Lettre de Julio Augusto Martins à Émile Zola, du 6 mars 1898
Correspondance
Auteur(s) : Martins, Julio Augusto
Transcription
Texte de la lettreJosé Augusto Martins
Advogado
Extremoz, 6 de mars de 1898
Monsieur
La presse de la capitale de mon pays, le Portugal, vous a dejà félicité de votre noble et inflexible attitude à propos de l’affaire Dreyfus.
Membre obscur de la presse de province, j’ai appris, toutefois, de bonne heure à vous lire et à vous admirer comme écrivain, et votre conduite dans le cas de Dreyfus vient compléter, par sa grandeur morale, l’admiration et le culte que m’inspirait votre grandeur littéraire.
J’ai l’honneur de vous envoyer « A Voz d’Estremoz » où j’ai écrit un article que vous m’excuserez, et que vos livres m’ont suggéré.
Votre humble et convict admirateurs
Julio Augusto Martins
Advogado
Extremoz, 6 de mars de 1898
Monsieur
La presse de la capitale de mon pays, le Portugal, vous a dejà félicité de votre noble et inflexible attitude à propos de l’affaire Dreyfus.
Membre obscur de la presse de province, j’ai appris, toutefois, de bonne heure à vous lire et à vous admirer comme écrivain, et votre conduite dans le cas de Dreyfus vient compléter, par sa grandeur morale, l’admiration et le culte que m’inspirait votre grandeur littéraire.
J’ai l’honneur de vous envoyer « A Voz d’Estremoz » où j’ai écrit un article que vous m’excuserez, et que vos livres m’ont suggéré.
Votre humble et convict admirateurs
Julio Augusto Martins
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