Votre recherche dans le corpus : 16 résultats dans 630 notices du site.Collection : 1930
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Trois cartes postales de Félix Joffre à Marguerite Audoux
Collection : 1930
Auteur(s) : Joffre, Félix
Carte postale de Marguerite Audoux à Antoine Lelièvre
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
Lettre d'Alphonse-Marius Gossez à Marguerite Audoux
Collection : 1930
Auteur(s) : Gossez, Alphonse-Marius
Lettre de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est la mère de Lucile (prénom parfois orthographié Lucyle), laquelle deviendra par son mariage avec "Chou" Lucile Rimbert.
Louise est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine, notamment à Saint-Raphaël, où nous les retrouvons ici. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans le corpus complémentaire (correspondance familiale et familière, identifiants commençant par le chiffre 0).
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est la mère de Lucile (prénom parfois orthographié Lucyle), laquelle deviendra par son mariage avec "Chou" Lucile Rimbert.
Louise est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine, notamment à Saint-Raphaël, où nous les retrouvons ici. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans le corpus complémentaire (correspondance familiale et familière, identifiants commençant par le chiffre 0).
Lettre de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- Peintre et graveur, G[abriel] Belot (1882-1962) a illustré la très belle édition de Marie-Claire dans les Éclectiques du livre (janvier 1932). De bonne heure orphelin comme Marguerite Audoux, il vit une enfance triste. S’il est obligé d’être relieur pour gagner sa vie, c’est aussi en autodidacte qu’il peint (dès l’âge de six ans) puis grave (à partir de 1913). Entre 1910 et 1914 il se fait petit à petit reconnaître, notamment des Indépendants.
Lettres de Gabriel Belot à Marguerite Audoux : identifiants 307, 311, 321, 350 et 379
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans le corpus complémentaire (correspondance familiale et familière, identifiants commençant par le chiffre 0).
- André (surnommé "Dédé") pourrait être le fils de Jeanne et Régis Gignoux.
- René n'a ou être identifié.
- Lucien Trautmann (dit Tatu), est un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Suzanne de Bruyker, originaire des Flandres, et secrétaire de Jean Luchaire (comme le sera Simone Signoret), se mariera avec Otto Abetz en 1932. Tous deux auront rendu visite à Marguerite Audoux dans son appartement de la rue Léopold-Robert. Ils mourront dans un accident de voiture (à bord d'une "coccinelle") le 7 mai 1958.
- Peintre et graveur, G[abriel] Belot (1882-1962) a illustré la très belle édition de Marie-Claire dans les Éclectiques du livre (janvier 1932). De bonne heure orphelin comme Marguerite Audoux, il vit une enfance triste. S’il est obligé d’être relieur pour gagner sa vie, c’est aussi en autodidacte qu’il peint (dès l’âge de six ans) puis grave (à partir de 1913). Entre 1910 et 1914 il se fait petit à petit reconnaître, notamment des Indépendants.
Lettres de Gabriel Belot à Marguerite Audoux : identifiants 307, 311, 321, 350 et 379
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans le corpus complémentaire (correspondance familiale et familière, identifiants commençant par le chiffre 0).
- André (surnommé "Dédé") pourrait être le fils de Jeanne et Régis Gignoux.
- René n'a ou être identifié.
- Lucien Trautmann (dit Tatu), est un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Suzanne de Bruyker, originaire des Flandres, et secrétaire de Jean Luchaire (comme le sera Simone Signoret), se mariera avec Otto Abetz en 1932. Tous deux auront rendu visite à Marguerite Audoux dans son appartement de la rue Léopold-Robert. Ils mourront dans un accident de voiture (à bord d'une "coccinelle") le 7 mai 1958.
Lettre de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- M. Martinguay et Olivier n'ont pu être identifiés.
- André pourrait être le fils des Gignoux.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Suzanne de Bruyker, originaire des Flandres, et secrétaire de Jean Luchaire (comme le sera Simone Signoret), se mariera avec Otto Abetz en 1932. Tous deux auront rendu visite à Marguerite Audoux dans son appartement de la rue Léopold-Robert. Ils mourront dans un accident de voiture (à bord d'une "coccinelle") le 7 mai 1958.
- M. Martinguay et Olivier n'ont pu être identifiés.
- André pourrait être le fils des Gignoux.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Suzanne de Bruyker, originaire des Flandres, et secrétaire de Jean Luchaire (comme le sera Simone Signoret), se mariera avec Otto Abetz en 1932. Tous deux auront rendu visite à Marguerite Audoux dans son appartement de la rue Léopold-Robert. Ils mourront dans un accident de voiture (à bord d'une "coccinelle") le 7 mai 1958.
Lettre de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- André (Dédé) doit être le fils de Jeanne et Régis Gignoux.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- André (Dédé) doit être le fils de Jeanne et Régis Gignoux.
Lettre de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Olivier et M. Martinguay n'ont pu être identifiés.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Olivier et M. Martinguay n'ont pu être identifiés.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
Mots-clés : Démarches non identifiées
Carte postale de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
Carte postale de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Olivier est n ami de Paul, que la romancière semble particulièrement affectionner.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
Carte postale de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est la mère de Lucile (prénom parfois orthographié Lucyle), laquelle deviendra par son mariage avec "Chou" Lucile Rimbert
Louise est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat-Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans la correspondance familiale et familière (identifiants commençant par le chiffre 0)
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est la mère de Lucile (prénom parfois orthographié Lucyle), laquelle deviendra par son mariage avec "Chou" Lucile Rimbert
Louise est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat-Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans la correspondance familiale et familière (identifiants commençant par le chiffre 0)
Lettre de Marguerite Audoux à Paul d'Aubuisson
Collection : 1930
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- "Cette bonne Walter" n'a pu être identifiée.
- "Cette bonne Walter" n'a pu être identifiée.