Archives Marguerite Audoux

Archives Marguerite Audoux


Votre recherche dans le corpus : 3 résultats dans 589 notices du site.

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Collection : 1934
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Léon Werth (1879‑1955) représente, de façon moins radicale et plus marginale que Francis Jourdain, l’homme de gauche du Groupe de Carnetin. Après une enfance où il est plus ou moins livré à lui‑même, il poursuit de bonnes études, mais quitte l’hypokhâgne d’henri‑IV pour exercer de nombreux petits métiers. En tant que juif, il est contraint, pendant la Seconde guerre, de se cacher dans le Jura. Ses relations chaleureuses avec Marguerite Audoux demeurent jusqu’à la fin d’une grande fidélité. La romancière apprécie d’ailleurs plus l’ami que l’homme engagé politiquement à gauche et l’écrivain, trop intellectuel à son goût. Werth, journaliste reconnu (voir la lettre 29, note 74), et secrétaire de Mirbeau, laisse un certain nombre d’œuvres, dont La Maison blanche, qui rate de peu le Goncourt en 1913.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2