Lesuire

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Collection : Théâtre

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en un acte et onze scènes.

INTRIGUE : Le comte Almaviva a été enlevé à Alger. La comtesse accompagnée par Chérubin d'un côté, Figaro de l’autre, sont partis à sa recherche et se trouvent à Gibraltar, en territoire anglais. Figaro est victime d'une léthargie et, le croyant mort, les Anglais organisent son enterrement. Le faux défunt se réveille au beau milieu de la cérémonie et parvient à retourner à son auberge enveloppé de son linceul. Là il retrouve Suzette venu le chercher ainsi que Chérubin et la Comtesse. L’argent qu’il avait recueilli pour payer la rançon du comte a été donné au pasteur pour son enterrement. Mais reviennent le comte et son ami Mylord Goodfriend, gracié par les Turcs. La comédie se finit bien.

COMMENTAIRES : Sur la page de titre, Lesuire explique que cette pièce a fait l'objet d’une friponnerie de la part d'un acteur du directeur de théâtre Jean-Baptiste Nicolet. Cet acteur aurait eu la pièce entre les mains pendant trois mois pour examen, puis l’aurait rendue après l'avoir copiée sous le titre Les Rencontres portugaises puis L’Enterrement de Figaro. La pièce aurait été interdite de représentation pendant six semaines. Lesuire propose que l'on joue sa pièce avec un prologue explicatif et/ou une lettre de réclamation dans Le Journal de Paris.
Les propos de Lesuire sont partiellement confirmés.
En effet, le 11 décembre 1784 est jouée la pièce Les Rencontres portugaises de Louis-François Ribié (1758-1830), comédien des Grands-Danseurs du Roi, nom de la troupe de Nicolet entre 1772 et 1792.  L’Enterrement de Figaro est jouée par cette même troupe le 12 décembre 1785, pour une seule représentation semble-t-il. [Sources : base CESAR et Le Journal de Paris]

 

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en un acte et dix-huit scènes.

INTRIGUE : Pierre le Grand est sur le point de quitter Paris où il a passé quelque temps. Viennent lui faire leurs adieux une galerie de personnages de fiction ou non : Louis XV, le Régent, Fontenelle, Jean Bart, Petter, Angélique. La pièce se finit sur la nécessité d’un retour précipité en Russie à l’annonce de la trahison de son fils et de l’éventuelle infidélité de sa femme.

DATATION : Une note ajoutée à la fin de la pièce à l'attention de "Messieurs les juges examinateurs" indique que le personnage d'Angélique provient du "4e vol. des 4 aventures de M. Le Suire" paru en 1798 chez Louis à Paris. Cette note indique également qu'il s'agit d'une pièce de circonstance, par conséquent écite à la hâte, sans que soit précisée la nature de cette circonstance. Enfin, la page de couverture porte en son milieu la date 1782 écrite d'une encre plus noire que celle du texte de la pièce, mais également
18 puis 1867 et enfin, en haut à gauche, d’une autre encre, 1812 ou 1842.

 

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en deux actes mêlée d'ariettes et de vaudevilles

INTRIGUE : Des Européens vivent sur une île qu’ils doivent peupler dans le cadre d’une république dirigée par un gouverneur et une assemblée garante des libertés et du bonheur. Il est ainsi décidé que les couples seraient répartis par tirage au sort. Or, Brigde, l’Anglais mesuré, aime Angélique et Gelin, le Français passionné, aime Justine. Ils refusent donc la décision de l’assemblée qu’ils finissent par fléchir grâce à leurs discours et à leurs pleurs.

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Opéra lyri-comique en trois actes et en vers.

INTRIGUE : William Sombreuil, aveugle de naissance, a Laurette pour amante. L’oculiste Valmeri lui propose de lui rendre la vue par une opération risquée. William accepte et recouvre la vue. Mais Vameri demande en échange la main de Laurette, faut
e de quoi il fera l’opération inverse et rendra William de nouveau aveugle. Les deux amants refusent ; Valmeri crée facticement l’obscurité pour éprouver le couple jusqu’au bout, mais son stratagème échoue. Il doit se rendre. C’est alors qu’il voit Annette, sœur jumelle de Laurette qui l’aime en secret. Il se rend compte que lui aussi l’aime depuis longtemps et que sa ressemblance avec Laurette l’avait abusé. La pièce se conclut sur un double mariage.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : La pièce est inachevée.

INTRIGUE : La scène se passe en Inde. Le peuple est asservi par le tyran Sémorin. Seul Zulbar dont le père a été tué par le tyran refuse cette situation et cherche à mobiliser le peuple pour se soulever. Son frère Sélico le soutient mais est épris de la fille du tyran, Darina. Il doit choisir entre sa fidélité à sa patrie et à sa famile et son amour.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Monologue pour mettre en action une charade sur le mot bavardage, folio 3_A
INTRIGUE :
Un bavard fait son entrée dans un salon. En un long monologue, il apporte avec arrogance des nouvelles de Paris et de la cour, flatte chacun des assistants et termine par une anecdote relatant l’escroquerie d’un parasite envers des hôtes trop crédules.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Divertissement en deux actes et en vaudevilles.

INTRIGUE : Colas et Babet sont amoureux mais la mère de Babet projette un mariage plus avantageux pour sa fille avec le magister du village. La nuit, elle conserve donc la clé de la maison et enferme les sabots de Babet. Colas vient tout de même rendre visite à son amante qui emprunte alors les sabots de sa mère. L’arrivée du magister la fait fuir et elle perd l'un d'eux. Le lendemain, le magister remarque et étudie les traces de sabots laissées dans la neige et conclut sur les rencontres clandestines des deux amoureux. Il veut les dénoncer devant l’ensemble du village lors de la veillée. Se déroule alors une jolie scène parodique de Cendrillon où chaque jeune fille essaie le sabot perdu jusqu’à la mère de Babet qui le chausse parfaitement. Babet est obligée de se dénoncer et fait appel à l’indulgence de son père qui accorde la main de sa fille à Colas. Le magister part dépité.

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