Espace Afrique-Caraïbe

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Collection : Quelques sonnets
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Quelques sonnets
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES Sur trois cordes 1925-11-15.jpg
Publication de "Sur trois cordes" dans le journal mauricien L'Essor.

Auteur : Rasanjifera, Clément
Les nouvelles littéraires 07-11-1925.jpg
Article publié dans la revue Les Nouvelles littéraires.

Mots-clés :

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP Rythme Synthèse 2.jpg
Deux poèmes destinés à la revue Rythme et synthèse. Placé sous les auspices du Maître de Valvins, Mallarmé, et du mentor Pierre Camo, JJR s’inscrit non seulement dans l'histoire littéraire mais aussi au coeur de la scène contemporaine et coloniale : Pierre Camo est poète magistrat de la Cour de Tananarive. C'est à ce dernier qu'il adresse le premier poème qu'il publie dans la presse. Aux yeux du jeune poète, il incarne la figure du mécène.

Collection : Quelques sonnets
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 SONNETS.jpg
Deux sonnets inédits du vivant de l'auteur : Fausse marine, Éloge des déchéances.

Collection : Quelques sonnets
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 SONNET.jpg
Pour compléter la vision des années d’apprentissage, nous souhaitons faire sentir en ce modeste choix de poèmes inédits de son vivant – six sonnets de 1925, année de prodigieuse productivité pour Jean-Joseph Rabearivelo – la naissance d’une voix. Ces poèmes suffisent, à notre sens, pour illustrer le basculement d’un jeune poète qui sort enfin de la convention et innove. Certes, le processus n’est ni homogène ni continu dans le temps et l’on peut constater que le sonnet placé le premier et qui est de décembre 1925 est encore tout imprégné d’influence baudelairienne et mallarméenne, alors que les autres, d’octobre et novembre de la même année, promeuvent, avec une excentricité provocante, une dislocation de la forme du sonnet destinée à faire passer par son filtre des sensations nouvelles et peu conventionnelles.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Ilentehan.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO REV JFM Tsilo.pdf
Feuilleton de cape et d'épée, rappelant le style de Zevaco

Collection : L'historien
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Tableau 1.jpg
Sur la première page calligraphiée en page de titre, le nom de "Jean-Joseph Rabearivelo" qui ne sera officiellement le sien qu'en 1931 et ne s'imposera systématiquement dans ses écrits que plus tard (même s'il signe déjà ainsi quelques textes et son recueil La Coupe de Cendres) vient remplacer celui de J. Rabearivelo qui clôturait initialement le document. Plus encore, la même plume vient barrer les sous-titres initiaux, laissant imaginer d'autres livres et hésitant à affirmer le caractère historique du texte, inscrit les dates puis les barre. L'élan premier était en effet d'établir une trilogie : après une analyse de la constitution d'une "âme", l'étude des interférences (qui inspirera son second roman historique, après L'Aube rouge, soit L'Interférence, achevé le 1er juin 1929) que subit et auxquelles résiste la "race hova", le troisième volet, qui ne verra jamais le jour, devait parler, selon Tableau, de la "tranche vivante arrachée à l'arbre et transplantée en Amérique", soit l'histoire des esclaves malgaches.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN1 MAISON MORGON 1.jpg
Un de ces récits balzaciens où, parmi une société, ici deux jeunes lettrés malgaches et bilingues, l'un prend la parole et devient le conteur ; l'assistance écoute. Histoire enchâssée dans un récit, narration en abyme, ce subterfuge permet à JJR de peindre les mœurs de deux classes de la population tananarivienne des années 1920 : un ménage de colons en ruine et deux ethnologues en herbe penchés sur le cas des "Européens". La nouvelle s'ouvre sur le portrait de Jacques Radevo, poète-interprète envoyé au bagne sur une île perdue au large du Mozambique pour ses activités au sein du mouvement d’émancipation de la VVS ; à son retour d'exil, il en est réduit à se louer comme "boto" ou boy dans la maison Margon. Formidable conteur "primitif", non repu de "vacuités intellectuelles", ni atteint par "sa longue expérience" de galère, ses paroles nous sont rapportées par le narrateur derrière lequel se dessine la figure de l'écrivain Rabearivelo se proposant de "consigner" les propos volubiles, amenés avec art, de son ami. Employé de bibliothèque, le nez dans les livres, il relève donc le défi : parvenir à la "simplicité" d'une écriture proche de ses "camarades" d'alors qui ont su rester au contact de la "nature". L'appropriation de procédés romanesques, tels que ceux de la Comédie humaine ou du roman psychologique de Paul Bourget, offre un point de vue renversé : l'européen vu à travers les yeux de deux indigènes. Sensibles et d'esprit critiques, ils posent l'amorce d'un regard, à mesure qu'ils se pénètrent de leur "sujet d'étude", caustique d'anthropologue !

Collection : Le polémiste
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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INCOMPLET. Fin d'un texte sur la nécessité de l'amnistie pour la VVS.
Les membres de la Vy Vato Sakelika (VVS, Fer, Pierre, Ramification) – société secrête d’intellectuels malgaches animés par le souci de préserver leur culture tout en assimilant les connaissances scientifiques du monde moderne – ont fait l’objet d’un procès en février 1916 et ont été déportés.
Suite a l’amnistie prononceée le 22 novembre 1922, ils sont tous revenus en 1923. Le monde intellectuel tananarivien est alors en pleine effervescence: les échanges se font plus libres, les revues foisonnent, éditées à Tananarive même ou en provenance de l’extérieur. Le petit groupe surnommé « la Phalange Rabearivelo » rassemble divers amis malgaches de même génération, dont Joseph-Honoré Rabekoto (Lys-Ber), Raharolahy, James Raoely et Razafitsifera, également préoccupés de l’avenir de la culture et de la littérature malgaches dans le contexte de la colonisation et dans un environnement bilingue.

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Collection : Le critique
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU MAN1 Humanité epris.jpg
Un éloge de la sagesse contenue dans le code des 305 articles : "il ne manquait donc à nos ancêtres qu'un Sénèque pour commenter et discuter leur législation" conclut JJR qui subrepticement lance un appel la nouvelle génération : à elle de s'en emparer et d'interroger le droit coutumier à la lumière de ses connaissances acquises de l'étranger. Être ce Sénèque-là, c'est encore demeurer malgache.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV 18LS Jours seule 1.jpg

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV 18LS Trois frères 1.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN2 NUIT TAMATAVE 1.jpg

Collection : 18° Latitude Sud
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO REV JFM.PDF

Collection : 18° Latitude Sud
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Vakio ity
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Septimanie_ 01011923.jpeg
Recension par Henri Lauresne

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV VI Tsangambato.jpg

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
In Gazetim-Panjanaka

Collection : Fleurs d'extase
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN PRINCESSE MANDANE.jpg
Les deux premiers vers d'un poème sur les rêves qui - "hélas!" - s'étiolent...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO REV VI LETTRES 1.jpg
Dans ces premiers essais, il sacrifie à la mode du temps, celle des "lettres ouvertes". Ce genre, aux frontières des sphères déchange privée et publique, fut le mode de communication privilégié de la génération des années 1920. Les articles de Vakio ity ont tous été écrits sur ce modèle. JJR adopte du genre toutes les affèteries. En premier lieu, les pseudonymes sous forme d'anagrammes ou de surnoms hauts en couleur et en assonances: Aéro-Drémina, Atmosphère, K. Verbal, etc. Il ne nous a d'ailleurs pas toujours été possible de retrouver derrière ces "masques" l'identité des écrivains engagés dans ces joutes épistolaires.
A travers ce ton de "maître d'école" que JJR et ses correspondants fictifs adoptent dans les développements didactiques de leurs missives, dans ce que l'on peut considérer comme le "premier jet" de son oeuvre critique, se dessinent déjà nettement quelques idées forces de sa rélfexion: le questionnement sur le bon usage des techniques venues d'ailleurs et l'incitation à plus de professionalisme.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
CORR1 Montagne 120120 1.jpg
2 feuillets (photocopie de la lettre originale), signé, daté : 12/01/1920.

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Malgré ses 24 ans, le poète se voit déjà dépossédé des richesses exubérantes du jeune âge comme de ses excès flatteurs ; il se sent entrer dans une maturité qui l’inquiète en raison de l’incertitude qui plane sur le temps qu’il lui reste. La pensée de la mort en lien avec certains de ses modèles préférés comme Laforgue, décédé précocement, et avec le respect dû aux ancêtres, comme à leurs tombeaux, continue à l’obséder. Il se fait le chantre d’une esthétique désabusée et dédaigneuse qui renie tant les illusions faciles que les souvenirs complaisants pour affronter la vérité de son destin ou de sa situation et il fait montre alors d’une lucidité déchirante : il se sait et se voit s’éloigner de la langue de ses ancêtres pour se couler de plus en plus résolument dans un idiome étranger qu’il aime profondément, bien qu’il le sente et le sache parfois incompatible avec ce qu’il souhaiterait exprimer. Et même si, par la thématique mise en œuvre, chacun des ensembles poétiques qu’il va désormais concevoir s’accomplira de plus en plus distinctement en apothéose du monde ancestral, celle-ci, hésitant entre le thrène et l’éloge, laissera le poète dans la position inconfortable d’un exilé de l’intérieur.

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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6 feuillets manuscrits (13 x 22, fos 3 à 8), datés du 22/7/27 au 28/8/27 contenant « À Philippe Chabaneix », « Ô toi qui l’aurais lu pour sa grande tendresse… », « À J.-H. Rabekoto », « À G.-Henri de Brugada », « À Robert-Edward Hart », « À Tristan Derème » regroupés dans « La Guirlande à l’amitié », accompagnés de 13 feuillets tapuscrits.

Collection : Vin lourd [Le]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Poèmes :
I. "Quoi te finir avec des masques" 
II. "Le charme inattendu d'un bijou rose et noir"
III. "Ô pour quel Gauguin"
IV. "Fierté rapide et décevante"

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : La Terre et le sang
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Réactions de Mouloud Feraoun au "putsh des généraux"; les 22-25 avril 1961 (F. 1r.).
Échec des négociations à Lugrin, les 19-28 juillet 1961 (F. 1v.).
Procès et acquitement du capitaine Georges Oudinot qui a servi à Béni-Douala (F. 2r./v.).
Premières exactions de l'O.A.S. (F. 2v.).

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Relation, entre autres, des événements du 13 mai 1958 et de la "fraternisation" franco-musulmane survenue trois jours plus tard sur le Forum d'Alger, de l'entrée massive des femmes dans la guerre d'Algérie - une entrée que Mouloud Feraoun considère comme un prélude de l'émancipation des femmes (F. 4r./v.).
Rencontre avec Albert Camus (F. 5v.).
Réaction de Mouloud Feraoun à La Question d'Henri Alleg. (F. 6r.).

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Écoles incendiées par les fellaghas (F. 1r.)
Effritement de l'estime dont jouissait le maquis (F. 8r./v., 9v.).
Mention des tortures dans les locaux de la police et de gendarmerie, un témoignage (F. 12r. et suivants).
Souvenir d'un maître qui avait marqué Mouloud Feraoun dans son enfance (F. 14v. - 16r.).
Vote des "pouvoirs spéciaux" le 12 mars 1956 (F. 17r.).
Citation du Journal d'Alger du 19 mars 1956 qui rapporte le déroulement d'un accrochage à Béni-Raten et la version rapportée à Mouloud Feraoun. (F. 17v.-20r.).
Rencontre avec Emmanuel Roblès à Alger (F. 25r.).
Demande collective des insituteurs français de Fort-National à se faire muter en France (F. 26r.).
Notes sur les tortures et le témoignage d'un jeune homme qui a survécu à un interrogatoire dit "poussé" (F. 29r.-30v.).

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Premiers départs des Européens de Fort-National.
Maquisards installés dans les villages kabyles.
Propagande de l'armée française sur les "rebelles abattus les armes en main" et sa mise en scène (F. 10v.).
Massacre à Palestro, le 18 mai 1956 (F. 13v.).
Grève des étudiants de mai-juin 1956 (F. 15v. - 16r.).
Le général Olié visitant l'école de Feraoun souhaite des renseignements sur le dernier livre de celui-ci (discrète invitation à s'auto-censurer), Feraoun lui offre... un exemplaire de Jours de Kabylie dédicacé. (F. 18r. - 20r.)
Ruses de Feraoun pour garder l'équilibre entre sa qualité de fonctionnaire français et patriote algérien: "[...] ce n'est pas le moment de mourir en traître puisqu'on peut mourir en victime." (F. 20v.)
Grève du 5 juillet 1956 décrétée par le F.L.N.
Perquisition au domicile de Mouloud Feraoun le 18 juillet 1956 (F. 28r.) et une lettre à l'Inspecteur par laquelle l'écrivain souhaitait l'en informer.

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Espoir d'une trêve pendant la Conférence des non-alignés de Brioni où l'on notait la présence algérienne.
Récit d'une guerre de grèves imposées à tour de rôle par le F.L.N. et par l'armée.
Appel du F.L.N. à la grève des écoliers (F. 11bis).
Les amendes-rançons imposées par le F.L.N. aux femmes (F. 13v. - 14v.).
Expédition punitive du Port-Gueydon (actuellement Azzefoun; F. 15r./v.).
Affaire Ben Bella (F. 16v - 17r.).
Mention sur la correspondance continue avec Emmanuel Roblès (F. 22r.)

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Blocus du Fort-National et la riposte des maquisards (F. 3v.)
Mention de l'insurrection de Budapest que Mouloud Feraoun rapproche des "événements" qui secouent l'Algérie (F. 1v.)

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Mention sur l'assassinat d'un "ultra": Amédée Froger, maire de Boufarik et président de la Fédération des maires d'Algérie, tué par Ali la Pointe le 28 décembre 1956 (F. 2r./v.).
Rapprochement (dans le contexte des ratissages et enlèvemements commis par l'armée française) entre les Français et les Russes et les Allemands (F. 4v.).
Venageance de l'armée française sur la population civile après l'assassinat d'un jeune lieutenant.
Lueur d'espoir de la prochaine fin de la guerre (F. 8r.) face au débat sur la question algérienne à l'O.N.U. prévue pour la fin de janvier 1957.

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Les trois folios redigés sont un aveu d'impuissance face aux événements: "Je suis de ces gens compliqués qui ont appris à l’école beaucoup de choses inutiles. Ces inutilités me rendent malade physiquement, de même que mes pareils et tous ensemble nous devenons étrangers à notre terre. Tous ensemble, nous sommes une poignée peut-être. Pour d’autres, il n’y a rien de compliqué." (F. 2v.)

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Rapport de Mouloud Feraoun sur la grève décrétée par le F.L.N. en janvier 1957. Rédigé à la demande de l'Inspecteur (F. 1r.)
Discours très provocateur du sous-préfêt qui essaie de forcer les instituteurs à interrompre la grève (F. 2v.-4r.): "L’Indépendance, vous ne l’aurez jamais car vous n’en êtes pas dignes. Vous n’en êtes pas capables." (F. 3r.)
Menaces à l'adresse de Mouloud Feraoun proférées par M. Achard, administrateur des Ouadhias (F. 7 r./v.)

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Voyage à Alger: remise des tapuscrits du journal (première quinzaine du mois de mars 1957) à Emmanuel Roblès (F. 1r/v.).
Attitudes de celui-ci et d'Albert Camus envers le  conflit en Algérie (F. 2r. -3v.).

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Assassinat par l'armée française de l'un des élèves de Feraoun (F. 1r.)
Préparatifs à l'inauguration de la cantine dans l'école de Mouloud Feraoun afin d'en faire la propagande vs grève des écoliers décrétée par le F.L.N. (F 1v. et suivants).
Réaction virulente de Feraoun à l'article de Jean Amrouche paru dans Le Monde le 30 avril 1957 (F. 4r./v.).

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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"Un journal du Maroc (P.D.I.) m’a visiblement attaqué pour mon dernier livre. J’ai répondu de mon mieux et me demande s’il va publier ma réponse." (F. 3r.).
Il s'agit bien évidemment des Chemins qui montent paru au Seuil en janvier 1957 et de la note de lecture par M. Maschino, Les Chemins qui montent de Mouloud Feraoun ou le roman d'un faux-monnayeur, parue dans Démocratie (No 13, 1er avril 1957, p. 11).
Quant à la réponse de Mouloud Feraoun, elle a été publiée par Démocratie (No 18, 6 mai 1957, p. 10) avec une réplique de M. Maschino (Ibidem, p. 11). 
Mention du jour de la victoire aux célébrations duquel Feraoun a été sommé d'assister avec ses élèves (F. 6r., note du 9 mai 1957).

Collection : Journal 1955-1962
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Note sur l'assassinat d'Ali Chekkal (président de l'Assemblée algérienne), le 26.05.1957 par Mohammed Ben Sadok (F. 1r.).
Note sur le massacre de Melouza (F. 1v.-2r.; le 29 mai 1957 - les soldats de l'A.L.N. ont assassiné 347 hommes de Melouza sous prétexte qu'ils sympahisaient avec les messalistes).
Polémique avec F. Mauriac (F. 3r./v.).
Déménagement définitif vers Alger (note du 02.07. 1957, F. 4v.)
Proclamation de la République Tunisienne par Bourguiba (F. 6r.).
"Qu'avons-nous gagné à nous soulever ?" (F. 6v.).
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