Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

D’origine modeste, et après des échecs répétés dans ses études, Charles-Louis Philippe [4 août 1874 (Cérilly, Allier) ‑ 21 décembre1909 (Paris)], tente de s’imposer littérairement dans la capitale, tout en travaillant à l’Hôtel de Ville sur une recommandation de Barrès. Il abandonne une poésie symboliste un peu laborieuse au profit du roman. Son plus grand succès est Bubu de Montparnasse (1901). On retiendra aussi, pour l’essentiel, La Mère et l’Enfant (œuvre autobiographique, 1900), Le Père Perdrix (1903), Marie Donadieu (1904), Croquignole (1906) et Charles Blanchard (posth. 1913). C’est en 1900 que ce natif de Cérilly fait la connaissance de Marguerite Audoux, sa « payse », par l’intermédiaire de Michel Yell. L’amitié avec la romancière sera si forte que celle‑ci pensera renoncer à la publication de Marie‑Claire lorsque Philippe meurt prématurément à trente‑cinq ans. Certains des Contes du Matin, « La Visite » et « L’Ivrogne », empruntent à la vie de la romancière.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.
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