L'héroïne est décrite dès les premières lignes de l'article telle une femme fatale, comparée à Carmen et Salomé "avec les tendres vertus d'une Apache", proche de Louise de Gustave Charpentier mais dans le décor de l'Espagne et non plus en France. "L'atmosphère réaliste" de l'action jusqu'au geste final, les liens qui unissent les personnages sont décrits dans une deuxième et troisième partie avant d'aborder dans une dernière partie la musique du compositeur, élève de Mascagni, mais plus moderne dans le style (l'intermède entre le premier et deuxième acte et son inspiration hispanisante; le "délicieux" prélude du dernier acte, en particulier la partie avec solo de violon "un épisode orchestral remarquable"), les voix ainsi que la mise en scène sont également saluées.