Lesuire

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Adresse de Lesuire à Paris en tant que libraire, rue [M...].

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes mêlée d'ariettes.

DATATION : La date de rédaction de cette pièce n’est pas connue, mais Lesuire fournit des indices de datation
en indiquant sur la première page de titre de la pièce : « Cette pièce fut composée il y a long-temps sous l’ancien régime. Dezède devait en faire la musique. Il mourut et l’auteur n’y pensa plus. » (folio 302) Plus bas, il ajoute : « Comme on a donné il n’y a pas long tems aux Italiens Le Vieux Garçon, on pourrait rétablir à cette pièce le nom de Célibataire. » Ce texte présente en effet deux états, que les ratures permettent d’identifier facilement puisqu’elles concernent, d’une encre plus noire, le changement de nom du personnage principal qui passe de Crapulet à M. de Vieux-Corps. Si l’on suit les propos de Lesuire, la première version date donc de l’ancien régime ; la seconde est nécessairement post-révolutionnaire. Mais ni l’une ni l’autre ne peuvent être datées précisément. Nicolas Dezède, compositeur notamment d’opéras comiques représentés à la Comédie-Italienne, est décédé le 11 septembre 1792. Des représentations d’une comédie en vers de Pierre-Ulric Dubuisson intitulée Le Vieux Garçon sont attestées à l’Odéon le 16 décembre 1782 puis au Théâtre des amis de la Patrie 6, rue de Louvois à Paris les 17, 19 et 22 avril 1792 , mais elles ne sont mentionnées ni à la Comédie-Italienne ni au Théâtre Italien (salle Favart) ni aux Italiens (Théâtre des vrais Fantoccini italiens (au Palais-Royal)) [Source : base CESAR consultée le 15 février 2023]. La seconde version ne peut donc que se situer entre 1793 et 1815, date établie pour le décès de Lesuire.

INTRIGUE : Lesuire résume sa pièce de la manière suivante : « C’est une comédie qui a pour but moral de prêcher le mariage comme un devoir, et de décrier le célibat comme un abus. » Un vieux célibataire nommé M. de Vieux-Corps refuse obstinément le mariage, préférant sa vie libre de garçon. Son neveu Blandin souhaite épouser Rose, dont il est également aimé, et qui vit chez M. de Vieux-Corps avec sa mère, la riche banquière Mme Bontems. Celle-ci, pressée de marier sa fille, imagine lui donner pour époux le vieux barbon rentier et se garder le jeune homme dépourvu de ressources. Un héritage inespéré d’un oncle américain redonne fortune à Blandin qui peut alors librement épouser Rose. Vieux-Corps quant à lui cède aux instances de sa gouvernante et l’épouse.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes.

INTRIGUE : Suite du récit entamé dans la première partie du manuscrit. Les deux amants, désespérés d’être séparés par le choix du père qui s’est finalement porté sur un autre homme, se donnent l’un à l’autre et conçoivent un enfant. Cresqui, pris au piège alors qu’il tentait de faire évader Zélia à sa demande, tue son rival et blesse le frère de Zélia. Forcé de se cacher dans un ermitage, il perd la trace de Zélia qui a disparu. Dans l’acte II, Cideville ramène à une pauvre femme son fils qui a été sauvé par l’ermite. On comprend que la femme est Zélia. La pièce est inachevée.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes

INTRIGUE : Cideville, en voyage scientifique depuis la cour de Suède où il est en relation avec Carl von Linné, rencontre un ermite reclus dans une grotte, passionné de plantes et auteur de plusieurs herbiers. Voyant sa tristesse, il devient le confident de son désespoir amoureux.
Le manuscrit s'achève ici.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie en cinq actes et en vers

DATATION : Dans ses Confessions Lesuire évoque la rédaction de tragédies au début de sa période de création, mais la mention « ouvrage de jeunesse » peut indiquer une mention portée ultérieurement sur une page de titre comme une copie ultérieure d’un premier état de la pièce.

INTRIGUE : Une loi décrétée par le consul Manlius Torquatus interdit à tout soldat romain de se battre en combat individuel contre les frères ennemis latins. Or son fils vient de tuer Métius qui s’apprêtait à exécuter celle qu’il aime, une étrangère d’Antium nommée Attilie. Manlius père est déchiré entre son amour pour son fils et la volonté de tenir au-dessus de tout la loi romaine ; de son côté, son fils est torturé par son amour pour Attilie et son respect pour son père et la vertu.

 

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes, en vers, mêlée d'ariettes.

INTRIGUE : Dom Carlos aime une jeune femme parée de toutes les qualités mais ne connaît pas son visage qu’elle garde masqué. Lors d’un rendez-vous, il est fait prisonnier et emmené dans le château de la princesse Doreia. Il s’agit en réalité de sa maîtresse qui veut éprouver son amour. Malgré la beauté de la princesse, il reste fidèle à sa promesse envers son amante invisible et la princesse, capitulant, lui rend sa liberté. Il retrouve son amante qui se dévoile alors. Le mariage – et celui des domestiques – peut être célébré.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Divertissement en un acte mêlé d'ariettes et de vaudevilles.

INTRIGUE : À l’aube du premier mai, le jeune Grival vient déposer un bouquet à la fenêtre de sa maîtresse Nanette. Mais celle-ci le prévient que son père veut la marier au vieux Brizard, en échange de l’abandon d’un procès qui les lie. Brizard, de son côté, n’épouse Nanette que pour s’éviter de payer 2000 écus. Engagés ainsi tous deux, ils répugnent à un mariage auquel ils se voient forcés. C’est l’oncle de Grival, notaire, qui dénoue finalement la situation.

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Opéra lyri-comique en trois actes et en vers.

INTRIGUE : William Sombreuil, aveugle de naissance, a Laurette pour amante. L’oculiste Valmeri lui propose de lui rendre la vue par une opération risquée. William accepte et recouvre la vue. Mais Vameri demande en échange la main de Laurette, faut
e de quoi il fera l’opération inverse et rendra William de nouveau aveugle. Les deux amants refusent ; Valmeri crée facticement l’obscurité pour éprouver le couple jusqu’au bout, mais son stratagème échoue. Il doit se rendre. C’est alors qu’il voit Annette, sœur jumelle de Laurette qui l’aime en secret. Il se rend compte que lui aussi l’aime depuis longtemps et que sa ressemblance avec Laurette l’avait abusé. La pièce se conclut sur un double mariage.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie en cinq actes et en vers.

INTRIGUE : La reine de Crète a fait le serment de venger la mort de son mari tué par le roi de Grèce, Timocrate. Elle a également fait le serment de donner sa fille Eriphile en mariage à l’homme qui accomplirait cette vengeance. Parmi les prétendants au mariage et au trône, Cléomène, bien que n’étant pas de sang royal, déclare avoir fait prisonnier Timocrate. Mais un homme reconnaît en Cléomène le prétendu prisonnier. Par ce mensonge, le roi voulait ainsi permettre à la reine d’accomplir sa promesse de vengeance, qu'il approuve. Mais, jouant le deus ex machina, une lettre du roi défunt assurant son épouse que Cléomène-Timocrate l’a tué par honneur et devoir pour sa patrie en cherchant à lui donner les derniers soins, délivre la reine de son serment de tuer le jeune homme. Le mariage entre Eriphile et Timocrate peut avoir lieu.

COMMENTAIRES : Lesuire donne deux textes explicatifs de son projet de "retoucher" les tragédies de Thomas Corneille.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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Pièce en cinq actes.

Le fils du comte de Varville a perdu son père lors de la première année de la Révolution. Combattant au côté des royalistes, il est sauvé des mains des
républicains par un soldat. Il prend désormais le nom de Germeuil et prend part aux campagnes d’Italie. Avec l’avènement de l’Empire, il se retire dans une de ses propriétés. Conservant le nom de Germeuil, il écrit des ouvrages qui lui valent un certain renom. La Restauration lui rend ses propriétés qu’il doit défendre contre un imposteur. Après une attaque à l’issue de laquelle on le croit mort, il confie ses biens à un intendant de confiance et se rend dans le Périgord. Il y sauve une jeune fille, Isabelle, et sa mère d’une attaque de brigands. Celles-ci l’accueillent alors chez elles.
La pièce commence. Germeuil et Isabelle sont épris l’un de l’autre mais Germeuil tient une conduite mystérieuse, de solitude et de mutisme, que personne ne comprend.
Seuls ses monologues et des échanges de lettres avec son intendant donnent accès à ses pensées et intentions. S’ensuit un certain nombre de quiproquos qui le dénigrent aux yeux de la famille d’Isabelle puis qui le font passer pour un criminel. L’arrivée de son intendant, qui dévoile sa véritable identité par une lettre, permet d’innocenter Varville du crime dont on l’accusait. Il retrouve également son oncle, ami du père d’Isabelle. Le mariage peut ainsi avoir lieu.

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Adresse de la cour de Parme où se trouve Lesuire comme secrétaire à la secrétairerie générale : « Monsieur sieur LeSuire Parme ».

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Document (lettre) indiquant l'adresse de Lesuire alors secrétaire à la cour de Parme : « Monsieur Monsieur Lesuire Secrétaire de l’intendance [...] à Parme »

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Document (lettre) indiquant l'adresse de Lesuire rue Christine à Paris, chez M. Guille[t].
L'adresse indiquée est attestée par ailleurs dans une lettre de Beaumarchais du 9 février 1781 adressée à "Monsieur Lesuire, hotel de Malthe, rue Christine, fb S. Germain" (voir Gunnar et Mavis von Proschwitz, Beaumarchais et Le Courier de l'Europe. Documents inédits ou peu connus, Oxford, The Voltaire Foundation, 1990, vol. II, doc. 268, p.636).

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Auteurs : D'Arnaud

Auteurs : Chauvelin, François-Bernard de, marquis de (1766-1832)
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Lettre de remerciement pour l'envoi de deux héroïdes.

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Auteurs : Sacco, Joseph Pompeïo
Lettre de Joseph Sacco ministre de Parme à Robert-Martin Le Suire secrétaire de Son Altesse Royale, folio 5_droite
Le premier ministre du duché de Parme, Joseph Sacco, annonce à Robert-Martin Lesuire que le duc de Parme lui accorde la continuation de son traitement de Secrétaire de la cour de Parme, soit neuf mille livres italiennes (deux mille deux cent cinquante françaises).

Auteurs : Louveu
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Reçu de l'imprimeur Louveu de la somme de 467 livres 10 sols pour l'impression de 50 exemplaires des Noces patriarcales.

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Divertissement en deux actes et en vaudevilles.

INTRIGUE : Colas et Babet sont amoureux mais la mère de Babet projette un mariage plus avantageux pour sa fille avec le magister du village. La nuit, elle conserve donc la clé de la maison et enferme les sabots de Babet. Colas vient tout de même rendre visite à son amante qui emprunte alors les sabots de sa mère. L’arrivée du magister la fait fuir et elle perd l'un d'eux. Le lendemain, le magister remarque et étudie les traces de sabots laissées dans la neige et conclut sur les rencontres clandestines des deux amoureux. Il veut les dénoncer devant l’ensemble du village lors de la veillée. Se déroule alors une jolie scène parodique de Cendrillon où chaque jeune fille essaie le sabot perdu jusqu’à la mère de Babet qui le chausse parfaitement. Babet est obligée de se dénoncer et fait appel à l’indulgence de son père qui accorde la main de sa fille à Colas. Le magister part dépité.

Auteurs : Lemercier
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TEXTE :

J’ai l’honneur d’envoyer à monsieur LeSuire le mandat de censure qu’il désire pour la suite de l’Aventurier français J’ai fait nommer M. Dudin pour l’examen de cet ouvrage, ainsi que M. Le Suire me l’a demandé.
Je prie monsieur Le Suire d’agréer mes civilités bien humbles et de me croire avec le dévouement le plus parfait son très humble et très obéissant serviteur.
Lemercier
Ce 13 9bre 1787

INFORMATIONS :

Lemercier était chargé à la Chancellerie de répartir les ouvrages à examiner entre les censeurs. (Madeleine Cerf, « La censure rorale à la fin du XVIIIe siècle », Communications, 1967, 9, p. 2-27)

Dudin est mentionné dans L’Almanach royal du 1er janvier 1787 : « Dudin, rue Saint-Dominique, faubourg Saint-Germain ».

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
[Je soussigné cède par le présent...], folio 12_droite
Contrat « de bon accord » entre Lesuire et le libraire André Defer de Maisonneuve (1749-1795) concernant les ventes et réimpressions de L’Aventurier français et du Philosophe parvenu.
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