[...] nſi donc le Soleil ayant deſcouuert leurs amours, & aduerty Vulcan ; cettuy-cy fit vn filé de fer ſi ſubtil & ſi delié, qu’on ne le pouuoit veoir, & le tendit tout autour du lict, auquel ils dormoient amoureuſement : puis les ayant ainſi tous nuds couuerts comme perdreaux ſous la tiraſſe, les expoſa en riſee à toute la cour celeſte. Ce que touche Ouide au deuxieſme liure de l’art d’amour.
La fable que l [...]