amplifiée, à la suite de l'opéra Les joyaux de la Madonne de Wolf Ferrari, présenté précédemment à Covent Garden.
La production est saluée par le critique, d'abord les voix puis la partition.

Auteur(s) : G. H.
<em>Royal Opera. Production of Zandonai's "Conchita" at Covent Garden</em>
Article très critique sur l'opéra Conchita.
L'auteur souligne le déséquilibre entre le livret et la musique, qui caractériserait la nouvelle école italienne d'opéra et dont Zandonai reprendrait dans son œuvre, les principales caractéristiques.
L'opéra, tiré du roman de Pierre Louÿs, est résumé de façon succincte et illustrarait parfaitement "un distique que François I traça sur le volet de son château : "Souvent femme varie, / Bien fol est qui s'y fie", […] faisant écho aux lignes de Virgile deux mille ans auparavant : "Varium et mutabile semper femina".
La suite de l'article est consacré à la musique de Riccardo Zandonai, suggestive sans l'être vraiment. L'intérêt de l'opéra se trouve dans l'expression des conflits et des émotions des deux personnages principaux, en particulier Conchita, bien interprétée par Tarquinia Tarquini, alors que le ténor Schiavazzi est présenté comme décevant dans le rôle de Mateo.
Le décor porte la marque de la minutie des productions à Covent Garden.
Le chef d'orchestre Panizza est salué.

Auteur(s) : s. n.
<em>Royal Opera. "Conchita"</em>
Comme les Joyaux de la Madone de Wolf Ferrari, indique l'auteur de l'article, Conchita de Riccardo Zandonai est le récit d'un parcours amoureux qui finit mal pour le premier et bien pour le second.
Fait suite à cette introduction le résumé du livret de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini tiré d'un roman célèbre de Pierre Louÿs, La Femme et le pantin. Ni le livret, ni la partition ne trouvent grâce aux yeux du critique. Zandonai est jugé médiocre mélodiste, mais bon coloriste (l'intermède entre les deux premiers actes, l'ouverture du troisième acte).
Les voix sont saluées, en particulier Tarquinia Tarquini, meilleure que dans Carmen, présenté en début de saison à Londres. Peu apprécié, à l'inverse, le ténor Schiavazzi qui "fit l'erreur de ne pas fouetter Conchita" dans le dernier acte. Sont signalés également les second rôles et madame Bérat dans le rôle de la mère de Conchita.

Auteur(s) : s.n.
<em>Royal Opera. "Conchita"</em>
Après avoir résumé le livret de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini, tiré d'un roman de PIerre Louÿs, La Femme et le pantin, l'auteur de l'article s'attache aux principaux personnages dont le seul d'importance serait Conchita, Mateo n'étant que la représentation d'un homme du sud, amoureux.
La suite de l'article est consacrée à la composition musicale de style "réaliste" dans deux tableaux (la fabrique de cigares au premier acte et le Baile au deuxième acte); le compositeur s'en éloignant parfois dans troisième acte et quatrième tableaux. La comparaison musicale se fait plus précise quand l'auteur compare l'ouvrage de Riccardo Zandonai à l'opéra Louise de Gustave Charpentier.
La dernière partie de l'article est consacrée aux voix; Le jeu de Tarquinia Tarquini est salué (meilleur que son Carmen précédemment joué à Londres) ainsi que celui du ténor Schiavazzi, bien que critiqué dans son jeu théâtral, ceux de madame Bérat dans le rôle de la mère de Conchita, les "ensembles" et du chef d'orchestre Panizza.

Auteur(s) : s.n.
Crescendo, <em>The Opera&nbsp;"Conchita"</em>
Le succès de l'opéra est signalé en début d'article; Riccardo Zandonai étant rappelé au baisser de rideau après chaque acte, un geste du public inhabituel au théâtre Covent Garden.
Cet enthousiasme est tempéré par la "faute" que représente le livret alors que la musique de Zandonai est applaudi. Elève de Mascagni, le compositeur propose une musique, selon l'auteur, "peu italienne et manifestetment influencée par l'Allemagne".
Le dernier paragraphe de l'article est consacré aux voix principales, celle du ténor Schiavazzi est "très italienne"; celle de Tarquinia Tarquini a rendu le personnage de Conchita quasi convainquante; les deux voix apparaissant idéales "non individuellement mais collectivement". Le chef d'orchestre Panizza est salué ainsi que l'orchestre Beechman et en particulier le violon solo, monsieur Sammon dans le dernier intermède.

Auteur(s) : s.n.
<em>"Conchita" at Covent Garden</em>

Auteur(s) : Kalisch, Alfred
<em>Caratteri della musica di Conchita - Solidità germanica e chiarezza italiana</em>

Auteur(s) : Kalisch, Alfred
Article sans titre, 1912-7-2

Auteur(s) : s. n.
<em>Lavoro di genio guastato da un libretto molto debole</em>

Auteur(s) : s. n.
Article sans titre, 1912-7-13

Auteur(s) : s. n.
Article sans titre, 1912-7-13

Auteur(s) : s. n.
Article sans titre, 1912-7-6

Auteur(s) : s. n.
Article sans titre, 1912-7-7

Mots-clés :

Auteur(s) : Vanzi Mussini, Fanny
Article sans titre, 1912

Auteur(s) : Nunan, Thomas
<em>Pacific Coast Initiatives a Classic in Opera - "Conchita" Production a Revelation Here</em>

Auteur(s) : Alliot, Hector
<em>The Woman and Jumping Jack</em>

Auteur(s) : Urmy, Clarence
<em>Lambardi Opera Company at Victory Theatre. "La Bohème at the Matinée and "Conchita" in the Evening</em>
Au début de l'article, il est précisé que la Compagnie Lambardi (rebaptisée "The Pacific Grand Opera Compagny") a donné la veille deux spectacles au Victory Theatre, avec un large orchestre, des chœurs recrutés parmi les jeunes chanteurs de San Francisco ainsi que des voix principales parmi les meilleures.
L'opéra Conchita est classée parmi les opéras de la nouvelle école réaliste et moderne qui reçut un grand succès à San Francisco avec la primadonna Tarquinia Tarquini dans le rôle de Conchita. La musique est saluée, le livret est semblable à d'autres, "l'amour est le thème - l'amour taraude jusqu'au baisser de rideau".
L'article conclut sur les voix, le ténor Armandini dans le rôle de Mateo, Sophie Charlebois et Flora Pineschi.

Auteur(s) : Moore, Edward
<em>Star Triumphs in "Conchita"</em>

Auteur(s) : Rosenfeld, Maurice
<em>"Conchita" is Triumph Here - tarquini Delights in Role - Zandonai's Opera Realization</em>

Auteur(s) : Gunn, Glenn Dillard
<em>Zandonai's "Conchita" Has Musical Interest</em>

Auteur(s) : Hackett, Karleton
<em>"Conchita" Sung Here for the First Time</em>

Auteur(s) : Borowski, Felix
A New Opera

Auteur(s) : Nixon, Charles, E.
<em>"Conchita", New Opera. Spain Is Scene of Zandonai's Story of Passionate Love and Coquetry. Presented in Auditorium Arquinia Tarquini Is Star of Night in Title Role - Charles Dalmores Sings Mateo"</em>

Auteur(s) : Delamarter, Eric
<em>"Conchita", Ugly and Fervid</em>

Auteur(s) : Tubbs, Arthur L.
<em>Philadelphia Approves "Conchita". Zandonai Opera Adjudges a Success</em>

Auteur(s) : Richardson, Henry, Starr
<em>"Conchita" a Great Success</em>

Auteur(s) : Dalmores, Charles
<em>"Conchita" Given, First Time Here. Tuneful Opera by Zandonai Is Admirably Presented at Metropolitan Composer's treatement of Theme Free From Affection of Extreme Modernity. But Skilful</em>

Auteur(s) : s. n.
<em>Tarquini Pleases in "Conchita". New Soprano Well Received in First Appearance of Zandonai's Opera Here</em>

Auteur(s) : s. n.
<em>Melodramma Marks Music of "Conchita". Local Premiere of Zandonai's Opera Reveals Little Melody but Interesting Score. Tarquini's debut</em>

Auteur(s) : s. n.
<em>First Time Here of Tarquini. Young Singer in Title Role of Zandonai's opera "Conchita" Makes Sensation. Colorful New Work. Story is of Whimsical Girl Who Knows She is Loved When She Gets "Beating"</em>

Auteur(s) : Craven, H. T.
<em>Bold Operatic Strokes Revealed in "Conchita". New Work Showes Revolutionary Methods on Composer's Part. Parquinia Tarquini Sings Well</em>

Auteur(s) : s. n.
<em>"Conchita" Heard First Time Here. Tarquinia Tarquini Also New to Philadelfia in the Title Role. Dalmores as Don Mateo</em>

Auteur(s) : s.n.
<em>"Conchita" Wins Many Plaudits at Metropolitan. New Opera and New Star Combined Make Evening a Gala Event</em>

Auteur(s) : s. n.
<em>Zandonai's "Conchita"</em>
Formats de sortie

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