Espace Afrique-Caraïbe

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Collection : Le critique (Manuscrits de Jean-Joseph Rabearivelo)

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

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Article collectif de Ny Avana Ramanantoanina, Charles Rajoelisolo, J.-J. Rabearivelo, 1934.

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Mercure de France n°794 Rabearivelo.pdf

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Revue d’Afrique, n° 8, Paris, mai-juin 1931, p. 29-31

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Tsara Hafatra, 1ère année, n° 16, Tananarive, 11 mars 1927, p. 2.

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 Revue Zodiaque Juin 1926 + Poème à R.E. Hart

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NUM ETU REV MP Samuel Ratany.PDF

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Réponse à une enquête sur les prix Goncourt lancée en 1925 par la revue La Pensée latine, « organe d’action du Théâtre d’Art libre », dirigée par Georges Gallon, Gaston Avesque et Gérard de Catalogne. Rabearivelo y précise son jugement sur Batouala, de René Maran, prix Goncourt en 1921.
"Dans sa préface, le rédacteur en chef déplore la relativisation des mérites des auteurs et des œuvres, avant de suggérer que ce changement pourrait expliquer, au moins partiellement, les scandales qui entourent alors les prix. Et de proposer ensuite une sorte de révision du palmarès officiel depuis 1918 en fonction des atouts exclusivement « littéraires », cette fois-ci, des sept romans primés. Ainsi, tandis qu’ils plébiscitent Georges Duhamel et Ernest Pérochon devant Marcel Proust et Thierry Sandre, les contributeurs désavouent par 17 voix sur 25 le sacre de René Maran : Batouala remporte le titre du roman le plus médiocre et le moins digne d’honneurs." (Marie Carbonnel, « Juges contre jurés. Les critiques et les prix littéraires (1903-1932) », Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, vol. 26, no. 1, 2008, pp. 31-50.)

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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JJR définit avec une intuition pleine de finesse les représentations de l'époque sur les rapports entre l'Occident et l'Orient. Ces lignes, demeurées apparemment inédites, apportent en effet un éclairage significatif sur le principe qui préside à la vie et à l’œuvre de JJR : l'équilibre harmonieux qu'il a voulu entretenir entre ses racines irréductiblement "orientales" et son statut pleinement assumé "d'indigène abreuvé de latinité".

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
DOC020916-02092016143726.pdf
Reprise dans les colonnes du Mercure de France du texte sur l'histoire de la poésie malgache contemporaine précédemment publié dans le Journal de Madagascar franco-Malgache sous le titre « La littérature malgache actuelle. Aperçu ». JJR reprendra ensuite ce panorama, en 1933, sous le titre « La poésie malgache », dans la Revue d’Afrique.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Première publication en revue, sous le titre « Littérature malgache actuelle. Aperçu », dans le Journal de Madagascar franco-malgache, des 19/6/23, 22/6/23, 26/6/23, 29/23 et sq.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Traduction par JJR de l'article qu'il a publié dans le FB

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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L'article porte la date du 19 juillet 1937 quand JJR se suicide le 22 juin 1937 ! Simple erreur ? Toujours est-il que ce brouillon
fait l'éloge du "dépouillement" ; humble parmi les morts, épousant leurs traces, l'âme ouverte à leur souffle, le poète accède à une "poësie nue comme les pierres et l'eau". Heureux qui parvient à cette béatitude et admire, avec un soupçon d'amertume, un JJR contemplatif, désabusé, adressant un dernier sourire par voie de presse à son ami Robert Boudry - lequel écrira à son sujet un vibrant hommage dont le titre pathétique, Jean-Joseph Rabearivelo et la mort, y parlant d'un "drame colonial", n'en est pas moins sincère.

Auteurs : Rabearivelo, Jean-Joseph ; Rabemananjara, jacques
Revue_des_jeunes_de_Madagascar.pdf
Entretien entre Rabearivelo et la rédaction de la revue.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Le journal Vendémiaire mène périodiquement de grandes enquêtes. Début 1935, le Prix Moréas 1933, Jean Lebrau, Mac-Orlan et d'autres écrivains répondent à trois questions sur la jeunesse paysanne. Le 10 avril, un autre questionnaire, sur la jeunesse noire. On interroge des hommes de terrain, des experts et des hommes de couleur. Au rang des spécialistes, l'incontournable Pierre Mille en sa qualité de Président de la Société des Écrivains coloniaux et membre de l'Académie des sciences coloniales ; Marius-Ary Leblond, Prix Goncourt 1909 et Président du Syndicat des Directeurs de Journaux de la France extérieure mais surtout, faut-il ajouter, chantre de la plus Grande France et de la nécessité de faire de l'Outremer des terres de peuplement. C'est au milieu de ce concert qu'intervient Rabearivelo, aux côtés de son confrère et ami guyannais René Maran.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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JJR se fait l'écho de la vie artistique de Tananarive. Il fait l'éloge de Madagascar plus à la page que ses sœurs d'outre-mer, atour déférent par lequel il habille "ses pensées de derrière la tête" : la salle Gros-Citroën qui accueille l'exposition de la peintre Chériane - épouse de Urbain-Faurec - ne semble pas du tout prévue à cet effet... Mécenat intéressé où l'art ne figure qu'à titre d'épice ! écrit JJR dans ses Calepins Bleus à propos de la revue officielle de la Colonie. En dépit de ce défaut d'accrochage, il témoigne de l'engouement suscité chez lui et la "Phalange", avec en 1923, cette foire artistique où ils purent voir des toiles de l'Ecole de Paris - autre chose que les produits de l'import-export entre Majunga et Paris ! Il serait donc souhaitable que ce genre de manifestations se développe pour une jeune génération désireuse de s'ouvrir à la culture européenne.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo, naturellement, se fait l'écho de toutes les manifestations artistiques de Tananarive et ses environs. Si peu nombreuses qu'elles fussent, il les suit d'autant plus près afin, justement, d'apporter les critiques nécessaires à une véritable "vie intellectuelle". Il s'attache donc à publier ses critiques, toujours constructives au point d'être professoral, jouant là son rôle de chef d'école et d’intellectuel Hova.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on "songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique" et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla", il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce "proconsul" ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant "des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage !"
Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être "fou de langue française" et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : "certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé" ? Faut-il le rappeler, la censure d'un état totalitaire s'y exerçait - témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on « songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique » et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla" il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce « proconsul » ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant « des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage ! " Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Le regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être « fou de langue française » et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : « certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé » ? Faut-il le rappeler, la censure d'un régime totalitaire s'y exerçait, témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Capricorne
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Collection : L'Essor
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