Collections de sources génétiques d'opéras

Collections de sources génétiques d'opéras


Votre recherche dans le corpus : 492 résultats dans 492 notices du site.

Auteur : s. n.
Article sans titre, 1927-12-16

Mots-clés :

Auteur : s. n.
Article sans titre, 1934-7-24

Mots-clés :

Auteur : s. n.
"Conchita" all'Opera-Comique

Auteur : s. n.
"Conchita" di Riccardo Zandonai al Colòn, con Giordana Pederzini, 1939-7

Auteur : s. n.
"Conchita" del Maestro Zandonai
Première de Conchita au théâtre Dal Verme.
L'œuvre de Zandonai est replacée dans la saison théâtrale, après les représentations de Madama Butterfly et de Aida, présentée à un public nombreux et choisi (critiques musicaux, artistes, haute société).
Référence au précédent opéra de Riccardo Zandonai, Il grillo del focolare et à l'œuvre source de Conchita, le roman de Pierre Louÿs mis en livret par Maurice Vaucaire et Luigi Zangarini.
L'article est centré sur le succès de l'opéra. L'auteur décrit les nombreux rappels et applaudissements selon les actes. Il insiste sur la modernité de l'écriture musicale du compositeur, sans influence du style bizétien.
Les voix ainsi que la direction d'orcheste sont saluées en fin d'article.
recension recto-verso sur Lirica

Auteur : s. n.
<em>Riccardo Zandonai a Roma per due concerti all'Augusteo</em>

Mots-clés :

Auteur : s. n.
<em>Stasera Zandonai all'Augusteo</em>

Mots-clés :

Auteur : s. n.
Crescendo, &lt;em&gt;&quot;Conchita&quot; produced&lt;/em&gt;
La transcription du roman, décrié par l'auteur, de Pierre Louÿs en livret semble réussi; les relations psychologiques entre les deux protagonistes se construisant tel un puzzle dont on n'aura la vision qu'à la fin de l'opéra. L'atmosphère espagnole - il est fait assez longuement écho aux différents tableaux - faisant le lien avec Carmen
Un long dernier paragraphe est consacré aux chanteurs et en particulier à Tarquinia Tarquini, précédemment vue dans Carmen, dont la prestation est fortement saluée.

Auteur : s.n.
<em>Un nuovo lavoro d'un maestro trentino</em>

Auteur : s.n.
<em>article de journal Conservando con Riccardo Zandonai - le prime indiscrezioni su Conchita</em>
interview de Riccardo Zandonai. Le journaliste souligne le fait que le compositeur est natif du Trentin. Référence au précédent succès de Riccardo Zandonai, Il Grillo del focolare. Le nouvel opéra Conchita est d'une inspiration toute autre dans lequel le réalisme prévaut.
Sur les sources de l'opéra, le compositeur fait référence au roman de Pierre Louÿs, La Femme et le Pantin, et à l'adaptation en livret de Maurizio [Maurice] Vaucaire et Carlo Zangarini, ainsi qu'à l'opéra Carmen de Bizet, dont Riccardo Zandonai s'est inspiré. Le musicien fait référence à la future Première à Milan et au jugement du public qu'il attend serein.
Enfin, Riccardo Zandonai ajoute quelques mots sur les interprètes, en particulier Tarquinia Tarquini - que le journaliste connaît pour avoir entenu à Trente dans Madame Butterfly de Giaccomo Puccini - à l'acmée de son art dans Conchita selon le compositeur, et le ténor Schiavazzi, interprète "efficace" et "valeureux".

Auteur : s.n.
<em>Tarquinia Tarquini, Conchita</em>

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" (dal romanzo al melodramma)</em>

Auteur : s.n.
<em>Il soggetto di "Conchita"</em>
L'opéra Conchita est le première nouveauté lyrique de la saison (automne-printemps) au théâtre Dal Verme. Le jeune compositeur est complimenté pour son art et sa culture.
Il est fait référence aux sources sulfureuses de l'opéra, La Femme et le pantin de Pierre Louÿs qui a inspiré "l'adaptation scénique" de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini. 
Selon le critique, l'histoire ne comporte aucun rebondissement et est centré sur les deux principaux antagonistes. Les autres personnages sont uniquement des silhouettes posées dans chacun des tableaux.

Auteur : s.n.
<em>article de journal "Conchita" di Riccardo Zandonai al "Dal Verme"</em>
Annonce très flatteuse de la Première de Conchita. Nombreux sont les compliments pour le compositeur, au tempérament vigoureux et original, déjà perceptible dans son précédent opéra Il grillo del focolare.
Référence aux longues et éprouvantes répétitions sous la direction de Tito Ricordi
Annonce d'une critique plus longue sur la valeur musicale de l'opéra dans le prochain numéro de la revue.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" al Dal Verme</em>

Auteurs : s.n. ; s.n.
<em>article de journal "Conchita" - il romanzo e il libretto</em>
Annonce de la Première de Conchita de Riccardo Zandonai. Critique assez sévère du livret et non du compositeur (musicien fécond qui a composé précédemment Il grillo del focolore). Les raisons de cette rencontre "mutuelle" entre le compositeur et le sujet ne sont pas toujours simples, indique le critique. L'opéra est tiré du roman français La femme et le pantin, écrit en 1898 par Pierre Louÿs. 
Le critique est sévère concernant le roman, comme il l'est pour Les chansons de Bilitis et Aphrodite et autres œuvres de l'écrivain Pierre Louÿs
Le livret (action, pensée, la psychologie des personnages) se résume en une phrase : "la satisfaction des sens" qui, en dehors de tout jugement moral, devient monotone et ennuyeux; Conchita est une "sorcière cynique" et Don Matteo, "un pauvre homme". L'intrigue est résumée plus bas dans l'article.
Rappel de l'adaptation théâtrale d'une autre qualité [de Pierre Frondaie] que le critique aurait vu à Paris précédemment et des critiques qui s'y sont rapportées, en particulier sur les scènes dénudées, censurées dans le livret. 
La musique, publiée par la maison Ricordi dans une édition de luxe, n'est pas abordée ici mais le sera ultérieurement après la Première.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" di Riccardo Zandonai, "La Favilla"</em>
Première de Conchita au théâtre Dal Verme.
Court compte-rendu de la première et annonce du succès pour un compositeur "qui a choisi Pesaro comme sa ville de prédilection" [cet article paraît dans un journal de Pesaro].

Auteur : s.n.
Article sans titre, 1911-10-15

Auteur : s.n.
&quot;CONCITATA&quot; Duetto in 4 atti e 6 quadri plastici Versi di ZAN / garini / donai (Soci accomandanti : Vaucaire, Louys e Bizet)
Parodie de l'opéra avec versification satyrique : didascalies et dialogues succincts.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" del M° R. Zandonai al "Dal Verme" di Milano</em>

Auteur : s.n.
<em>La "Conchita" di Riccardo Zandonai al Dal Verme di Milano</em>
Première au théâtre dal Verme. Courte comparaison critique entre le livret, le roman source de Pierre Louÿs, La femme et le pantin et la pièce de théâtre "audacieuse" éponyme. 
L'auteur de l'article critique la psychologie de Conchita et applaudit l'apport de la musique "riche, entière, variée", en particulier dans la scène de la fabrica, l'intermezzo, le duetto du deuxième acte; quelques critiques sur les procédés musicaux employés.
quelques lignes sont consacrées à la réception de l'œuvre par le public, les rappels, les applaudissements ou la désaprobation ponctuelle. 
Bonne critique pour les voix principales et le chef d'orchestre Panizza.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita", opera in 4 atti e 6 quadri di M. Vaucaire e C. Zangarini - Musica di Riccardo Zandonai</em>
Première de Conchita au théâtre Dal Verme.
Référence au précédent opéra Il grillo del focolare et  à l'abandon par Puccini du sujet de Conchita pour celui de la Fanciulla del West. Référence à Carmen de Bizet à propos du livret de Maurice Vaucaire et de Luigi Zangarini et au roman source de Pierre Louÿs ainsi qu'à son précédent ouvrage à succès Aphrodite.
L'article est centré sur le personnage de Conchita et à la traduction musicale de sa présence sur scène. Moins réussi, selon l'auteur, le traitement musical de la passion.
La théâtralité de l'œuvre est soulignée.
Le reste de l'article est consacré à la réception du public, à l'accueil des voix, à la direction d'orchestre.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" del M. Zandonai al Dal Verme di Milano</em>
Court compte-rendu de la Première de Conchita au théâtre Dal Verme.
Référence aux études du compositeur au conservatoire de Pesaro et à la licence d'honneur au lycée Rossini [le compte-rendu est publié dans un journal de Pesaro].
Très rare référence au contexte politique de l'époque, la guerre de Tripoli, "qui a pu masquer le succès de l'opéra".
La suite de la recension est en partie identique à celle du "Corriere della sera" du 15.10.1911 avec la signature de C. L., comme indiqué par l'auteur lui-même.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita"</em>

Auteur : s.n.
<em>Il M° Riccardo Zandonai e la sua opera : Conchita rappresentata al Costanzi</em>
Précédant la critique de l'opéra Conchita, l'auteur présente en quelques lignes la biographie de Riccardo Zandonai, l'influence de ses maîtres Vincenzo Gianferrari à Rovereto et Mascagni, au conservatoire de Pesaro, ainsi que les premières œuvres, une romance pour les éditions Schott de Bruxelles en 1906, un receuil de mélodies, la Coppa del Re pour le concours Sonzogno pour lequel Riccardo Zandonai reçut une bourse d'étude de la part du ministère de l'éducation de Vienne. Arrigo Boito le présente à Ricordi pour qui Riccardo Zandonai écrit il Grillo del Focolare, représenté à Turin, Gênes et Nice. L'opéra Conchita est écrit entre 1909 et 1910, sur un livret de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini; L'opéra Melenis, inspiré de la Rome antique, est terminé. La partition de Conchita est saluée pour ses effets sensuels et délicats dans l'intermède entre le premier et le deuxième acte ainsi que dans la scène des cigarières du premier acte. L'auteur de l'article considère le compositeur comme un parfait coloriste. Les denières lignes de l'article portent sur le succès de l'opéra dont témoignent les applaudissements et les rappels ainsi quela qualité des chanteurs (Ersile Cervi-Caroli dans le rôle de Conchita, pour ses talents e chanteuse et d'actrice, le ténor Tacani, mesdames Mareck, Falchero, Flory)

Auteur : s.n.
<em>Il successo di "Conchita" del maestro Zandonai</em>
Récit du succès de Conchita malgré un "livret périlleux" "vériste", selon l'auteur.
La suite de l'article résume l'action par acte et se centre sur l'évolution du couple Conchita-Matteo.
La critique de la partition suit le même schéma : "rien de particulièrement beau au point de vue musical dans le premier acte mais il est bien fait et il prépare bien le public; le deuxième et le troisième actes sont indubitablement les meilleurs, l'accompagnement orchestral de la scène du "café-chantant est coloré et efficace, le duetto d'amour est original, simple et délicat; le troisième acte s'ouvre par un intermède qui explique musicalement le caractère volubile et cruel de Conchita, il sert à justifier la scène un peu brutale du porche; c'est une belle page musicale qui rappelle beaucoup Debussy. Dans le même acte, la scène dans la ruelle espagnole et le dialogue de Conchita sont excellents. L'acte entier est empli de couleur et de force. La scène finale pacifie totalement l'auditoire un peu secoué par les émotions des actes précédents".
Les dernières lignes de l'article indiquent l'excellente exécution de l'orchestre.

Auteur : s.n.
Al Costanzi

Auteur : s.n.
<em>Conchita. Nuova opera del maestro Riccardo Zandonai su libretto di Moris Vaucaire [sic] e Carlo Zangarini rappresentata al Costanzi la sera del sabato 23 marzo 1912</em>
Trois nouveaux opéras sont à l'affiche du théâtre Costanzi pour la saison 1912, Conchita, l'Elettra e i Figli di Re. L'opéra Conchita est, selon l'auteur, le plus attendus de ces opéras depuis la Première au théâtre Dal Verme. Quelques éléments biographiques sur Riccardo Zandonai précède la critique de l'œuvre, en particulier ses précédentes compositions : le poème symphonique il Ritorno di Odisseo, l'opéra Il Grillo del Focolare tiré de la nouvelle de Dickens et représenté à Turin, Gênes et au Casino de Nice.
La critique est d'autant plus sévère sur le livret que le roman est quant à lui apprécié : " je pense que c'est une erreur phénoménale, impardonnable de porter sur scène et sur la scène lyrique cette horreur, qui ne serait même pas accueilli dans le plus minable théâtre de pochades. C'est un livret sordide, immoral qui ne contient aucun vers passable".
A l'inverse la partition est largement louée, en particulier dans les tableaux suivants : la fabbrica di Siviglia, l'intermezzo nella strada, la scène du baile, le troisième acte, dans lequel Riccardo Zandonai est comparé à un peintre.
Le chant et le jeu scénique des chanteurs sont loués par le critique : Ersilde Cervi Caroli dans le rôle de Conchita est décrit minutieusement, et illustré par les applaudissements au deuxième et troisième actes; le ténor Taccani, dans le rôle de Mateo, "l'enfant gâté du public très aristocratique du Costanzi et dont les Etats-Unis se sont emparées". Sont également remarqués madame Mareck, dans le rôle de la mère, déjà remarquée dans le rôle de Azucena du Trovatore; le bariton Mario Giubani, le bariton Schottler et Giuseppina Falchero dans le double rôle de Dolores et Pepita, également remarquée dans le rôle de Musette dans La Bohème.


Auteur : s.n.
<em>"Conchita". New Spanish Heroine at Covent Garden</em>
Riccardo Zandonai est décrit dès les premières lignes de l'article comme l'un "des musiciens les plus prometteurs de la nouvelle école italienne". L'ouvrage Conchita comparé à Louise de Gustave Charpentier; d'autres influences sont signalées dont celle de Puccini et de l'école moderne française.
L'article est consacré presque esclusivement à mettre en valeur l'inventivité musicale de Riccardo Zandonai tout au long de l'opéra.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" produced</em>

Auteur : s.n.
<em>"Conchita". Production at the Covent Garden</em>
Le livret est résumé en quelques lignes; l'auteur souligne, dans le deuxième acte, le public anglais mis en scène dans la scène du Baile, "qui en aurait pour son argent" lors des "Shéhérazades" de Conchita [cet opéra avait fait scandale quelques années auparavant, à Convent Garden]; l'auteur indique une fin heureuse à l'opéra, mais "assez sauvage et […] qui [nous] fait tout imaginer sauf la mariage". Une comparaison sous-jacente serait faite entre le personnage de Conchita et celui de Ayesha dans le roman She de Sir Rider Haggard - cité dans l'article - et en particulier sur le pouvoir de domination de certaines femmes sur l'homme.
La suite de l'article est consacrée à la partition de Riccardo Zandonai, peu considérée, influencée par l'école française. Le dernier paragraphe porte sur la prestation des chanteurs; celle de Tarquinia Tarquini est saluée.

Auteur : s.n.
<em>Royal Opera Covent Garden, "Conchita"</em>
L'article débute par la distribution complète de l'opéra (personnages et chanteurs). il est indiqué que l'opéra est de Riccardo Zandonai et chanté en italien.
Le long article analyse la psychologie de l'héroïne et ses rapports avec Matteo. il est fait référence au roman source de Pierre Louÿs, La Femme et le pantin, et sa transcription en livret.
La musique est qualifiée de "moderne" (l'intermède entre le premier et deuxième acte, l'introduction du troisième acte). Il est fait référence à Louise de Gustave Charpentier, à Debussy, Mascagni, Strauss pour le style symphonique que l'on retrouve dans la partition.
Le dernier paragraphe est consacré aux voix. Tarquinia Tarquini dans le rôle de Conchita est saluée pour sa voix et son jeu théâtral, plus critiqué le ténor Schiavazzi, dans le rôle de Matteo, madame Bérat dans le rôle de la mère de Conchita, André Gilly (une voix), le chef d'orchestre Panizza.
Riccardo Zandonai est rappelé à plusieurs reprises sur scène.

Auteur : s.n.
<em>Operatic triumph. "Conchita's" success at Coven Garden</em>
L'action du livret résumé en début d'article est, selon 'lauteur, une libre adaptation "forte, simple et directe" du livre "sordide" de Pierre Louÿs. Le personnage féminin qui ne pourrait être créée en Europe du nord, "(...) est une empoisonneuse et une perverse monomaniaque dont la manie est l'amour et son pantin, sa marionnette,est un certain Mateo". La musique est moderne, d'inspiration symphonique, certaines pages ne sont pas suggestives, d'autres le sont au contraire (l'intermède entre le premier et le deuxième acte, l'ouverture au troisième acte qui "suggère parfaitement une nuit espagnole"). Zandonai a écrit une musique forte et passionnée sur un thème fort et passionné et le résultat n'est pas simplement un succès théâtral mais aussi artistique". Le dernier paragraphe de l'article est consacré aux voix, en particulier Tarquinia Tarquini et le ténor Schavazzi.

Auteur : s.n.
<em>Royal Opera. "Conchita"</em>
Après avoir résumé le livret de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini, tiré d'un roman de PIerre Louÿs, La Femme et le pantin, l'auteur de l'article s'attache aux principaux personnages dont le seul d'importance serait Conchita, Mateo n'étant que la représentation d'un homme du sud, amoureux.
La suite de l'article est consacrée à la composition musicale de style "réaliste" dans deux tableaux (la fabrique de cigares au premier acte et le Baile au deuxième acte); le compositeur s'en éloignant parfois dans troisième acte et quatrième tableaux. La comparaison musicale se fait plus précise quand l'auteur compare l'ouvrage de Riccardo Zandonai à l'opéra Louise de Gustave Charpentier.
La dernière partie de l'article est consacrée aux voix; Le jeu de Tarquinia Tarquini est salué (meilleur que son Carmen précédemment joué à Londres) ainsi que celui du ténor Schiavazzi, bien que critiqué dans son jeu théâtral, ceux de madame Bérat dans le rôle de la mère de Conchita, les "ensembles" et du chef d'orchestre Panizza.

Auteur : s.n.
Crescendo, <em>The Opera&nbsp;"Conchita"</em>
Le succès de l'opéra est signalé en début d'article; Riccardo Zandonai étant rappelé au baisser de rideau après chaque acte, un geste du public inhabituel au théâtre Covent Garden.
Cet enthousiasme est tempéré par la "faute" que représente le livret alors que la musique de Zandonai est applaudi. Elève de Mascagni, le compositeur propose une musique, selon l'auteur, "peu italienne et manifestetment influencée par l'Allemagne".
Le dernier paragraphe de l'article est consacré aux voix principales, celle du ténor Schiavazzi est "très italienne"; celle de Tarquinia Tarquini a rendu le personnage de Conchita quasi convainquante; les deux voix apparaissant idéales "non individuellement mais collectivement". Le chef d'orchestre Panizza est salué ainsi que l'orchestre Beechman et en particulier le violon solo, monsieur Sammon dans le dernier intermède.

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" at Covent Garden</em>

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" Wins Many Plaudits at Metropolitan. New Opera and New Star Combined Make Evening a Gala Event</em>

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" Talks About Her Work. Prima Donna and Her Favorite Roles. Tarquinia Was Zandonai's Chosen Type for Great Opera</em>
Courte biographie de la chanteurse Tarquinia Tarquini; rencontre avec Riccardo Zandonai à Naples où elle présente ses rôles fétiches, Salomé et Carmen, avant d'être engagée pour ce même rôle à Covent Garden [avril à mai 1911]; dans son jeu théâtral figure aussi la danse pour lequel Tarquinia Tarquini s'est rendu à Paris pour étudier la danse pour ces mêmes rôles et en perspective de celui de Conchita Le dernier paragraphe est consacré à la tournée de la chanteuse aux Etats-Unis.

Auteur : s.n.
Teatri di Roma

Auteur : s.n.
The opera season

Auteur : s.n.
Teatro Grande. La seconda di <em>Conchita</em>

Auteur : s.n.
First Performance of &quot;Conchita&quot; Marks Last Days of Chicago Grand Opera Season

Auteur : s.n.
s.t.

Auteur : s.n.
Conchita di Riccardo Zandonai al San Carlo

Auteur : s.n.
Aspettando Conchita di ...

Auteur : s.n.
<em>Conchita di Zandonai al Teatro Reale dell'Opera</em>

Auteur : s.n.
<em>"Conchita" di Riccardo Zandonai al Cairo con Gianna Pederzini</em>

Auteur : s.n.
<em>Il M° Federico Wolf-Ferrari istruirà il complesso corale</em>

Auteur : s.n.
<em>Con la terza recita di "Conchita" si concludono le onoranze a Zandonai</em>

Auteur : s.n.
La Femme et le pantin
Présentation et livret avec illustration de la transcription théâtrale réalisée par Pierre Louÿs et Pierre Frondaie, publiée dans l'Illustration théâtrale.
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