Espace Afrique-Caraïbe

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Collection : Manuscrits de Jean-Joseph Rabearivelo

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE EDIT PRESQUE SONGES 34 BM.pdf
Réédition numérique.

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 PRESQUE SONGES 1.jpg
Phase rédactionnelle : état 1 ? (nous n'avons pas retrouvé d'état antérieur).
La présentation des poèmes sur la page suit toujours le même principe directeur : la page est scindée en deux par un trait en deux parties approximativement égales. Ce trait est tracé préalablement à l'écriture dans les premiers poèmes, puis après l'écriture à partir de f.2v. 
La version malgache figure à gauche, la version française à droite, souvent serrée sur le bord du feuillet. Les poèmes sont très souvent raturés, avec la même encre utilisée pour l'écriture, à tel point qu'il est parfois difficile de lire la version définitive. 
La date d'écriture, identique, est portée à la fin des deux versions. Chaque poème est numéroté en chiffres romains, de I à XXX.
Le premier poème est daté du 22/6/31, le dernier du 19/9/31. Les poèmes sont classés dans un ordre différent de celui retenu pour l'édition originale.

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV CS POEMES.jpg
Quatre poèmes "extraits de Sari-nofy / Presque-Songes, et traduits du hova par l'auteur donnés dans la revue de son ami de France - ses "amis de France" ainsi qu'il les invoque. En l'occurrence Jean Ballard : Rabearivelo sollicite le directeur des Cahiers du Sud afin d'y être publié.
"Excusez-moi de paraître ou impatient, ou gonflé de suffisance - mais je suis sûr d'être dans le ton de votre revue, et puis j'estime qu'il est temps de nouer des relations avec Madagascar." (Lettre du 15 août 1931).
L'édition  de CNRS Éditions (collection Planète Libre), reproduit la correspondance entre les deux hommes qui s'ensuit. Rabearivelo s'intronise correspondant de Madagascar. Et de choix ! Puisqu'ainsi que la signature l'atteste, il traduit du hova. Rabearivelo offre donc au lecteur francophone un accès privilégié à la culture hova dont il se revendique : il cherche à faire entrer son île sur la "carte de l'Esprit" (Calepins Bleus).

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 PRESQUE SONGES 1.jpg
Cette version contient de nombreuses fautes de frappe, corrigées à la main par Jean-Joseph Rabearivelo, et présente nombre de variations par rapport au manuscrit, qui constituent de nouvelles orientations du vers.

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Fleurs d'extase
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN PRINCESSE MANDANE.jpg
Les deux premiers vers d'un poème sur les rêves qui - "hélas!" - s'étiolent...

Collection : Proses pour Durtal
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP Tombeau 1.jpg
La fin de l’année 1936 est pour Jean-Joseph Rabearivelo une période de regain. Début septembre, une quatrième fille lui naît, qu’il choisit de nommer Velomboahangy (Voahangy réincarnée, selon sa propre traduction), en hommage à sa fille chérie morte en 1933. Un mois plus tard, le recueil Chants pour Abéone dont la maquette lui a demandé tant de soin sort des presses : « Les dix premiers exemplaires de Chants m’ont été livrés ce soir : aussi belle, de robe que de figure, cette fille, cette mariée, que je l’aime à la folie – plus qu’une fiancée, pardi ! » (Carnets Bleus, 3/10/36, tome I, p. 1040). Il envisage par ailleurs de concrétiser plusieurs ensembles poétiques ainsi qu’une « grande nouvelle sur la toufiane » (Carnets Bleus, 28/10/36, tome I, p. 1051), la drogue opiacée dont il fait maint abus à cette période, comme de fréquentations adultérines. Cette vitalité touche également son engagement politique, dont le conservatisme se radicalise en un soutien vibrant à l’armée nationaliste du général Franco, qui est aux portes de Madrid.
C’est en octobre 1936 qu’il se lance dans l’écriture de cet ensemble inédit de poèmes en vers libres, finalement intitulé Proses pour Durtal, mais qui a d’abord porté d’autres titres, visibles en page de couverture du premier brouillon rédactionnel. Jean-Joseph Rabearivelo note dans les Carnets Bleus (20/10/36, tome I, p. 1048) qu’il avait d’abord pensé à Éclairages, puis, en partie pour se démarquer d’un titre similaire (Franz Hellens, Éclairages, Paris, Éditions des Cahiers Libres, 1926), il lui préfère Jeux d’éclairages, disposé verticalement :
          J          Rabearivelo
          
        d’éclairages
          
U         poëmes
       X
Il songe ensuite à Feu de sauges, Étincelles, Points de vue, puis tranche le 28 octobre 1936 : « Non. Définitivement l’un des deux recueils commencés s’appellera tout simplement Bibelots, et il sera dédié à la mémoire de M. Pierre-Bénigne du Paur, plus spécialement à cause du chapitre V de sa vie. Vinaigre et miel que les Lettrés arriveront facilement à trouver bien plaisamment miscibles » (Carnets Bleus, 18/10/36, tome I, p. 1050). Mais il change d’avis le 3 novembre 1936 : « Je dois encore une fois me dire non. Donc, non ! Le recueil que je prépare ne s’appellera pas Bibelots. Il aura nom Proses pour Durtal.À la dédicace, il y aura ce petit morceau que seuls comprendront les vrais amis du Livre (pour qui, d’ailleurs, ‘c’est fait’) » (Carnets Bleus, 3/11/36, tome I, p. 1053). Suit la longue dédicace qui fut en effet inscrite sur les deux versions manuscrites dont nous disposons.
Dans une dernière notation des Carnets Bleus concernant ce recueil resté inédit, Jean-Joseph Rabearivelo écrit le 9 novembre 1936 : « Les Proses pour Durtal (ou pour Folantin – je ne sais pas encore bien) naissent à souhait. Dois-je dire que la ‘construction’ de ces vers libres réclame de moi beaucoup plus de peines et de ‘foi’ que celle d’un poëme dit régulier ? » (Carnets Bleus, 9/11/36, tome I, p. 1055). Jean-Joseph Rabearivelo continue en effet d’explorer dans ces Proses les possibilités poétiques du vers libre, dans une forme devenue très souple, même si, contrairement au poème en prose, elle ne s’aventure pas hors de la norme métrique. Les deux premiers poèmes comportent chacun douze vers, les trois derniers sont de longueur plus conséquente : sept strophes, neuf strophes ou cinq strophes, contenant chacune un nombre irrégulier de vers, eux-mêmes de longueur très variable.
La langue espagnole s’y glisse avec naturel, surgissant ingénument sous la plume ; elle est la bienvenue dans une forme accueillante, où Jean-Joseph Rabearivelo invite également ses amis, morts ou vivants, réels ou fictifs. Dès les premiers mots, le recueil est très solennellement placé sous l’égide de Huysmans et de ses personnages-clé (dont Jean-Joseph Rabearivelo se sert comme d’autant de clés, en effet, pour ouvrir les portes de son univers intérieur aux « vrais amis du Livre », ces happy few qui seront seuls à même de comprendre l’ensemble des allusions littéraires des Proses). Au fil des poèmes, d’autres figures sont convoquées : amis de longue date comme Robert Boudry et Victor Malvoisin, poètes et artistes estimés (dédicaces à Robert-Edward Hart, Ève-Pierre Fonterme, Alfonso Reyes et Armand Guibert, hommages passim à Élémir Bourges, Federico García Lorca, Rafael Alberti) en compagnie de la figure mythologique d’Antée qui continue de montrer le chemin… C’est dans l’« amitié spirituelle », mentionnée dans « Le Triple chiffre », que toutes ces figures sont reliées, et il serait sans doute illusoire de vouloir saisir la charge symbolique de Proses pour Durtal sans prendre en compte cette dimension, colorée selon les poèmes d’accents mystiques, tragiques ou sarcastiques, de spiritualité.

Collection : Proses pour Durtal
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 PROSES DURTAL 1.jpg

Cahier d’écolier Gallieni, 4 pages manuscrites (recto verso) + 1 page découpée (recto).

Collection : Proses pour Durtal
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN PROSES DURTAL 1.jpg
20 feuillets manuscrits paginés (15 x 13), dédicacés à Robert Boudry, dans une enveloppe adressée à Avenue Grandidier. Manuscrit soigneusement mis en page, prêt pour l’édition.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO TAP1 Mépris.jpg
Un travail de collecte et de réécritures du fond poétique de Madagascar. Jean-Joseph Rabearivelo assure le passage à l'écrit d'une culture traditionnelle, ici les hain-teny, menacée par la domination française peu à l'écoute des peuples qu'elle colonise et de leurs personnalités pour reprendre un mot cher à Jean-Joseph Rabearivelo. La transcription, plutôt que traduction comme le précise le poète, est une forme de résistance, à l'érosion du temps oui, et surtout face à l'hégémonie occidentale. Sans ce jeu de passage des langues, il craint que le peuple malgache ne devienne des "déracinés" comme une génération d'intellectuels assimilés, en exil sur leur propre terre (Barrès) ; ou encore, des "immémoriaux", à la manière de cette communauté tahitienne, perdant la mémoire, dévoyée de son bon sens, décrite  par Victor Segalen. D'où le manifeste "Hitady Ny Very" ('à la recherche de ce qui est perdu') lancé dans la revue Ny Fandrosoam-Baovao.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Rilke 1 et 2.jpg

Collection : Chants d'Iarive
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Brimont 3 et 4.jpg

Collection : L'épistolier
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Répondant 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP Goncourt.jpg
Réponse à une enquête sur les prix Goncourt lancée en 1925 par la revue La Pensée latine, « organe d’action du Théâtre d’Art libre », dirigée par Georges Gallon, Gaston Avesque et Gérard de Catalogne. Rabearivelo y précise son jugement sur Batouala, de René Maran, prix Goncourt en 1921.
"Dans sa préface, le rédacteur en chef déplore la relativisation des mérites des auteurs et des œuvres, avant de suggérer que ce changement pourrait expliquer, au moins partiellement, les scandales qui entourent alors les prix. Et de proposer ensuite une sorte de révision du palmarès officiel depuis 1918 en fonction des atouts exclusivement « littéraires », cette fois-ci, des sept romans primés. Ainsi, tandis qu’ils plébiscitent Georges Duhamel et Ernest Pérochon devant Marcel Proust et Thierry Sandre, les contributeurs désavouent par 17 voix sur 25 le sacre de René Maran : Batouala remporte le titre du roman le plus médiocre et le moins digne d’honneurs." (Marie Carbonnel, « Juges contre jurés. Les critiques et les prix littéraires (1903-1932) », Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, vol. 26, no. 1, 2008, pp. 31-50.)

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
Le journal Vendémiaire mène périodiquement de grandes enquêtes. Début 1935, le Prix Moréas 1933, Jean Lebrau, Mac-Orlan et d'autres écrivains répondent à trois questions sur la jeunesse paysanne. Le 10 avril, un autre questionnaire, sur la jeunesse noire. On interroge des hommes de terrain, des experts et des hommes de couleur. Au rang des spécialistes, l'incontournable Pierre Mille en sa qualité de Président de la Société des Écrivains coloniaux et membre de l'Académie des sciences coloniales ; Marius-Ary Leblond, Prix Goncourt 1909 et Président du Syndicat des Directeurs de Journaux de la France extérieure mais surtout, faut-il ajouter, chantre de la plus Grande France et de la nécessité de faire de l'Outremer des terres de peuplement. C'est au milieu de ce concert qu'intervient Rabearivelo, aux côtés de son confrère et ami guyannais René Maran.

Collection : Resy hatrany
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM THE MAN1 RESY HATRANY VM 1- 1.jpg

Texte en malgache et indications sceniques en fr.

Collection : Resy hatrany
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
THE TAP RESY HATRANY 1.jpg

Collection : Riovine
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Riovine, folio 1r

Nous ne connaissons de cette pièce qu’un vestige partiel : un cahier d’écolier marqué 2, contenant 23 feuillets manuscrits recto verso, couverts d’une écriture appliquée. Le cahier comprend la fin de la pièce (de la scène IX de l'acte II jusqu'à la fin, acte III scène XII.)

Il s’agit d’une intrigue amoureuse. Le jeune Ratovo (neveu du Gouverneur et soldat garde-frontière) aime la belle Ranivo (fille du Gouverneur), mais il ne peut se déclarer et brûle d’un amour impossible ; Ranivo s’apprête à épouser Rasela. À l’acte III, coup de théâtre, l’ennemi sakalava attaque et disperse la noce. Ratovo est blessé ; agonisant, il avoue en public son amour pour Ranivo et meurt en bénissant le nouveau couple.

Le lieu de l’action est la ville de Vohitrarivo (imaginaire ?). Les dialogues sont entrecoupés de chants.

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Salon 2 et 3.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV MP Samuel Ratany.PDF

Mots-clés : , ,

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV FB Sarin ady.pdf

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 SOIR A verso.jpg

Un feuillet manuscrit, recto-verso, premier état d'un poème non publié.
Au recto un reçu, daté du 10 janvier 1921, signé par une certaine Mme Razanamanga, domiciliée à Ambondrona, qui reconnaît avoir reçu telle quantité de fil et tant de bobinots de M. Diriquen, lequel Diriquen figure en en-tête du document comme représentant en bois et produits de Madagascar, ayant son siège à Sainte-Marie de Madagascar et des agences à Tananarive et Soanierana-Ivongo. Le reçu est bilingue, un tracé central sépare le texte en français, à gauche, du même texte rédigé en malgache, à droite. L’écriture n’est pas celle de Rabearivelo. Un ajout à l’encre rouge indique que ce reçu est « annulé » ; il a sans doute été écarté des archives et mis dans un coin.
Il est réemployé par Rabearivelo. Plié en deux dans le sens de la longueur, en suivant la ligne centrale qui sépare les deux langues, il est utilisé tête-bêche comme support d’un poème de cinq quatrains intitulé « Soir à » (la suite du titre a disparu, le haut du feuillet est déchiré), de la main de Rabearivelo, et dédié à É. Perrin.

Collection : Soirs malgaches
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 SOIRS MALGACHES 1.jpg
Il s’agit d’un petit cahier (MS2.SOMA) composé de feuillets de papier à en-tête (Creton & Hébant) repliés (neuf de 28 x 21, un de 13,5 x 21, plus un demi-feuillet). C’est une mise au propre en belle écriture moulée (peut-être en vue d’une publication) qui n’est pas de la main de l’auteur, excepté quelques indications en première page sur le plan d’un recueil à faire et quelques corrections. Certains de ces poèmes ont été publiés dans Le Journal de Madagascar franco-malgache en 1923.

Collection : Quelques sonnets
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 SONNET.jpg
Pour compléter la vision des années d’apprentissage, nous souhaitons faire sentir en ce modeste choix de poèmes inédits de son vivant – six sonnets de 1925, année de prodigieuse productivité pour Jean-Joseph Rabearivelo – la naissance d’une voix. Ces poèmes suffisent, à notre sens, pour illustrer le basculement d’un jeune poète qui sort enfin de la convention et innove. Certes, le processus n’est ni homogène ni continu dans le temps et l’on peut constater que le sonnet placé le premier et qui est de décembre 1925 est encore tout imprégné d’influence baudelairienne et mallarméenne, alors que les autres, d’octobre et novembre de la même année, promeuvent, avec une excentricité provocante, une dislocation de la forme du sonnet destinée à faire passer par son filtre des sensations nouvelles et peu conventionnelles.

Collection : Quelques sonnets
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Quelques sonnets
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM TRAD MAN1 Mistral Olivades.jpg
Des vers de Frédéric Mistral en provençal et traduits en français moderne. JJR les incorporera dans son article "L'attitude que nous devons avoir face aux nouvelles connaissances" afin d'illustrer son propos : "soun mort li batisseire, / Mais lou temple es basti" ; de même, l'intellectuel œuvre pour la postérité ; la somme de ses connaissances servira les générations futures. JJR inscrit le mouvement d'émancipation malgache dans le régionalisme initiée par les Félibrige : de ses particularismes locaux, devenir français - tel était aussi le propos de la revue des Jeunes de son ami et cadet Jacques Rabemananjara.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Sources 1.jpg

Le manuscrit, en bon état, comporte 16 feuillets de papier ivoire, épinglés ensembel, écrits à l'encre bleu nuit, nos signés et paginés en coin gauche. Il s'agit d'évidence d'un brouillon de travail, d'un "premier jet". 

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Sources 2 1.jpg
Premier tapuscrit, 11 feuillets de papier pelure avec quelques ajouts manuscrits. Corrections minimes.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP Robson.jpg
Sur le peintre Thomas Robson, ou Robison

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Lampes 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Guerre Maroc.jpg
Dans ce billet d'humeur au sujet du Maroc, sans doute daté de 1925, Rabearivelo dénonce la guerre franco-espagnole menée par Franco et Pétain contre Abd el-Krim et les rebelles marocains du Rif.
“La guerre du Maroc est une honte. La guerre du Maroc est un désastre, comme toutes les guerres du reste sinon plus. Je réprouve tout acte de violence, d’autant plus s’il y a mort d’homme. Je n’arrive pas à excuser l’Occident, lequel, sous prétexte de civiliser, veut s’ériger en maître sur une terre après en avoir tué les propriétaires naturels ou, au moins, acheté à vil prix la conscience".
Il se montre lucide : l'argument invoqué, "ô civilisation" ricane-t-il ! n'est qu'une vaste hypocrisie. Dans un ultime sarcasme, il regrette le manque de franchise de l'Europe, sans quoi tous les peuples asservis par la force des armes aduleraient leur vainqueur : ils ne demanderaient que ça ! Seulement, finassant avec ses principes de Justice et de Droit, l'Europe devient risible aux yeux des colonisés voyant clair dans son jeu. " Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde " constate Rabearivelo à travers cette ébauche d'un Discours sur le colonialisme...
Rabearivelo se rapproche de la diatribe de Rabindranath Tagore lancée à l'Occident ainsi que de la virulente description de son ami René Maran de la situation en Oubangui-Chari. Rabearivelo dessine sa figure " d'intellectuel colonisé " - comme il se définit lui-même dans ses Calepins Bleus. Cela signifie une meilleure acuité sur la situation afin de n'être dupe de personne et n'avoir qu'un rire de dédain à l'endroit des " welches ".

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sur la valih royale
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Valih royale 1.jpg
18 feuillets 11,5x20 inclus dans un feuillet replié 25x22 faisant office de couverture (Prère d'insérer de Capricorne), mss recto verson (sauf f°1 / 3 / 17). f° 10bis (10,5x14) est indiqué : I, et avec l'indication en bas de page : 13bis). F°1 porte le titre, et le nom de l'auteur, f°2 / 3 (introduction) sont signés et datés : 21/1/25. Les autres feuillets portent pour chaque poème un chiffre romain : I à XVI).

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN SUR 3 CORDES dedi 1.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de 9, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN SUR 3 CORDES dedi 2.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 SUR 3 CORDES 1.jpg
Inspirés par haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

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